Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature russe
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Charik ou Charikov
L’année 1925 est décidément fertile pour Boulgakov : après ses nouvelles Endiablade et Les œufs du destin , voici Cœur de chien . Mais il y a chien et chien. Tout commence avec un pauvre clébard qui s’abrite sous un porche, tenaillé par la faim et par la douleur. Le cuisinier de ... Lire la suite...
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lecture en cours : la steppe - Anton Tchekhov
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Silence
Textes & Prétextes, un an « Le soir non plus ne fut pas exempt de surprises. Si, le matin, les bosquets étaient restés muets, prouvant ainsi à l’évidence le caractère désagréablement suspect du silence dans les arbres, si, à midi, les moineaux avaient fichu le c... Lire la suite...
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Le rayon fatal
Les Œufs du destin , une nouvelle publiée par Boulgakov en 1925, aurait pu s’intituler Le rayon rouge . Récit fantastique, de science-fiction ou d’anticipation, c’est l’histoire extraordinaire du Professeur Persikov, zoologue spécialiste des amphibiens, ou plutôt celle d’une découverte ext... Lire la suite...
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Apparition
« Et aussitôt émergea du tiroir en bois de frêne une tête aux cheveux blond lin bien coiffée, avec des yeux bleus fureteurs. Ensuite vint un cou qui se déroula tel un serpent, puis un craquement de col amidonné, puis apparurent un veston, des bras, un pantalon et, l’instant d’après, un s... Lire la suite...
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Diable d'homme
En 1923, quand il écrit Endiablade , Boulgakov, trente-deux ans, vient d’abandonner la médecine pour le métier d’écrivain et tire le diable par la queue. « Il y avait la vie, et elle est partie en fumée » écrit-il dans une lettre ( A ma secrète amie ). Cette nouvelle est publiée à... Lire la suite...
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Iasnaïa Poliana
Avec ses syllabes chantantes, le nom du domaine de Tolstoï, à environ deux cents kilomètres au sud de Moscou, fait rêver. Je garde un souvenir ébloui du jour où je l’ai visité, en juillet 2004. De la capitale russe, on peut s’y rendre par train spécial, décoré de photos du grand écrivain. ... Lire la suite...
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Un homme de trop
Sous le portrait ensoleillé de sa fille en chapeau jaune par le grand peintre russe Repine, Le Petit Mercure republie Le Journal d’un homme de trop de Tourgueniev, une nouvelle écrite en 1850. « S’il faut mourir, autant mourir au printemps. » Un homme de trente an... Lire la suite...