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L'attente
« Nos sociétés organisent habilement l’attente. Des gens font la queue des nuits entières pour le dernier modèle d’un ordinateur, des tickets de concert, des jeux vidéo, des articles soldés. Nous attendons le premier du mois devant les guichets de la RATP. Nous attendons devant les uni... Lire la suite...
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Désorientale
C’est en écoutant Négar Djavadi parler de Désorientale sur France Inter, un dimanche de septembre, sur la route, que m’est venue l’envie de lire ce roman. Je l’ai reçu il y a peu (merci encore), et une fois ouvert, je ne l’ai plus lâché. L’histoire d’une Iranienne réfugiée en France et de... Lire la suite...
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Exotisme et mélancolie (Elisa Shua Dusapin)
par Jean-Michel Olivier Hiver à Sokcho * est le premier livre d'une jeune auteur franco-coréenne, Elisa Shua Dusapin. Il se lit avec plaisir, même s'il a toutes les qualités et les défauts d'une première œuvre. Les qualités d'abord : une écriture fine et sensuelle, q... Lire la suite...
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Exotisme et mélancolie (Elisa Shua Dusapin)
Hiver à Sokcho * est le premier livre d'une jeune auteur franco-coréenne, Elisa Shua Dusapin. Il se lit avec plaisir, même s'il a toutes les qualités et les défauts d'une première œuvre. Les qualités d'abord : une écriture fine et sensuelle, qui excelle à évoquer les sensations, ... Lire la suite...
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Un à un
« Dès qu’elle [Lily] levait les yeux et les apercevait [les Ramsay] elle était envahie par ce qu’elle appelait « l’état d’amour ». Ils appartenaient aussitôt à cet univers irréel qui vous pénètre et vous transporte et qui est le monde vu à travers les yeux de l’am... Lire la suite...
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Chacun tout seul
Le phare occupe peu de place sur la couverture de mon vieux livre de poche, la brume y efface la ligne d’horizon, sous un soleil jaune : La promenade au phare ( To the Lighthouse , 1927) de Virginia Woolf est un roman de mer et de terre, et, osons l’écrire, surtout de mère et de père... Lire la suite...
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Rester fortes
« Toute la nuit, Aravni reste au chevet de sa mère. Quand son corps commence à refroidir, elle se blottit contre elle, comme une petite fille. Au matin, Méliné la relève doucement et la prend dans ses bras. – Si j’étais morte à la place de Maral, maman serait restée en vie, murmure Ar... Lire la suite...
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Nani d'Arménie
Un bandeau au bas de la couverture : « Ma grand-mère s’appelait Aravni et ne parlait jamais de son passé. » L’étrangère de Valérie Toranian, son premier roman, rend hommage à cette grand-mère et brise le silence autour du génocide arménien . La mère de son père, elle (la nar... Lire la suite...
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Artiste mais femme
Jeu savant et passionnant, Le Monde flamboyant de Siri Hustvedt (2014, traduit de l’américain par Christine Le Bœuf) pourrait passer pour un essai, à lire l’avant-propos signé I. V. Hess sur Harriet Burden, une artiste new-yorkaise retirée du monde de l’art après avoir exposé dans les ... Lire la suite...
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Ma tribu perdue
« Ce fut seulement en rencontrant Max et ses amis que je compris, avec une joie féroce, que c’étaient les gens que j’avais cherchés toute ma vie : ma tribu perdue. A mes yeux, c’étaient des êtres fabuleux, magiques, bourrés de talent. Ils ne pouvaient mal faire. Si, dans l... Lire la suite...