Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature française
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Attendre
Florilège d’automne / Poésie http://artzenjaponais.unblog.fr/a-propos/ Attendre sans savoir si entrer est encore attendre ou non ... Lire la suite...
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Ulenspiegel
Florilège d’automne / Incipit « A Damme, en Flandre, quand mai ouvrait leurs fleurs aux aubépines, naquit Ulenspiegel, fils de Claes. Une commère sage-femme et nommée Katheline l’enveloppa de langes chauds et, lui ayant regardé la tête, y montra une peau. – Coiff... Lire la suite...
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Rond-point
Florilège d’automne / Poésie Mon amie, je t’aime et nous irons en Mésopotamie broder sur ce thème. Godward John William, Dolce farniente Ne restons pas ici, la vue est trop bornée. Allons vers les contrées lumineuses, nous chasserons le jabiru dans les p... Lire la suite...
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Illunés
« Tout en faisant chauffer l’eau du thé, en mettant les tasses sur un plateau, tandis qu’ elle continue à massacrer la petite chanson d’autrefois, tu penses au poème de Baudelaire, à ces illunés dont il parle avec fascination, ces êtres marqués par la lune et par la folie. Une folie b... Lire la suite...
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La fille de l'Allemand
L’émotion, si absente du Portrait d’Assouline, s’infiltre à chaque page de La Femme de l’Allemand (2007) de Marie Sizun . Née en 1940, celle-ci se consacre à l’écriture après avoir enseigné la littérature française à Paris, en Allemagne et en Belgique. Une retraite féconde. Son rom... Lire la suite...
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L'implicite
« L’implicite est un rare bonheur ; nul besoin de formuler ou d’appuyer : tout est dit même quand rien n’est écrit. » Pierre Assouline, Le Portrait Lire la suite...
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Portrait de famille
Le Portrait de la baronne James de Rothschild peint par Ingres , Pierre Assouline en a fait tout un roman, sobrement intitulé Le Portrait (2007). Il a choisi de faire raconter au tableau sa propre histoire, de la rue Laffitte à Paris jusqu’à l’Hôtel Lambert, rue Saint-Louis-en-l’île, e... Lire la suite...
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Omnivalence
« De plus, Sobral venait de publier Ce pouvoir qui nous enivre , exercice d’abjection salutaire où un écrivain domestique éprouve, à 55 ans (sic) , sous le nom de liberté d’esprit, une sorte de mélancolie à avoir servi avec platitude tant de maîtres. La servilité et la versatilité s’y ... Lire la suite...
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Jeu de massacre
Pauvre Belgique ! Le Royaume des ombres (1998) de Luc Dellisse , né à Bruxelles en 1953, débute par un « Avertissement » : ni livre à clés, ni autobiographie, c’est un « rêve éveillé » , « une histoire à dormir debout » dont le narrateur s’appelle ... Lire la suite...
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Course folle
« Ca s’ouvrait en variations infinies : rubans de nuages mauves, douche de lumière et rideau de pluie diagonale et jaune, rien ne manquait à l’appel. Au loin, le mélange de bleu intense et de blanc lumineux n’en avait plus pour longtemps, ça cavalait à quatre-vingts kilomètres-heure... Lire la suite...
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