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Dernières notes publiées
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Ma pluralité
« Qu’en est-il des femmes qui écrivent ? Nous avons, nous aussi, des pères et des mères littéraires. Pendant la majeure partie de ma vie, il m’a semblé que la lecture et l’écriture sont précisément les deux lieux de la vie où je suis libérée des contraintes de mon sexe, où la dans... Lire la suite...
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Essais de curiosité
Siri Hustvedt / 1 Un an avant Le Monde flamboyant , son roman extraordinaire sur le monde de l’art contemporain, Siri Hustvedt avait publié un gros essai : Vivre, Penser, Regarder (traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Christine Le Bœuf, 2013). Je vous présenterai ce recuei... Lire la suite...
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Artiste mais femme
Jeu savant et passionnant, Le Monde flamboyant de Siri Hustvedt (2014, traduit de l’américain par Christine Le Bœuf) pourrait passer pour un essai, à lire l’avant-propos signé I. V. Hess sur Harriet Burden, une artiste new-yorkaise retirée du monde de l’art après avoir exposé dans les ... Lire la suite...
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Plaisirs secrets
« Certains d’entre nous sont destinés à vivre dans une case dont il n’est de libération que temporaire. Nous autres aux esprits endigués, aux sentiments entravés, aux cœurs arrêtés et aux pensées réprimées, nous qui aspirons à exploser, à déborder en un torrent de rage ou de joie ou même... Lire la suite...
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Sans les hommes
Septième dans les meilleures ventes de livres en Suisse ( Le Temps , 23 juillet 2011), Un été sans les hommes ( The Summer without Men , 2011, traduit par Christine Le Bœuf)) est le dernier roman de Siri Hustvedt . Les lecteurs de fictions sont surtout des lectrices : Mia, la narratr... Lire la suite...
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Vérité brute
« « Les malades me manquent. C’est difficile à décrire mais, quand les gens ont désespérément besoin d’aide, quelque chose tombe. La pose qui est un élément du monde ordinaire disparaît, tout ce boniment de Comment-allez-vous-?-très-bien-merci. » Je me tus un instant. « Le... Lire la suite...
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Je me sens si seul
Siri Hustvedt , dont je vous ai déjà présenté Les yeux bandés et L’envoûtement de Lily Dahl , a choisi un homme comme narrateur dans Elégie pour un Américain ( The Sorrows of an American , 2008). Un psychiatre. Lars Davidsen, son père, vient de mourir. En triant ses papiers avec sa s... Lire la suite...