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C'est elle
« Mais depuis qu’Emmanuel est mort, elle ne se contente plus d’habiter mes rêves, cette fille. Elle pousse en moi, contre mes flancs, elle veut sortir et je sens que, bientôt, je n’aurai plus la force de la retenir tant elle me hante, tant elle est puissante. C’est elle qui envoie le g... Lire la suite...
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Rien ne t'appartient
Le titre du dernier roman de Nathacha Appanah résonne comme une maxime : Rien ne t’appartient . On découvrira son origine au dernier tiers du récit. Comme dans Tropique de la violence , la journaliste et romancière mauricienne (installée en France depuis 1998) sait aborder, en obli... Lire la suite...
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Dangereusement
« Les jours suivants n’ont été qu’une longue conversation ininterrompue. Du matin au soir et du soir au matin, au petit déjeuner, à l’atelier, dans l’obscurité de ma chambre ou à la faveur de nos balades en forêt, Colette et moi ne parlions que d’amour. De ses promesses, de ses dangers. De ... Lire la suite...
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Chez les Demoiselles
Sans rien savoir d’ Anne-Gaëlle Huon , j’ai mis la main sur Les Demoiselles à la bibliothèque. D’une lecture à l’autre, surtout en cette période peut-être, j’aime changer d’univers, alterner profondeur et légèreté, réflexion et divertissement. Les premiers titres de cette romancière (°1984)... Lire la suite...
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1961, Charlotte
« On entendait un brouhaha et des rires à travers la double porte de l’ancienne cave à vin. Vingt et une heures trente et ils étaient toujours là en bas. […] – Désolée, je ne voulais pas déranger, dit Charlotte, soudain décidée à se retirer sans engager les hostilités. Mais avant qu’... Lire la suite...
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Roman d'une famille
Prix du Livre allemand 2011, Quand la lumière décline d’Eugen Ruge (traduit de l’allemand par Pierre Deshusses) est sous-titré « Roman d’une famille » . Un arbre généalogique permet de situer ses personnages principaux sur quatre générations de la famille Umnitzer : de Charl... Lire la suite...
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Histoire
« Les raisons pour lesquelles nous accomplissons certains actes ne sont pas toujours celles dont [sic] les autres se rappelleront. Parfois, je me disais qu’on avait des enfants parce qu’on voulait laisser derrière soi quelqu’un qui puisse expliquer qui nous étions une fois que nous ne... Lire la suite...
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Formule secrète
« – C’est la formule secrète du bonheur, que j’ai appliquée toute ma vie, a-t-elle dit en riant. – Apprenez-la moi ! – Eh bien, il faut se dire à l’intérieur : « Brille, brille. » Tu fermes les yeux et tu répètes « Brille, brille », c’est tout. Et alors, des étoiles se mettent à... Lire la suite...
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La papeterie d'Ogawa
Cadeau de Noël bien choisi, La papeterie Tsubaki de Ito Ogawa (traduit du japonais par Myriam Dartois-Ako) a clôturé cette année de lecture en douceur. Munie du plan de Kamakura dessiné au début du livre, j’y ai suivi les allées et venues aux quatre saisons de la narratrice Hatoko (Po... Lire la suite...
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Feu de joie
« Bon, bref, pour le rituel du feu de joie, l’initiation de Romuald avait été parfaitement réussie. Ça se passait à la plage, à quelques mètres à vol d’oiseau de la Table. C’était un moment extrêmement élaboré et que nous prenions très au sérieux. Enfin, c’est ce qu’on se disait, mais ... Lire la suite...