Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature française
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De sable et de neige
A l’inverse de L’esprit de conversation , où elle fait revivre les salons d’autrefois, Chantal Thomas offre dans De sable et de neige des espaces au silence, des instants à la contemplation, des plongées intimes, à la première personne. Arcachon, son paradis d’enfance, est son territoi... Lire la suite...
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Claude Lévi-Strauss
« Lors de sa réception sous la Coupole, le 27 juin 1974, il consacrera les dix premières minutes de son discours à une comparaison soigneuse entre le cérémonial de l’Académie française et les rites d’initiation pratiqués par les populations amérindiennes de la côte pacifique du Canad... Lire la suite...
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Au fauteuil 29
C’est en 2016, bien avant qu’il soit élu secrétaire perpétuel de l’ Académie française , que paraît Un fauteuil sur la Seine d’Amin Maalouf , livre « né d’un remords » écrit-il au début de son Avant-propos . En 2011, il y succédait à Claude Lévi-Strauss. Devoir faire l’élo... Lire la suite...
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Homme des plages
« Drôles de gens. De ceux qui ne laissent sur leur passage qu’une buée vite dissipée. Nous nous entretenions souvent, Hutte et moi, de ces êtres dont les traces se perdent. Ils surgissent un beau jour du néant et y retournent après avoir brillé de quelques paillettes. Reines de beauté. Gigo... Lire la suite...
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L'homme sur la photo
Rue des boutiques obscures (Prix Goncourt, 1978) de Patrick Modiano succède à Livret de famille (1977) dans Romans , un Quarto qui m’enchante. Première phrase : « Je ne suis rien. Rien qu’une silhouette claire, ce soir-là, à la terrasse d’un café. » Un soir, une terrasse, une sil... Lire la suite...
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Vie privée
« Dès la première lecture, le Journal d’Anne Frank fut un livre-chevalier car il m’a fait faire quelque chose qui m’a permis de survivre : je me mis à tenir un journal, et je n’ai plus jamais cessé. […] Avec le Journal d’Anne Frank, j’ai appris qu’on pouvait ... Lire la suite...
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Un fusil chargé
Sous un très beau titre emprunté à Emily Dickinson, Ma vie était un fusil chargé , Marie Gillet raconte à la première personne un cheminement personnel. « Comment les livres m’ont sauvé la vie » , le sous-titre, exprime avec force ce qui est en jeu dans ce récit : comme... Lire la suite...
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Les mots
« Ce sont les mots qui reviennent les premiers, non les femmes qui sont parties. Les mots reviennent à pas de loup, aussi silencieux que des papillons noirs. Les mots ne nous trahissent pas. Ils nous effraient, ils nous fuient. Lorsqu’on a vraiment besoin d’eux, ils entrent dans la mai... Lire la suite...
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Un lent adieu
Le titre semble s’accrocher à ma lecture précédente, mais rien d’ Elle danse dans le noir (1998) de René Frégni ne ressemble à La danseuse de Modiano. « A ma mère morte. A ma mère vivante » : en lui dédiant son récit, Frégni amorce ce que j’appellerais un lent adieu à celle qui l’a le plus... Lire la suite...
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Défaire les noeuds
« J’avais découvert un cahier d’écolier qui portait sur la couverture le nom de la danseuse. On y avait recopié la plupart des passages soulignés dans les livres, d’une écriture d’adolescente, et celle-ci ne pouvait être que l’écriture de la danseuse. Et sur l’une des pages était collé... Lire la suite...