Voir les dernières notes mises à jour Tag : moeurs
Tags relatifs
- sexualité
- prostitution
- prostitution populaire
- prostitution parisienne
- vie parisienne
- vie nocturne
- société
- politique
- strass
- montluçon
- religion
- développement personnel
- cinéma
- écologie
- bd
- mariage homo
- Bar-Zing de Montluçon
- antoine
- aznavour
- communauté d'agglomération montluçonnaise
- femmes
- florence artaud
- gouvernement hollande
- hommes
- homosexualité
- line renaud
- mai 68
- mariage
- mariage gay
- mariage homosexuel
Dernières notes publiées
-
A tire d'Elles n° 74
Il est fou de grimper avec elle ! Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 73
En nocturne, encore et toujours la blonde. D'aucuns parmi ses passagers veulent absolument qu'elle se prénomme vraiment Lola sur son bulletin de naissance. Comme quoi, on n'est renseigné que de travers par la rumeur publique. Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 72
J'ai toujours pensé gagner assez de fric pour ouvrir un salon de coiffure bien à moi à partir de mes cinquante berges. J'aurais voulu être coiffeuse. Si ! tu peux me croire, j'ai même mon C.A.P. Mais je n'ai pas pu continuer : les produits cosmétiques trucs, machins, choses me cau... Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 61
Le train-train de deux jours, samedi et dimanche pour Lydia. Puis lundi, repos. Le mardi aussi et idem pour le mercredi. Quant au jeudi, madame fait ses emplettes – le shopping comme on doit dire à présent. Je ne parle pas du vendredi : elle reçoit deux copines qui apportent le cha... Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 60
Rue de la Verrerie, aussi elle en a épongés Lire la suite...
-
Dimanche 24-03-2013
Le socialisme organise le mieux vivre ensemble Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 58
Allons, allons pas de confusion indécente ! Ne nous méprenons pas sur la pratique buccale de la dame du premier plan. Elle mord dans un petit pain brioché, tout bonnement. Même à trois heures du matin, Nadine se sentait vide de l'estomac. Elle se faisait cuire toute une ca... Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 55
Minuit passé de quatre heures. La dernière fille de la rue fonctionne au ralenti. Elle prendra le premier métro, celui des prolos qui somnolent encore d'avoir été arrachés de leur lit par la sonnerie du réveil matin. Elle finissait par reconnaître les visages dans le wagon des de... Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 54
Monica te fait signe, vas-y ! s'exclama l'autre. Ne reste pas planter comme un poireau. Qu'est-ce qu'ils ont tous, aujourd'hui, à ne pas se décider. Lire la suite...
-
A tire d'Elles n° 53
– Combien tu prends ? C'était au croisement des rues Saint Martin et Aux Ours, quand Pierre et moi avions pris l'habitude de nous adosser contre la vitrine, à l'intérieur du Petit Marsouin, le matin, pour tremper les croissants dans le café crème. Double, le café crème !... Lire la suite...