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Cabinet de verdure
« Le jardin de Genval longeait le lac. Dès la première fois, nous avions remarqué une masse de végétation apparemment sauvage : quand le jardinier eût ôté les orties et les ronces, nous vîmes apparaître un petit cabinet de verdure pourvu d’une table et d’un banc de marbre blanc... Lire la suite...
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Légèrement rasants
« Ils avaient vingt ans, un ardent désir de me charmer les portait, ils seraient physicien, ingénieur et historien d’art, pas médecin car la faculté de médecine avait été transportée en banlieue, mais ils ne m’amusaient pas. Allons ! je vivais ce dont toute femme rêve et que j’avais ... Lire la suite...
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Vingt ans à nouveau
Avez-vous un moment pour rêver avec Jacqueline Harpman ? Quand j’ai aperçu Le temps est un rêve , à la bibliothèque, ce titre m’a d’abord rappelé Ghelderode ( La Flandre est un songe ) et puis j’ai emporté chez moi cette pochade publiée en 2002, la même année que La dormition des am... Lire la suite...
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De l'une à l'autre
– Regarde, me dit ma grand-mère. Elle retira les boucles d’oreilles en diamants qu’elle ne quittait jamais et me les mit. – C’est ainsi que j’ai donné le collier de ma mère à ta mère. Les bijoux doivent passer d’une femme à l’autre. Il faut qu’on les porte. Les goyim les mettent d... Lire la suite...
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Aimer d'un regard
Jacqueline Harpman me réenchante à chaque relecture de La plage d’Ostende (1991) – pour moi, son chef-d’œuvre. Si vous êtes d’humeur mélancolique, ouvrez ce roman tonique, passionné, allègre, il vous remettra d’aplomb. L’histoire d’amour, belle et féroce, d'Emilienne Balthus, une Iseut d’un... Lire la suite...
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La plage d'Ostende
Florilège d’automne /Incipit Dès que je le vis, je sus que Léopold Wiesbeck m’appartiendrait. J’avais onze ans, il en avait vingt-cinq. Ma mère dit : - Voici ma fille Emilienne . Il me fit un sourire distrait. Je pense qu’il n’avait aperçu qu’une brume ... Lire la suite...
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A distance
J’imaginais qu’en nous emmenant Du côté d’Ostende (2006), Jacqueline Harpman nous proposait une suite à l’histoire captivante de La Plage d’Ostende (1991), avec ses inoubliables nuances de gris dont le peintre Léopold Wiesbeck couvrait ses toiles sous le regard d’Emilienne Balthus - celle ... Lire la suite...
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