Voir les dernières notes mises à jour Tag : littérature française
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CR104 - les déferlantes - Claudie Gallay
présentation de l'éditeur : La Hague…Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu’il arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d’hommes. C’est là que la narratrice est venue se réfugier depuis l’automne. Employée par le centre ornitholo... Lire la suite...
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La servante
« Petite lumière discrète dans les entrailles obscures d’un théâtre déserté et silencieux, la servante veille. C’est ainsi qu’on la nomme. Elle veille sur le sommeil des coulisses, sur celui de la scène où les voix se sont tues jusqu’au prochain lever de rideau, sur l’immobilité des déco... Lire la suite...
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Lesbre en trotteuse
En quelque deux cents pages, Michèle Lesbre retisse l’écharpe de mémoire d’une autre dame qui marche , Anne, une visiteuse de maisons. Elle descend du train au début de La petite trotteuse , un roman publié en 2005. Caressant l’idée d’acheter la maison qu’elle va visiter, la trentième et l... Lire la suite...
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Dire
« Sitoé, mon envie de dire correspond à une fureur de vivre ma vie. Il me semble que ce dire m’arrache à la solitude. La manière dont fut honorée la dette de Karl Kiribanga Ebodé méritait des éclaircissements. En restituant les différents épisodes de son règlement, j’ai voulu transmettre... Lire la suite...
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Douala ou Mitouba
Je lis peu de littérature africaine , le titre d’un roman d’ Eugène Ebodé m’a donné envie d’y faire un tour : La transmission (Gallimard, Continents noirs, 2002). « J’avais seize ans à la mort de Karl Kiribanga Ebodé ». Dès la première page, ce roman puise aux sources de l... Lire la suite...
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Ecouter
« Cela raconte beaucoup de choses une rivière, pour peu que l’on sache l’écouter. Mais les gens n’écoutent jamais ce que leur racontent les rivières, ce que leur racontent les forêts, les bêtes, les arbres, le ciel, les rochers des montagnes, les autres hommes. Il faut pourtant un temps ... Lire la suite...
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Douleur de vivre
Beau et douloureux, l’art peut l’être, comme une Pieta, un Stabat Mater. Pourquoi ces figures me viennent-elles à l’esprit en refermant Le rapport de Brodeck , un roman de Philippe Claudel (2007) où les hommes sont au premier plan ? Un pressentiment me faisait attendre le moment de l... Lire la suite...
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Pour mon plaisir et ma délectation charnelle –...
« Gilles de Montmorency-Laval, comte de Brienne, baron de Rais, maréchal de France, se tient debout dans le tombereau qui le conduit au supplice en cette matinée du mercredi 26 octobre 1440. Il assume crânement son destin. De la foule qui l'accompagne en procession monten... Lire la suite...
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Et qu'importent
"Et qu'importent et les pourquoi et les raisons Et qui nous fûmes et qui nous sommes : Tout doute est mort, en ce jardin de floraisons Qui s'ouvre en nous et hors de nous, si loin des hommes. Je ne raisonne pas, et ne veux pas savoir Et rien ne troublera ce qui n'est que mystère Et qu... Lire la suite...
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Ce bel abandon
« J’allais bientôt quitter ces rues, ce pays où je ne reviendrais jamais, mais j’étais enfin dans ce bel abandon, cette façon de respirer et de penser différemment dans une ville étrangère, d’être en apesanteur avec le sentiment d’appartenir au monde, à cette humanité rêvée que je cherch... Lire la suite...
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