Voir les dernières notes mises à jour Tag : garnier
Tags relatifs
- danse
- ballet
- opéra
- musique
- forsythe
- balanchine
- chorégraphie
- concours
- opéra de paris
- arop
- aurélie dupont
- cunningham
- nicolas leriche
- odp
- onp
- pina bausch
- ratmansky
- robbins
- agnès letestu
- alice renavand
- allemand
- amandine albisson
- approximate sonata
- barbe-bleue
- bartok
- benjamin millepied
- blake works
- bolchoï
- boléro
- béjart
Dernières notes publiées
-
Les jardiniers du Parc
Les jardiniers, gardiens de l'amour Quatre jardiniers ouvrent, ferment et encadrent chaque épisode-bosquet du Parc de Preljocaj. Ce sont les gardiens de l'amour, qui est toujours une histoire et qu'il faut savoir entretenir, faisant surgir ici l'allée dans laquelle les amants s'engagent, bris... Lire la suite...
-
Concours du corps de ballet de l'Opéra, rideau
Concours et bonne marche de la maison Chance pour les jeunes, risque d'injustice pour les plus expérimentés, le concours est une institution contestable, à l'image de cette note sur 10, « donnée par la Régie de la Danse et basée sur l'assiduité et la conscience professionnelle au cours d... Lire la suite...
-
Concours du corps de ballet de l'Opéra, acte III
Concours de circonstances Les variations libres, c'est la cour de récréation du blogueur, qui peut s'amuser à faire quelques statistiques, analyser les tactiques des danseurs et dégager les tendances de la saison. L'origine de la vague Lifar reste incertaine mais celle de Robbins peut être ra... Lire la suite...
-
Concours du corps de ballet de l'Opéra, acte I
Les places sont chères Une fois n'est pas coutume, ce n'est pas au sens propre. Si les places sont chères, pour les spectateurs comme pour les danseurs, qui entrent en compétition alors que peu de postes sont à pourvoir, c'est qu'on n'y entre que sur invitation. La chasse à l'invitation se pr... Lire la suite...
-
In darkness, silence and frustrated elation
Darkness is hiding black horses , Saburo Teshigawara On m'avait annoncé l'ennui. Je ne sais pas si c'est l'entreprise palpatinienne d'initiation à la culture nippone qui commence à faire effet ou le résultat de mon esprit de contradiction, mais le fait est : je ne me suis pas barbée. ... Lire la suite...
-
Adieux et camélias
Et si c'était par la fin que tout commençait ? Agnès Letestu est seule en scène. Seule. Un rideau de paillettes tombe devant elle sans discontinuer, s'amassant en un petit tas glissant qu'il est de plus en plus dangereux de traverser - les pointes y laissent des sillons comme des... Lire la suite...
-
En finir avec l'idéal
Jusqu'à ce que je la rencontre à la sortie des artistes, Mathilde Froustey était pour moi une fille techniquement brillante mais qui choisissait la facilité en minaudant. Les rôles de séductrices et de chipie, qui lui conviennent fort bien, ont fini par l'enfermer dans un stéréotype qui s'est pe... Lire la suite...
-
Oiseau, faunes et squelettes
Soirée Béjart – Nijinski – Robbins – Cherkaoui – Jalet : vous parlez d'un titre ! On n'est jamais certain de tous parler du même spectacle : tu as vu le Cherkaoui ? le Boléro ? les faunes ? On pourrait parler du spectre des ballets russes mais les squelettes du Bolé... Lire la suite...
-
Le palais Garnier en pain d'épices
Lorsqu'on donne un opéra de Wagner ou de n'importe quel autre compositeur du même acabit, l'Opéra sait que les places seront vendues et les mélomanes s'habituent à se voir ponctuellement infliger des mises en scène insipides voire franchement laides ( Wozzeck , Siegfried ). En revanche, il ... Lire la suite...
-
Un nain et deux sales mômes
Le Nain et L'Enfant et les sortilèges : deux sales mômes... … qui grimpent sur les pianos. En sept moins cinq Nain s, il y a eu à voir et à manger : des asperges géantes et un ventilateur-ailes de libellules pour décor ; une sale môme qui se prend po... Lire la suite...