Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature espagnole
Tags relatifs
Dernières notes publiées
-
Cherche ses yeux
Roman policier ? Ce serait réducteur. Avec Pleine lune (1997), Antonio Muñoz Molina enrichit la littérature espagnole d’une œuvre romanesque au sens fort : une intrigue palpitante, une écriture magnifique, servie par la traduction de Philippe Bataillon. Incipit : «&nbs... Lire la suite...
-
Idéaux
« J’avais besoin de ses certitudes, qui pour une fois repoussaient la solitude que je ressentais depuis mon enfance ; j’avais besoin de l’image revalorisée qu’il me renvoyait de moi-même ; j’avais besoin de ses idéaux, parce que je n’en avais jamais eu en propre. C’étai... Lire la suite...
-
Amis et amoureux
Entre deux lectures successives apparaissent parfois d’étranges liens : dans Chaos calme , un homme perd sa femme au moment où il en sauve une autre de la noyade ; dans Ma femme de ta vie ( La mujer de mi vida , 2005), la chilienne Carla Guelfenbein réunit deux amis qui ne se so... Lire la suite...
-
Carlos Ruiz Zafon - L'Ombre du vent
Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Table Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow... Lire la suite...
-
Le jeu de l'ange – Carlos Ruiz Zafón (2008)
Barcelone, années 1920. David Martin est un jeune écrivain famélique, esclave d'un roman-feuilleton qu'il produit pour un tadem d'éditeurs-escrocs et dont il ne retire ni argent, ni gloire. Jusqu'à ce qu'il rencontre un éditeur parisien énigmatique qui lui propose un pacte méph... Lire la suite...
-
Barcelone la noire
L’ombre du vent (2001) de Carlos Ruiz Zafón commence dans l’étrange Cimetière des Livres Oubliés à Barcelone, en 1945. Daniel Sempere, dix ans, élevé dans l’amour des livres - son père tient une boutique de livres rares et d’occasion -, est invité à y choisir un livre oublié pour l’adopter e... Lire la suite...
-
Connexions
Traduit de l’espagnol, Un cœur si blanc de Javier Marías (1992) déroute au premier abord. L’épigraphe tirée de Macbeth – « My hands are of your color ; but I shame to wear a heart so white.” – donne son titre au roman. Tout le récit se déroule sur le mode du ressassement, c... Lire la suite...
-
Deux conteuses
Pour l’amie qui me les a fait connaître En refermant La fille du Cannibale de Rosa Montero ( La hija del caníbal , 1997), on se rappelle la réponse de Lucía Romero, son héroïne anagrammatique, au vieux voisin qui lui vient en aide après l’enlèvement de son mari. Elle l’inte... Lire la suite...