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”Mon pays”
De loin, j’imaginais une tête d’ours en regardant Ngayuku ngura (Mon pays) de Barbara Moore (°1964). Où avais-je donc la tête ? On y retrouve les cercles concentriques et les lignes courbes de l’ art aborigène , mais l’absence de pointillés, le geste calligraphique, les couleurs disting... Lire la suite...
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Art aborigène
« Before Time Began » , une belle exposition sur l’art aborigène d’Australie, continue au musée Art & Histoire jusqu’au 29 mai. « Vivez le temps du rêve » , dit le prospectus – expression sans rapport avec notre conception occidentale du temps ou du rêve : «&... Lire la suite...
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Convictions
Certaines de mes convictions L’idée est une abeille qui cherche à créer un essaim. Les nuages sont des livres gonflés de pluie. L’aurore est une fille ôtant son collier d’étoiles. Le cœur est un portier las de traîner nos bagages d’excuses. La p... Lire la suite...
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A 3 heures du matin
Le cœur à trois heures du matin de Peter Bakowski (édition bilingue, traduit de l’anglais (Australie) par Mireille Vignol et Pierre Riant) rassemble des poèmes écrits de 1995 à 2014. « D’un texte à l’autre, même ton décalé, même fausse simplicité, même propension à transmuer la quot... Lire la suite...
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Seuil
« La terre n’oublie pas, se souvenait d’avoir lu Leonard. Le lieu est un seuil que l’on franchit en traversant le temps. » Kate Morton, La prisonnière du temps Lire la suite...
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La maison du conte
Sur la couverture de La prisonnière du temps , le gros roman de Kate Morton ( The Clockmaker’s Daughter , 2018, traduit de l’anglais (Australie) par Anne-Sylvie Homassel), des fleurs et des feuilles, des insectes, un cadran de montre ancienne, des rouages d’horlogerie, des lettres ou plutôt de... Lire la suite...
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A néant
« Qu’est-ce qui peut tenir, se demanda-t-il, qu’est-ce qui pourra jamais tenir face à ça ? Un flanc de colline labouré avec ses mottes de terre luisantes après le passage du soc ? Un œil affûté pour saisir la différence, infime mais réelle, entre deux espèces de roitelets, la... Lire la suite...
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Envols et retombées
Quel bonheur de découvrir chez David Malouf , romancier australien (né en 1934) jamais lu jusqu’à présent, une écriture sobre et une grande sensibilité dans la manière de montrer le monde. L’infinie patience des oiseaux ( Fly away Peter , 1982) n’a été traduit en français (de l’anglais (Au... Lire la suite...
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2 - Dicussion ”L'Australie”
Deux grands écrans télé l’accompagnent, des dizaines de regards sont dirigés vers lui. Il nous fait partager son voyage vers un pays lointain, et qui fait rêver. Le royaume des kangourous, du rugby (pour les sportifs). Vous avez deviné, l’Australie. Passionné par son voyage, des belles pho... Lire la suite...
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Ma tribu perdue
« Ce fut seulement en rencontrant Max et ses amis que je compris, avec une joie féroce, que c’étaient les gens que j’avais cherchés toute ma vie : ma tribu perdue. A mes yeux, c’étaient des êtres fabuleux, magiques, bourrés de talent. Ils ne pouvaient mal faire. Si, dans l... Lire la suite...