Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature italienne
Tags relatifs
- culture
- roman
- récit
- ferrante
- amitié
- famille
- italie
- l'amie prodigieuse
- écriture
- correspondance
- elena
- italo calvino
- lecture
- montagne
- naples
- études
- autobiographie
- 1940-1985
- le métier d'écrire
- adolescence
- alessandro
- alpes
- amour
- apprentissage
- baricco
- enfance
- les jours de mon abandon
- rencontres
- survie
- vie de femme
Dernières notes publiées
-
Paradis sur terre
« Ce fut alors que Paolo se mit à enseigner à son fils à ne pas se contenter du monde tel qu’il était, à le vouloir plus juste. A lui parler du philosophe de Trèves qui avait imaginé une société dans laquelle chacun recevrait selon ses besoins, et à laquelle chacun contribuerait sel... Lire la suite...
-
Deux visiteurs
En donnant pour titre à son roman Plus haut que la mer (traduit de l’italien par Danièle Valin), Francesca Melandri voile subtilement son sujet, la visite de Paolo à son fils et celle de Luisa à son mari en prison. Le fils de l’un a été condamné pour terrorisme, le mari de l’autre est un m... Lire la suite...
-
Perdre une part
« Nous arrivâmes au parc, repartîmes en sens inverse et puis refîmes le chemin jusqu’au jardin. Il était tôt, il n’y avait pas encore le brouhaha du dimanche ni les vendeurs de noisettes, amandes grillées et lupins. Avec prudence, Lila m’interrogea à nouveau sur le lycée. Je lui dis l... Lire la suite...
-
Amies d'enfance
Elena Ferrante raconte dans L’amie prodigieuse ( L’amica geniale , traduit de l’italien par Elsa Damien) l’amitié de deux fillettes, Elena et Lila, dans un quartier populaire de Naples, à la fin des annés cinquante, et son récit est si captivant que je compte bien lire la suite de cette sag... Lire la suite...
-
Situation
« Il finit donc par comprendre qu’il était dans une situation que partagent beaucoup d’êtres humains, mais pas moins douloureuse pour autant, à savoir : la seule chose qui nous fait nous sentir vivants est aussi ce qui, lentement, nous tue. Les enfants pour les pare... Lire la suite...
-
Mr Gwyn, copiste
Alessandro Baricco , dont je n’avais plus rien lu depuis Soie , offre dans Mr Gwyn (traduit de l’italien par Lise Caillat) un fascinant portrait d’écrivain, savamment composé. Jasper Gwyn, quarante-trois ans, homme de lettres et de listes , de mots et de chiffres, est en crise. Dans le ... Lire la suite...
-
Notre époque
« N’est-il pas curieux que dans un monde pétri de haines insensées qui menacent la civilisation elle-même, des hommes et des femmes de tout âge, s’arrachant en partie ou totalement au furieux tumulte de la vie quotidienne, choisissent de cultiver la beauté, d’accroître le savoir, de... Lire la suite...
-
Utilité de l'inutile
Voici un livre à offrir, à s’offrir, à faire lire : L’utilité de l’inutile (2013), le « Manifeste » de Nuccio Ordine , professeur d’université, réédité par Les Belles Lettres en 2014 (traduit de l’italien par Luc Hersant, nouvelle édition augmentée, 11 €). Pour expliciter ... Lire la suite...
-
Merveilles
« J’ai déjà raconté les merveilles des trains russes, les petites gares couleur de fraise ou de pistache où ils s’arrêtent, au milieu des forêts, leurs samovars fumants, la géométrie originale des couchettes et le pique-nique interminable mais bien ordonné que l’on consomme à bord des lon... Lire la suite...
-
Vertikalnaya Evropa
L’Europe verticale : Paolo Rumiz , écrivain voyageur pour qui Trieste est davantage base que ville, la parcourt de l’Arctique à la Méditerranée dans Aux frontières de l’Europe ( La frontiera orientale dell’Europa , traduit de l’italien par Béatrice Vierne). Un «&nb... Lire la suite...