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Dernières notes publiées
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Ne pas être vu
« L’exposition que je fais ici, en écrivant, de mon obsession et de ma souffrance n’a rien à voir avec celle que je redoutais si je m’étais rendue avenue Rapp*. Ecrire, c’est d’abord ne pas être vu. Autant il me paraissait inconcevable, atroce, d’offrir mon visage, mon corps, ma voix, tout ... Lire la suite...
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Mai, souvenirs souvenirs
Disponibilité sexuelle Dans le docu, quelques femmes et hommes parlent sans tabou de leurs expériences de l’époque: la vie en communauté, la disponibilité sexuelle hors des sentiments, le partage des compagnes et compagnons, le refus de la possessivité, donc de la fidélité et de la jalo... Lire la suite...
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Place réservée
« Une heure est venue pour moi où, quand je me rappelle le baptistère, devant les flots du Jourdain où Saint Jean immerge le Christ, tandis que la gondole nous attendait devant la Piazzetta, il ne m’est pas indifférent que dans cette fraîche pénombre, à côté de moi, il y eût une femme ... Lire la suite...
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Vivre sans Albertine
Alors que dans La prisonnière , Proust rappelle régulièrement le désir du narrateur de rompre avec Albertine, son départ est pour lui un véritable choc. La fugitive (autrefois Albertine disparue ) le confirme : sa souffrance contredit le sentiment antérieur qu’il ne l’aimait pas vrai... Lire la suite...
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Simulation
« Je lui dis que j’avais vu un auteur dramatique, Bloch, très ami de Léa, à qui elle avait dit d’étranges choses (je pensais par là lui faire croire que j’en savais plus long que je ne disais sur les cousines de Bloch). Mais par un besoin d’apaiser le trouble où me mettait ma simulation de ... Lire la suite...
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Concert et comédie
Nous étions au milieu de La prisonnière . Pour vérifier les dires d’Albertine au sujet de Mlle Vinteuil, le narrateur se rend à une soirée des Verdurin, curieux de découvrir par lui-même le fameux salon qui fut le foyer de l’amour de Swann pour Odette (Swann mort, désormais réduit à un nom.)... Lire la suite...
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Inquisitorial
« Je me souvenais ; j’avais connu une première Albertine, puis brusquement elle avait été changée en une autre, l’actuelle. Et le changement, je n’en pouvais rendre responsable que moi-même. Tout ce qu'elle m’eût avoué facilement, puis volontiers, quand nous étions de bons camarades,... Lire la suite...
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L'amour en cage
La prisonnière de Marcel Proust commence par un réveil, quand les bruits de la rue, du tramway, précédant la lumière, font deviner au narrateur d’ A la recherche du temps perdu si le jour est « morfondu dans la pluie ou en partance pour l’azur. » Personne ne sait qu’Albertine hab... Lire la suite...
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Touches
« Il savait que le souvenir même du piano faussait encore le plan dans lequel il voyait les choses de la musique, que le champ ouvert au musicien n’est pas un clavier mesquin de sept notes, mais un clavier incommensurable, encore presque tout entier inconnu, où seulement çà et là, sép... Lire la suite...
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La maladie d'amour
Charles Swann , dans A la recherche du temps perdu , est un esthète aux cheveux roux, aux yeux verts, porté sur les jolies femmes. Ce flirteur invétéré n’hésite pas à se servir de ses relations pour s’en rapprocher, aussi le grand-père du narrateur s’écrie quand il reçoit une lettre de lui... Lire la suite...