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Disparition d'un père
Dans l’eau je suis chez moi est le premier roman d’ Aliona Gloukhova : le récit par fragments, en une centaine de pages, de la disparition d’un père. Ou plutôt une reconstitution de l’homme que fut Youra Gloukhov pour sa fille, avant de disparaître dans le naufrage d’un voilier. Un portrait ... Lire la suite...
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Merle chanteur
« Dans l’âme de chacun d’entre nous, il y a un merle chanteur. La vie consiste à s’en approcher. » Metin Arditi, Prince d’orchestre Lire la suite...
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Un prince fragile
Prince d’orchestre , au lieu de chef d’orchestre, on verra pourquoi Metin Arditi a choisi ce titre pour son roman consacré à la musique et à la direction d’orchestre. Son héros, le bel Alexis Kandilis, va de triomphe en triomphe. Quelles que soient les situations, tout rentre dans l’ordre so... Lire la suite...
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Visualiser
« Visualiser, décortiquer, analyser puis fragmenter pour mieux photographier mentalement, il ne pouvait s’en empêcher où qu’il fût, un scanner vissé dans la rétine, c’était plus fort que lui et tant pis si ses amis y moquaient une discipline de policier ou d’indicateur... Lire la suite...
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Un arbre généalogique
L’homme qui observe ses semblables dans le métro, un soir d’automne, le narrateur du roman Etat limite de Pierre Assouline , est généalogiste. Tanneguy de Chemillé l’a invité à la soirée qu’il donne pour fêter l’établissement de son arbre généalogique. François-Marie Samson, l’œil curieux,... Lire la suite...
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Plaisanterie
« […] enfin venaient les blagues – parce que sous l’épreuve de la mélancolie perpétuelle et la prodigieuse tension pour seulement s’en sortir, il se cache toujours une blague quelque part, le portrait d’un ridicule, un mot cinglant, une plaisanteri... Lire la suite...
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Zuckerman, épilogue
L’orgie de Prague (1985), l’épilogue du Zuckerman enchaîné de Philip Roth dont je vous entretiens depuis quelque temps, compte moins de cent pages. Publié deux ans après La leçon d’anatomie , il se présente comme « extrait des carnets de Zuckerman ». Voici le début, daté d... Lire la suite...
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Marié pour...
« Le mariage avait été son rempart contre l’extraordinaire source de distraction que constituent les femmes. Il s’était marié pour l’ordre, pour l’intimité, pour l’aspect routinier, régulier, de l’existence monogame ; il s’était marié pour ne plus jamais perdre... Lire la suite...
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Zuckerman va mal
L’incipit de La leçon d’anatomie (1985) ne manque pas d’ironie, provocatrice comme toujours chez Philip Roth qui revient pour la troisième fois à son alter ego Nathan Zuckerman . Lisez plutôt : « L’homme malade a besoin de sa mère ; si elle n’est pas là, d’autres femmes peu... Lire la suite...
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Illusionniste
« […] Venir ici après ce que vous avez fait – s’il vous plaît, laissez-moi finir… – Allez-y, dit-il, bien qu’il n’eût rien fait pour l’interrompre. – Je ne veux pas me mêler de ça. Je ne suis qu’une voisine. Ce n’est pas mon affaire. N’en parlons plus. – Qu’est-ce qui n’est ... Lire la suite...