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Voir les dernières notes mises à jour Tag : ernaux

Dernières notes publiées

  • Ne pas être vu

    « L’exposition que je fais ici, en écrivant, de mon obsession et de ma souffrance n’a rien à voir avec celle que je redoutais si je m’étais rendue avenue Rapp*. Ecrire, c’est d’abord ne pas être vu. Autant il me paraissait inconcevable, atroce, d’offrir mon visage, mon corps, ma voix, tout ... Lire la suite...

    Publié le 01/04/2023 dans Textes & prétextes

  • Partagée

    « A l’égard de ce monde, ma mère a été partagée entre l’admiration que la bonne éducation, l’élégance et la culture lui inspiraient, la fierté de voir sa fille en faire partie et la peur d’être, sous les dehors d’une exquise politesse, méprisée. Toute la mesure de son sentiment d’indig... Lire la suite...

    Publié le 25/03/2023 dans Textes & prétextes

  • Une femme, une mère

    Quand je suis arrivée à Une femme (1987) d’Annie Ernaux, dans Ecrire la vie , c’était le moment de faire une pause. J’y suis revenue pour ce récit sur sa mère, morte en avril 1986 dans la maison de retraite où elle était « placée » depuis deux ans. A la manière assez sèche qu... Lire la suite...

    Publié le 23/03/2023 dans Textes & prétextes

  • Politesse

    « La politesse entre parents et enfants m’est demeurée longtemps un mystère. J’ai aussi mis des années à « comprendre » l’extrême gentillesse que des personnes bien éduquées manifestent dans leur simple bonjour. J’avais honte, je ne méritais pas tant d’égards, j’allais jusqu’... Lire la suite...

    Publié le 17/01/2023 dans Textes & prétextes

  • ”Il était gai.”

    C’est avec La place (1983, prix Renaudot 1984) que j’ai découvert le monde d’ Annie Ernaux . Ce récit s’ouvre sur une citation de Jean Genet qui me frappe davantage aujourd’hui qu’alors : « Je hasarde une explication : écrire c’est le dernier recours quand on a trahi. »... Lire la suite...

    Publié le 16/01/2023 dans Textes & prétextes

  • Topographie

    « Décrire pour la première fois, sans autre règle que la précision, des rues que je n’ai jamais pensées mais seulement parcourues durant mon enfance, c’est rendre lisible la hiérarchie sociale qu’elles contenaient. Sensation, presque, de sacrilège : remplacer la topographie douce ... Lire la suite...

    Publié le 13/12/2022 dans Textes & prétextes

  • 12 ans, 23 ans

    Plus de vingt ans après Les armoires vides , Annie Ernaux revient dans La honte et dans L’événement sur deux expériences qui ont changé son existence. Deux clichés de son « photojournal » (Quarto) permettent d’imaginer son allure à douze ans, près de son père à Biarritz, et... Lire la suite...

    Publié le 12/12/2022 dans Textes & prétextes

  • Annie Ernaux Nobel !

    Prix Nobel de littérature 2022 ! En apprenant la magnifique distinction obtenue par l’écrivaine des Années , mes pensées vont à P. V. , une collègue depuis trop longtemps disparue qui me l’a fait lire en premier. Et à l’amie Colo , si enthousiaste de l’avoir écoutée récemment à Majorqu... Lire la suite...

    Publié le 07/10/2022 dans Textes & prétextes

  • Que faire de sa vie

    « Je lis. Sartre, Camus, naturellement. Comme les problèmes de robes et de rancarts foirés paraissent mesquins. Lectures libératrices qui m’éloignent définitivement du feuilleton et roman pour femmes. Que ces livres soient écrits par des hommes, que les héros en soient aussi des homme... Lire la suite...

    Publié le 28/03/2020 dans Textes & prétextes

  • La vie qui se fige

    Comment vivre, être soi, devenir quelqu’un, voilà le sujet de La femme gelée , un des premiers romans d’ Annie Ernaux  (1981). Dans une œuvre plus récente, peut-être son chef-d’œuvre, Les années , elle a repris de manière plus large le thème d’un destin féminin dans la seconde moitié d... Lire la suite...

    Publié le 26/03/2020 dans Textes & prétextes

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