Last posts on valentine2024-03-29T06:19:10+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/valentine/atom.xmlEdouardhttp://blogres.blogspirit.com/about.htmlL'amour au-delà de la mort (Daniel de Roulet)tag:blogres.blogspirit.com,2018-05-03:33247412018-05-03T02:46:00+02:002018-05-03T02:46:00+02:00 par Jean-Michel Olivier On connaît le rapport ambivalent que Daniel...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 12pt;"><em>par Jean-Michel Olivier</em></span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><a href="http://blogres.blogspirit.com/media/01/02/1755727991.2.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234400" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blogres.blogspirit.com/media/00/00/323478019.jpeg" alt="images.jpeg" /></a>On connaît le rapport ambivalent que Daniel de Roulet entretient avec son pays : relation d'amour-haine qui est au cœur de plusieurs de ses livres. Le peintre Ferdinand Hodler, dont on célèbre cette année le centenaire de la mort et à qui de Roulet adresse une série de belles lettres, cristallise parfaitement cette ambivalence. D'abord peintre d'histoire et d'allégories, célébré par la droite patriotique (Christophe Blocher est le plus grand collectionneur de ses toiles) Hodler est considéré par de Roulet comme un « peintre helvétique et besogneux »*. On craint alors le pire. Heureusement, tout va changer avec la rencontre d'une belle Parisienne, Valentine Godé-Darel, qui va devenir son modèle, puis sa maîtresse, et donner un élan nouveau — et pour tout dire moderne — à sa peinture. </span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Que s'est-il donc passé ? </span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">De Roulet mène l'enquête à Paris, puis à Genève et à Vevey (où séjourne Valentine). Il reconstitue sous nos yeux la vie du peintre, fils de paysans bernois, marqué par la mort, l'acharnement au travail, le désir de reconnaissance. Influencé par des artistes comme Albert Anker, Alexandre Calame et Gustave Courbet, le Hodler de la première époque peint des allégories, des scènes symboliques (son célèbre tableau <em>La Nuit</em> fait sensation au Salon du Champ de Mars en 1891 à Paris). <a href="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/01/00/2647636104.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234298" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/01/00/198325549.jpg" alt="92px-Fernidand_Hodler_-_The_Woodcutter_-_Google_Art_Project.jpg" /></a>Il célèbre les hallebardiers suisses ou les bûcherons, images du labeur et de la force. Il y a quelque chose d'épique dans ses peintures murales marquées par l'influence du peintre français Puvis de Chavannes.</span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><a href="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/00/00/2081309145.8.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234299" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/00/00/1915680420.27.jpeg" alt="images-1.jpeg" /></a>C'est alors qu'il rencontre Valentine : le fils de paysans bernois tombe amoureux d'une mondaine parisienne (par ailleurs, également peintre). Elle lui sert de modèle, puis décide de le rejoindre en Suisse. C'est peu dire que Hodler va la portraiturer sous tous les angles, dans toutes les lumières, sous toutes ses coutures. On compte plus de 100 toiles et plusieurs centaines de dessins de Valentine, à la fois objet et sujet d'un amour fou.</span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><a href="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/00/00/2602054058.3.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234300" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/00/00/2023765398.3.jpeg" alt="Unknown-1.jpeg" /></a>De Roulet suit pas à pas leur histoire, le premier rendez-vous, les escapades amoureuses. Pour les dire, il retrouve les mots les plus justes, et parfois les plus simples : on dirait que la force que célébrait Hodler dans ses premières toiles s'est muée en passion amoureuse, une passion inquiète et obsessionnelle. Parlant de Hodler, de Roulet parle aussi de lui-même, bien sûr, car le peintre bernois est lié de près à son histoire familiale, ce qui rend le propos encore plus fort et plus percutant. Il y a un véritable enjeu dans ces lettres adressées à un peintre célèbre qu'on ne connaît peut-être pas assez.</span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Et puis survient la maladie. Une maladie violente et incurable : Valentine souffre d'un cancer des ovaires. À compter de ce jour, Hodler multiplie les visites, à Vevey, puis à Lausanne, au chevet de son amoureuse. Il prend toujours avec lui ses pinceaux et ses crayons. <a href="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/01/01/2419449670.7.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234301" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/01/01/1072060335.12.jpeg" alt="images-3.jpeg" /></a>Il va faire de Valentine non l'objet de sa peinture (pas de vol, ni de viol dans sa démarche), mais le sujet d'une lutte à mort contre la mort. Il va peindre l'agonie de sa maîtresse, non en voyeur, mais en témoin et en exorciste. Il va peindre la vie et l'amour jusqu'à ses ultimes limites. La limite de ses forces. C'est pourquoi ces portraits de Valentine, images de la souffrance et du combat, sont si bouleversantes. Daniel de Roulet rend parfaitement compte de cette lutte à mort (et perdue d'avance) contre une maladie implacable.</span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;"><br /><a href="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/02/02/307310942.14.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234303" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/02/02/349057970.38.jpeg" alt="images.jpeg" /></a>Pendant toute l'agonie de Valentine, entre deux visites à sa maîtresse, Hodler va peindre le Léman comme aucun peintre ne l'avait peint jusque-ici. Compositions à l'équilibre parfait. Harmonie sans pareille des bleus et des blancs, le lac étant le miroir du ciel encombré de nuages. Ces tableaux sublimes forment une sorte de contrepoint à l'agonie de Valentine. <a href="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/02/01/194024233.7.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-234304" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://jmolivier.blog.tdg.ch/media/02/01/4105864202.10.jpeg" alt="images-2.jpeg" /></a>Dans les deux cas, une obsession de l'horizontalité : la mort de sa maîtresse, qui avance à pas de loup, et la sérénité du lac, comme une eau dormante. Une consolation. Une méditation. Le contraste est frappant. Les deux séries de tableaux apparaissent comme les deux faces d'un diptyque. </span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce petit livre foisonnant et précis, qui touche juste, par son style et son adresse. Ces lettres sont belles, parfois savantes et érudites (on y apprend beaucoup de choses sur la vie de Ferdinand Hodler), toujours touchantes. Elles rendent compte, à leur manière, d'une relation qui a bouleversé non seulement la vie de deux êtres humains, mais également l'histoire de la peinture. Hodler, qui va mourir deux ans après Valentine, ne s'est jamais remis de la perte de sa maîtresse.</span></p><p><span style="font-size: 14pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Rappelons que Ferdinand Hodler est à l'honneur du Musée Rath, à Genève (près d'une centaine d'œuvres), et du Musée d'Art de Pully. Deux expos à ne pas manquer !</span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">* Daniel de Roulet, <em>Quand nos nuits se morcellent, Lettres à Ferdinand Hodler,</em> Zoé, 2018.</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"> </p>
phalexandrehttp://blogdewellin.blogspirit.com/about.htmlA quel Saint-Valentin se vouer????tag:blogdewellin.blogspirit.com,2013-02-14:32321362013-02-14T07:00:00+01:002013-02-14T07:00:00+01:00 Voici les trois plus "célèbres" : 1/ Un prêtre romain du...
<p><span style="color: #000000;"><strong style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;"><span style="text-decoration: underline;">Voici les trois plus "célèbres"</span> : </span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">1/ Un prêtre romain du IIIe siècle</strong></span></p><p><span style="color: #000000;"><strong style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; text-align: justify; font-size: small;"><img style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRtwl4foV934gEXZxim1r-cB11hSRj_WqeiGNclJGZnCTRydAerTg" alt="images?q=tbn:ANd9GcRtwl4foV934gEXZxim1r-cB11hSRj_WqeiGNclJGZnCTRydAerTg" /></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">La premier Valentin cité est un prêtre romain du IIIe siècle. Il vit sous le règne de Claude II, empereur païen qui, pendant son court règne (268-270), est engagé dans de sanglantes campagnes militaires. En 268, sous prétexte de ménager les forces des hommes en âge de combattre, il leur interdit le mariage. Mais les jeunes gens continuent à recevoir en secret la bénédiction du mariage, grâce au prêtre Valentin. Ce dernier est bientôt démasqué et emprisonné. Alors qu'il est en captivité, Valentin fait la </span><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">connaissance d'Augustine, la fille de son geôlier. La légende raconte qu'il redonne la vue à la jeune femme aveugle. Dès lors, elle prend soin de lui : reconnaissant, il lui envoie un message avant d'être</span><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;"> exécuté, signé "Ton Valentin ". C'est de cette épisode que serait issue la coutume de s'envoyer des messages à l'occasion de la Saint-Valentin. Mort martyr, décapité à Rome vers 270, il est enterré sur la voie Flaminienne, où lui est par la suite rendu un culte. Considéré comme le saint patron des amoureux depuis le XVe siècle, ce personnage est souvent confondu avec l'évêque de Terni, qui connut le même sort.</span></span></p><p><span style="color: #000000;"><strong style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; text-align: justify;"><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcSh5RPnN-2cV06ZfQfX2DZtdIugRphRY_ds_ke9yEijAU9-2ZW4" alt="images?q=tbn:ANd9GcSh5RPnN-2cV06ZfQfX2DZtdIugRphRY_ds_ke9yEijAU9-2ZW4" /></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;"><strong>2/ Un évêque de Terni</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">La deuxième possibilité concerne un personnage qui vécut à la même époque que le premier Valentin, avec qui il est souvent confondu. Consacré évêque de Terni, en Ombrie, en 203, le second Valentin est présenté comme un grand faiseur de miracles. Réputé pour ses dons de guérisseur, il est appelé à Rome par le philosophe païen Craton, dont le fils est atteint d'une maladie incurable. Valentin le guérit et obtient, en échange, la conversion de toute la famille au christianisme. La nouvelle de cette guérison miraculeuse entraîne de nombreuses autres conversions. Placide, le préfet de Rome, fait alors mettre à mort Valentin pour avoir mis ses pouvoirs au service des chrétiens et troublé le culte impérial. Ce dernier est décapité à Rome, vers 273. Il semblerait qu'une confusion entre différentes légendes du Moyen Age l'aurait fait devenir patron des amoureux.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;"><strong><img style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://www.linternaute.com/histoire/magazine/dossier/07/saint-valentin/images/valentin-epilepsie.jpg" alt="valentin-epilepsie.jpg" />3/ Un missionnaire de Rhétie</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">Quant à Valentin de Rhétie, son association avec la fête des amoureux résulte d'une confusion avec ses homonymes. Evêque missionnaire qui vécut en Rhétie, dans les Alpes centrales, il est célébré en Allemagne tous les 14 février.D'abord moine dans un monastère, il fait bâtir une église à Maïs où il vit toute sa vie. Protecteur des épileptiques, il est généralement représenté avec un enfant épileptique étendu à ses pieds. Le lien avec la fête des amoureux provient, cette fois encore, d'une confusion qui remonte certainement au Moyen-Age.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;"><br /></span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Le premier cité semble donc tenir la corde...</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://mamidoo.free.fr/html/gifs/barres/animees/divers/bar2.gif" alt="bar2.gif" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://www.lexilogos.com/images/cupidon_arc.jpg" alt="cupidon_arc.jpg" /></span></p><p style="text-align: left;"><span style="text-decoration: underline; color: #000000;"><strong><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Mais outre ce fait, d'où vient la tradition actuelle???</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Il semblerait que dès le IV° siècle avant notre ère, les romains fêtaient les Lupercales qui était données en l'honneur du dieu des troupeaux, des bergers et de la fécondité (Lupercus) et qui marquait la fin de l'hiver aux alentours du 15 février. </span><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Cette fête comportait un banquet et, amateurs de jeux de hasard, les Romains en profitaient pour organiser une loterie : chaque jeune fille inscrivait son nom sur un parchemin qu’elle déposait dans une urne et chaque jeune garçon tirait au sort le nom de celle qui devait l’accompagner. </span><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Le pape Gélase Ier aurait décidé, en 495, d’y substituer une célébration chrétienne le 14 février, avec la fête d’un saint Valentin. Même si le fait n’est pas attesté en tant que tel - sa Lettre contre les Lupercales ne le dit pas explicitement - c’est une tradition bien établie de substituer à des fêtes païennes une célébration chrétienne.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">C'est au Moyen Âge, en Angleterre, que sont apparus les premiers mots d'amour liés à l'occasion de la saint Valentin : les "valentines". Une tradition raconte que les oiseaux s'accouplent à la mi-février... C'est la fin de l'hiver : les premières fleurs apparaissent avec les premiers gazouillis des oiseaux...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">Au XVe siècle, Charles d’Orléans, retenu en captivité à Londres pendant 25 ans, aurait introduit la coutume des messages à la cour de France. <strong>Mais c’est en 1496 que la Saint-Valentin est devenue officiellement la fête des amoureux.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">Au XIXe siècle, les valentines étaient devenues le moyen le plus répandu de déclarer son amour. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">Aujourd'hui, cette fête est devenue avant tout commerciale. Sans doute fallait-il la mettre en évidence afin de faire tourner le commerce entre les fêtes de fin d'année et Pâques... <strong>Mais faut-il vraiment fixer une date pour les amoureux? Tous les jours ne sont-ils pas "Saint-Valentin"???</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">Aux États-Unis, la Saint-Valentin est autant la fête de l’amitié que celle des amoureux. À l’école, les enfants se donnent des cartes sur lesquelles ils écrivent quelques mots gentils. Par courrier, ils s’envoient très souvent des graines à planter.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://mamidoo.free.fr/html/gifs/barres/animees/divers/bar2.gif" alt="bar2.gif" /><span style="text-decoration: underline;"><strong><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;">Le prénom "Valentin"</span></strong></span></span></p><p><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #000000;">Valentin est un prénom d'origine latine. Il s'écrit en latin Valentinus et vient de valens,-tis : fort, robuste, vigoureux. Ce nom n'a apparemment rien à voir avec l'amour... mais l'amour ne rend-il pas ceux qui s'aiment plus forts ? </span></p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQp98m3jomNYm5ITrrLaTDaqrbcAARmstZ5Ykj1kX0k7TGCP7c_" alt="images?q=tbn:ANd9GcQp98m3jomNYm5ITrrLaTDaqrbcAARmstZ5Ykj1kX0k7TGCP7c_" /></p><p style="text-align: justify;"><strong style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small;"><a href="http://blogdewellin.blogspirit.com/media/98/amoureux-thumb.2.jpg" target="_blank"><img id="media-24494" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blogdewellin.blogspirit.com/media/98/amoureux.2.jpg" alt="amoureux.jpg" /></a><span style="color: #000000;"><span style="font-size: medium;">Ce jeudi, nous fêtons la Saint-Valentin.</span></span></strong><span style="color: #000000;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif;"> Tout le monde sait ce que cela signifie. Mais qui était ce fameux Saint-Valentin? Là, les choses sont beaucoup moins claires. En effet, on en dénombre au moins trois (sept selon certains!) qui se fêtent tous aux alentours du 14 février!!! </span></span><strong><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: medium;">Lequel est donc le vrai "patron" des amoureux???</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://mamidoo.free.fr/html/gifs/barres/animees/divers/bar2.gif" alt="bar2.gif" /></span></p><div><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: small; color: #ff0000;"><strong>Cliquez sur "lire la suite" ci-dessous à gauche</strong></span></div>
Françoisehttp://legranddeblocage.blogspirit.com/about.htmlles chansons d'antan !tag:legranddeblocage.blogspirit.com,2009-01-07:16920252009-01-07T17:50:47+01:002009-01-07T17:50:47+01:00Je me souviens... à la manière de Pérec ? quand j'étais une petite fille je...
Je me souviens... à la manière de Pérec ? quand j'étais une petite fille je me souviens de la mine horrifiée de ma grand mère, oncle, tante et mère quand je chantais l'air à la mode "Prosper youp la boum... c'est le chéri de ces dames"... ou "Valentine avait de touts petits tétons"... D'autres chansons correctes faisaient rire "Tout va très bien madame la Marquise" "J'aime les bananes parce qu'il n'y a pas d'os dedans" Ray Ventura avait bonne presse à la maison. Est ce que parce que mon oncle avait joué avec lui au Lycée Carnot ? ou bien parce que Paul Misraki était un ami de la famille ? ou parce que le père de Sacha Distel, qui se prénommait aussi Sacha, avait été amoureux de ma maman... avant son mariage avec mon papa bien entendu .Aujourd'hui qu'entends je ? oh, certes pas des chansons;.. mais des mots dont je n'ai connu l'existence que bien plus tard.... merde, c'est banal, tout comme con... mais putain est courant... bientôt ces mots seront admis dans les "compositions françaises" et sans doute bien notés parce que faisant preuve de culot et d'originalité !!!!!Je ne suis pas spécialement rétro, mais notre bonne vieille langue française comporte bien assez de mots et d'expressions imagés pour ne pas se sentir obligé de crier "ta gueule" "putain" "va chier" et j'en passe... à tout bout de champ (chant ?)En anglais mon adorable gendre n'a à la bouche que ce compliment "Fuck" "Fucking" et ses dérivés !Nous sommes bien tous fabriqués de la même matière dans le même moule...... à merde ! Oh ! pas beau ça !