Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature anglaise
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Norfolk
« Ça peut paraître bête, mais vous devez vous souvenir que pour nous, à ce stade de nos vies, tout lieu situé au-delà de Hailsham était comme un pays imaginaire ; nous n’avions que les notions les plus vagues du monde du dehors et de ce qui y était ou non possible. D’ailleurs, nous ... Lire la suite...
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Troublant Ishiguro
Dans Les Vestiges du jour , Kazuo Ishiguro décrit une certaine société anglaise des années cinquante à travers les yeux et les oreilles d’un majordome hyperattentif aux nuances de la hiérarchie sociale. Dans Un artiste du monde flottant , la maison d’un vieux peintre japonais sert de cad... Lire la suite...
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L'art est long
« En résumé, c’est par l’apprentissage des siècles qu’un artiste naît dans l’atelier du monde. » « L’art est long et la vie est brève ; réalisons au moins quelque chose avant de mourir. » William Morris, L’art et l’artisanat Lire la suite...
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L'art selon Morris
Sous une de ces jolies couvertures qu’offre souvent la Petite Bibliothèque des éditions Rivages, L’art et l’artisanat de William Morris rassemble, traduites et présentées par Thierry Gillyboeuf, trois conférences du célèbre fondateur anglais des Arts and Crafts , prononcées à la fin des ... Lire la suite...
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Incompréhensible
« Il semble incroyable, incompréhensible que des enfants meurent avant les adultes. C’est un défi à la biologie, ça contredit l’histoire, ça nie toute relation de cause à effet, c’est même une violation de la physique élémentaire. C’est le paradoxe absolu. Une communauté qui perd ses enfa... Lire la suite...
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Beaux lendemains
La mort d’un enfant est un des sujets les plus douloureux qui soient. Quand un car scolaire se renverse un jour de neige, entraînant deuils, souffrances et déchirements, comment en parler ? Russell Banks , dans De beaux lendemains ( The Sweet Hereafter , 1991), donne la parole successiv... Lire la suite...
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Des signes
« J’étais seule, debout, et le monde oscillait. Je suis une fugitive, je vagabonde, et dans ce lieu où je séjourne, je cherche des signes. » Annie Dillard, Pèlerinage à Tinker Creek P.S. La Libre Blogs propose un lien vers Wikio. A titre d’expérience, je ... Lire la suite...
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Dillard à la rivière
Depuis que Pèlerinage à Tinker Creek (Prix Pulitzer, 1975) m’a été recommandé, j’en ai lu partout confirmation. Sortir de cette lecture n’est pas facile. Annie Dillard à la rivière nous emporte dans un tel flot d’observations, de pensées, d’éblouissements, que cette année passée au cœur d... Lire la suite...
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Le passé
« Le passé n’est pas si bizarre quand nous y sommes. Il ne l’est que bien plus tard, à bonne distance, lorsque nous le voyons comme décor et non pas comme le monde où notre vie a pris forme. » Margaret Atwood , Œil-de-chat Lire la suite...
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Implacable Atwood
« Immense romancière mais aussi poète et essayiste », c’est ainsi que l’éditeur présente Margaret Atwood pour Œil-de-chat ( Cat’s Eye , 1988), traduit de l’anglais (Canada) par Hélène Fillon. Je referme ce gros livre (plus de six cents pages) le cœur serré. Admirative. L’enfance... Lire la suite...