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Dernières notes publiées
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La mère et le fils
« Il avait été le roi de la vie, couronné de dons éclatants, de désirs, de force, de joie, et c’était de tout cela qu’il venait lui demander pardon à elle, qui avait été l’esclave soumise des jours et de la vie, qui ne savait rien, n’avait rien désiré ni osé désirer et qui pourtant avait ... Lire la suite...
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Le premier homme
Quand Le premier homme a été publié en 1994, à partir du manuscrit trouvé dans la sacoche de Camus à sa mort en 1960, je l’ai lu avec une grande curiosité. J’en gardais le souvenir de sa recherche du père, du bel hommage à son instituteur d’Alger. A la relecture, j’ai mieux perçu à quel p... Lire la suite...
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Camus.
Regarder un soir un film sur Camus. Regarder un autre soir un autre film sur Camus. Un matin, regarder la mer Méditerranée en pensant à Camus. Une après-midi, relire quelques lettres de Camus à Maria Casarès, d'autres à René Char. Relire quelques passages des Justes , de l'Etranger , de Noce... Lire la suite...
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J'aime tant vivre !
« Il y a d’autres joies aussi, plus raffinées, plus profondes, plus humaines ; celle de la fidélité par exemple ; celle de l’expérience, celle des riches souvenirs ; celle de la nostalgie ; celle du goût de l’effort toujours renouvelé ; celle de l’unité et de ... Lire la suite...
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Camus à Casarès
Une correspondance très intime, telle fut ma première impression en lisant la Correspondance d’Albert Camus et Maria Casarès. De quel droit lire ces lettres d’amour, me suis-je demandé. La proximité dans le temps ? (Lui est mort en 1960, elle en 1996.) Cela ne m’était pas venu à l’esprit en... Lire la suite...
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Passer la matinée à philosopher.
Passer plusieurs matinées très agréables à lire Le petit traité de philosophie naturelle de Kathleen Dean Moore. Ce livre était là, tout près, dans la pile, depuis presque deux ans et on l’a enfin lu. Pourquoi maintenant ? Et bien parce que les livres arrivent quand on a besoin d’eux. Par ex... Lire la suite...
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Moisson.
Sur le chemin de la boulangerie, prendre le temps de papoter avec une voisine qui habite un peu plus bas dans la rue ; on la sait seule, avec comme unique compagnon son petit chien de treize ans qu’elle porte souvent dans les bras car il commence à avoir du mal à marcher. Prêter à l’infirmière ... Lire la suite...
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Moisson.
En se levant le matin, se réjouir de ce qu’on verra tout à l’heure sur la route : les champs de blé et ceux de coquelicots, les vignes, la Ste Baume, le soleil rasant du matin clair ; et le voir, cela, avec en plus quelques foulards de brume légère qui virevolte entre les arbres. Poursuivre l’... Lire la suite...
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La machine à désespérer les hommes
1948 : le bel élan fraternel de la Libération s ‘est fracassé devant la sordide réalité de l’après guerre. Le monde se fracture. L’Europe se divise entre Est et Ouest. Le blocus de Berlin cristallise les peurs d’un nouveau conflit. Déjà, la guerre israél... Lire la suite...
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Le frère de l'Arabe
En lisant L’Etranger de Camus, on ne sait pas grand-chose de « l’Arabe » tué par Meursault. Le récit du dimanche fatal, au chapitre VI, multiplie les présages de violence (« le jour, déjà tout plein de soleil, m’a frappé comme une gifle » ) avant même la première appa... Lire la suite...