Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature anglaise
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Au jardin avec Vita
Journal de mon jardin de Vita Sackville-West ( Illustrated Garden Book , 1989, traduit de l’anglais par Patrick Reumaux) est publié chez Klincksieck dans la collection De Natura Rerum, c’est un vrai livre de jardinage. De janvier à décembre, la fameuse amie-amante de Virginia Woolf racont... Lire la suite...
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Mimas
« « Le voilà, dit Loki, inutilement. C’est Mimas. » Des sons surgissent et s’échappent de la bouche de Nick, des syllabes qui veulent dire, en gros : Oh nom de Dieu c’est pas possible . Cela fait des semaines qu’il voit des arbres géants, mais jamais un monstre pareil. Mima... Lire la suite...
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Arbre Monde Vie
Le bandeau 10/18 annonce deux prix attribués à L’Arbre-Monde de Richard Powers ( The Overstory , traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Serge Chauvin) : le Grand Prix de littérature américaine en 2018, le Pulitzer en 2019. Voilà qui encourage à lire ce roman de plus de sept cents pages (10... Lire la suite...
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Schwer
« Dans ses partitions, Mahler donne parfois l’indication schwer . Pour « difficile », « pesant ». C’est le Papillon de nuit qui nous l’expliqua, comme pour nous mettre en garde. Nous devions nous préparer à de telles éventualités pour pouvoir les affronter e... Lire la suite...
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Sur la Tamise
Michael Ondaatje doit sa célébrité à L’homme flambé ( Le Patient anglais ) , Booker Prize 1992. Son dernier roman, Ombres sur la Tamise ( Warlight , 2018, traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné), s’ouvre sur un abandon : « En 1945, nos parents part... Lire la suite...
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Seuil
« La terre n’oublie pas, se souvenait d’avoir lu Leonard. Le lieu est un seuil que l’on franchit en traversant le temps. » Kate Morton, La prisonnière du temps Lire la suite...
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La maison du conte
Sur la couverture de La prisonnière du temps , le gros roman de Kate Morton ( The Clockmaker’s Daughter , 2018, traduit de l’anglais (Australie) par Anne-Sylvie Homassel), des fleurs et des feuilles, des insectes, un cadran de montre ancienne, des rouages d’horlogerie, des lettres ou plutôt de... Lire la suite...
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A néant
« Qu’est-ce qui peut tenir, se demanda-t-il, qu’est-ce qui pourra jamais tenir face à ça ? Un flanc de colline labouré avec ses mottes de terre luisantes après le passage du soc ? Un œil affûté pour saisir la différence, infime mais réelle, entre deux espèces de roitelets, la... Lire la suite...
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Envols et retombées
Quel bonheur de découvrir chez David Malouf , romancier australien (né en 1934) jamais lu jusqu’à présent, une écriture sobre et une grande sensibilité dans la manière de montrer le monde. L’infinie patience des oiseaux ( Fly away Peter , 1982) n’a été traduit en français (de l’anglais (Au... Lire la suite...
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S'alimenter
« Mes dîners avec Charbonneau [à New York] suivaient à présent une certaine routine. Comme Paris lui manquait, il essayait toujours de dénicher un restaurant français et, quelle que fût la qualité des mets, se déclarait toujours atrocement déçu par ce qu’il qualifiait de parodie ... Lire la suite...