Last posts on virtuel2024-03-29T14:23:01+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/virtuel/atom.xmlguy-sembichttp://parolesetvisages.blogspirit.com/about.htmlIntelligence artificielle et virtualitétag:parolesetvisages.blogspirit.com,2022-12-26:33253322022-12-26T10:04:25+01:002022-12-26T10:04:25+01:00 … Un interlocuteur sur Facebook, ou sur un forum, ou sur un blog, ou sur un...
<p class="western" align="justify">… Un interlocuteur sur Facebook, ou sur un forum, ou sur un blog, ou sur un site, en tant qu’intervenant ou membre inscrit (ou sur Facebook, « ami »), peut-il être une intelligence artificielle ? Un commentateur, un répondant, un intervenant… Un personnage purement fictif, un robot en somme, conçu en fonction du profil de l’exprimant auteur de ce qu’il produit ; profil qu’une base de données enregistrées, listées et stockées depuis plusieurs années (traces laissées sur le Web) a déterminé « collant à la personnalité de l’exprimant, à ses préférences, à ses idées, à sa pensée, à ses aspirations, à ses besoins ? » …</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">Sur un forum, sur un blog, sur un site, cela est peut-être plus difficile, ou moins réalisable du fait que l’auteur du blog, du forum ou du site en est en même temps l’administrateur du blog, du forum ou du site, et qu’en tant qu’administrateur il peut filtrer les personnes qui s’inscrivent membres, connaître la véritable identité de ces personnes, les localiser (notamment avec l’adresse IP)…</p><p class="western" align="justify">Encore qu’une personne s’inscrivant ne peut donner d’elle que des renseignements imprécis et de base sans plus… Ou de fausses indications (mais il reste tout de même l’adresse IP, à moins que cette adresse IP soit une adresse usurpée étant celle d’un PC différent du PC de la personne)…</p><p class="western" align="justify">Peut-être bien que l’intelligence artificielle est capable de résoudre le problème de l’adresse IP en créant précisément une adresse IP sans réalité effective…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">Tu aurais donc pour ami, un personnage qui n’existe pas, une pure entité, un produit de l’intelligence artificielle… Et, dans la mesure où tu ne te sens pas appelé à rencontrer ce personnage, que tu ne souhaites pas spécialement un jour le rencontrer, d’autant plus si entre lui et toi il y a une grande distance bien réelle, tu ne sauras jamais si ce personnage est un vrai personnage…</p><p class="western" align="justify">En somme « ça se compliquerait » le jour où tu décides de rencontrer ce personnage, de voir de près à quoi il ressemble…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">Quoi qu’il en soit, intelligence artificielle ou pas, l’intervenant, le répondant, le réagissant, l’ami, le visiteur, le commentateur critique ; les gens qui sont sur Facebook, sur les réseaux sociaux, qui sont les auteurs de sites et de blogs, qui sont membres de forums ; se présentent, s’expriment, produisent – assez souvent – (pour ne pas dire le plus souvent) – sous des pseudonymes et sous des avatars (une icône choisie dans une liste prête à l’emploi, qui est censée représenter le personnage que l’on est… Ou une image, une photo tout aussi représentative)…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">Le rapport de communication (empathie ou antipathie) peut-il être le même, sur la Toile (réseaux sociaux, blogs, sites et forums), que dans le réel au quotidien, lors d’une rencontre entre connaissances, voisins, amis, proches… Dès lors que sur la Toile, l’interlocuteur s’exprime sous un pseudonyme et sous un avatar…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">Autrement dit « on a bien affaire à un être humain » (si ce n’est pas une intelligence artificielle) mais cet être humain l’on n’a aucune idée de son visage, d’à quoi il ressemble… Ce qui inciterait alors à un ton, à un langage « plus brut », plus « direct » - et parfois plus agressif ou moins conciliant… Le rapport de communication ne se situant pas tout à fait dans la même dimension de relation, dans un forum par exemple, que devant le comptoir d’un café par exemple…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">Pour « simplifier » et être « brut, clair et net » : Baloo, Snoopy, Lotus, Riri, Kiara … Acompagné d’une icône ou d’une image « représentative »… Ce n’est pas Jean Pierre, Claude, Robert, Isabelle… Accompagné du visage en photo de Jean Pierre, de Claude, de Robert, d’Isabelle…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify">NOTE : l’intelligence artificielle peut concevoir un « interlocuteur/intervenant/ami/commentateur critique » correspondant au plus près de la complexité d’un personnage auteur de blog, de site, de page Facebook, dans toutes ses nuances, dans toutes ses contradictions, dans toutes les composantes de sa personnalité, dans tous les registres de ce qu’il exprime… Et « battra toujours à la course » un Baloo, un Lotus ou une Kiara derrière lesquels il y a un vrai personnage…</p><p class="western" align="justify"> </p><p class="western" align="justify"> </p>
JPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlComme dirait Gretatag:necronomie.blogspirit.com,2021-11-13:32609532021-11-13T13:01:00+01:002021-11-13T13:01:00+01:00 Ainsi JPC avait cryptographié son nom et décidé pour un temps de...
<p class="western"> </p><p class="western"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Ainsi JPC avait cryptographié son nom et décidé pour un temps de s'isoler hors la compagnie choisie de ceux qui étaient revenus de toute morale obscurantiste ou moderniste, de toute mortification ou mollesse, de tout simulacre de repentir ou succédané d'espoir.</span></p><p class="western"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Ce qui laissait peu de monde à l'arrivée. Le monde devenait métanoïaque, raison pour laquelle Facebook changeait de nom.</span></p><p class="western"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Comme l'avait prophétisé l'ami Vincent Directeur du protocole en exil de ce blog <em>« le virtuel sera supérieur au réel »</em></span></p><p class="western"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Comment en aurait il pu être autrement ? </span></p><p class="western"><span style="color: #000000; font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Alors que dans le passé, la création de capital fictif servait principalement à accompagner et à soutenir le processus de valorisation capitaliste – comme par exemple le financement préliminaire à de grands investissements –, aujourd’hui, avec l’effondrement des fondements de ce processus, son rôle a changé. L’accumulation du capital a commencé à se fonder principalement non pas sur l’exploitation de la main d’œuvre dans la production de biens, mais sur l’émission massive de titres financiers tels que des actions, des obligations ou des dérivés. Ainsi, le capital fictif s’est transformé en moteur de l’accumulation du capital tandis que la production de biens pour les marchés concrets s’est dégradée en variable dépendante.</span></p><p class="western"><span style="color: #000000; font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Sa base n’est pas l’exploitation réelle du travail dans la production de biens, mais l’attente de bénéfices futurs dans l’économie réelle, qui devraient en fin de compte découler de l’exploitation de la main d’œuvre supplémentaire. Mais dans la mesure où cette attente, face au développement des forces productives, ne peut être satisfaite, les droits doivent être constamment renouvelés, et le recours anticipé à la valeur future doit être de plus en plus repoussé dans l’avenir. La conséquence en est que la masse des titres financiers est soumise à une contrainte de croissance exponentiellement accrue. C’est pour cette raison que, depuis des décennies, le capital sous forme de titres financiers dépasse largement la valeur des biens immobiliers produits et vendus. L’opinion publique identifie les marchés financiers comme cause de la crise, mais la réalité est qu’une fois les bases d’évaluation dissoutes, l’accumulation de capital ne peut que se poursuivre de cette manière.</span></p><p class="western"><span style="color: #000000; font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Comme je le dis souvent le modèle des États est devenu celui des entreprises cotées au Nasdaq : Une valorisation basée sur du travail non consommé et des ventes futures.</span></p><p class="western"><span style="color: #000000; font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Le virtuel est devenu supérieur au réel tout comme le capital fictif est devenu supérieur au capital.</span></p><p class="western"><span style="color: #000000; font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">Dans ce contexte, il n'y a juste qu'a étudier les positions des banquiers centraux et des agences de notation. Le reste c'est du blabla comme dirait Greta !</span></p><p class="western"><span style="color: #000000; font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 18pt;">X13X</span></p>
JPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlDu capital fictif pour des êtres virtuelstag:necronomie.blogspirit.com,2021-03-09:32487552021-03-09T15:17:00+01:002021-03-09T15:17:00+01:00 Depuis les années 80, la production matérielle, c’est-à-dire la masse des...
<p><span style="font-size: 18pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Depuis les années 80, la production matérielle, c’est-à-dire la masse des biens produits, a augmenté de nombreuses fois dans le monde <img id="media-1113512" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/01/01/2112648530.jpg" alt="capital fictif,virtuel,capitalisme virtuel,capitalisme fictif,mensonge,virtueliaté" />entier alors que, dans le même temps, le nombre d’employés des secteurs clés de la production a nettement diminué. Même l’ouverture de nouveaux secteurs productifs à la consommation de masse n’y changerait rien, puisque ces derniers étaient également organisés dès le départ selon les impératifs de l’automatisation des processus. En conséquence, le monde a été balayé par un déluge de marchandises à croissance rapide, qui représentaient cependant une masse de valeur toujours décroissante, car elles avaient été produites avec de moins en moins de travail.</span></p><p><span style="font-size: 18pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Pour cette raison, la crise fordiste s’est transformée en une crise fondamentale de valorisation du capital, une crise qu’il était désormais impossible de résoudre de la même manière que les grandes crises précédentes de l’histoire du capitalisme. L’émergence de nouveaux secteurs de croissance pour l’emploi de la main-d’œuvre dans la production de biens au niveau actuel de productivité n’a plus eu lieu et n’a toujours pas lieu. Les mesures keynésiennes de stimulation économique – qui ont été adoptées partout dans les années 1970 – se sont également révélées inutiles, ne provoquant qu’une augmentation considérable de la dette publique, car elles n’ont pas permis de supprimer les causes structurelles de la crise. Ainsi, dès les années 1980, le capitalisme classique s’est heurté à ses limites historiques, qui n’ont pu être surmontées.</span></p><p><span style="font-size: 18pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Aujourd’hui, le recours précoce à la valeur future sous forme de capital fictif est un élément du fonctionnement normal du capitalisme. Cependant, dans la crise fondamentale de la valorisation provoquée par la troisième révolution industrielle, elle a pris un sens essentiellement nouveau. Alors que dans le passé, la création de capital fictif servait principalement à accompagner et à soutenir le processus de valorisation capitaliste – comme par exemple le financement préliminaire à de grands investissements –, aujourd’hui, avec l’effondrement des fondements de ce processus, son rôle a changé. L’accumulation du capital a commencé à se fonder principalement non pas sur l’exploitation de la main d’œuvre dans la production de biens, mais sur l’émission massive de titres financiers tels que des actions, des obligations ou des dérivés. Ainsi, le capital fictif s’est transformé en moteur de l’accumulation du capital tandis que la production de biens pour les marchés concrets s’est dégradée en variable dépendante.</span></p><p><span style="font-size: 18pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Sa base n’est pas l’exploitation réelle du travail dans la production de biens,<strong> mais l’attente de bénéfices futurs dans l’économie réelle</strong>, qui devraient en fin de compte découler de l’exploitation de la main d’œuvre supplémentaire. Mais dans la mesure où cette attente, face au développement des forces productives, ne peut être satisfaite, les droits doivent être constamment renouvelés, et le recours anticipé à la valeur future doit être de plus en plus repoussé dans l’avenir. La conséquence en est que la masse des titres financiers est soumise à une contrainte de croissance exponentiellement accrue. <strong>C’est pour cette raison que, depuis des décennies, le capital sous forme de titres financiers dépasse largement la valeur des biens immobiliers produits et vendus. </strong>L’opinion publique critique généralement ce « détachement des marchés financiers » comme cause de la crise, mais la réalité est qu’une fois les bases d’évaluation dissoutes, l’accumulation de capital ne peut que se poursuivre de cette manière.</span></p><p><span style="font-size: 18pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Les vendeurs de biens de main d’œuvre commencent à percevoir l’extrême dépendance du travail à l’égard du capital fictif, non seulement pendant les crises graves mais également dans le cours normal du processus d’accumulation. La principale pression s’exerce sur les attentes de revenus élevés, dont la référence sont les bénéfices du secteur financier, beaucoup plus élevés que dans le cadre du capitalisme classique. Pour répondre à ces attentes, les conditions de travail et les salaires ne cessent de se détériorer et les heures de travail sont prolongées sans pitié. Ce <em>dumping</em> concurrentiel international n’épargne aucun site de production ni aucune entreprise. Quiconque tenterait de s’y soustraire serait immédiatement puni par le retrait du capital, qui, ayant sa base dans le secteur financier, est capable de se déplacer indéfiniment. Même les grandes sociétés transnationales et les acteurs mondiaux du marché global sont à la merci de cette pression. Le cas de Siemens, évoqué au début de ce papier, en est un exemple typique ; il montre comment la relation entre le travail et le capital à l’époque du capitalisme inversé a été complètement renversée. Si, il y a quarante ans, une entreprise mondiale avait annoncé la fermeture de sites de production absolument rentables et le licenciement de plusieurs milliers de salariés, la direction de l’entreprise aurait été immédiatement expulsée par les actionnaires pour sabotage de la valorisation du capital social. Bien sûr, même à cette époque, il y a eu des fermetures d’usines et des licenciements massifs lorsqu’une industrie enregistrait des pertes permanentes et qu’il n’était pas possible d’accroître sa compétitivité par des mesures de rationalisation. Mais il s’agissait encore, en dernière analyse, d’étendre les possibilités d’investir du capital dans la production.</span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif;"><span style="font-size: 18pt;"><strong>À l’ère du capital fictif, cette logique n’est plus valable. En effet, le problème n’est plus de développer la production pour créer de nouvelles possibilités de valorisation du capital, mais de multiplier en permanence les titres financiers, qui représentent des droits à la valeur future</strong>. Si tel est l’objectif, le niveau actuel des bénéfices d’un certain site de production ne représente qu’un point de référence externe. <strong>De ce point de vue, la rentabilité moyenne, , n’est pas assez élevée simplement parce qu’elle n’est pas en mesure de suivre les gains qui peuvent être réalisés sur les marchés financiers et ne produit pas de « fantasmes » de croissance future des bénéfices</strong></span><strong>.</strong></span></p>
phalexandrehttp://blogdewellin.blogspirit.com/about.html”Wellin Compétences” organise un marché de Noël virtuel et solidaire (Click and collect)...tag:blogdewellin.blogspirit.com,2020-12-08:32351872020-12-08T15:10:00+01:002020-12-08T15:10:00+01:00 Pour la première fois depuis plusieurs années, pour les raisons que vous...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: 14pt;"><a href="http://static.blogs.sudinfo.be/media/98/2030772066.2.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-496145" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blogdewellin.blogspirit.com/media/98/1090847428.2.jpg" alt="noel virtuel 2020.jpg" width="256" height="242" /></a>Pour la première fois depuis plusieurs années, pour les raisons que vous connaissez, le marché de Noël de Wellin n'aura pas lieu.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: 14pt;">Afin d’aider les artisans et commerçants de Wellin qui le souhaitent, la plateforme «<em>Wellin-compétences</em>» (<span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.wellin-competences.org/index.html" target="_blank" rel="noopener">cliquez ici</a></span>) a créé une action solidaire et met à disposition une page «<strong>Click and collect de Noël à Wellin</strong>». </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: 14pt;">Sur cette page seront référencés le nom des artisans ou commerçants et les moyens de communication pour les joindre et acheter leurs produits.</span></p><ul><li style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: 14pt;"><a href="http://static.blogs.sudinfo.be/media/98/wellin-competences_solidaire-thumb.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-496256" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://blogdewellin.blogspirit.com/media/98/wellin-competences_solidaire.jpg" alt="wellin,commune,compétence,marché,noël,virtuel,click,collect,artisan,région,solidaire,blog,sudinfo,sudpresse,la meuse,luxembourg,province,philippe,alexandre,dominique,deprez" width="148" height="156" /></a>Vous êtes artisans et voulez <strong>participer à ce "marché de Noël virtuel"</strong> : prenez contact avec la responsable en <span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.wellin-competences.org/contacts.html" target="_blank" rel="noopener">cliquant ici</a></span></span></li><li style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: 14pt; color: #000000;">Vous voulez <strong>acheter des produits</strong> auprès d'artisans de la région, visitez la page du marché virtuel solidaire en <span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://www.wellin-competences.org/solidaire.html" target="_blank" rel="noopener">cliquant ici</a></span></span></li></ul><p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://mamidoo.free.fr/html/gifs/barres/animees/divers/bar2.gif" alt="bar2.gif" /></p>
JPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlLes Chronophagestag:necronomie.blogspirit.com,2019-11-01:31555792019-11-01T12:08:00+01:002019-11-01T12:08:00+01:00 Le terme de « chronophage » désigne ici...
<p> </p><p><em><a href="http://necronomie.blogspirit.com/media/01/01/4117463582.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-252906" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/01/01/1519948363.jpg" alt="couv-galibert-chronophages-web-c56d4.jpg" /></a></em></p><p> </p><p> </p><p><span style="font-size: 12pt;"><em>Le terme de « chronophage » désigne ici aussi bien les objets de la chronophagie (appareils électroniques divers à écrans plats, publicité télévisuelle et sur Internet, économie dématérialisée), que ceux à qui leur commerce proLe terme de « chronophage » désigne ici aussi bien les objets de la chronophagie (appareils électroniques divers à écrans plats, publicité télévisuelle et sur Internet, économie dématérialisée), que ceux à qui leur commerce profite (notamment les grandes firmes de l’économie dite virtuelle). Le mode d’exploitation hypercapitalistique introduit un rapport renouvelé des individus à leur temps « disponible », le travail imaginaire de ces derniers venant s’ajouter à leur travail réel, sous l’espèce d’un temps de « loisir » revendiqué par eux et générateur de profits faramineux pour les chronophages. L’hyperrentabilité de ce capitalisme nouveau-genre s’établit dans une sphère presque entièrement dévolue à l’imaginaire, ou même à « l’imaginaire de l’imaginaire » ; il s’inscrit en outre sur le mode d’un échange fondamentalement irréciproque.<br />Ainsi décrit, l’hypercapitalisme dévoile sa vacuité, le « rien » qui lui sert de fondement, et dont la présente crise mondiale fournit une illustration exemplaire. On comprend dès lors que la valorisation du capital, devenue purement imaginaire, indexée sur la seule anticipation de sa valeur à venir, n’ait cure de produire réellement quoi que ce soit. Quand l’imaginaire de l’imaginaire (et l’anticipation de sa valorisation future) conditionne la valeur boursière d’une société commerciale, il devient évident que les biens produits ne sont plus qu’un prétexte à toute valorisation, voire son simple déchet, de la même façon les emplois industriels qui en dépendent.:fite (notamment les grandes firmes de l’économie dite virtuelle). Le mode d’exploitation hypercapitalistique introduit un rapport renouvelé des individus à leur temps « disponible », le travail imaginaire de ces derniers venant s’ajouter à leur travail réel, sous l’espèce d’un temps de « loisir » revendiqué par eux et générateur de profits faramineux pour les chronophages. L’hyperrentabilité de ce capitalisme nouveau-genre s’établit dans une sphère presque entièrement dévolue à l’imaginaire, ou même à « l’imaginaire de l’imaginaire » ; il s’inscrit en outre sur le mode d’un échange fondamentalement irréciproque.</em></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><em>Ainsi décrit, l’hypercapitalisme dévoile sa vacuité, le « rien » qui lui sert de fondement, et dont la présente crise mondiale fournit une illustration exemplaire. <strong>On comprend dès lors que la valorisation du capital, devenue purement imaginaire, indexée sur la seule anticipation de sa valeur à venir, n’ait cure de produire réellement quoi que ce soit.</strong> Quand l’imaginaire de l’imaginaire (et l’anticipation de sa valorisation future) conditionne la valeur boursière d’une société commerciale, il devient évident que les biens produits ne sont plus qu’un prétexte à toute valorisation, voire son simple déchet, de la même façon les emplois industriels qui en dépendent.</em></span></p>
JPChttp://necronomie.blogspirit.com/about.htmlFunambulle de bulle en bulle, the great bubbletag:necronomie.blogspirit.com,2017-12-02:31553442017-12-02T13:39:00+01:002017-12-02T13:39:00+01:00 CLICK ON PICTURE On y...
<p><a href="http://necronomie.blogspirit.com/media/00/00/1237045353.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-252540" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/00/00/43779100.jpg" alt="171201-lca-yellen.jpg" /></a></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p>CLICK ON PICTURE</p><p> </p><p>On y croyait pas Marcel et moi mais Euclide la déveine l'a fait. Le mec non identifié, c'est lui. Il était parti voir son oncle qui a un resto à New York et voilà le résultat. Il est content de lui. Bon, pour le reste oubliez pas son surnom les gars...</p><p>En attendant si je résume la situation avec les ventes immobilieres qui ont augmentées dans l'ancien. On peut dire que ceux qui ont acheté ont acheté très cher avec des taux très bas à des gens qui avaient achetés pas cher avec des taux très hauts.</p><p>Toute la question est désormais de savoir comment sans inflation (des salaires par exemples) à qui vont pouvoir vendre les derniers qui ont achetés car c'est toujours le dernier qui l'a dans le...ce que Charles Ponzi et son brillant successeur Madoff avaient bien compris.</p><p>En conclusion, le Bitcoin, c'est certainement une bulle mais pas plus une bulle que l'immobilier ou les marchés actions qui ont tous été inflatés artificiellement par les masse de liquidités déversées par les banquiers centraux. Principe de la transfusion à celui qui d'hémorragie interne sans que l'on bouche le trou. Bref tous les prix sont bidonnés, les dettes souveraines pourries, les entreprises qui rachètent leur propres actions en profitant de la baisse des taux.</p><p>C'est pourquoi des mecs très sérieux commencent à dire qu'on ne pourra plus jamais remonter les taux cata</p><p><a href="http://necronomie.blogspirit.com/media/00/02/364565326.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-252542" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/02/02/151185261.jpg" alt="171127-lca-suisse.jpg" /></a>click on picture</p><p> </p><p> </p><p><strong>VIVE EUCLIDE</strong></p>
Cinématiquehttp://cinematique.blogspirit.com/about.html64tag:cinematique.blogspirit.com,2011-01-13:20875502011-01-13T10:41:12+01:002011-01-13T10:41:12+01:00 Les hommes fiers de clamer leurs sautes d'humeur m'attristent...
<p>Les hommes fiers de clamer leurs sautes d'humeur m'attristent autant que les femmes satisfaites de camper sur leurs principes.</p><p>Je me souviens d'un homme qui prétendait défendre notre Fort Alamo quand il était avant tout prisonnier de son Alcatraz.</p><p>Lorsque Paul Virilio déplore que la représentation pose l’apparence comme réalité de substitution, il s’inquiète que l’image coïncidant ainsi avec son sujet, il n’y ait plus entre eux le moindre intervalle. Or toute perception est en somme représentation virtuelle : pour nous, la perception de l'image d'un objet s’identifie systématiquement avec l'objet lui-même ; l'image de la fleur <em>est</em> la fleur. Le cerveau, au moins autant que le système sociétal vilipendé par Baudrillard, manipule les signes, quitte à nous mentir, afin de nous persuader que les messages sensoriels qui lui parviennent <em>sont</em> le réel. Le « virtuel » n’est gage de rien, ni de perdition ni de paradis.</p>
Françoisehttp://legranddeblocage.blogspirit.com/about.htmlTout va très bien madame la marquise !tag:legranddeblocage.blogspirit.com,2010-05-30:19395412010-05-30T15:14:46+02:002010-05-30T15:14:46+02:00 Une heure de conversation vaut mieux que cinquante lettres....
<p style="text-align: center;"></p> <div style="text-align: center"><img src="http://legranddeblocage.blogspirit.com/media/02/02/1366794556.jpg" id="media-489165" alt=" marquise.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p style="text-align: center;"><b>Une heure de conversation vaut mieux que cinquante lettres.<br /> <br /> Madame de Sévigné</b></p> <p style="text-align: center;"><b><br /></b></p>
Françoisehttp://legranddeblocage.blogspirit.com/about.htmlQue faire ?tag:legranddeblocage.blogspirit.com,2010-03-19:19102532010-03-19T17:33:48+01:002010-03-19T17:33:48+01:00 Sans internet, que serait ma vie ? Je vis seule, tout près de ma famille...
<p>Sans internet, que serait ma vie ? Je vis seule, tout près de ma famille "unique et préférée"; chacun chez soi et les cochons seront bien gardés, n'est ce pas ? Mon moyen de communication est alors l'écriture via le virtuel... avec des personnes bien réelles !</p> <p>OK c'est bien, des liens se créent, des amitiés naissent. J'ai fait de magnifiques rencontres.</p> <p>Mais voilà, c'est peut être l'arrivée du printemps qui me donne envie d'autres choses, j'ai besoin de bouger, d'être plus active dans ma vie quotidienne... alors que faire ? Dans mon coin que propose-t-on aux "seniors" ? club de scrabble, jeux de cartes, broderie.... travaux manuels... berkkkkkkkk quelle horreur, je déteste.</p> <p>Je sèche, je ne vois pas où aller ? peut être parce que, au fond, je n'ai pas vraiment envie de remuer mon auguste postérieur....!</p> <p>Alors, voilà, je me retrouve devant le Mac et je débite des conneries... parce que l'envie d'écrire je l'ai toujours, mais pour vous raconter quoi finalement ?</p> <p>Si je vous dis qu'aujourd'hui... et puis non, je n'ai pas envie de vous le dire... Alors demain, oui ça je peux je crois, je vais voir nager ma petite fille (compétition natation synchro en Espagne). Ma chérie, celle qui a eu 16 ans hier..... et il faudra rentrer sans perdre de temps, le soir elle va à un concert de musique "electro" qui devrait se terminer vers 4h du matin....</p> <p>Je peux aussi dire que la plus jeune a 12 ans aujourd'hui, qu'elle a invité des copines pour une pyjama partie... le Champomy coulera à flot...</p> <p>Mais je n'ai pas le courage de partager ce qui me bouffe le coeur depuis 14 ans aujourd'hui.</p> <p>Bises et so long !</p>
Françoishttp://francoisabiven.blogspirit.com/about.htmlVers le métaverse : l'ordinateur de demain est (presque) déjà là !tag:francoisabiven.blogspirit.com,2010-02-08:18919582010-02-08T16:51:00+01:002010-02-08T16:51:00+01:00 L'intégration du réel et du virtuel est une tendance lourde qui n'a pas...
<p><a href="http://francoisabiven.blogspirit.com/archive/2007/09/04/vers-l-integration-du-digital-dans-notre-reel.html">L'intégration du réel et du virtuel</a> est une tendance lourde qui n'a pas fini de nous ménager de belles surprises.</p> <p>A ne pas rater, voici une vidéo assez époustouflante qui m'a été signalée par Maryline Passini, de l'agence de propective Proâme.</p> <p>A visionner en particulier à partir de la 5ème minute, où l'ordinateur s'affranchit de ses supports traditionnels (écrans, clavier, souris) pour venir interagir avec le réel :</p> <p> </p> <p><object height="326" width="446" data="http://video.ted.com/assets/player/swf/EmbedPlayer.swf" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="bgColor" value="#ffffff" /> <param name="flashvars" value="vu=http://video.ted.com/talks/dynamic/PranavMistry_2009I-medium.flv&su=http://images.ted.com/images/ted/tedindex/embed-posters/PranavMistry-2009I.embed_thumbnail.jpg&vw=432&vh=240&ap=0&ti=685&introDuration=16500&adDuration=4000&postAdDuration=2000&adKeys=talk=pranav_mistry_the_thrilling_potential_of_sixthsense_tec;year=2009;theme=tales_of_invention;theme=design_like_you_give_a_damn;theme=what_s_next_in_tech;theme=ted_under_30;theme=the_creative_spark;theme=new_on_ted_com;theme=a_taste_of_tedindia;event=TEDIndia+2009;&preAdTag=tconf.ted/embed;tile=1;sz=512x288;" /> <param name="src" value="http://video.ted.com/assets/player/swf/EmbedPlayer.swf" /> <param name="bgcolor" value="#ffffff" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p> <p> </p>
Françoisehttp://legranddeblocage.blogspirit.com/about.htmlFond d'écran... vivant !tag:legranddeblocage.blogspirit.com,2009-02-21:17139972009-02-21T10:00:51+01:002009-02-21T10:00:51+01:00Choisir un fond d'écran... l'embarras du choix est le seul problème. Je me...
Choisir un fond d'écran... l'embarras du choix est le seul problème. Je me souviens de ces poissons virtuels nageant paisiblement dans une eau de belle couleur... Alors, dans la pièce foutoir que j'appelle "mon bureau" j'ai installé l'aquarium. Quand je lève le nez de l'écran je vois mes deux superbes (mais oui) poissons rouges (bleu quand je les ai achetés) ! Ils ont grandi, grossi. Leurs nageoires se meuvent comme les ailes d'un oiseau... peut être qu'ils s'envoleront un jour ?? Ils jouent à cache cache, dansent, se poursuivent, parfois j'ai l'impression qu'ils sont amoureux, qu'ils s'embrassent et se font des câlins. Ils sont silencieux, sages... pas besoin de les sortir 3 ou 4 fois par jour.Evidemment c'est un sport dit "contemplatif" ! Les chiens m'en font pratiquer un autre... la promenade obligatoire, par tous les temps...ce n'est pas mal non plus. Mais en fond d'écran, je ne vois pas bien ce que je peux en faire. Les filmer, recopier, monter et je ne sais quoi encore... Trop de boulot. Je suis très paresseuse. J'aime "me la couler douce". Ciao !
Erichttp://e-mergences.blogspirit.com/about.html2ème Edition des T@bles Rondes du Futur, Paris le 6 novembre 2007 - 14h-19h + Cocktailtag:e-mergences.blogspirit.com,2007-10-06:13784292007-10-06T06:50:00+02:002007-10-06T06:50:00+02:00 Lieu : BOURSE DE COMMERCE DE PARIS 2, rue de...
<div id="eventdescription_content" style="margin-bottom: 2px"> <div style="text-align: center"><a href="http://blog.e-mergences.net/media/02/01/7226cbea6d8f39c379105e9452f15560.jpg" target="_blank"><img src="http://blog.e-mergences.net/media/02/01/7226cbea6d8f39c379105e9452f15560.jpg" id="media-49460" alt="7226cbea6d8f39c379105e9452f15560.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" name="media-49460" /></a></div> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> <b>Lieu : BOURSE DE COMMERCE DE PARIS</b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center">2, rue de Viarmes Paris 1er </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://blog.e-mergences.net/media/01/00/af93615ece98e96976addae5ef383554.jpg" id="media-49549" alt="3a686668fb96ed56fb2b40fce39610d8.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" name="media-49549" /></div> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center">Horaires : 14h - 19h + Cocktail </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> </p> <p class="MsoNormal" align="center"><font color="#FF0000"><span style="font-family: Arial">Deux tables rondes, un grand témoin, des animations, une librairie, un voyage dans le futur, les projets de la F@brique du Futur, networking autour d'un cocktail, etc.</span></font></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> </p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"><b><span style="font-size: 10pt; font-family: Arial; color: blue">Comment la réalité virtuelle et la 3D dessinent le futur des organisations et du management</span></b></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="center"> </p> <h1 class="fontSizeBig" style="margin-bottom: 0px"></h1> <h1 class="fontSizeBig" style="margin-bottom: 0px">En première mondiale, lancement de la vente aux enchères de "la brique en or virtuel de la Fabrique du Futur sur Second Life" !</h1> <p class="MsoNormal" style="text-align: center" align="left">Créée à partir de l’once d’or virtuel (L’OOV*), cette brique servira de pierre angulaire à la construction de la Fabrique du Futur. Cet édifice rassemblera toutes les énergies, connaissances, capacités créatives de ceux qui veulent inventer ensemble le futur et non le subir. L’acquéreur (entreprise ou particulier) de cette première Brique de la Fabrique du Futur aura son nom associé à la création d’un étalon en métal précieux dans l’univers virtuel « Second Life ». La vente aux enchères sera réalisée par le célèbre commissaire-priseur Pierre Cornette de Saint Cyr.</p> <div id="eventdescription_content" style="margin-bottom: 2px"><b srcid="00017dd1"><span class="style3" srcid="000147c8">INTRODUCTION<br srcid="00017dd2" /> <br srcid="00017dd3" /></span> - Frédéric Desclos, Responsable TIC à la CCIP<br srcid="00017dd4" /> <br srcid="00017dd5" /> - Eric Seulliet, Président de La F@brique du Futur</b><br srcid="00017dd6" /> <span class="style3" srcid="00017dd7"><br srcid="00017dd8" /> <b srcid="00017dd9">PREMIER DEBAT : CHRONIQUES DE LA VIRTUALISATION DE L'ENTREPRISE<br srcid="000151c1" /> <br srcid="000151c2" /></b></span> <b srcid="00017dda">Des témoins racontent leurs expériences et dressent un état des lieux.<br srcid="000151c4" /></b><br srcid="000147ce" /> Après des utilisations confidentielles, les usages de la réalité virtuelle dans l’entreprise sont de plus en plus nombreux. Des simulations en 3 D servent à concevoir et à tester des produits, recruter et former des utilisateurs, simuler des objets ou des lieux …<br srcid="000151c5" /> <br srcid="000151c6" /> Dans le même temps, les univers virtuels se sont développés. Croyant à une deuxième vie, des entreprises ont pris pignon sur Second life. D’autres ont créé leurs propres univers virtuels.<br srcid="000151c7" /> <br srcid="000151c8" /> Expériences, synthèses, échanges… Le premier débat brosse le tableau de ce boom de la troisième dimension dans l’entreprise.<br srcid="000147d2" /> <br srcid="0001520f" /> <span class="style1" srcid="00015210"><b srcid="00015211">Intervenants :<br srcid="00015226" /></b></span><br srcid="00015227" /> <b srcid="00017ddb">- François Abiven, Directeur Général de Repères : expériences de marques su Second Life<br srcid="00017ddc" /> <br srcid="00017ddd" /> - Frédéric Aunis, L'Oréal : un "serious game" sur la formation des coiffeurs<br srcid="00015275" /></b><b srcid="00017dde"><br srcid="00017ddf" /> - Emmanuel de la Gardette, CTO de SUN France : Wonderland<br srcid="00017de0" /> <br srcid="00017de1" /> -</b> <b srcid="00017de2">Philippe Loeb, Dassault Systèmes : présentation de 3DSWYM<br srcid="00017de3" /> <br srcid="00017de4" /> - Gilbert Réveillon, LaSer : Intégration corporate des univers 3D immersifs<br srcid="00017de5" /> <br srcid="00017de6" /> - Stéphanie Theron, Responsable Marketing Beauté - Galeries Lafayette : L’ile de Beauté sur Second Life, un nouveau territoire d’expression pour la marque<br srcid="00017de8" /> <br srcid="00017de9" /></b><br srcid="000147d4" /> <b srcid="000147d5"><span class="style3" srcid="000147d6">DEUXIEME DEBAT : <b srcid="000151c9">COMMENT LA VIRTUALITE VA-T-ELLE CHANGER LE MANAGEMENT ET LES HABITUDES DE L’ENTREPRISE ? </b><br srcid="000151ca" /> <br srcid="000151cb" /></span></b> <b srcid="000147d9">Des experts imaginent l’entreprise et le management de demain<br srcid="000151cc" /></b><br srcid="000147db" /> Des arguments donnent à penser que les entreprises utiliseront demain encore plus les univers virtuels.<br srcid="000151cd" /> <br srcid="000151ce" /> - Les univers virtuels se multiplient. Les entreprises investissent Second Life ou, à l’instar de Sun ou IBM, créent des univers 3D privés.<br srcid="000151cf" /> <br srcid="000151d0" /> - Le cabinet Gartner prédit que 80 % des internautes actifs et les 500 premières sociétés mondiales auront une vie virtuelle en 2011.<br srcid="000151d1" /> <br srcid="000151d2" /> - Des experts pensent que les univers virtuels actuels préfigurent l’Internet du futur. Au lieu de progresser sur le réseau en cliquant de site en site, les internautes auront des avatars qui se déplaceront dans un espace virtuel modélisé.<br srcid="000151d3" /> <br srcid="000151d4" /> - A l’heure de la mondialisation, les univers virtuels peuvent faciliter le travail d'équipes éloignées géographiquement, être un moyen pour impliquer les clients dans un processus d’innovation ou encore être un outil performant tant pour intégrer les nouveaux embauchés que pour la formation.<br srcid="000151d5" /> <br srcid="000151d6" /> - Diminuant les déplacements professionnels, ils permettraient de faire de substantielles économies d’énergie.<br srcid="000151d7" /> <br srcid="000151d8" /> Si la virtualité devient une réalité incontournable pour l’entreprise, quel contour aura l’entreprise augmentée de la virtualité ? Quels seront les liens entre le réel et le virtuel ? Quelles sont les limites du virtuel ? Comment manager des avatars ? Quelle sera la place de l’homme dans ces univers ? Comment travaillera-t-on demain ?<br srcid="00017dea" /> <br srcid="00017deb" /> <span class="style1" srcid="00017dec"><b srcid="00017ded">Intervenants :</b></span><br srcid="000151d9" /> <br srcid="00017dee" /> <b srcid="00017def">- Dan Benzakein, Extralab : le Metaverse Roadmap</b><br srcid="00017df0" /> <br srcid="00017df1" /> <b srcid="00017df2">- François Denieul, Directeur du Laboratoire des Espaces Intelligents : Réalité virtuelle et réalité augmentée<br srcid="00017df3" /></b><br srcid="00014c11" /> <b srcid="00017df4">- Philippe Fuchs, Professeur à l'Ecole des Mines de Paris, Responsable de recherche en réalité virtuelle et augmentée, Président de l'AFRV<br srcid="00017df5" /> <br srcid="00017df6" /> - Maryline Passini, Prospectiviste - Proâme<br srcid="00017df7" /> <br srcid="00017df8" /> - Louis Treussard, directeur de l’Atelier BNP Paribas : univers virtuels : du recrutement de la génération Y au e-learning et à la diffusion des connaissances dans l'entreprise</b><br srcid="00017df9" /> <br srcid="00017dfa" /> <br srcid="00017dfb" /> <br srcid="00014c13" /> <b srcid="00017dfc"><span class="style3" srcid="00014c14">UN GRAND TEMOIN<br srcid="00014c16" /> <br srcid="00014c17" /></span> Francis Jutand, directeur scientifique du GET (Groupe des Ecoles des Télécommunications)</b><br srcid="000151da" /> <br srcid="000151db" /> Ce penseur praticien réagira aux débats et leur donnera une hauteur non virtuelle.<br srcid="000151dc" /> <br srcid="000151dd" /> <span class="style3" srcid="000151de"><b srcid="000151df"><br srcid="000151e9" /> 19h30 Clôture de la vente aux enchères de la brique virtuelle en or de la Fondation du Futur<br srcid="000151e0" /> <br srcid="000151e1" /></b></span> Cocktail et échanges aussi informels que réels.</div> <div id="eventdescription_content" style="margin-bottom: 2px"> </div> <p style="text-align: center" align="center"><b><i><span style="font-size: 10pt; font-family: Arial; color: red">Plus d'informations sur le site de <a href="http://www.lafabriquedufutur.org/" target="_blank" title="La F@brique du Futur">La F@brique du Futur</a></span></i></b></p> <p style="text-align: center" align="center"><span style="font-size: 10pt; font-family: Arial">Contact téléphonique : 06 60 69 30 40</span></p> <p style="text-align: center" align="center"><b><span style="font-size: 10pt; font-family: Arial; color: red">Pour adhérer à l'association La F@brique du futur et bénéficier du tarif privilégié adhérent,</span></b> <b><span style="font-size: 10pt; font-family: Arial"><a href="http://www.lafabriquedufutur/Rejoindre.html" target="_blank" title="cliquez ici">cliquez ici</a></span></b></p> <div style="text-align: center"></div> <p style="text-align: center" align="center"> </p> <p style="text-align: center" align="left"><b>Accès à la billeterie sur suite de la note<br /></b></p> <p align="center"><b><a href="http://www.lafabriquedufutur/Rejoindre.html" target="_blank" title="cliquez ici"></a></b><br /> </p> </div>
Denis Henri Faillyhttp://denisfailly.blogspirit.com/about.htmlMarketing 3D en lignetag:denisfailly.blogspirit.com,2007-06-29:13162332007-06-29T13:30:00+02:002007-06-29T13:30:00+02:00 Publicis et Dassault Systèmes lancent 3DSYM, une société qui permettra...
<p>Publicis et Dassault Systèmes lancent 3DSYM, une société qui permettra d'associer le consommateur à la conception des produits, la modélisation en 3D (conception,visualisation, modification) et en ligne se fera gràce à la technologie 3Dvia développée par Dassault voir l'article de <b><a href="http://www.zdnet.fr/galerie-image/0,50018840,39370809-1,00.htm" target="_blank">Zdnet...</a></b></p> <div style="margin-bottom: 25px; margin-top: 25px"> <div style="width: 320px; text-align: left"><iframe src="http://www.dailymotion.com/blog/video/4033203?key=jyj3367ux1qmoei4b552bxwfapkek1wzgskr5dxy" style="border: medium none ; margin: 0px; width: 320px; height: 256px" marginwidth="0" marginheight="0" id="ijyj3367ux1qmoei4b552bxwfapkek1wzgskr5dxy" name="ijyj3367ux1qmoei4b552bxwfapkek1wzgskr5dxy" frameborder="0" height="256" scrolling="no" width="320">Dailymotion blogged video</iframe><br /> <p> </p> <p><b><br /></b></p> <div align="left"> <div style="text-align: center"><a href="http://entretiens-du-futur.blogspirit.com/media/02/02/f32aee9916c4d35a62cc8652b31dbb53.jpg" target="_blank"><br /></a></div> </div> <div align="left"> </div> <div align="center"><br /> <br /></div> <div class="bl-lien"> <div align="center"><b><a href="http://www.3dswym.com/" target="_blank">Voir la première démo de la plateforme</a></b><br /></div> </div> <div class="bl-lien"> </div> <div class="bl-lien"> <div align="right"> </div> </div> </div> </div>
marketingisdeadhttp://marketingisdead.blogspirit.com/about.htmlEt si on fondait une maison d’édition Web 2.0 ?tag:marketingisdead.blogspirit.com,2007-06-14:12991292007-06-14T18:45:00+02:002007-06-14T18:45:00+02:00 Après ma musique, le métier qui souffrira le plus – et le plus rapidement –...
<img src="http://marketingisdead.blogspirit.com/images/thumb_schtroumpf.jpg" alt="medium_schtroumpf.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" />Après ma musique, le métier qui souffrira le plus – et le plus rapidement – de Web 2.0 et de la dématérialisation des contenus sera très certainement celui de l’édition professionnelle. <p class="MsoNormal">Dans les deux cas, la profession y a dérivé d’un marketing de l’offre très volontariste – avec parfois des partis pris risqués, mais toujours qualitatifs – à un marketing de la demande débouchant nécessairement sur des productions le plus souvent médiocres, pour lesquels les éditeurs refusent de prendre le moindre risque.</p> <p class="MsoNormal">L’édition musicale, c’était hier des maisons comme <i>Atlantic</i> ou <i>Motown</i>, dénichant à coup d’intuitions géniales, des Ray Charles et des Marvin Gaye, et les soutenant de toute leur énergie : qui aurait raisonnablement misé sur un noir toxicomane… et aveugle de surcroît ! Personne sinon <i>Ahmet Ertegun</i>, fondateur d’<i>Atlantic</i>.</p> <p class="MsoNormal">Aujourd’hui, ce sont quatre majors se partageant 80% du marché, et la plupart du temps incapables de comprendre, tant leurs artistes, que leurs publics ; dépensant des sommes folles en marketing pour assurer la promotion de gloires éphémères sorties de la real TV ; et étranglant à l’aide de contrats draconiens les valeurs montantes – pour ne pas parler du sort réservé aux groupes qui ne pénétreront jamais le Top 50, c’est-à-dire la quasi-totalité de la scène française ou mondiale.</p> <p class="MsoNormal">L’édition professionnelle, ce sont désormais des éditeurs totalement incapables de discerner un bon projet d’un mauvais, et bétonnant de partout pour éviter de prendre le moindre risque : avec des directeurs de collections universitaires pour répliquer à l’infini les mêmes antiennes quand la société évolue plus vite que les thésaurisateurs.</p> <p class="MsoNormal">Surtout, la première question que vous posera tout bon directeur littéraire sera : <i>« Quelles préventes pouvez-vous me garantir ? »</i> ; à ce petit jeu, il est plus aisé à un directeur d’institut ou d’agence de communication – qui va acheter des centaines d’exemplaires pour assurer la publicité de sa société – ou à un professeur de grande école de se retrouver sur les rayons des librairies.</p> <p class="MsoNormal">Le seul petit détail que ces braves gens ont oublié, c’est très peu de professionnels espèrent gagner leur vie – ou même simplement changer de voiture – de leurs écrits, sauf les quelques rabâcheurs qui ressassent les sempiternelles théories du millénaire passé.</p> <p class="MsoNormal">J’écris, plein de mes copains écrivent, simplement parce qu’ils ont quelque chose à dire – et que pouvoir dialoguer avec d’autres professionnels l’emporte de loin sur l’obole que ne leur accordera jamais un éditeur. Alors, comme des tas de copains, je blogge… et j’y trouve un plaisir immédiat, nettement supérieur à celui de discuter le bout de gras avec n’importe quel éditeur !</p> <p class="MsoNormal">Blogger, c’est bien, mais qu’en reste-t-il ? Au terme de quelques mois, les papiers, classés par ordre ante chronologique, s’accumulent au fond de la pile… et sombrent dans l’oubli ; par ailleurs, même si l’on publie quelques papiers de fond, plus construits, la plupart du temps, la pensée demeure journalistique, donc parcellaire.</p> <p class="MsoNormal">Et c’est alors que le livre trouve toute sa place, comme une somme : sauf quelques stakhanovistes, l’on en publie jamais que 3, 4, 5 au cours d’une carrière professionnelle. Et pour les anciens – nés, comme moi, au siècle dernier – il y aura toujours la magie de la chose imprimée, du papier, de cet objet que l’on découvre dans les rayonnages des libraires…</p> <p class="MsoNormal">Un peu comme un artiste débutant aperçoit son tout nouveau CD dans les bacs disquaires… et en arrive à oublier qu’il ne touchera certainement pas un centime dessus, après être passé sous les fourches caudines des maisons de disque.</p> <p class="MsoNormal">C’est pourquoi de plus en plus d’artistes leur font désormais un bras d’honneur, en publiant gratuitement leur musique sur <i>MySpace</i> ou leurs sites Internet : de toute façon, ils gagnent – aujourd’hui comme hier – leur vie en tournant de salle en salle ; alors, à défaut de revenus, Internet leur apporte la publicité – gratuite – que majors ou indépendants sont incapables de leur offrir.</p> <p class="MsoNormal"><b>Et si on fondait une maison d’édition Web 2.0 ?</b></p> <p class="MsoNormal">Bien des schémas sont envisageables : vente à prix réduits ou totale gratuité ; diffusion totalement dématérialisée ou mixte ; modèle associatif, coopératif, ou banalement lucratif. Le problème le plus épineux restera certainement celui de la direction littéraire et de la sélection des auteurs et des projets.</p> <p class="MsoNormal">Avec la dématérialisation des contenus, la mise à disposition gratuite de livres au format <i>PDF</i> ne constitue plus vraiment un obstacle, les auteurs se chargeant alors eux-mêmes de la mise en page de leurs écrits ; toutefois, une commercialisation à coûts très réduits – quelques euros – peut également s’envisager.</p> <p class="MsoNormal">En parallèle de cette diffusion virtuelle, des tirages papier en quantités limitées sont rendus possibles par l’évolution des techniques de <span xml:lang="EN-US" lang="EN-US">publishing</span> : certains éditeurs proposent d’ores et déjà des impressions en séries extrêmement limitées, voire <i>à la demande</i> – en fait le livre part en impression seulement après avoir été commandé.</p> <p class="MsoNormal">Un modèle mixte – <i>PDF</i> téléchargeable gratuit/papier expédié payant à coûts réduits – constitue une alternative intéressante à un modèle purement virtuel : certains lecteurs, réticents à ingurgiter un lourd pavé sur écran, seront heureux de prolonger de façon plus classique un ouvrage feuilleté électroniquement.</p> <p class="MsoNormal">La publication papier à façon peut se déconnecter de la fonction d’édition : un même imprimeur/routeur peut sous traiter cette tâche industrielle pour plusieurs maisons d’édition en ligne, assurant ainsi une sorte de back office ; dès lors, ces dernières peuvent aisément se constituer sans nécessaire apport de capitaux – voire fonctionner sur le seul bénévolat associatif.</p> <p class="MsoNormal">Dès lors, n’importe qui – n’importe quel groupe – peut s’instituer éditeur, se constituer en maison d’édition : je militerais alors volontiers pour un système collaboratif par cooptation : deux ou trois auteurs se regroupant pour créer une telle maison virtuelle à l’occasion de la publication du dernier ouvrage de l’un d’entre eux… Suivront ensuite ceux des autres membres de la coopérative, et le tour est joué : aussi simple, ou presque, de lancer un blog sur Internet.</p> <p class="MsoNormal">Pas de comité de lecture : la coopérative s’élargit par cooptation… structure et fonctionnement simplissime !</p> <p class="MsoNormal">Evidemment, Web 2.0 permettra de créer le <i>buzz</i>… et comme ces auteurs Web 2.0 sont aussi des bloggers – confirmés, sinon d’influence, sinon, ils n’auraient jamais réussi à accoucher d’un livre – leurs réseaux vont rapidement propager l’information… et c’est tout ! C’est Web 2.0 : si le livre est bon, il aura une chance proportionnelle à sa qualité !</p> <p class="MsoNormal">Quelques structures associatives plus établies pourraient fédérer autour d’elles plusieurs de ces microstructures virtuelles, leur conférant une plus grande visibilité – sans nécessairement cautionner les contenus : elles n’auraient pas à se substituer à leur direction littéraire.</p> <p class="MsoNormal">Finalement, un schéma aussi souple que Web 2.0.</p> <p class="MsoNormal"><span xml:lang="EN-US" lang="EN-US">La redaction de <i>Marketing is dead</i></span>, mon prochain livre, avance très doucement, mais <i>qui va piano</i>… je suis prêt à le mettre au pot d’une telle démarche.</p> <p class="MsoNormal">Et si quelqu’un est assez fou pour tenter l’expérience, ou simplement a envie de continuer le débat sur le thème, <span xml:lang="EN-US" lang="EN-US">welcome on board</span> !</p> <p class="MsoNormal"> </p>