Last posts on travailleurs2024-03-29T14:57:28+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/travailleurs/atom.xmlBernard LECOMTEhttp://lecomte-est-bon.blogspirit.com/about.htmlDans ”travailleurs détachés”, il y a ”travailleurs”tag:lecomte-est-bon.blogspirit.com,2017-08-27:30956992017-08-27T10:16:31+02:002017-08-27T10:16:31+02:00 C’est un viticulteur bourguignon qui m’a fait comprendre, l’autre jour,...
<p><span style="font-family: 'Arial',sans-serif; font-size: 10pt;"><img id="media-971224" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lecomte-est-bon.blogspirit.com/media/00/00/2690493938.jpg" alt="vendanges.jpg" width="121" height="80" />C’est un viticulteur bourguignon qui m’a fait comprendre, l’autre jour, que le dossier des travailleurs détachés était plus compliqué qu’il n’y paraît. Pourquoi cet employeur saisonnier préfère-t-il payer 18 euros/heure les travailleurs bulgares qui viennent en autocar faire les vendanges dans son terroir, plutôt que 15 euros/heure les intérimaires français qu’il embauche pour le même job ? Parce que s’il pleut pendant les deux premiers jours, ou s’il fait un peu froid, environ 30 % des Français engagés se volatilisent le troisième jour, sans même s’excuser, laissant l’employeur dans une panade noire ! Alors que les Bulgares, eux, s’attachent à finir le boulot…</span></p>
François MARChttp://francois-marc.blogspirit.com/about.htmlPourquoi tant de travailleurs étrangers dans l’agroalimentaire breton ?tag:francois-marc.blogspirit.com,2014-03-25:29991892014-03-25T14:48:00+01:002014-03-25T14:48:00+01:00 Dans un communiqué paru vendredi, la Cfdt du Finistère pointe du doigt le...
<p><img id="media-791044" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://francois-marc.blogspirit.com/media/00/01/3297695551.4.jpg" alt="françois marc,sénateur,sénateur françois marc,finistère,cfdt,agroalimentaire,travailleurs,bas coût,main d'oeuvre,concurrence déloyale,distorsion de concurrence,dumping social,europe,nord finistère,agriculture" />Dans un communiqué paru vendredi, la Cfdt du Finistère pointe du doigt le nombre important de travailleurs (entre 600 et 800) d'origine étrangère dans les champs d'échalotes du Nord Finistère.</p><p>La Cfdt souligne à juste titre <strong>une situation aberrante à laquelle il est crucial de mettre un terme</strong>.</p><p><span style="text-decoration: underline;"><strong><a title="La Cfdt du Finistère s'étonne du nombre important de travailleurs étrangers " href="http://www.agrisalon.com/fr/permalien/article/7004207/La-Cfdt-du-Finistere-s-etonne-du-nombre-important-de-travailleurs-etrangers.html" target="_blank">Lire le communiqué</a></strong></span></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlEspèce d’épicène! - ou comment faire ronronner la chattetag:leshommeslibres.blogspirit.com,2012-11-04:32984422012-11-04T10:32:00+01:002012-11-04T10:32:00+01:00 Exemple: «les caisses de pension des travailleuses·eurs» . A vous faire...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Exemple:</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><em>«les caisses de pension des travailleuses·eurs»</em>. A vous faire préférer la moquette à la lecture. Parce que la moquette, au moins, on sait qu’elle est faite pour modifier les perception; c’est normal.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Simplifions: écrivons «travailleuseseurs» sans séparation. Puisque le langage épicène sépare ce qui était uni - intention hautement symbolique - unissons à nouveau ce qui est séparé. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/2832703010.jpg" target="_blank"><img id="media-129370" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/3566526772.jpg" alt="épicène,masculin,féminin,langue,féminista,travailleurs,femmes,hommes,gauche,chat" width="250" height="261" /></a>Bon, normalement, selon les règles, il faudrait écrire: travailleu·se·r·s; ou: travailleurs-euses. <em>(Et dans travailleurs-euses, il y a «heureuse»... ce qui ne signifie pas que les travailleurs sont automatiquement heureuses)</em>. En effet en langue épicène on écrit la forme féminisée en prolongement de la forme masculine, afin de s'approcher au plus près d'une certaine logique de lecture. La féminisation est donc un appendice rajouté. Un peu comme si Eve était sortie de la côte d’Adam, laquelle côte ferait un très bon trait d’union entre l'original et la copie - gniark-gniark-gniark.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Exemple: «Chèr-e-s ami-e-s». Le féminin est après le masculin. C'est donc officiellement confirmé: le féminin suit le masculin. Ben oui. C’est la logique épicène. Symboliquement ça sent le raté. Ça, elles auraient eu envie de se tirer une balle dans le pied, elles ne s'y seraient pas prises autrement. Essayez d'inverser: «Chère-er-s»; c'est illisible. Nos <a href="http://www.atypic.ch" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;">Féminista</span></a> sont inénarrables.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Sauf que pour «Chèr-e-s» il y a un problème: au masculin le mot s’écrit «chers», sans accent sur le premier <em>e</em>, et au féminin il y a l’accent grave: «chères». Vouloir écrire le mot en langage épicène: «chèr-e-s» c’est l’abâtardir. </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Sa signification est absconse et l’on ne sait plus où est le masculin. (Hum... c’est peut-être le but?)... </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Faut-il écrire: </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«cher-ère-s»? </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ou mieux: </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«che-è-r-e-s»? Ou encore: </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«che-`-r-e-s»? Cette forme aurait le mérite de bien distinguer les signes du masculin et ceux du féminin. Il existe une autre possibilité: la règle du doublet ou de la répétition. En voici un exemple tiré du site de l'Université de Sherbrooke au Québec:</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><em>«Vous êtes étudiante ou étudiant? Nous demandons aux étudiantes finissantes et aux étudiants finissants de choisir deux représentantes ou représentants des chargées et chargés de cours lors de cette grande fête.»</em><br /><br />On remarque dans cet exemple l’usage de l’adjectif verbal «finissantes». L’adjectif verbal s’accorde au substantif dont il exprime une qualité. On peut regretter cette qualification de finissantes, qui n’est pas très esthétique. On parle de saison finissante, mais dire qu’une étudiante est finissante laisse comme un goût de vieillissement dégradant. Il eût été plus simple d’user du participe présent qui exprime non une qualité mais une action et qui n’est pas genré puisqu’il ne s’accorde pas:<br /><br />« Vous êtes étudiante ou étudiant? Nous demandons aux étudiantes et aux étudiants <em>finissant</em> leur cursus de choisir ...» Il reste cette question: met-on le féminin en premier, ou le masculin? On peut contourner totalement le problème:</span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /><br /></span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><em>«Vous terminez bientôt vos études à l’Université? Nous vous demandons de choisir deux </em></span><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/911074423.jpg" target="_blank"><img id="media-129371" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/1156918313.jpg" alt="épicène,masculin,féminin,langue,féminista,travailleurs,femmes,hommes,gauche,chat" width="299" height="200" /></a><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><em>personnes qui représenteront le personnel chargé de cours lors de cette grande fête.»</em> Voilà qui est mieux. Mais franchement, la littérature - même administrative - n'a pas attendu le langage épicène pour user de formes simples et claires à lire.<br /></span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Je reviens aux <em>«travailleuses·eurs»</em>...</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">D’accord, Adrien Faure a voulu montrer aux femmes qu’il est un bon garçon et qu’il les met en premier, avant les hommes. Non, je ne le soupçonne pas de démagogie. Seulement d’une forme de drague moderne. Il sait que pour faire ronronner la chatte il faut la caresser dans le sens du poil... On pourrait aussi discuter sur l’usage du substantif «travailleurs». Tout le monde travaille donc tout le monde est travailleur. Ne serait-il pas plus simple de dire «employés»? D’accord, c’est moins de gauche (le langage a ses appartenances) mais c’est plus facile à épicéner: «employé-e-s». Par contre le féminin est en second. Ça casse le plan drague. Bon, alors: «employée-é-s».</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">:-)</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Mais alors, après avoir écrit « travailleuses·eurs», voilà qu’Adrien précise:</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«certain·e·s travailleuses·eurs».</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ici on a «certain·e·s» avec le masculin en premier, c’est logique. On n’irait pas écrire «certaine·un·s». Et juste après ce travailleuses·eurs où le féminin précède le masculin.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Il n’y a plus aucune logique. Je soupçonne la Féminista d’être complètement <span style="text-decoration: line-through;">épicène</span> à l'ouest. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">On pourrait aussi utiliser le doublet, ou la répétition: «certains travailleurs et certaines travailleuses». Cela deviendra vite rébarbatif. Et puis, quelle forme mettre en premier: la féminine ou la masculine?</span><br /><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La seule attitude mentalement saine est de refuser purement et simplement l<a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2012/06/15/l-auteuse-la-novlangue-et-le-langage-sexue.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><em>e langage épicène</em></span></a>. Sauf dans un cas. Il n’y a qu’un mot épicène où la féminisation complète agréablement la forme masculine. C’est Déblogueur qui l’exprime dans un commentaire sous le billet d’Adrien:</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«Les copain-pine-s»</span><br /><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ils auraient tort de s’en priver.......</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><em>P.S.: Je n'ai jamais reçu de réponse du ministère de Monsieur Charle Beer suite <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2012/06/19/langage-epicene-lettre-ouverte-a-m-charles-beer-president-du.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;">à la lettre ouverte que je lui avais adressée</span></a>.</em><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br />Pour se laver la tête après le labyrinthe épicène, rien de tel que le Jefferson Airplane et sa chanteuse Grace Slick, femme flamboyante d'une génération libre qui se moquait de l'épicénat et de la <a href="http://www.atypic.ch"><span style="text-decoration: underline;"><em>Féminista</em></span></a> comme de son premier soutien-gorge:</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><object width="420" height="315" data="http://www.youtube.com/v/c2yQLXTuctA?version=3&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /><param name="src" value="http://www.youtube.com/v/c2yQLXTuctA?version=3&hl=fr_FR" /><param name="allowfullscreen" value="true" /></object></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Le langage épicène serait-il le nouveau surréalisme? Non. Dans le surréalisme il y avait du talent. Alors que l'épicénation, bien que frôlant régulièrement l'absurde quand elle n'y mouille pas complètement sa brassière, n'est qu'une lubie sans inspiration ni légitimité. La langue française offrait une perception de la complexité; dorénavant elle va devenir chiante et contraignante sans augmentation du sens. D'ailleurs plus ça va moins ça va. Ainsi je suis tombé sur quelques termes «épicènés» dans le <a href="http://adrienfaure.blog.tdg.ch/archive/2012/11/02/caisses-de-pension-la-lutte-continue.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><em>dernier billet d’Adrien Faure</em></span></a>, blogueur assidu et courtois. Et bien on ne sait plus à quel <span style="text-decoration: line-through;">sein</span> saint se vouer.</span></p>
Blog NEIDINGERhttp://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/about.htmlLes français ne sont pas-obligatoirement- des fainéants !!tag:blogdesylvieneidinger.blogspirit.com,2012-03-11:33256482012-03-11T10:39:00+01:002012-03-11T10:39:00+01:00 Billet d'humeur (sombre) pour répondre à un bavardage de comptoir lu sur un...
<p>Billet d'humeur (sombre) pour répondre à un bavardage de comptoir lu sur un blog TDG ce 11 mars 2012 n'ayant rien à voir avec une pensée académique et universitaire:</p><p>L'article posté ce jour est généralisant, mal venu . Risible, même pas humoristique.</p><p>http://mrhayoun.blog.tdg.ch/archive/2012/03/11/les-suisses-ne-sont-pas-des-faineants.html web</p><p>On cite : " <em>contrairement à leurs chers voisins français, les suisses aiment travailler. Je le vois avec mes étudiants et doctorants de Genève et de Bâle qui font preuve d'un esprit constructif et réaliste....</em>"etc.</p><p><strong>Les frontaliers-français ou autres- par leur présence quotidienne participent à faire tourner la machine économique suisse et genevoise en particulier . Ils sont recrutés parce qu'ils apportent des compétences qui n'existent pas localement et/ou parcequ'ils sont efficaces au travail !</strong></p><p><strong>Sinon pourquoi les Autorités helvètes les feraient-elles venir (plus de 60 000 frontaliers quotidiens environ rien que sur Genève, sans compter les autres statuts) </strong></p><p><strong>Par masochisme ????</strong></p><p>Nier ceci participe de la plus grande hypocrisie.</p><p><strong>Fainéants et bosseurs existent bien ....chez tous les peuples sous toutes les latitudes !</strong></p><p>On m'a signalé un lieu de travail où les suisses partent pile à l'heure "horlogère" vers 16h30. Précises. En revanche, les hexagonaux peuvent quitter plus tard pour suivre la clientèle.</p><p>Les français sont connus pour bosser vite...mais pas toujours. Et bien évidemment ....des helvètes restent aussi sur le lieu de travail après l'heure légale en cas de besoin par égale conscience professionnelle. D'autres aussi.</p><p>N'entrons pas dans des généralités de nationalité pour contre-argumenter !! Tous les cas sont individuels.</p><p>Le raisonnement est faible au sens où il n'est pas une construction logique mais une conversation de café du commerce.</p><p>Il ne s'agit donc pas de réflechir sur la même base. L'auteur de cette "philosophie de pointe", si " fine" ne représente que lui-même et fort heureusement aucune Institution.</p><p>Une seule chose : ce type de propos stigmatisant un peuple dans sa globalité- ici population française en constante interraction avec la Suisse - est consternant . Car cela s'incrit dans une lourde ambiance de montée des nationalismes.</p><p>Puisque cela a été publié: voici un "droit d'expression" . Mais ce type de papier d'humeur (noire !) n'est vraiment pas ma... tasse de thé !! Parlons vite d'autre chose ! Du magnifique soleil de printemps qui inonde nos petites habitudes par exemple ?</p><p>Sylvie Neidinger<strong><br /></strong></p><p> </p><div style="text-align: center;"><img id="media-113993" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/media/00/00/2892309626.png" alt="rubrique saute-frontière blanc.png" /></div><p> </p>