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Prodiges de Zweig
Dans le premier recueil de nouvelles ( L’amour d’Erika Wald ) publié par Stefan Zweig en 1904, à vingt-trois ans, Les prodiges de la vie (traduit de l’allemand par Hélène Denis) raconte l’histoire d’un tableau commandé pour une église d’Anvers – Zweig venait de découvrir la Belgique et d’y ... Lire la suite...
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Tel un papillon
« Car l’œil possède l’étrange propriété de sélectionner la beauté ; tel un papillon, il cherche la couleur et se prélasse au soleil. » Virginia Woolf, Au hasard des rues. Une aventure londonienne (La mort de la phalène) Lire la suite...
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Au hasard des rues
La voici, cette autre déambulation contée par Virginia Woolf, que Mrs Dalloway dans Bond Street m’a donné envie de relire : Au hasard des rues. Une aventure londonienne . Cette nouvelle située au milieu du recueil La mort de la phalène (traduction d’Hélène Bokanowski), ce sont qua... Lire la suite...
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Discrètement
« Le temps aidant, il devait se rendre compte, petit à petit, qu’elle surveillait sans cesse son existence, la jaugeait et la mesurait à la lumière du secret qu’elle avait appris et qui, avec la consécration des années, finit par ne plus être évoqué entre eux que sous l’expression «&n... Lire la suite...
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L'attente de la bête
Henry James , auteur de longs romans fameux, est aussi un maître du récit court : moins de cent pages pour La bête dans la jungle (roman traduit de l’anglais par Fabrice Hugot sous la belle couverture noire des éditions Critérion). Sur le passage du temps, c’est un des plus beaux textes... Lire la suite...
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Trois pièces
« Le petit appartement que j’occupais à cette époque faisait l’envie de mes rares visiteurs. Mais je connus vite qu’il ne me retiendrait pas longtemps. Non que ses trois pièces – disons deux pièces et demie – fussent incommodes, mais elles mettaient en évidence des objets impairs qui, ... Lire la suite...
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Abandonner mes mains
Colette (1873-1954) en mai 1948 © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet (Paris en Images) « Mais auprès de mes sibylles à dix et vingt francs, je n’avais fait que me divertir, écouter la richesse étroite de vieux vocables exclusifs, abandonner mes mains à des mains tellement étrang... Lire la suite...
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Contredanse
Cependant, je suivais les trottoirs, où la présence des concierges sur leurs chaises, les jeux des enfants et les trajectoires des balles obligeaient le passant, dès juin, à une sorte de contredanse, deux pas en avant, deux pas en arrière, effacez-vous et tournez. L’odeur de l’évier bouché,... Lire la suite...
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Ce qui est neuf
« Que faisais-je, dans ce désert ? Ce n’était pas un désert. Je délaissais, chez moi, trois pièces étroites et closes, mes livres, le parfum que je vaporisais, ma lampe… Mais on ne vit pas d’une lampe, d’un parfum, de pages lues et relues. J’avais ailleurs des amis, des camarade... Lire la suite...
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Manifestations étranges
« Nos péchés sont moins de facilité que de prédilection. Secourir avec passion une personne inconnue, fonder sur elle des espoirs que décourageraient la sagesse et l’amitié de nos pairs, adopter furieusement un enfant qui n’est pas le nôtre, nous ruiner, d’une manière obstinée, pour un... Lire la suite...