Voir les dernières notes mises à jour Tag : poème
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Ornements (Vibrements)
Ornements à jamais saccagés Sur le passage du Mal Aimé Sentiments gris et bleus, trop âgés Avec Elle si jeune, l’aimé Allons au repas très convivial Fêtons, dansons l’amour dévoilé Faisons fi du vieux cérémonial Et vivons notre rêve étoilé Ses pas, se... Lire la suite...
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Sur l'Alpe
Le Terre se fond dans le Ciel Là-bas au-delà de l’alpage A la source de l’arc-en-ciel Maître et peintre du paysage Oona marche à pas réguliers Je la suis frappant mon bâton Comme en écho de ses souliers Notre amour avance à tâton Elle se tourne et me ... Lire la suite...
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Jericho
Ambrées larmes de Soleil Gouttent à l'est et font écho, Choquant l'Univers en sommeil, Aux trompettes de Jericho La grande clameur du ravage, Quand la folie se répand Et se mue en bête sauvage, Plonge dans le noir guet-apens Le flash de l'Homme terminal ... Lire la suite...
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Paul Verlaine, Chanson d'Automne
Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille mo... Lire la suite...
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Virus
Au sein de toi je m'insinue Toi Saint des Saints je te sais nue Et ces essaims bientôt te happent Chiens assassins, bêtes qui jappent Tu cours en vain je te poursuis Libre tu es je ne le suis Au sein de toi je m'insinue Tes seins te yeux belle ... Lire la suite...
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Homeward Through The Haze (Version deux)
Le voici l'âge de raison Les échecs prennent le dessus Fini l'âge de trahison Filer droit, le pardon en sus Pour quoi, flamboyante jeunesse? Quelques faits d'armes, des cadavres Souffrance prend son droit d'aînesse Maintenant que tu veux des havres C'est ... Lire la suite...
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Alfred de Musset, La Nuit de Décembre (1835)
Le poète. Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Son visage était triste et beau : À la lueur de mon flambeau, Dans mon l... Lire la suite...
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Hurricane
Tuut tuut roule roule train train New Orleans coule sous les eaux Quand la digue du Pontchartrain Cède sous la houle des flots Tuut tuut roule roule train train Vas-t-en loin de ma Louisiane Je n'ai plus force ni entrain Pour affronter cet hurricane Tuut ... Lire la suite...
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Ailleurs
Un départ pour ailleurs Ça se discute pas! Même le plus railleur Emboîtera ton pas Mais dis, où c'est, ailleurs? Est-ce sur la Neva Gelée des patineurs? Allez viens on y va! Est-ce loin tout au sud Merveilleuse oasis D'où le soleil exsude Splendi... Lire la suite...
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Par les bois du Djinn, Alphonse Allais (1854-1905)
Rimes riches à l'oeil, ou question d'oreille L'homme insulté‚ qui se retient Est, à coup sûr, doux et patient. Par contre, l'homme à l'humeur aigre Gifle celui qui le dénigre. Moi, je n'agis qu'à bon escient : Mais, gare aux fâcheux qui me scient ! Qu'ils soient de Château-l'... Lire la suite...