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Pacte
« Ce matin, je me suis levée une heure plus tôt afin de me ménager quelques moments avec toi, mon lecteur, avant le petit déjeuner. Tu es devenu une sorte d’obsession – mon seul confident, mon seul ami, – car à qui puis-je dire la vérité sinon à toi ? A qui d’autre accorder m... Lire la suite...
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De Gilead à Galaad
Aurais-je lu Les Testa m ents jusqu’au bout si je n’avais pas admiré comment Margaret Atwood , dans La Servante écarlate , campe un monde où, sous le prétexte de faire régner l’ordre et la sécurité « sous son Œil » – l’œil de Dieu, en réalité celui des hommes de pouvoir – le... Lire la suite...
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Suspendus
« Le soleil s’est couché, nous glissons vers l’île dans le crépuscule. Cris des plongeons dans le lointain ; des chauves-souris nous dépassent en voletant, rasant la surface de l’eau, désormais apaisée, où les formes du rivage, rocs d’un blanc gris et arbres morts, se dédoublent ... Lire la suite...
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Faire surface
Faire surface ( Surfacing , 1972, traduit de l’anglais (Canada) par Marie-France Girod), est « un roman fondateur dans l’itinéraire de Margaret Atwood » (quatrième de couverture). Je vous ai déjà parlé de la grande romancière canadienne, née en 1939, à propos de son roman le plus c... Lire la suite...
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Système
« Comme le savaient les architectes de Gilead, si l’on veut instituer un système totalitaire efficace, ou n’importe quel système, d’ailleurs, il est nécessaire d’offrir certains bénéfices et libertés à tout le moins à une poignée de privilégiés, en échange de ceux que l’on abolit. ... Lire la suite...
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Un terrible conte
En 1985, trois ans avant Œil-de-Chat , Margaret Atwood publiait un terrible conte, La servante écarlate ( The Handmaid’s Tale , traduit de l’anglais par Sylviane Rué). La narratrice, Defred, est une des Servantes affectées au service des couples qui n’arrivent plus à procréer dans ... Lire la suite...
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Le passé
« Le passé n’est pas si bizarre quand nous y sommes. Il ne l’est que bien plus tard, à bonne distance, lorsque nous le voyons comme décor et non pas comme le monde où notre vie a pris forme. » Margaret Atwood , Œil-de-chat Lire la suite...
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Implacable Atwood
« Immense romancière mais aussi poète et essayiste », c’est ainsi que l’éditeur présente Margaret Atwood pour Œil-de-chat ( Cat’s Eye , 1988), traduit de l’anglais (Canada) par Hélène Fillon. Je referme ce gros livre (plus de six cents pages) le cœur serré. Admirative. L’enfance... Lire la suite...
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