Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature italienne
Tags relatifs
Dernières notes publiées
-
Troublée
« En fille adoptive de l’Italie, qui m’a donné beaucoup plus que le pain quotidien, et je ne peux que lui en être reconnaissante, je suis aujourd’hui profondément troublée pour mon pays et pour l’Europe, où souffle un vent pollué par de nouveaux fascismes, racismes, nationalismes, anti... Lire la suite...
-
Edith Bruck raconte
27 janvier 1945 : libération du camp d’Auschwitz par l’Armée rouge en Pologne occupée (Wikipedia). Avant de lire le nom d’ Edith Bruck sur de nombreux blogs fidèles au devoir de mémoire, je ne savais rien de cette écrivaine italienne d’origine hongroise, née Edith Steinschreiber en 1931. Le p... Lire la suite...
-
Enfin
« Enfin, j’acceptais en moi le dur devoir de marcher seule, de lutter seule, de mettre au jour tout ce qui montait en moi de plus fort, de plus pur, de plus beau. Enfin, je rougissais de mes inutiles remords, de ma longue souffrance stérile, de la désaffection dans laquelle j’avais lai... Lire la suite...
-
Continent inconnu
« La montagne, aujourd’hui, c’est un lieu de résistance à la globalisation. » « Le continent inconnu, pour moi, c’étaient les Apennins . » Paolo Rumiz Ecoutez, si vous voulez, Paolo Rumiz interrogé par François Busnel à La Grande Librairie (15/12... Lire la suite...
-
L’Italie en Topolino
Après avoir raconté sa traversée des Alpes d’est en ouest, Paolo Rumiz continue La légende des montagnes qui naviguent (2007, traduit de l’italien par Béatrice Vierne, 2017) avec l’exploration en profondeur des Apennins. Son article enthousiaste dans la Reppublica sur le chantier du tunnel ... Lire la suite...
-
Col du Brenner
« Le Brenner , arrêt pour changer de locomotive ; l’engin écarlate des chemins de fer autrichiens ronronne déjà sur la voie de dégagement. J’ai toujours aimé cet endroit. Les gares des grandes lignes me plaisent ; elles ne cherchent pas à se faire passer pour ce qu’elles ne ... Lire la suite...
-
Rumiz dans les Alpes
La légende des montagnes qui naviguent (2007, traduit de l’italien par Béatrice Vierne, 2017) de Paolo Rumiz correspond à ce que j’écrivais ici pour conclure ma première lecture du journaliste et écrivain-voyageur italien (né en 1947) : « Ni cours d’histoire ni cours de géographie, ... Lire la suite...
-
Oeillères
« Je me rendis compte que je me souvenais à peine de ces membres de ma famille, je n’avais peut-être même jamais connu leurs noms. Je tentai de le cacher, mais Vittoria s’en aperçut et se mit aussitôt à dire du mal de mon père, qui m’avait privée de l’affection de personnes qui, certes... Lire la suite...
-
La vie mensongère
La vie mensongère des adultes , le dernier roman d’ Elena Ferrante (traduit de l’italien par Elsa Damien), confirme son talent pour accrocher d’un bout à l’autre. Je l’ai dévoré avec appétit, c’est un roman facile à lire et il en faut pour nous distraire en cet été pas comme les autres. ... Lire la suite...
-
Une note
« Giacomo se présenta au conseil de révision et, comme c’est l’habitude pour l’occasion, les conscrits sonnèrent les cloches à toute volée. Ce jour-là non plus il ne comprit pas pourquoi le colonel qui présidait la commission de recrutement, au lieu de le verser dans les chasseurs alpi... Lire la suite...