Voir les dernières notes mises à jour Tag : éveil
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pas
le pas dans le tien ombre infidèle engourdie d’absence jurisprudence du néant ébloui par l’écho de félicité absoute Lire la suite...
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filature
le silence file chant de rémission tissé d’une haleine allumée en apnée d’existence inspiration en ta bouche souffle irrésistible suspendu à la douceur volatilisée Lire la suite...
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chasteté
formication de la charnière amputée ablation des duos en solo la main plane chaste sur l’indécence du plaisir pur vague réminiscence d’une possession réfutée le mot abusé s’étouffe de son secret comme une confidence inavouable il ne reste rien à étab... Lire la suite...
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relent
cambrer les angles plonger aux racines enfreindre la voix d’une larme de douceur du reflet d’une icône effacée d’un relent de mirage Lire la suite...
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écliptique
d’une mutine à l’autre contorsions contondantes de poésie éreintée comme la corne torsadée de la licorne d’or née de la nutation Lire la suite...
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remodelage
l’or des mains remodèle le plaisir la primeur de la bouche invente le baiser la force de l’embrassade soude les corps étrangers tout incruste l’accord à même la fibre comme un tatouage plus qu’un cri de naissance plus que la célébration de la jouissance l’instant se distend à l’éternel b... Lire la suite...
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les lucioles
des baisers comme autant de spectres familiers qui soupirent entre les lèvres des caresses en chanson de neige qui fond doucement dans le regard du soleil des lucioles en guise de pensées mystifiant l'horizon distrait vestige de pétales de rose vertige d'outre-univers Lire la suite...
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under the skin
les ponts marchent sur les eaux les ponts marchent sur la lumière attendant les aurores qui dégustent les rivières soumises au mot dans un bruissement de soie envolée sur les ailes des oiseaux égarés en vocalises du chant de vie les cordes sont des tiges de cerises détachées du silence ... Lire la suite...
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chutttttt...
les mots s’agencent seuls comme s’ils étaient programmés pour revenir à leur place et s’ils n’y sont pas… alors germe l’humanité la chair faible du poète qui peut continuer seule à s’ouvrir alanguie sous la caresse du verbe brûlant électrifié d’un son ou d’une image le frô... Lire la suite...
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comme un bateau ivre
vol éméché la vie défilait de port et d'autre le flux empilait poussière et sel le quotidien oxydait les légendes formant de rutilantes concrétions de rouille les strates successives s'amoncelaient érigeant de volages cathédrales temples aux fioritures orgueilleuses ciselés de la sup... Lire la suite...