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Prairies
« La rêverie a besoin des prairies de l’imagination, de toute cette part d’imaginaire qui n’a pas encore été défrichée, cultivée, réquisitionnée pour un usage immédiat. Les écologistes répètent sur tous les tons que les papillons, les savanes et les steppes, les forêts tropicales rempli... Lire la suite...
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Du temps libre
« Le succès des marches ou des promenades collectives peut certes surprendre, tant ceux qui aiment aller à pied mettent en avant le désir d’indépendance, l’amour de la solitude, le sentiment de liberté dû à l’absence de structures et d’embrigadement. Le plaisir d’arpenter le monde à pied... Lire la suite...
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La marche en ville
« A bien des égards, pourtant, la marche en ville présente plus de points communs avec la chasse et la cueillette primitives que la promenade en pleine nature. Pour la plupart d’entre nous, en effet, les espaces dits naturels sont des lieux à traverser en marchant, mais nous n’y faisons pas gra... Lire la suite...
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Voyage
« Si la vie même, le passage du temps alloué à chacun d’entre nous, a l’allure d’un voyage, le plus souvent, c’est à un voyage à pied que nous la comparons : tous nous sommes des pèlerins qui cheminons dans le paysage de nos histoires personnelles. L’image du marcheur solitaire, ac... Lire la suite...
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Trace du corps
« Non seulement marcher restitue ses limites naturelles au corps en le rendant en quelque sorte souple, sensible, vulnérable, mais la marche elle-même étend le corps au monde, à l’instar des outils qui le prolongent. Le chemin est un prolongement du marcheur, les endroits réservés aux bala... Lire la suite...
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Sur ses deux pieds
Dans L’art de marcher , Rebecca Solnit réfléchit sur le goût, la pratique de la marche et relate son histoire, comme l’indique le titre original, Wanderlust : A History of Walking (traduit de l’américain par Oristelle Bonis, Actes Sud, 2002). J’y ai choisi quelques extraits à partager... Lire la suite...
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Idéalement
« Idéalement, marcher est un état où l’esprit, le corps et le monde se répondent, un peu comme trois personnes qui se mettraient enfin à converser ensemble, trois notes qui soudain composeraient un accord. Marcher nous permet d’habiter notre corps et le monde sans nous laiss... Lire la suite...
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Voyager
« Le rapport particulier qui unit le récit au voyage tient précisément à cela, comme, peut-être, les raisons pour lesquelles il existe des liens si étroits entre l’écriture narrative et la marche. Ecrire, c’est ouvrir une route dans le territoire de l’imaginaire, ou repérer des éléments ... Lire la suite...
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