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Voir les dernières notes mises à jour Tag : tsvetaïeva

Dernières notes publiées

  • Un verger

    Verger   Pour ce martyre, Pour ce délire ; À ma vieillesse Donne un verger. Pour ma vieillesse Et ses détresses, Pour mon labeur – Années voûtées, Chiennes d’années, Années-brûlures : Donne un verger... Et la fraîcheur De sa verdure À l’évadé : Sans – voisinage, Sans... Lire la suite...

    Publié le 27/04/2021 dans Textes & prétextes

  • Poèmes d'Insomnie

    « Tsvetaïeva-poète était identique à Tsvetaïeva-personne ; entre la parole et l’acte, entre l’art et l’existence, il n’existait pour elle ni de virgule ni même de tiret : Tsvetaïeva posait là le signe égal. » (Joseph Brodsky , Loin de Byzance ) C’est le poète et dramatur... Lire la suite...

    Publié le 26/04/2021 dans Textes & prétextes

  • Rafale-la-Femme

    LA NEIGE    Neige, neige Plus blanche que linge,    Femme lige Du sort : blanche neige.    Sortilège ! Que suis-je et où vais-je ?    Sortirai-je Vif de cette terre     Neuve ? Neige, Plus blanche que page   N... Lire la suite...

    Publié le 27/02/2021 dans Textes & prétextes

  • Tentative de jalousie

    Le ciel brûle , première partie du recueil poésie/Gallimard de Marina Tsvetaïeva (ou Tsvétaïéva ou Tsvetaeva selon les sources) rassemble des poèmes publiés en 1987 aux Cahiers des Brisants – le titre est tiré du dernier vers de «  Rivale, un jour je te viendrai…  » . La seconde r... Lire la suite...

    Publié le 25/02/2021 dans Textes & prétextes

  • Tsvetaïeva / Etre...

    Etre ce que nul ne veut être, – Ô, devenir de glace ! Sans savoir ce qui fut Ni ce qui sera, Oublier mon cœur qui se brisait Et se recollait ensuite, Oublier mes mots, ma voix Et des cheveux l’éclat. Oublier la turquoise ancienne Qui ornait ma main – Cette tige Et... Lire la suite...

    Publié le 23/02/2021 dans Textes & prétextes

  • Le feu des fusées

    Quand le gros volume Pasternak (avec cet hommage à la femme et à la poétesse) a trouvé place dans ma bibliothèque, j’en ai retiré le recueil de Marina Tsvetaïeva (1892-1941) dans la collection poésie/Gallimard : Le ciel brûle (rappelez-vous « l’auto-dévoration par le feu ») , suivi d... Lire la suite...

    Publié le 22/02/2021 dans Textes & prétextes

  • Boris Marina Rainer

    L’amour des mots et les mots de l’amour dans les lettres de deux, et même trois poètes, voilà le thème de Est-ce que tu m’aimes encore ? , la correspondance entre Marina Tsvétaïeva et Rainer Maria Rilke (traduit de l’allemand par Bernard Pautrat). Le traducteur, dans sa préface intitu... Lire la suite...

    Publié le 27/03/2014 dans Textes & prétextes

  • Vieille femme

    « Ce que je sais depuis l’enfance : de toutes les femmes au monde, Pouchkine préférait sa nourrice, laquelle n’était pas une femme. Du poème de Pouchkine – et pour toute la vie – j’ai appris qu’on pouvait, parce qu’elle est la plus proche, aimer une vieille femme plus qu’u... Lire la suite...

    Publié le 20/03/2012 dans Textes & prétextes

  • Pouchkine intime

    Marina Tsvetaïeva (ou Tsvetaeva, 1892-1941) est tout sauf tiède, sa plume est de feu . Quand elle décide d’écrire sur  Pouchkine , ce n'est pas sur le poète sacralisé par les Soviétiques – « notre Pouchkine ». C'est Mon Pouchkine ( Moï Pushkin , 1937), tout simplement, so... Lire la suite...

    Publié le 19/03/2012 dans Textes & prétextes

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