Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature anglaise
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Pourquoi écrire ?
Philip Roth (1933 - 2018) avait pris « sa retraite d’écrivain » en 2010, selon la chronologie qui clôture Pourquoi écrire ? (2017, traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Michel et Philippe Jaworski, Josée Kamoun et Lazare Bitoun). Ce recueil rassemble trois séries de texte... Lire la suite...
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Carnet de jardin
Janvier « Quand on aime quelque chose, on regrette toujours de ne pas avoir planté suffisamment ce qu’on aime. Voilà qui est peut-être mal dit, mais c’est un bon avis de jardinage. » Mai « Un conseil en passant : dépouillez de leurs feuilles les branches coupées d’un se... Lire la suite...
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Au jardin avec Vita
Journal de mon jardin de Vita Sackville-West ( Illustrated Garden Book , 1989, traduit de l’anglais par Patrick Reumaux) est publié chez Klincksieck dans la collection De Natura Rerum, c’est un vrai livre de jardinage. De janvier à décembre, la fameuse amie-amante de Virginia Woolf racont... Lire la suite...
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Mimas
« « Le voilà, dit Loki, inutilement. C’est Mimas. » Des sons surgissent et s’échappent de la bouche de Nick, des syllabes qui veulent dire, en gros : Oh nom de Dieu c’est pas possible . Cela fait des semaines qu’il voit des arbres géants, mais jamais un monstre pareil. Mima... Lire la suite...
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Arbre Monde Vie
Le bandeau 10/18 annonce deux prix attribués à L’Arbre-Monde de Richard Powers ( The Overstory , traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Serge Chauvin) : le Grand Prix de littérature américaine en 2018, le Pulitzer en 2019. Voilà qui encourage à lire ce roman de plus de sept cents pages (10... Lire la suite...
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Schwer
« Dans ses partitions, Mahler donne parfois l’indication schwer . Pour « difficile », « pesant ». C’est le Papillon de nuit qui nous l’expliqua, comme pour nous mettre en garde. Nous devions nous préparer à de telles éventualités pour pouvoir les affronter e... Lire la suite...
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Sur la Tamise
Michael Ondaatje doit sa célébrité à L’homme flambé ( Le Patient anglais ) , Booker Prize 1992. Son dernier roman, Ombres sur la Tamise ( Warlight , 2018, traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné), s’ouvre sur un abandon : « En 1945, nos parents part... Lire la suite...
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Seuil
« La terre n’oublie pas, se souvenait d’avoir lu Leonard. Le lieu est un seuil que l’on franchit en traversant le temps. » Kate Morton, La prisonnière du temps Lire la suite...
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La maison du conte
Sur la couverture de La prisonnière du temps , le gros roman de Kate Morton ( The Clockmaker’s Daughter , 2018, traduit de l’anglais (Australie) par Anne-Sylvie Homassel), des fleurs et des feuilles, des insectes, un cadran de montre ancienne, des rouages d’horlogerie, des lettres ou plutôt de... Lire la suite...
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A néant
« Qu’est-ce qui peut tenir, se demanda-t-il, qu’est-ce qui pourra jamais tenir face à ça ? Un flanc de colline labouré avec ses mottes de terre luisantes après le passage du soc ? Un œil affûté pour saisir la différence, infime mais réelle, entre deux espèces de roitelets, la... Lire la suite...