Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature anglaise
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Chez mes parents
« Mon mode de vie n’était pas très différent de celui d’un étudiant du continent où il n’est pas rare encore aujourd’hui d’aller à l’université la plus proche et de vivre chez soi. Pour la plupart des étudiants britanniques après la guerre, vivre loin de la maison une bonne partie de l... Lire la suite...
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Lodge par lui-même
David Lodge aura bientôt 81 ans. Dans Né au bon moment (1935-1975), première partie de son autobiographie ( Quite A Good Time to Be Born , traduit de l’anglais par Maurice Couturier, 2016), l’écrivain anglais s’estime chanceux. Enfant unique d’une famille modeste, il a bénéficié de la Loi... Lire la suite...
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Tempête
« Tempête terrible ce week-end. Nous sommes allés à Cuckmere en passant par Seaford . Les vagues déferlaient sur le front de mer ; pour ma plus grande joie des flots d’écume jaillissaient par-dessus la promenade et le phare, même par-dessus la voiture. Puis à Cuckmere nous somm... Lire la suite...
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Virginia 1937-1938
Il ne reste à Virginia Woolf que quatre années à vivre, comment ne pas y penser en ouvrant le volume VII de son Journal , l’avant-dernier ? L’ombre grandit – pour nous, qui le lisons, et aussi, en 1937-1938, celle de la menace d’une nouvelle guerre en Europe. Portrait de Virginia... Lire la suite...
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Pluie déchaînée
« Pluie déchaînée sur le bassin. Le bassin est criblé de petites épines blanches qui surgissent et disparaissent ; le bassin est hérissé de petites épines bondissantes, semblables aux piquants d’un jeune porc-épic. Il se hérisse, et puis des vagues noires le traversent : fris... Lire la suite...
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Quelle vie
« Quelle vie doit-on mener ? La vie que l’on aime. » Virginia Woolf, Journal (Jeudi 24 mars 1932) Virginia Woolf dans son jardin de Monk's House , 1926 Lire la suite...
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Virginia 1931-1933
1931. Virginia Woolf note plusieurs résolutions dans son Journal : « D’abord, n’en prendre aucune . Ne pas s’engager. / Ensuite, défendre ma liberté et me ménager ; ne pas m’obliger à sortir, mais rester plutôt seule à lire tranquillement dans l’atelier… / Mener Les Vagues... Lire la suite...
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Un à un
« Dès qu’elle [Lily] levait les yeux et les apercevait [les Ramsay] elle était envahie par ce qu’elle appelait « l’état d’amour ». Ils appartenaient aussitôt à cet univers irréel qui vous pénètre et vous transporte et qui est le monde vu à travers les yeux de l’am... Lire la suite...
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Chacun tout seul
Le phare occupe peu de place sur la couverture de mon vieux livre de poche, la brume y efface la ligne d’horizon, sous un soleil jaune : La promenade au phare ( To the Lighthouse , 1927) de Virginia Woolf est un roman de mer et de terre, et, osons l’écrire, surtout de mère et de père... Lire la suite...
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Heures
« Pendant ma promenade, je me suis dit que je commencerais par le commencement. Je me lève à huit heures et demie et traverse le jardin. Ce matin, le temps était à la brume, et j’avais rêvé d’ Edith Sitwell . Je me débarbouille et je vais m’attaquer au petit déjeuner qui est servi su... Lire la suite...