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Dernières notes publiées
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Fille
Sur un mur du château de Grignan, une œuvre d’ Andrea Mastrovito a pris place en 2015 : The unnamed feeling (L’indicible sentiment). Sculptée dans le plâtre, la fille de la marquise de Sévigné, Françoise Marguerite de Grignan , y tient comme des ballons les quatre phases de la lu... Lire la suite...
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Lumières drômoises
« Tous les mois de l’année sont des essais sommaires d’où le parfait septembre tire sa composition » : cette phrase de Virginia Woolf (Journal) pour partager avec vous un peu de ces lumières drômoises qui m’ont enchantée. Ici ou là, un ind... Lire la suite...
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Virginia 1923-1927
Le Journal de Virginia Woolf de 1923 à 1927 éclaire la création de ses œuvres célèbres : Mrs. Dalloway (qu’elle appelle longtemps Les Heures ) et La Promenade au Phare – et puis Orlando , inspiré par Vita Sackville-West, qui prend forme comme une histoire amusante à écrire, un... Lire la suite...
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Trois pièces
« Le petit appartement que j’occupais à cette époque faisait l’envie de mes rares visiteurs. Mais je connus vite qu’il ne me retiendrait pas longtemps. Non que ses trois pièces – disons deux pièces et demie – fussent incommodes, mais elles mettaient en évidence des objets impairs qui, ... Lire la suite...
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Abandonner mes mains
Colette (1873-1954) en mai 1948 © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet (Paris en Images) « Mais auprès de mes sibylles à dix et vingt francs, je n’avais fait que me divertir, écouter la richesse étroite de vieux vocables exclusifs, abandonner mes mains à des mains tellement étrang... Lire la suite...
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Contredanse
Cependant, je suivais les trottoirs, où la présence des concierges sur leurs chaises, les jeux des enfants et les trajectoires des balles obligeaient le passant, dès juin, à une sorte de contredanse, deux pas en avant, deux pas en arrière, effacez-vous et tournez. L’odeur de l’évier bouché,... Lire la suite...
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Ce qui est neuf
« Que faisais-je, dans ce désert ? Ce n’était pas un désert. Je délaissais, chez moi, trois pièces étroites et closes, mes livres, le parfum que je vaporisais, ma lampe… Mais on ne vit pas d’une lampe, d’un parfum, de pages lues et relues. J’avais ailleurs des amis, des camarade... Lire la suite...
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Manifestations étranges
« Nos péchés sont moins de facilité que de prédilection. Secourir avec passion une personne inconnue, fonder sur elle des espoirs que décourageraient la sagesse et l’amitié de nos pairs, adopter furieusement un enfant qui n’est pas le nôtre, nous ruiner, d’une manière obstinée, pour un... Lire la suite...
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A travers la vitre
« Mais au moment de la quitter, à travers la vitre grossière d’une de ses fenêtres, une soufflure de verre touchée par le soleil projeta, sur la paroi opposée, le petit halo d’arc-en-ciel que je nommais, autrefois, la « lune de pluie ». L’apparition de l’astre illusoire me ... Lire la suite...
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Belles pages
« Le langage de l’imprimerie, qui n’y voit pas malice, nomme « les belles pages » ces clairières blanches où le texte, refoulé, ne commence qu’à mi-feuillet. J’ai bien envie – il est vrai que c’est sur le tard – d’appeler « beaux jours » les jours où le travail... Lire la suite...