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Dernières notes publiées
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Le travail, comme la prostitution, doit-il être...
Contrainte économique? Au nom du refus de la contrainte économique: «... il ne faut pas accepter dans notre société que quelqu'un puisse contraindre, pour des raisons économiques ou financières, à lui accorder des services sexuels.» Or, qu’il s’agisse de prostitution ou de tout au... Lire la suite...
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Prostitution: la France va fabriquer des coupables
J’ai déjà traité la question de l’abolitionnisme et de la liberté des femmes qui se prostituent sans contrainte, je n’y reviens pas dans l’immédiat. Je ne parle évidemment pas des filles mises de force sur le trottoir, ce qui est une honte, mais de celles qui pratiquent le métier de leur... Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 17
Restez pas plantés là, vous deux. Si vous ne montez pas, taillez vous ! Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 18
« Il prend une allure de dur en m'quittant. Mais c'était plutôt mou dedans. » En 1963, rue Quincampoix, Lydia n'y tourna que pendant sept ou huit mois. Son ami de cœur (façon de parler) développa un cancer, qu'il en creva. « Et tant mieux, je te jure ! J'allais repartir c... Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 16
C'est Lydia. La seule fois où je l'ai vue coller une baffe à un blaireau qui venait de l'insulter. Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 15
Cette foutue Carole, presque toujours de mauvaise humeur et qui refusait beaucoup de ceux qui la sollicitaient. Elle les dissuadait par un gros mensonge : "J'ai mes sangs. Je ne peux pas recevoir en ce moment". Alors pourquoi trainaît-elle sur la longueur du trottoir, rue Palestro ? Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 13
Sur le palier, tout simplement. Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 14
Sans cesser de marcher, elle en désigna un qui partait à l'opposé d'elle. "Quel tordu ! il me donne 600 frs dans le studio. Puis je lui en rends 300 dans la rue, devant tout le monde, comme s'il était un mac que j'engraisse. Tu vois un peu les fêlés que je me tape !". Lire la suite...
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14 ans, le fun, le sexe et l’argent
Elles habitent Cannes. Ville de mer, de soleil et d’argent. Elèves brillantes, familles aisées, rien ne semblait leur manquer. Mais allez deviner ce qui passe par la tête. Les deux copines s’offraient une double vie: elles étaient escort girls. A 14 et 15 ans elles passaient du temps le week... Lire la suite...
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Aux bonnes heures des dames n° 12
- J'sais pas comment tu peux les faire quand ils sont autant compliqués que des comme lui. - Peuh ! c'est kif kif pour tous les boulots. C'est affaire de routine. Lire la suite...