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En sens inverse
« Ainsi Cashel refit tout son trajet en sens inverse : un paquebot de Marseille à Gênes, une diligence de Gênes à Bologne, un cabriolet de louage de Bologne à Ravenne. Alors qu’il traversait la plaine entourant la ville, il sentit croître ses appréhensions. Il avait quitté Raffael... Lire la suite...
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Tensions
« De quoi a-t-on peur quand on a peur de tout ? Du temps qui passe et du temps qui ne passe pas. De la mort et de la vie. Je pourrais dire que mes poumons n’étaient jamais assez remplis d’air, quel que soit le nombre de bouffées que j’inhalais. Ou que mes pensées étaient trop rapi... Lire la suite...
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Je ne sais pas
« Kaspar sentait comme Sugrun était fière de répondre à chacune de ses questions, de parer chaque objection. Il était fatigué. Cette fille qui s’échauffait, son ignorance, sa prétention hors d’atteinte et son propre désarroi dans ce dialogue l’avaient fatigué. Que lui dire, comment l’a... Lire la suite...
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Sa place dans la vie
Avec La petite-fille , son dernier roman, Bernhard Schlink confirme l’attention particulière qu’il porte aux personnages féminins ( Le Liseur , Olga ). L’histoire est racontée du point de vue de Kaspar, un libraire. Rentré chez lui à pied, comme d’habitude en traversant le parc, il se r... Lire la suite...
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Chaque pas
« Le soir, quand Jon reprit le chemin de son atelier, fatigué après sa longue journée, il pensa à nouveau au temps et à l’éternité, comme l’avait fait son souverain quelques heures plus tôt. Bien sûr que la vie avait une valeur, se disait-il. Evidemment, l’humanité progressait avec le ... Lire la suite...
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L’horloger et le roi
C’est avec Le roi et l’horloger (Sigurverkið, 2021, traduit de l’islandais par Eric Boury, 2023), un roman historique et psychologique, que je découvre Arnaldur Indridason , l’écrivain islandais, historien de formation, si populaire dans son pays et abondamment traduit, bien connu des amat... Lire la suite...
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Une librairie hantée
Enchantée par Celui qui veille , le roman précédent de Louise Erdrich, je me suis laissé tenter par son dernier roman, La Sentence (traduit de l’américain par Sarah Gurcel), à la Librairie de l’Olivier (Nyons). J’en avais lu de bonnes critiques et caressé la belle couverture. La romanc... Lire la suite...
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Ce que tu veux voir
« Pense à ton amour pour moi. Un amour aveugle. Tu ne me vois pas telle que je suis réellement, tu ne vois pas toutes les nuances de Lika Blum, l’ombre et la lumière. Tu vois juste la lumière, tu vois juste ce que tu veux voir. » William Boyd, L’amour est aveugle Lire la suite...
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Aveugle amour
En épigraphe de L’amour est aveugle . Le ravissement de Brodie Moncur (traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Isabelle Perrin), William Boyd cite Olga Knipper-Tchekhova et Robert Louis Stevenson à propos de l’aventure amoureuse – voilà qui séduit déjà. La première mention de ... Lire la suite...
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Coe & Billy Wilder
La presse anglaise s’est montrée très positive pour le dernier roman de Jonathan Coe , Billy Wilder et moi ( Mr Wilder and Me , 2020, traduit de l’anglais par Marguerite Capelle, 2021). Le début m’a beaucoup plu, ensuite je l’ai trouvé longuet, même s’il reste sous les trois cents pages.... Lire la suite...