Voir les dernières notes mises à jour Tag : poème
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Poètes
En tous sens et à tout vent* / 3 poètes prenez soin de vos ongles faites-en des couteaux pointus des fourches des herses afin de pouvoir dire non à beaucoup de choses décourager l... Lire la suite...
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Le kaki et le kiwi
En tous sens et à tout vent* / 2 Le kaki dit au kiwi, D’un petit ton réjoui, D’un petit ton délicat : « Nous portons des noms en "k”. Soyez l’ami du kaki. » Et d’un petit air exquis, D’un petit air ébloui, Conqui... Lire la suite...
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Joie
En tous sens et à tout vent* / 1 Joie de je ne sais quoi, Joie du vent, joie de la feuille, Joie flamme d’écureuil, Joie de myrtille au bois. Joie d’être un peu de givre Sur la branche au printemps, ... Lire la suite...
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Jeunesse
Jeunesse qui t'élances Dans le fatras des mondes Ne te défais pas à chaque ombre Ne te courbe pas sous chaque fardeau Que tes larmes irriguent plutôt qu'elles ne te rongent Garde-toi des mots qui se dégradent Garde-toi du feu qui pâlit ... Lire la suite...
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Plus forte
J'ai craqué l'allumette. Mis le feu à mes cheveux. J'envoie du vent dans ta face. Mille doigts, mille papilles. Je déboutonne ta peau. Une mise à nue, matador. Un pas de deux. Fais attention à moi, je m'éparpille ! Tu ne te méfies pas, mon échine s'abaisse. C'est pour mieux faire... Lire la suite...
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Divân, de Hâfez
Solstice d'hiver. Cette nuit a lieu la Nuit de Yalda, en Iran. Lors de cette nuit de fête, la plus longue de l'année, les Iraniens veillent, savourent des fruits rouges et lisent des poèmes. C'est l'occasion d'honorer le poète Hâfez, entre autres. "Hâfez, le jardinier de l'amour A... Lire la suite...
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Du côté de chez Gambetti, suite...
Supposons Supposons que l’arbre qui jouxte le théâtre de Pont-Audemer, un Ginkgo Biloba d’une belle élégance avec ses harpes antédiluviennes, supposons que de cet arbre qui a l’âge d’homme je prenne et j’ai pris un rameau, supposons qu’à la bonne époque, quand l’humidité grise le ciel et ... Lire la suite...
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Une allégorie de l'Europe actuelle (texte...
Les Roseaux vidés d’espérance De ma chambre, je vois ces plantes abreuvées de sons par les oiseaux. Les Roseaux sont un peuple éventé, indigeste du regard, trempé par la durée. Les bruits de recoin qu’on y décèle, même distraitement, agacent le promeneur attentif à la naissance d... Lire la suite...
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Sot printemps
Moineaux, bourgeons… amour peut-être, Dissous dans le soleil léger, Pénètrent Le golfe bleu de ma fenêtre. Petit déjeuner dans la chambre : Hermine où grésille Une pastille D’ambre. - Ça s’appelle un œuf au miroir - Je m’y regarde, sans rien voir. Comment s’y regar... Lire la suite...
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Henri Thomas (1912-1993), un certain poète
La dernière strophe est splendide. J'ai lu et commenté un roman de cet écrivain oublié qui a fini ces jours du côté de Carnac. Lire la suite...