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Histoire du soldat, de Stravinski et Ramuz,...
Un soldat rentre chez lui et fait la rencontre d'un homme qui se révèle être le Diable, le soldat lui vend son âme incarnée par son violon contre un livre magique, promesse de richesses et de succès. Depuis sa création en 1917, « Histoire du Soldat » est une œuvre complète.&n... Lire la suite...
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Un soldat d'infortune
Les ruses du diable sont innombrables et Joseph le soldat permissionnaire n’aurait pas dû accepter la proposition de ce chasseur de papillons rencontré sur sa route. Échanger son violon contre un livre magique, le suivre pendant trois jours, sous prétexte de lui apprendre à j... Lire la suite...
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« Malandro, c’est du feu ».
Le diable peut prendre bien des formes. Et Joseph (Joan Mompart), le soldat qui revient dans son village, ne se méfie pas suffisamment du gentil vieux monsieur (Omar Porras) qui lui échange son violon contre un livre magique. Il est trop confiant, Joseph, qui accepte d’appren... Lire la suite...
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Joseph Incardona : 220 Volts. Terreur dans la...
Avant même que le mot ne définisse le genre, Ramuz s’empara des codes du thriller pour raconter une histoire terrifiante qui se déroulait dans la montagne. Publié en six épisodes durant l’été 1925, La Grande Peur dans la Montagne reste aujourd’hui encore l’un des grands succès de l’auteur. N... Lire la suite...
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Pourquoi on ne lit plus Ramuz
par Jean-Michel Olivier Un excellent article sous la signature d'Isabelle Falconnier, dans L'Hebdo , salue à sa juste valeur l'achèvement du chantier du siècle : l'édition critique de l'œuvre complète de Charles Ferdinand Ramuz. Belle aventure que ce travail de plusieurs années, acc... Lire la suite...
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Pourquoi on ne lit plus Ramuz
Un excellent article sous la signature d'Isabelle Falconnier, dans L'Hebdo , salue à sa juste valeur l'achèvement du chantier du siècle : l'édition critique de l'œuvre complète de Charles Ferdinand Ramuz. Belle aventure que ce travail de plusieurs années, accompli par une équipe de chercheu... Lire la suite...
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Aimons les écrivains vivants !
Il est de bon ton, sous nos latitudes chrétiennes, de vouer une sainte vénération aux morts. Et surtout aux écrivains morts. Il n’est de bonne plume, profonde et immortelle, semble-t-il, que les écrivains enterrés, il y a un siècle ou deux, et devenus brusquement classiques à leur enterrement.... Lire la suite...
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Besoin de grandeur
En 1937, Ramuz (un écrivain vaudois) publiait Besoin de grandeur* , un manifeste on ne peut plus actuel, à propos duquel Jacques Chessex écrit ceci : « Ces mots de Besoin de grandeur sonnent comme un mot d'ordre, une injonction au jour le jour. Le reverdissement élémentaire. Les grands liv... Lire la suite...
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