Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature américaine
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7 mois à Indian Creek
Excellente lecture pour cette période de l’année, le roman de Pete Fromm , Indian Creek (traduit de l’américain par Denis Lagae-Devoldère) est le récit de sept mois passés sous tente au cœur des montagnes Rocheuses. Seul, avec Boone, la petite chienne offerte par Rader, un ami. Etudiant en... Lire la suite...
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Incantation
« Dans ces moments, nous avons beaucoup parlé de chez nous, évoquant autant de souvenirs que nous le pouvions, rappelant les images les plus infimes et les plus spécifiques dans une sorte d’incantation douloureuse – les érables de l’avenue Miró en octobre, les horloges à chiffres romai... Lire la suite...
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La lettre d'Anna Blume
Le voyage d’Anna Blume de Paul Auster paraît en français en 1989 (traduit de l’américain par Patrick Ferragut). Son titre original de 1987 est meilleur : In the country of last things ( Au pays des choses dernières , titre adopté dans la collection Babel). 2019, je retrouve Anna ... Lire la suite...
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Plaisanterie
« […] enfin venaient les blagues – parce que sous l’épreuve de la mélancolie perpétuelle et la prodigieuse tension pour seulement s’en sortir, il se cache toujours une blague quelque part, le portrait d’un ridicule, un mot cinglant, une plaisanteri... Lire la suite...
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Zuckerman, épilogue
L’orgie de Prague (1985), l’épilogue du Zuckerman enchaîné de Philip Roth dont je vous entretiens depuis quelque temps, compte moins de cent pages. Publié deux ans après La leçon d’anatomie , il se présente comme « extrait des carnets de Zuckerman ». Voici le début, daté d... Lire la suite...
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Marié pour...
« Le mariage avait été son rempart contre l’extraordinaire source de distraction que constituent les femmes. Il s’était marié pour l’ordre, pour l’intimité, pour l’aspect routinier, régulier, de l’existence monogame ; il s’était marié pour ne plus jamais perdre... Lire la suite...
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Zuckerman va mal
L’incipit de La leçon d’anatomie (1985) ne manque pas d’ironie, provocatrice comme toujours chez Philip Roth qui revient pour la troisième fois à son alter ego Nathan Zuckerman . Lisez plutôt : « L’homme malade a besoin de sa mère ; si elle n’est pas là, d’autres femmes peu... Lire la suite...
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Illusionniste
« […] Venir ici après ce que vous avez fait – s’il vous plaît, laissez-moi finir… – Allez-y, dit-il, bien qu’il n’eût rien fait pour l’interrompre. – Je ne veux pas me mêler de ça. Je ne suis qu’une voisine. Ce n’est pas mon affaire. N’en parlons plus. – Qu’est-ce qui n’est ... Lire la suite...
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Zuckerman délivré
Philip Roth ouvre Zuckerman délivré (1981), le roman qui suit L’écrivain fantôme , avec un bonhomme qui s’étonne tout haut de voir dans un autobus « le type qui a écrit Carnovsky » et « s’est fait un million de dollars » . Carnovsky (ou le héros de Portnoy e... Lire la suite...
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Phrases
« Je combine des phrases, voilà ma vie. J’écris une phrase et je la décortique. Puis je l’examine et je la retourne encore. Ensuite, je vais déjeuner. Ensuite, je reviens et j’écris une autre phrase. Ensuite, je prends le thé et remanie cette phrase. Ensuite, je lis les deux phrases e... Lire la suite...