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”Roméo et Juliette” au Théâtre National de...
Déjà, il y a la musique de Prokofiev. Si colorée, si vivante, il est aisé de comprendre pourquoi une somme éhontée de compositeurs s'est inspirée à grandes brassées de ces oeuvres éblouissantes. La tragédie antique gravée dans le marbre par Shakespeare est le passage obligé en mat... Lire la suite...
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Concerto pour cors
La magie de la Philharmonie, c'est de transformer un concerto pour piano en concerto pour cors. Placée au premier rand de côté (impair), au fond de l'orchestre, je n'ai rien soupçonné pendant l'ouverture d' Hamlet de Tchaïkovsky, heureuse d'être prise dans la tempête – en pleine mer du Nord, ce... Lire la suite...
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Concert pour basson, avec cygnes et canetons
Parterre, rang A, place 1. Oh my God , je vais être sous l'archet de Leonidas Kavakos. Pour ne pas trop déséquilibrer l'univers, ma voisine est du type pénible : elle s'aperçoit une fois le concert commencé qu'il va lui falloir un bonbon pour la gorge, un bonbon Ricola collé à ses semblabl... Lire la suite...
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Le pianiste thaumaturge
Kissin se met à jouer la Sonate n° 23 de Beethoven et soudain, tout tourne rond. Une bicyclette imaginaire déboule sur les poussières-graviers qui flottent dans la lumière des projecteurs, traversant le poumon noir de la salle, du plafond jusqu'à la scène, perpendiculairement à nos places de c... Lire la suite...
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I got rhythm (and lost it)
L' Adagio pour cordes de Barber est une musique de film. De quel film, on est incapable de le dire mais c'est une musique de film à n'en pas douter, même d'un film que l'on n'a pas vu, même d'un film qui n'a pas été tourné. C'est une silhouette de dos, face à la mer, une nuque et des mèches déf... Lire la suite...
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Ça fera quat'sous et mille mercis
Allez savoir pourquoi, malgré son titre, j'ai toujours pensé que l' Opéra de Quat'Sous était une pièce de théâtre. Il faut dire que je ne me suis jamais penchée sur le cas Brecht et que je n'avais jamais même entendu le nom de Kurt Weill. La suite pour orchestre de vents jouée par l'Orchestre d... Lire la suite...
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Proko, Chosta, y'a qu'à
À l'orchestre de Paris, les premiers violons sont polyvalents. Lorsque ce n'est pas Roland Dugareil qui s'improvise luthier en plein concert (je n'y étais pas mais on m'en a fait le récit), c'est Philippe Aïche qui remplace au pied levé le chef-d'orchestre souffrant. Ses collègues sont un poil p... Lire la suite...
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Pour clore Avril en beauté à L'Atelier du Verbe…
" Baudelaire, dernière escale" … Les 27, 28 et 30 avril à 20h « Une remarquable évocation du poète dans son intimité » … Composé et interprété par Fabrice Merlo - Comme dans un monologue shakespearien le personnage est à la fois seul sur scène et avec le public et parta... Lire la suite...
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