Voir les dernières notes mises à jour Tag : amour
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vagabondages
bouffées spontanées de tendresse quand les caprices de l’impromptu désarçonnent les vraisemblances en inflorescences irradiantes l’onde concentrique se déconcentre restituant les inflexions candides d’une forme stellaire d’intégrité où la langue décompose l’inspiration intime tout... Lire la suite...
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amour, un mot provençal…
Laure de Noves , chantée par Pétrarque français je t'aime ! italien ti amo ! provençal t'ame ! occitan t'aimi ! portugais amo-te ! latin te amo ! du latin amare (aimer) ; le latin amor a donné en itali... Lire la suite...
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seuls
le souffle pour seul compagnon au fin fond d’une existence étrangère le soleil pour seul aveuglement aux extrémités du néant l’amour pour seule invraisemblance aux hurlements d’abdication la fulgurance pour seul état aux amnésies salvatrices Lire la suite...
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le coût de la vie
l’inconditionnalité a un coût le coût de la dissolution à pulvériser le cœur de cristal à le broyer de plus en plus grossièrement il se disperse sans retour en étreintes poussiéreuses quand l’élan ne suffit pas les étoiles désertifient les regards un à un ne laissant que quelques éc... Lire la suite...
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l’éternité
C’était l’éternité. Le temps s’était rétracté. Tout l’espace s’était condensé à la confluence idéale où les soupirs se confondaient. Lui, doux et rigide, sage, innocent, robuste et délicat. Lui, avait un peu par mégarde, dédaigné les chocs, les plaies infligés par les portes de ... Lire la suite...
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gravillon
un gravillon dans le miroir et la clarté se brouille prenant une consistance de mollasse de l’autre côté l’ombre transparente s’éplore toujours sans faire corps le cœur disséqué se retrouve épinglé sur la porte symbole d’ultime issue aimer sans façon comme un nau... Lire la suite...
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grand mère au pair !
Si j'ai bonne mémoire un certain Robert Lamoureux disait qu'unegrand mère c'était bien pratique... parce que ça tricote !Je hais le tricot et pourtant j'ai le sentiment d'être bien pratique et, parfois, trop !Pour être une bonne grand mère est on obligéde faire déjeuner pendant toute l'année sc... Lire la suite...
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“Dans un monde sans mélancolie, les rossignols...
Alors voilà. Imaginez la nuit profonde de printemps, aux premières douceurs de mai, quand les arbres ont mis leur parure luxuriante. Imaginez les grillons faisant de la nuit une cathédrale sonore. Les prairies parfument déjà l’air et les bosquets cachent le bel oiseau. Et soudain vous enten... Lire la suite...
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fétichisme
un beau jour rattrapé par la corpulence des apparences le mot se tait entrainant dans son homélie des pans entiers de poésie le poids de l’insonore avale les distances drapant les épaules ingénues de boréal érogène le cœur mijote sous une chape de glace au teint de pèche so... Lire la suite...
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La fausse veuve – Florence Ben Sadoun (2008)
« Aujourd'hui je suis plus vieille que toi alors que j'avais neuf ans de moins que vous. » Le livre débute ainsi et plonge d'emblée le lecteur dans la perplexité : qui est "je" ? Qui est "tu" ? Qui est "vous" ? "Je", la narratrice, est-ce l'auteur elle-même, Florence... Lire la suite...