Voir les dernières notes mises à jour Tag : amour
Tags relatifs
Dernières notes publiées
-
les lucioles
des baisers comme autant de spectres familiers qui soupirent entre les lèvres des caresses en chanson de neige qui fond doucement dans le regard du soleil des lucioles en guise de pensées mystifiant l'horizon distrait vestige de pétales de rose vertige d'outre-univers Lire la suite...
-
L'APOCALYPSE (conte déraisonnable, seconde partie)
"Je t'aime. mon amour"? Et bien, aussi incroyable qu'inimaginable, on vit alors que c'étaient les grillons. Les grillons parlaient l'humain! Etait-ce une mutation liée aux tonnes de produits chimiques déversés chaque année dans la nature? Etait-ce une capacité d'imitation vocale inconnue, c... Lire la suite...
-
under the skin
les ponts marchent sur les eaux les ponts marchent sur la lumière attendant les aurores qui dégustent les rivières soumises au mot dans un bruissement de soie envolée sur les ailes des oiseaux égarés en vocalises du chant de vie les cordes sont des tiges de cerises détachées du silence ... Lire la suite...
-
chutttttt...
les mots s’agencent seuls comme s’ils étaient programmés pour revenir à leur place et s’ils n’y sont pas… alors germe l’humanité la chair faible du poète qui peut continuer seule à s’ouvrir alanguie sous la caresse du verbe brûlant électrifié d’un son ou d’une image le frô... Lire la suite...
-
comme un bateau ivre
vol éméché la vie défilait de port et d'autre le flux empilait poussière et sel le quotidien oxydait les légendes formant de rutilantes concrétions de rouille les strates successives s'amoncelaient érigeant de volages cathédrales temples aux fioritures orgueilleuses ciselés de la sup... Lire la suite...
-
L'APOCALYPSE (conte déraisonnable, première...
Personne n'a d'abord compris ce qui se passait. Tout semblait normal. C'était un début d'été, les grillons s'époumonnaient sous des ciels saturés d'étoiles. L'air sentait bon le foin coupé. Le premier qui s'interrogea était assis à sa terrasse, entourée de prairies. La fin d'après-midi laissa... Lire la suite...
-
LE VENT PIÉTINE LES FUSELAGES
tendresses de poésie sans question recueil neutre d’une reprise exponentielle au ponant de l’effacement pour éjaculer du nouveau en gouttelettes d’hébétude satinée reflétant comme un œil le regard qui nous revient en ricochets de frémissements sur les pôles désaxés ... Lire la suite...
-
infaillible
les jus se mêlent aux baisers de feu dissolvant les chairs dans l'impétueux torrent les atomes de matière redeviennent énergie origine de lumière furieuse et soumise les apparences s'effilochent sous l'assaut d'essence étalant leur carnage aux effluves mordorées la voix n'est plus que sè... Lire la suite...
-
parcours
l'air prend corps s'affûte à un tranchant présage aiguisant son fuselage contre les lames rugissantes le friselis prend l'envol parcourt collines et vallons arrondissant les saillants d'un oeil enchanteur la caresse empreinte le souffle s'affine encore complice pour échiner l'ivress... Lire la suite...
-
pas sur place
sans supplice sans faim l'offrande ruisselle par toutes les rigoles aphrodisiaques se mirant dans la fontaine réverbérations émoustillées de paroles à la volée sans caprice sans fin les saisons s'accouplent à la lie rapprochement des antithèses aux antipodes des synthèses comme des ... Lire la suite...