Last posts on pellos2024-03-29T12:17:43+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/pellos/atom.xmlBredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanide n° 581tag:bar-zing.blogspirit.com,2024-01-23:33536442024-01-23T17:39:00+01:002024-01-23T17:39:00+01:00 UNE GÉANTE D'HIER Bon sang ! Visez un peu la date de parution...
<p align="center"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>UNE GÉANTE D'HIER</strong></span></p><p align="center"> </p><p align="justify"><span style="font-size: medium;">Bon sang ! Visez un peu la date de parution de cet illustré : 1912 … Rendez-vous compte : avant la première guerre mondiale : les deux frères de ma grand-mère paternelle étaient vivants, jeunes, ignorants d’être trop tôt détruits par un conflit fratricide entre deux peuples d’une même origine nordique. </span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/3587698118.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1372396" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/3374367571.jpg" alt="famille offenstaldt,Capitaine Fracasse,Victor Hugo,Kipling,Giffey,Pellos,SPE (Société Parisienne d’Édition,bandes dessinées de collection," width="208" height="288" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: medium;">Lisez en haut à gauche et en dessous de l’inscription 16 pages, l’identité de l’éditeur OFFENSTALDT. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: medium;">La famille Offenstaldt allait devenir dans la France de Clemenceau et Maurras la plus intensive productrice de journaux illustrés destinés à la jeunesse. C’est elle qui créa la SPE (Société Parisienne d’Édition) prospérant jusqu’en 1942. (Devinez pourquoi). Puis l’effondrement de la démence nazie en 1945 allait permettre le retour de cette même SPE avec l’aide financière du plan américain en lutte contre l’ambition communiste en Europe de l’Ouest. Mais à ce moment là le corps enseignant des instituteurs accusait les publications de bandes dessinées de nuire à l’instruction des jeunes générations : trop d’images, pas assez de textes ! Vous empêchez les enfants d’apprendre à lire ! … Même les curés soutenaient les laïques dans ce combat comme-ci les vitraux des églises n’enseignaient pas le peuple par toute une iconographie dénuée de vocabulaire. … </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: medium;">La famille Offenstaldt éditrice de bandes dessinées, trouva la riposte. Elle donna une version dessinée de plusieurs romans populaires : Dumas, Dickens, Stevenson, et autres Alphonse Daudet se retrouvèrent mis en images comme de vulgaires petits Bibi Fricotin ou autres Pieds Nickelés. </span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/3108408389.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1372398" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/30081471.jpg" alt="famille offenstaldt,Capitaine Fracasse,Victor Hugo,Kipling,Giffey,Pellos,SPE (Société Parisienne d’Édition,bandes dessinées de collection," width="441" height="307" /></a></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-size: 8pt;"><em>Capitaine Fracasse dessinée par Giffey - Le Mystère de l'Atoll dessinée par Pellos</em></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: medium;">C’était pendant l’année 1954. Mais j’ignore combien de numéros furent édités. J’ignore aussi leur périodicité. Mais comme je détiens 2 recueils groupant chacun quatre numéros, je suis au moins certain qu’il y en eut 8 de publiés. Et je termine par le scan de l’illustration de la couverture d’un des deux recueils.</span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/785998780.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1372397" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/3685295639.jpg" alt="famille offenstaldt,Capitaine Fracasse,Victor Hugo,Kipling,Giffey,Pellos,SPE (Société Parisienne d’Édition,bandes dessinées de collection," width="209" height="291" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro et MFCL</span></p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanide n° 517tag:bar-zing.blogspirit.com,2022-08-04:32723922022-08-04T16:15:00+02:002022-08-04T16:15:00+02:00 LA GUERRE DU FEU - Ah ! C’est vachement bien, c’est...
<p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>LA GUERRE DU FEU</strong></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">- Ah ! C’est vachement bien, c’est super ! Vous devez aller le voir M’sieur !</p><p align="justify"> </p><p align="justify">Les ados de mon atelier BD étaient tous unanimes : le film « La Guerre du Feu », année 1982 : « Il vaut le coup, M’sieur ! ».</p><p align="justify"> </p><p align="justify">Laurent B. travaillait à l'unisson des autres. Je venais de lui demander de soutenir par des images un gag relatif au débat politique d'alors, à avoir s'il fallait maintenir ou abolir la guillotine instaurée en France par des Républicains soucieux de tuer le plus possible de français … Une double page centrale fut publiée dans ÉLECTRODE, fanzine trimestriel dont le titre revient à EFFER et qui édita Stanislas Barthélémy pour une de ses premières BD. Avis aux historiens de la bande dessinée française.</p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/3096439249.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1154098" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/3710507814.jpg" alt="BD-Electrode,-n°-0.jpg" width="248" height="341" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify">Hier soir, sur Prime Vidéo (Amazon) ma femme et moi avons revu cette Guerre du Feu, film inspiré par le roman signé J. H Rosny en 1909. Pour ma part, lorsque j’étais enfant, c’est l’hebdomadaire illustré ZORRO qui allait me fournir une version bande dessinée de cette épopée préhistorique. ZORRO me venait de la Rue Bergère mais sans aucune des plumes fofolles dans l'arrière train des adultes. La série était dessinée par PELLOS, artiste souvent hâtif mais toujours impressionnant pour nous tous les gamins.</p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/3201459939.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1154099" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/29697644.jpg" alt="BD-Zorro,-n°-10,-1950.jpg" width="311" height="202" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify">La Guerre du Feu selon Pellos débuta dans le n° 222 de l’hebdo ZORRO pendant le troisième trimestre de l’année 1950 et ne fut terminée qu’avec le n° 267 du même titre. Plusieurs des planches étaient mises en couleur de façon inhabituelle pour des illustrations destinées à la jeunesse de l'époque. Voyez l’exemple ci-dessous.</p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/2218107257.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1154100" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/1284338397.jpg" alt="BD-Zorro,-n°-232,-Pellos.jpg" width="316" height="427" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify">Signalons que lorsque cessa la parution de cette série elle fut remplacée dès la semaine suivante par un DON QUICHOTTE très ironique réussi par Jac (Jacovitti). Et notez bien que j’écris ironique et non pas érotique.</p><p align="justify"> </p><p align="justify">- M’sieur ! vous verrez dans le film il y a des scènes où les meufs sont niquées !</p><p align="justify"> </p><p align="justify">C’était ça : Brigitte Lahaie, notre nouvelle Marianne nationale, allait triompher. Les petits cinémas parisiens d'alors s'efforçaient de conserver leur public populaire en se convertissant pratiquement tous à la pornographie autorisée par les lendemains de Mai 68. </p><p align="justify"> </p><p align="justify">Doc Jivaro</p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanide n° 533tag:bar-zing.blogspirit.com,2021-12-22:32626272021-12-22T18:15:00+01:002021-12-22T18:15:00+01:00 NOIR C’EST NOIR (Jhonny Smet) C’est devenu...
<p align="justify"> </p><p align="center"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;"><strong>NOIR C’EST NOIR (Jhonny Smet)</strong></span></span></p><p align="center"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">C’est devenu commun : on peut … Pardon : IL FAUT se moquer des petits blancs européens dont l’historique n’est qu’un ramassis de sottises, de mensonges et de cruautés. Mieux encore IL FAUT dévaluer, donc se moquer des petits blancs secs principalement lorsqu’on est un écolier à la peau blanche. Tel n’était pourtant pas le mot d’ordre dans ma famille et surtout pas pour mon père qui connut quelque peu les dessins de Pellos.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/3334303407.2.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1137546" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/3491510638.2.jpg" alt="bd monsieur petipon aviateur,editions pour la jeunesse,pellos,joséphine baker,doc jivaro,bandes dessinées de collection,tarzanides du grenier." width="250" height="341" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Cet album fut édité à la suite d’une bande dessinée hebdomadaire publiée dans PIERROT avant la Seconde Guerre Mondiale. S’il ne respecte pas la mise en page d’origine (ci-dessous) il en respecte principales péripéties. </span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/2953136298.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1137547" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/2596327611.jpg" alt="bd monsieur petipon aviateur,editions pour la jeunesse,pellos,joséphine baker,doc jivaro,bandes dessinées de collection,tarzanides du grenier." width="266" height="333" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">L’album fut édité par les Éditions Pour La Jeunesse. Il compte 72 pages que l’on pouvait acheter pour 14 frs. Entendons-nous bien : 14 frs de l’année 1941. L’année du Maréchal Pétain. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">On ne trouve toujours pas un auteur de BD célébré dans l’Église Sainte Geneviève que les Républicains surnomment Le Panthéon. Récemment l’ancien étudiant-amant d’une professeur(e) a inauguré l’entrée d’un cercueil vide dans l’espace réservé aux Grands Hommes parmi lesquels Jean Moulin auquel ma mémoire demeure sensible.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2447624725.2.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1137552" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3312176058.2.jpg" alt="bd monsieur petipon aviateur,editions pour la jeunesse,pellos,joséphine baker,doc jivaro,bandes dessinées de collection,tarzanides du grenier." width="252" height="336" /></a></p><p style="text-align: center;"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Mais en regardant la page ci-dessus nous devons nous interroger : l’excellent et prolifique PELLOS peut-il mériter d’entrer dans Sainte Geneviève du Panthéon ? Quelle audace douteuse n’eut-il pas en dessinant de façon caricaturale des hommes noirs bientôt maîtres du futur des petits blancs secs désormais fiers de n’être que décadents ? </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">On dit que les héritiers de Madame Joséphine Baker dont mon père appréciait les bananes chauffées au feu de fesses, que les héritiers, je répète, ont refusé le transfert de la dépouille de la Résistante saluée par Charles de Gaulle. N’est ce pas du mépris affiché envers une des cérémonies républicaines les plus réputées du drapeau tricolore ? </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Mais il est vrai qu’aujourd’hui le drapeau arc-en-ciel de Sodome et Gomorrhe tient lieu de glorieux torche-c … </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Vive la .rance, non de dieu !!</span></p><p align="justify"> </p><p align="left"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Doc Jivaro</span></p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanide n° 508tag:bar-zing.blogspirit.com,2021-07-27:32564322021-07-27T16:21:00+02:002021-07-27T16:21:00+02:00 TOKIO OLYMPIQUES 2021 Il faut le dire,...
<p align="justify"> </p><p align="center"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;"><strong>TOKIO OLYMPIQUES 2021</strong></span></span></p><p align="center"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il faut le dire, l’avouer même : dans le pays de De Gaulle et Pétain la Bande Dessinée ne s’est jamais vraiment préoccupée de choisir les évènements sportifs comme sujets de ses scénarios. Toutefois, pendant l’année 1958 l’éditeur ARTIMA fait paraître le titre OLYMPIC, un mensuel de 32 pages qui s’étendra sur une durée de 42 numéros. </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/3439398352.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1126103" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/1959669071.jpg" alt="BD Olympic, Artima 1958.jpg" width="380" height="259" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Recueil OLYMPIC numéro 1 à 6. Doc Jivaro présente ici la dernière page du n° 1 suivit de la première page du n° 2.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Je ne reconnais pas les dessinateurs habituels » me disait Michel, un enfant d’à côté. Et il avait raison ! Moi, en 1958, je ne lisais pour ainsi dire plus de bandes dessinées. Aussi me sembla t’il que le contenu de cet OLYMPIC était de provenance anglaise donc ce inhabituel chez ARTIMA dont nous connaissions les Bob Dan, Cioran, Leguay, Mellies, Gosselin, etc, etc. Quant à cet enfant d’à côté j’allais bientôt lui faire cadeau de toute une armée dont j’avais été le seul commandant en chef : ma collection d’une centaine de petits soldats de plomb.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Un de nos plus grands créateurs de BD fit pourtant exception par contraste d’avec notre désintérêt général des sports dans nos illustrés destinés à la jeunesse : C’était PELLOS. Non seulement il illustra très tôt des rubriques sportives mais beaucoup de ses personnages vivent des aventures dépendantes de la boxe, du cyclisme, du ski, du foot sans oublier cette caricature des acrobaties et des grimaces sportives qu’est le catch. </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/2843819401.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1126107" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/1422047670.jpg" alt="BD-Zorro,-1950.jpg" width="365" height="285" /></a></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: small;">Extrait de <strong><em>Zorro</em></strong> </span><span style="font-size: small;">4</span><span style="font-size: 8pt;"><sup>e</sup></span><span style="font-size: small;"> trimestre</span><span style="font-size: small;"> 1950</span></span></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En 1939 et pour le grand hebdo JUNIOR des Frères Offenstald, </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">PELLOS inventa un sportif </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">de haut niveau </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">qu’il fera recruter par l’armée française : Jean-Jacques Ardent. </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce champion </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">suit une préparation intensive pour affronter</span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> un formidable homme préhistorique </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">recréé</span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> par un savant fou </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">(encore un!) : </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">le Docteur Mackenvicht. </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Jean-Jacques </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">s’entraîne à la natation conseillé par un certain Johnny Weissmuller, </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">celui-ci </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">authentique </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">médaille d’or du 100 mètres.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><a style="text-align: center;" href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/3952425444.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1126106" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/3049655920.jpg" alt="BD-Junior-Weismuller,-20-04.jpg" width="287" height="251" /></a></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: small;">Extrait de <strong><em>Junior</em></strong> n° 160, avril 1939</span></span></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Doc Jivaro</span></p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanides n° 484tag:bar-zing.blogspirit.com,2021-02-20:32412732021-02-20T19:26:00+01:002021-02-20T19:26:00+01:00 Babinet à raison : nous inviter à reparler de cette triplée...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Babinet à raison : nous inviter à reparler de cette triplée d’aigrefins groupés sous l’appellation quasi proverbiale de PIEDS NICKELÉS, ne peut que nous redonner de la pêche. D'autant qu'en ce moment l'éditeur Hachette rediffuse les aventurlures des trois lascars contemporains du Charlot de Chaplin et de <span style="color: #000000;">Lord Greystoke</span><span style="color: #000000;"> </span>de Burroughs, rediffusion qui va de 1908 à 2006.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/3213987734.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1111875" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1332533074.jpg" alt="les pieds nickelés,pellos,famille offenstadt frères,spe,zorro,bandes dessinées de collection,tarzanide du grenier,doc jivaro,bar zing de montluçon" width="275" height="383" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Forton en fut le créateur mais pour des générations de lecteurs, si vous questionnez : " quel en est le dessinateur ?" beaucoup nommeront PELLOS. Quant aux scénaristes, l'art longtemps ingrat de la BD, nous incite à négliger leur existence.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">La bande dessinée fut longtemps composée de récits « à suivre ». C'était même ce qui la particularisait (ce n'est plus du tout son mode d'existence aujourd'hui). La publication des journaux était donc périodique, le plus souvent hebdomadaire ou mensuelle, et beaucoup de maisons d'éditions pas forcément sérieuses n'avaient qu'une existence éphémère. Les histoires racontées n'étaient pas toujours imprimées en prévision de leur fin, ce qui permettait des modifications improvisées : le dessinateur pouvait alors fournir à l'éditeur une planche BD du journal sans vraiment prendre en compte ce que serait le contenu de sa prochaine livraison. Il m’arriva de connaître un bédéiste qui voyageait dans un camping-car et adressait par les P.T.T, semaine après semaine, sa planche réalisée. Mais alors, attention aux retards causés par des grèves SNCF ! Ma génération Classe 1942 a connu une époque où, parfois, on pouvait lire au bas d'une page l'annonce suivante : Chers petits amis nous nous excusons de l'absence cette semaine de votre héros favori, absence due à un mouvement social dans les Services Publics. « Mouvement social » ? Tu parles ! C'était un des sabotages communistes pendant 1947 que les historiens surnomment « l'année terrible ». Mais survenait aussi l'accident individuel. Ainsi, dans la Nouvelle Formule du n° 47 de ZORRO troisième trimestre de l'année 1953, l'encart suivant :</span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/29275901.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1111876" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/3910525360.jpg" alt="les pieds nickelés,pellos,famille offenstadt frères,spe,zorro,bandes dessinées de collection,tarzanide du grenier,doc jivaro,bar zing de montluçon" width="533" height="278" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Le collectionneur doit remarquer que PELLOS travailla quasiment de façon ininterrompu pour le magazine ZORRO mais sans jamais faire éditer dans ce même ZORRO du 22 rue Bergère, les Pieds Nickelés, qu'il dessinait également mais pour la S.P.E qui en détenait seule les droits de publication par la famille des <span style="color: #202122;">Offenstadt</span><span style="color: #202122;">.</span></span></p><p align="center"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Doc Jivaro</span></p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanide n° 461tag:bar-zing.blogspirit.com,2020-11-22:31572332020-11-22T18:12:00+01:002020-11-22T18:12:00+01:00 Doigt d’Honneur à l’Index ...
<p align="center"> </p><p align="center"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong>Doigt d’Honneur </strong></span></span></p><p align="center"> </p><p align="center"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong>à l’Index</strong></span></span></p><p align="center"> </p><p align="center"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Depuis plus d’une année, peut être même déjà deux, mon n’épouse nous a abonnés à la réédition complète des aventurlures de trois canailles pour rigoler : LES PIEDS NICKELES . C’est l’éditeur HACHETTE qui se charge de cette exhumation d’autant méritoire que le trio bien français fut créé en 1908 pour le Journal Illustré L’EPATANT. Soit dit en passant mon grand’père de 14-18 et mon père de 39-40 connurent L’EPATANT.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/1374014372.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1102899" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/255493253.jpg" alt="BD-Pieds-Nickelés-pompiers,.jpg" width="286" height="393" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Chaque mois le préposé des postes dépose dans ma boîte aux lettres un carton contenant jusqu’à quatre volumes. Les exemplaires s’entassent les uns sur les autres, formant un pilier entre le plancher et le plafond d’un des couloirs du domaine seigneurial qui est le nôtre. Le titre PIEDS NICKELES POMPIERS retient mon attention à cause de ses pages 50 et 51 : celles-ci rappellent l’existence passée d’un certain Abbé Bethléem. Ce prêtre catholique s’était fait une spécialité dénonçant toute littérature française non conforme aux croyances et mœurs de sa religion.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/1302687247.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1102900" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3791348355.jpg" alt="BD-Abbé-Bethléem,-censure-1.jpg" width="289" height="412" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’homme d’église attaqua également les journaux pour la jeunesse, les illustrés et les romans d’aventures. Une de ses actions favorites consistaient à déchirer en public certains titres jugés licencieux et exposés par les kiosques parisiens. Ce genre d’exploit lui attirait évidemment la sympathie des paroissiennes et c’est sans doute pourquoi il eut droit de figurer dans un grand dessin en couleur sur la double page centrale d’un hebdomadaire catholique populaire : LE PÈLERIN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/3737978527.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1102902" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/3372804681.jpg" alt="bd l'épatant,les pieds nickelés,abbé bethléem,censure bandes dessinées,forton,pellos,editions hachette,doc jivaro,tarzanide" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’un de mes oncles par alliance, successivement curé de paroisses entre Montluçon et Vichy, me donna plusieurs gros paquets du PÈLERIN lorsqu’il vidait le grenier d’un presbytère. Parmi eux le numéro exposant la double page centrale où l’Abbé Bethléem exerce son talent de broyeur de papier journal. Je me dispense de retrouver cet exemplaire et c’est pourquoi, ici, j’utilise l’image mise à notre disposition par Wikipédia. On remarquera que les personnes présentes autour de l’abbé semblent s’éloigner de lui à cause de son geste et non pas à cause d’une répulsion devant une imagerie indécente. Le mini-théâtre de l’ambiguë, voyez-vous. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanides n° 433 du 20-06-2020tag:bar-zing.blogspirit.com,2020-06-20:31515392020-06-20T17:22:00+02:002020-06-20T17:22:00+02:00 « NOIR C'EST NOIR » Originaire de Suisse, René...
<p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;">« NOIR C'EST NOIR »</span></strong></p><p style="text-align: center;"> </p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Originaire de Suisse, René PELLOS est sûrement l'un des auteurs de BD parmi les plus créatifs et les plus appréciés. Décédé en 1998, qui ne le connaît pas autant pour ses caricatures de sportif que pour son titre majeur : FUTUROPOLIS ? </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Avant guerre et après guerre (comme on dit) cet artiste œuvra pour l'illustré PIERROT dont la longévité fut un des records pour un journal destiné aux enfants (1925-1957). Il créa l'aviateur Monsieur Petitpon auquel succéda Le Génial Barbizet tous deux égarés dans des aventurlures africaines comiques. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1978749798.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1093471" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1717223007.jpg" alt="BD-Pierrot,-02-05-1948-G.jpg" width="314" height="439" /></a></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Profitons bien de cette planche BD imprimée dans le numéro 18 de l'année 148 en page 5 de PIERROT. Probablement sera t'elle, un jour à venir, interdite de séjour dans le pays de Colbert et de Gallieni. Mais autant prévoir de déboulonner et de faire disparaître le nom de PELLOS de l'histoire de la bande dessinée française. A l'appui nous proposons que la statue de l'emperruqué Louis XIV devant Versailles cède la place pour une statuette autrement plus sérieuse, celle représentant un androgyne africain pré-dogon pas du tout autant rigolo qu'un dessin signé de PELLOS. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/1066745984.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1093473" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/231494586.jpg" alt="Statue-androgyne-pré-dogon.jpg" width="162" height="460" /></a></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Ah ! puisque Jacques Chirac jugea malin de supprimer dans Paris notre Musée des Colonies, et, donc de faire disparaître une part de l'Histoire de France, nous conseillons à la Madame Anne Hidalgo de surveiller la façade de l'ancien musée de nos anciennes colonies car il se pourrait que cette façade se trouvât endommagée d'ici peu de temps à venir. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">André Malraux ne disait-il pas quelque chose comme : « Nos civilisations savent à présent qu'elles sont mortelles ? ».</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Doc Jivaro</span></p><p> </p><p> </p><p> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanide improvisé néanmoins n° 360tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-07-10:31398922019-07-10T17:12:00+02:002019-07-10T17:12:00+02:00 Cette année encore Fausto Coppi et "tête de cuir" n'ont pas été présents...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Cette année encore Fausto Coppi et "tête de cuir" n'ont pas été présents sur la ligne de départ du Tour de France. "Tête de cuir" était le sobriquet donné à Jean Robic, un breton entêté auquel ses médecins avaient conseillé de protéger son crane déjà victime d'un accident. A l'époque, le port d'un casque pendant une épreuve cycliste n'avait rien d'obligatoire, si bien que le bonhomme passait pour un original. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Cette année encore et encore, les compétiteurs hommes noirs semblent ne pas participer à la célèbre course par étapes. En tout cas la TV se montre très discrète quant à leur existence (semblerait qu'il y en a deux, chacun moulinant deux pédales).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/538424361.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1070708" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1672098683.jpg" alt="BD-Zorro Roi-Petite-Reine,-1953.jpg" width="319" height="443" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Faut-il toujours rappeler que Pellos, de son nom véritable Pellarin, qui naquit en 1900 avant de périr en 1998, se classa définitivement comme le dessinateur de BD françaises le mieux qualifié pour raconter en images les récits relatifs aux sports. La boxe, la lutte et le foot, le ski, l'alpinisme et le tennis mais aussi le cyclisme, tous s'animèrent entre ses mains si j'ose dire. C'est même lui qui attribua à un homme de couleur un rôle non pas simplement sympathique mais décisif quant au choix des épreuves sportives. Au risque, parfois, de chocs dangereux plus proches du pugilat entre voyous que d'une mêlée de rugby entre gentlemen. On peut vérifier ces évènements dans l'hebdomadaire ZORRO depuis 1951 jusqu'au premier trimestre de l'année 1954, trimestre qui achève les exploits sportifs de "Chouchou roi de la Petite Reine".</span></span></p><p align="justify"> </p><p><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="left"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanides du grenier n° 357tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-06-22:31393082019-06-22T19:22:00+02:002019-06-22T19:22:00+02:00 NAOH des OULHAMRS Vers la fin de l'année...
<p align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: x-large;"><strong>NAOH des OULHAMRS</strong></span></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vers la fin de l'année 2018, ma légitime authentifiée dans les archives de la Mairie Parisienne du X<sup>e</sup> rarrondissement, me posa la question traditionnelle : </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 40px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Qu'est ce que Monsieur souhaite comme cadeau pour l'année nouvelle ? </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je n'eus pas la réponse. Alors ma femme : j'ai vu que Hachette réédite les aventures des Pieds Nickelés dessinées par Pellos. En plus nous pourrons interrompre nos achats quand nous voudrons. </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 40px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Non ? </span></span></p><p style="padding-left: 40px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Si.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Depuis, le facteur, a intervalles réguliers, apporte une boîte en carton rigide contenant des exemplaires de BD auprès de laquelle était assidue la jeunesse des années 1950.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 40px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- En plus, encore, tu vas recevoir un cadeau si tu restes fidèle client. </span></span></p><p style="padding-left: 40px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Non ? </span></span></p><p style="padding-left: 40px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Si.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/810635125.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1069298" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3518500226.jpg" alt="BD-Guerre-du-feu-Hachette,-.jpg" width="296" height="394" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J'ai donc reçu une réédition de LA GUERRE DU FEU toujours dessinée par l'infatigable Pellos, une série que je connus avec enthousiasme en dehors des études scolaires. La publication s'en faisait dans l'hebdomadaire ZORRO sur une page centrale toute en couleur. Seulement voilà, aujourd'hui, le format de la réimpression est bien plus petit que celui de l'original, et les couleurs pas vraiment respectueuses de celles de la première parution. Autre altération : chacune des planches originales est coiffée du titre LA GUERRE DU FEU, titre qui est supprimé dans l'édition datée de 2018. Enfin la couverture est un truquage réalisé à partir d'un dessin que l'on a inversé et « nettoyé », comme on peut en faire le constat en le comparant avec l'image ci-après.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/1764197523.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1069299" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2318430109.jpg" alt="BD-Naho,-1950-51.jpg" width="281" height="283" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les couleurs du ZORRO des années 50-51 étaient pratiquées « à l'essence » donc moins coûteuses. Quel résultat ? Défectueux ! L'encre imprégnait la feuille jusqu'à la traverser en rendant pénible par salissure la lecture au verso. « C'est dégueulasse ! disait-on entre nous, si ça continue on n’achètera plus ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/199600519.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1069300" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/2297030787.jpg" alt="BD-Zorro,-1950-51.jpg" width="319" height="454" /></a></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10pt;">Planche BD, format réel : 36,5 X 27 cm </span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10pt;">dans le ZORRO n° 256 de l'année 1951.</span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je ne pense pas avoir à rappeler que cette BD résulte librement modifiée d'un roman populaire par lequel Rosny Ainé connut le succès dès 1911.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="left"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du grenier n° 341tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-03-09:31350592019-03-09T18:36:00+01:002019-03-09T18:36:00+01:00 Place aux femmes ! Évidemment dérivé de...
<p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Place aux femmes !</strong></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Évidemment dérivé de TARZAN le mot Tarzanide n'est surtout pas un mot générique n'englobant que des hommes plus ou moins imitateurs de Lord John Greystoke en pagne de léopard ou en caleçon de bain taillé dans une peau de lion. Je veux dire par là que nos amies les filles ont également droit de présence dans notre répertoire de Tarzanides. Ainsi, bien le bonjour chez nous aux Sheena, aux Loana, aux Liana et autres Panthères blondes ou brunes dont la silhouette évoque celle de Tarzella ; Tarzella étant une créature inventée par Rex Maxon lorsque celui-ci en 1940, œuvrait pour les BD américaines et journalières consacrées au phénoménal TARZAN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1062337" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2143631520.jpg" alt="BD--Tarzella,-1946.jpg" width="250" height="333" /></p><p style="padding-left: 300px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10pt;">Tarzella, 1946</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À peine plus près de nous notre Pellos national créa en 1947 une sauvageonne parmi les bêtes fauves : DURGA-RANI.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1062355" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/181159521.jpg" alt="tarzan,lord john greystoke tarzella,rex maxon,durga-rani,fillette,pellos,bandes dessinées de collection,tarzanide,bar zing,doc jivaro" width="246" height="339" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le plus inattendu était que cette fougueuse bagarreuse assommant aussi bien les tigres que les pillards, se voyait publiée dans l’hebdomadaire FILLETTE auquel étaient abonnées les petites filles les plus sages (du moins les qualifiait-on ainsi). On comprend alors que beaucoup de parents d'une époque où les gamines avaient interdiction de se vêtir comme les garçons d'un pantalon long pour se rendre dans les écoles bien pensantes, que beaucoup de parents, ai-je dit, aient été récalcitrants quant à laisser leurs demoiselles en présence d'une Durga-Rani demi-nue.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">D’abord publiée chaque jeudi, l’héroïne fut ensuite rééditée en 1949 sous la forme de trois albums aujourd’hui très recherchés par les amateurs.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro n’en possède aucun et ça l’apprendra à en avoir raté deux ou trois occasions parisiennes.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">N.B : J'ai déjà parlé de Durga-Rani dans une notre antérieure : le 8 juin 2013.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanides du grenier n° 303tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-06-16:31071582018-06-16T09:36:00+02:002018-06-16T09:36:00+02:00 Par la route montante et réaménagée que de vieux montluçonnais...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Par la route montante et réaménagée que de vieux montluçonnais survivants appellent « La Côte rouge » et qui indique la direction de Limoges éloignée de quelque 150 kms, nous accédons à une surface commerciale de réputation mondiale. Son bâtiment rectangulaire propose deux entrées publiques, l’une proche d’un restaurant, l’autre donnant à droite sur un Espace Culturel. Dans les deux cas le hall géant semble nous réduire à une taille lilliputienne. Mais le gaulois que je suis y repense : l'historix Galerie des Glaces, quelle longueur mesure-t-elle ? Nous nous souvenons simplement que notre reflet était tout tordue dans la miroiterie versaillaise dont se contentait pourtant MONSIEUR, aristocrate travesti de robes et de dentelles, frère du monarque absolu.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je vais acheter une nouvelle clé USB, me lança ma n'épouse en me voyant stopper devant une sorte de pachyderme humanisé par le port d’une culotte. Une statue toute boursouflée, d'une énormité encombrante et verdâtre, matérialisant… HULK.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-993025" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/1772258079.jpg" alt="Hulk-retouché.jpg" width="291" height="388" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">HULK, l'un des super héros dont les fervents de bandes dessinées nous apprennent qu’il vient des écuries américaines MARVEL, pendant que d’autres préfèrent se souvenir que c’est l’éditeur lyonnais français LUG qui le popularisa chez nous. HULK tout en colère, d’une colère silencieuse. Mais sans doute HULK est-il rendu furibond par l’actuelle fâcherie entre Leclerc et Coca Cola, ou encore par la quasi-disparition des rayons BD hier encore bien présents dans l'Espace Culturel.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">HULK n’existait pas quand l’instituteur Servan fouillait sans mon autorisation dans mon cartable d’écolier pour en soutirer confisquer le magazine TARZAN réprouvé banni par l’URSS stalinienne. « J’en parlerai à ton père ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comment ne pas avoir été captivé par les dessins de Hogarth lorsque nous n’étions que des gamins et que la télévision n’était pas présente pour concurrencer l'immobilité des imageries traditionnelles ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voyez ci-dessous une BD à laquelle Doc Jivaro a occulté (et non pas ausculté) le titre et les textes afin de rendre plus impressionnant par leur isolement les dessins.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Tout y est résumé de l’ambiance animale faite d’alternances entre la peur et la rage de vaincre exprimée dans les romans de Burroughs dont nous ne connûmes d’abord que la transcription en formules BD. Notez surtout le faciès grimaçant du gorille : il nous rappelle les gros plans de la gueule de King Kong <sup><strong>(1)</strong></sup> que nous vîmes s’approcher de la caméra alors que c’est elle, la caméra, qui s’avançait vers une marionnette changée en une bête fabuleuse escaladant l’Empire Stades Building.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-993028" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/4076929287.jpg" alt="BD-Futuropolis.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais voici qu’une des images retient notre attention : celle du gorille géant qui se sauve, vu de dos, et dont la fuite à quelque chose de cocasse, de clownesque. Son allure paraît plus comique que dramatique et ne correspond pas du tout à l’ambiance plus que centenaire de TARZAN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comprenons que Doc Jivaro a failli réussir à nous tromper en supprimant le titre et le texte. Car il s’agit d’une planche de FUTUROPOLIS dessinée par Pellos, et non pas d’un morceau choisi en pleine substance des aventurlures africaines de lord John Greystoke.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">FUTUROPOLIS fut édité en page huit du grand journal JUNIOR depuis le numéro 54 jusqu’au numéro 110 à partir de l’année 1937.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Lorsqu’en 1977 Glénat (Jacques) réédita sous une couverture rigide et de format italien, les 56 planches du désormais mythique FUTUROPOLIS il accorda toute l’importance au dessinateur Pellos. Un choix trop partisan, comme pour enfoncer dans une oubliette toujours plus profonde l’identité du scénariste et rédacteur de FUTUROPOLIS : Martial. Martial Cendres. Enfin, en 1982, le jeune Pierre Pascal écrivit un scénario intitule NOVOPOLIS et obtint du patriarche Pellos, né en janvier 1900, qu’il dessinât sans doute avec quelque nostalgie, les péripéties de ce qui était comme le rejeton tardif de FUTUROPOLIS.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-993027" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/3287897178.jpg" alt="Novopolis-Pellos, 1982.jpg" width="289" height="387" /></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: left;" align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><sup>(1)</sup> – Évidemment, en ce moment, nous nous référons au seul vrai King Kong, celui de 1933.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTarzanides N° 299tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-05-19:31062062018-05-19T18:04:00+02:002018-05-19T18:04:00+02:00 Bob vient d’avoir une de ses bonnes idées : puiser dans son...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bob vient d’avoir une de ses bonnes idées : puiser dans son sac à malices un souvenir juvénile, celui de BIBI FRICOTIN, gamin aventurier dans les BD.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Chez moi, Fricotin et fricoter gardent un sens coquin hérité de quelques-unes de mes fréquentations enfantines. Ils fricotent. Tous deux fricotent. Voyez la scène : « le Michel fricote avec la Josette ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">On sait que tu viens me voir parce que j'ai deux sœurs ! tu perds ton temps : elles ne veulent plus te causer.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ils et elles s'attroupaient en une dizaine d’enfants, tous dormant dans deux ou trois roulottes arrêtées en contrebas de la route.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bibi Fricotin, gamin bien décoiffé par une chevelure ébouriffée, est débrouillard en diable. Toujours goguenard et farceur, il naquit avant la Seconde Guerre Mondiale, en 1937, sous le crayon de CALLAUD. Mon père pouvait le rencontrer dans l’hebdomadaire L’AS, un journal de grand format : 39 X 27.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><img id="media-991322" style="margin: 0.2em auto 1.4em; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/2652174269.jpg" alt="bibi fricotin,société parisienne d'édition,s.p.e.,pellos,offenstadt,l'as,pieds nickelés,tarzanides du grenier,doc jivaro" width="392" height="273" /></p><p style="text-align: center;"> <span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;"> Sélection du numéro 66. L'AS, année 1938</span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p style="text-align: justify;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Trois bandes d’images superposées mais sans aucune limitation rectangulaire ou carrée enfermant le dessin. On appelait ce genre « histoire en images », l’expression « Bande dessinée » ne s’étant généralisée que longtemps après à l’approche des années 60. Bibi Fricotin apparaît donc comme un produit transitoire entre l’histoire imagée et la BD proprement dite. Notez la double présence du lettrage : un texte sous le dessin et une bulle parlante dans le dessin.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’AS était publié chaque dimanche et se recommandait assez fièrement comme « illustré pour la jeunesse et la famille ». Sa pagination et sa rentabilité étaient gérées par la famille des OFFENSTADT laquelle créa la Société Parisienne d’Édition. La fameuse S.P.E.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bibi Fricotin était toujours actif au début des années 1970. Son dernier dessinateur, assez faible, se nommait Pierre Lacroix. À notre Bibi, l’éditeur adjoignit un gamin de son âge, noir de peau : Razibus.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il n’est pas inutile de signaler que l’excellent, l'abondant PELLOS qui tant et tant œuvra pour les OFFENSTADT, et qui prolongea les immortels PIEDS NICKELES jusqu’au terme de sa propre vie, ne relaya jamais les dessinateurs successifs qui travaillaient sur Bibi Fricotin.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En fin de repas mon n’épouse me reproche encore de faire fondre du sucre dans MON café noir. « Ça le dénature ! » qu’elle analyse.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bah ! il y a bien longtemps que nous autres humains ne sommes que des animaux dénaturés.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mon n'épouse, elle, il lui arrive de boire son café en restant debout .</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je l'ai pourtant avertie : « Tu trembleras quand tu seras morte si tu ne t’assieds pas pour boire ton petit noir ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">C’est ma grand-mère paternelle qui me racontait ce truc.</span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du grenier n° 281tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-01-06:31007742018-01-06T20:46:00+01:002018-01-06T20:46:00+01:00 Le onzième mois de l’année 1954 l’éditeur Artima-Tourcoing publia...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Le onzième mois de l’année 1954 l’éditeur Artima-Tourcoing publia ATOME KID un mensuel en noir et blanc et qui connut 32 numéros. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">D'un graphisme assez faiblard, il fit regretter aux connaisseurs de BD un super héros disparu prématurément et d’une toute autre trempe : ATOMAS. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Cet ATOMAS était scénarisé par Charroux et dessiné par Pellos, celui-ci depuis longtemps spécialisé dans les dessins sportifs d'une tendance caricaturale. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">ATOMAS paraissait dans l’hebdomadaire MON JOURNAL et ne dura que pendant dix huit pages de format 28 X 38. Toutefois les deux dernières pages classées 16-1 et 16-2 ne résultaient pas du talent de Pellos mais d'un de ses imitateurs. Doc Jivaro bavardera prochainement sur ce sujet. Reste que p</span><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">our vous faire patienter voici la première page de cet ATOMAS. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-981725" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/2579528483.jpg" alt="pellos,atomas,mon journal,artima-tourcoing,atome kid,bd,bandes dessinées de collection,tarzanides du grenier,bar zing" /></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Doc Jivaro – mfcl</span></p><p align="right"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlTour de .rance 2015tag:bar-zing.blogspirit.com,2015-07-15:30519532015-07-15T10:57:00+02:002015-07-15T10:57:00+02:00 Christopher Froome :
<p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: x-large;">Christopher Froome :</span></strong></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> <img id="media-875382" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1618423657.jpg" alt="Tour-de-France-2015.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du Grenier n° 117tag:bar-zing.blogspirit.com,2015-07-11:30517812015-07-11T18:22:00+02:002015-07-11T18:22:00+02:00 Dès la naissance d’une carrière appelée à devenir prestigieuse,...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Dès la naissance d’une carrière appelée à devenir prestigieuse, PELLOS est sollicité par Robert Offenstadt pour participer à la création d’un tout nouveau journal illustré visant une clientèle de jeunes gens. Il s’agira de JUNIOR, quatre pages géantes de BD hebdomadaires importées d’Amérique du Nord. On est alors en 1935. PELLOS assurera la présence française au milieu des produits étrangers de haute tenue : Tarzan, Alley Oop, Red Ryder, etc. Outre FUTUROPOLIS, il créera un Jean-Jacques Ardent au moment de la déclaration de guerre lancée par la France à l’Allemagne. La bande dessinée jouait ainsi son rôle, trop modeste il est vrai, de soutien auprès d’une armée cocardière quelque peu obsolète en face d’une Wehrmacht moderne et revancharde.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Les professionnels de la mémoire BD présentent fréquemment des extraits de futuropolis… par contre, Jean-Jacques Ardent demeure presque toujours comme quantité négligeable. C’est donc par esprit de contradiction que nous présentons, ici, un fragment paru dans le numéro 200 de JUNIOR en janvier 1940.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span><img id="media-875010" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/1695858487.jpg" alt="Junior-numéro-200-année1940.jpg" width="258" height="234" /></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: justify;"> <span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Pendant l’occupation allemande du pays de Pierre de Coubertin, PELLOS continua son œuvre. Il travailla principalement dans ROBINSON, hebdomadaire doté de huit pages et publié à Nice. D’autres français travailleront en sa compagnie : Pierre Billon, Pommert, Max André d’Azergue… Pommert mériterait d’être redécouvert.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Avec Compagnon MICHEL, Pellos conforte sa position d’auteur de BD où le sport tient une place essentielle. Et, dans ce cas, c’est l’alpinisme qui occupe le terrain, c.a.d. la montagne.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">À cette époque, Pellos dut faire une concession aux directives politiques énoncées par le gouvernement du Maréchal P. dans le domaine des journaux populaires. Cette concession consistait à renoncer à utiliser des bulles et autres fumettis dans lesquelles et sous l’influence américaine, étaient enfermés les paroles, les dialogues des personnages.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span><img id="media-875011" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/2487828828.jpg" alt="Robinson-3-octobre-1943.jpg" width="271" height="320" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Contrairement à plusieurs de ses collègues français en BD, Pellos ne fut pas inquiété par une épuration gaullisto-communiste appliquée après la disparition de la Kommandantur et de ses collaborateurs trop zélés. Il continua son art de plus en plus spécialisé dans les séries sportives : le ski, la boxe, le cyclisme, le football. Toutefois l’escrime et le tennis n’attirèrent pas le style magistral de son graphisme aussi hâtif qu'enthousiasme.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><img id="media-875016" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/3219062923.2.jpg" alt="Zorro-numéro-238-année-1950.jpg" width="285" height="263" /></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: left;" align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Dans Zorro, : Et vlan ! prend ça dans la tronche ! Tricheries, calomnies, dopages, rancunes et menaces de mort, Pellos ne nous épargne rien du monde « vertueux » des sports en tout genre.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Aujourd’hui, les BD ne sont guère publiées que sous la forme d’albums périodiques. C’est dire que le scénario et le dessin sont entièrement complets lorsque l’histoire est mise en vente par l’éditeur. Tel n’était pas le cas pendant les décennies passées de notre jeunesse, celle de mon père et la mienne. En bas de page, le récit portait la mention « à suivre ». Les dessinateurs travaillaient souvent une planche hebdomadaire sans réellement prévoir quel aspect ils donneraient à celle de la semaine à venir. Parfois un problème social rendait momentanément impossible la livraison de la planche à l’imprimerie – grèves SNCF ou encore grèves des services postaux. - Mais reconnaissons que de tels manquements restaient rares, très rares.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Il y eut le cas d’une absence quelque peu spéciale survenue à PELLOS lui-même.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span><img id="media-875009" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2426323814.jpg" alt="Zorro-numéro 47, année1953.jpg" width="448" height="240" /></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Chapeautés par cet article édité dans le numéro 47 de la Nouvelle Série de ZORRO, année 1953, les derniers mots de notre commentaire seront pour rappeler que Pellos reçut le prix d’Angoulême en 1976.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="right"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Docteur Jivaro</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlEpreuve cycliste - 3e étapetag:bar-zing.blogspirit.com,2015-07-07:30514242015-07-07T13:39:00+02:002015-07-07T13:39:00+02:00 Images capturées dans la BD « Chouchou, Roi...
<p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-874351" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/3223762809.jpg" alt="tour de france 2015,bd ancienne,pellos,zorro,tarzanides du grenier" /></p><p> </p><p> </p><p><span style="font-size: large;">Images capturées dans la BD « Chouchou, Roi de la Petite Reine », année 1951 et dans ZORRO, 22 rue Bergères – Paris. Le directeur en était Jean Chapelle.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: large;">Hier, pendant l’étape Anvers-Huy, la chute collective d’une vingtaine de cyclistes du Tour de France 2015, nous a brusquement remis en mémoire le grand talent de PELLOS, dessinateur omniprésent dans toute l’imagerie française des années 30, 40 et 50.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: large;">Samedi prochain, notre rubrique « Les Tarzanides du Grenier » sera pour ainsi dire consacrée à PELLOS, bédéïste sportif.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du Grenier n° 86tag:bar-zing.blogspirit.com,2014-11-01:30208752014-11-01T16:20:00+01:002014-11-01T16:20:00+01:00 La Société Parisienne d’Édition fut l'une des maisons les mieux fournies...
<p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">La Société Parisienne d’Édition fut l'une des maisons les mieux fournies dans le commerce des romans et BD français. Sa naissance dans le passé remonte jusqu'en … 1899. L'année ou les frères OFFENSTADT s'associent pour établir comme un monopole sur la Presse de divertissement adressée à la jeunesse de notre pays. Une réussite qui, en réaction, allumera contre elle toute une campagne politique conduite par la Droite traditionnelle, comprenez : par des familles catholiques. Les OFFENSTADT, vous avez compris, appartenaient à la diaspora juive capitaliste prospectant en Europe de l'Ouest.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Parmi la multitude de titres créés par la S.P.E et dont Docteur Jivaro s'avoue incapable de répertorier l'existence, exista un TÊTAR-ZAN.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/75720519.jpg" target="_blank"><img id="media-826403" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/1064520070.jpg" alt="Têtar-Zan-n°-1.jpg" width="208" height="300" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Voici le numéro 1 de ce Tarzanide pour rire. Les dessins intérieurs sont signés de MAT sur cette couverture où le nom du scénariste ne figure pas. Aussi faut-il le chercher en page 3. Il s'agit de Lortac. Celui-ci, comme moyen d'humour, utilisait fréquemment les similitudes de prononciation entre des mots composés et des syllabes isolées, le tout facile d'accès à l'enfance populaire. Exemple : BÔ-NEUR-E-PROSPER-I-T-Ô-JEU-NEZE-POÛ. Et si, après ça, vous épousez la moins aimable de vos voisines, c'est que vous disposez d'un ballon d'oxygène increvable.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Cet album n° 1 comporte 48 pages sans compter les quatre pages de sa couverture de même grammage de papier semble-t’il. Deux planches publicitaires sont présentes ; l'une pour le dentifrice GIBBS, l'autre pour PERRIER « l'eau qui fait pschitt ! ». Aucune date de publication n'est précisée. Toutefois, le collectionneur peut trouver un repère approximatif dans L'ÉPATANT, année 1951. En effet, les premières aventures contenues dans l'album n° 1 TÊTAR-ZAN furent préalablement publiées sous une forme hebdomadaire dans L’ÉPATANT.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">TÊTAR-ZAN n'est qu'une parodie gentille des exploits fictifs de TARZAN. Bien des écoliers s'identifiaient à ce valeureux personnage dans leurs jeux. Ici encore Lortac feintait avec les mots : TÊTAR-ZAN résume Tu es, t'es Tarzan ! MAT et LORTAC brocardaient ainsi certains enfants qui se prenaient trop au sérieux dans de naïves imitations de leur héros. D'ailleurs, quelques uns réagissaient avec colère, vexés. J'en connus au moins un qui déchira quatre pages dans l'exemplaire ci-dessus au moment de me l'échanger contre je ne sais plus quel journal illustré.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p style="padding-left: 90px;" align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3584362434.jpg" target="_blank"><img id="media-826404" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3214452895.jpg" alt="Sigle-SPE.jpg" width="146" height="161" /></a></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p> </p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Le monogramme devenu fameux de la</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">SOCIÉTÉ PARISIENNE D’ÉDITION.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Mat travailla beaucoup, beaucoup. Exhibant une vivacité graphique moins « musculaire » mais tout aussi constante que celle d'un PELLOS.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Un PELLOS qui participa de façon décisive à la création du plus important journal de bandes dessinées d'avant la guerre 1939-40. Je veux nommer JUNIOR dont le format géant – 55 X 39 cm – fascinait les voisins adolescents de mon père.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">JUNIOR ? encore un produit réussi par la très fertile famille OFFENSTADT !</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/4122621951.jpg" target="_blank"><img id="media-826405" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/2630535986.jpg" alt="Publications-SPE,-1930.jpg" width="219" height="328" /></a></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Ci-dessus, sur ce quatrième plat de la couverture de la reliure intitulée Histoire en Images, quelques-uns des titres commercialisés par la SPE.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Cette reliure date de 1930. Les exemplaires de simplement quatre pages chacun qu'elle contient, étaient publiés trois fois par semaine : le mardi, le jeudi et le dimanche.</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="right"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Docteur Jivaro</span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du Grenier n° 68tag:bar-zing.blogspirit.com,2014-06-07:30076662014-06-07T18:13:00+02:002014-06-07T18:13:00+02:00 Quant à Tounga … Le journal de TINTIN dont la lecture...
<p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Quant à <em><strong>Tounga</strong></em> …</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Le journal de <em>TINTIN</em> dont la lecture était recommandée aux enfants de 77 ans, hébergea cet « <em>Homme des cavernes</em> » pendant l'année 1961. Trente pages colorées à raison de deux publiées tous les huit jours.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Visiblement inspiré de <em>La Guerre du Feu</em> – roman populaire écrit sous l’appellation Rosny (1911) – puis enfin mis en BD pendant l'année 1950 par le très expéditif Pellos (1900-1998), <em><strong>TOUNGA</strong></em> obéit de bout en bout à la misogynie sévissant dans les produits catholiques du belge R.G. Pas une fille ! Pas même une vieille grand-mère d'âge canonique !</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-805432" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/1653493983.jpg" alt="Tounga-album-1967.jpg" width="302" height="279" /></p><p style="padding-left: 30px; text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> <span style="font-size: small;">AIDANS, fondateur dessinateur de <em><strong>Tounga</strong></em> pouvait exposer des images de tuerie mais à condition quelles ne s'exerçassent pas contre des humains et que le motif en fut pour l'homme de se protéger contre l'appétit carnassier d'un fauve. Ici, le fauve éventré est l'ami de <em><strong>Tounga.</strong></em></span></span></p><p style="padding-left: 30px; text-align: justify;"> </p><p style="text-align: left; padding-left: 30px;"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Tout gosse, j'ignorais <em>Tintin</em> ; j'inclinais vers <em>Spirou</em>. Et ce fut par Spirou que je rencontrais <em>Tarzan</em> pour la toute première fois. Dessiné par Rubimor et édité en double page centrale dans <em>Spirou</em>.</span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-805433" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/3326583181.jpg" alt="Tarzan-Spirou-485.jpg" width="314" height="266" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"><span style="line-height: 100%;">Dans Spirou, n° 485 de juillet 1947</span> </span></p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Cette image est vivement restée dans mon souvenir. Je ne lisais pas encore, ma mère lisait pour mes oreilles. Je me rappelle qu'elle eut un sursaut de « femme au foyer » pendant que <em>Tarzan</em> affrontait des pithécanthropes dans le monde monstrueux de PAL UL – DON. Elle s'exclama : zut ! J'ai oublié d'acheter chez la Mère Laforêt une paire de lacets pour les chaussures de ton père.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Moi, je n'avais que cinq ans. Je tournais en rond sur le tout petit petit manège de l'école maternelle de la Rue Voltaire. Aussi ne suis je pas certain que la Mère Laforêt vendisse de la mercerie en même temps que des paquets de nouilles. J'ai la mémoire qui flanche, Madame Jeanne Moreau.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Tiens ! L'autre jour, je suis passé devant cet ancien bistro épicerie rue Miscailloux. C'est à vendre. A vendre depuis plus de dix ans ! m'a dit, moitié résigné, moitié indifférent, le voisinage. Par contre, une famille a acheté la maison d'angle qui fut une boutique de boucherie, d'abord au nom de Lecoq, ensuite à celui de Martina. La partie boucherie à été abattue, rasée par le nouveau propriétaire. On n'y vendait pas Halal.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Bien gentil tout ça mais quel rapport entre ces commerces alimentaires et les Tarzanides traités ici ? Quel rapport ? Attendez. Lorsqu'à ma demande mes parents arrêtèrent de me payer <em>Spirou</em> ils m'abonnèrent aux hebdo <em>Coq Hardi</em> et <em>Tarzan</em>. Ce fut alors le fils du boulanger du coin qui me fit connaître l'animal BD qui, chez l'Editeur DUPUIS, allait obtenir tous les suffrages de la jeunesse : le Marsupilami. Un marsupial rapidement plus célèbre que le bien oublié Salsifis, le kangourou de Monsieur Poche.</span></p><p style="text-align: left;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-805439" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/2901765263.jpg" alt="illustrés pour enfants,bd anciennes,tintin,tounga,pellos,rubimor,tarzan,tarzanide" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Né dans la jungle, bondissant de liane en liane et dévorant les piranhas, amphibien et assommeur de diplodocus, le marsupilami mérite assurément de figurer dans notre hiérarchie des Tarzanides.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; line-height: 100%;" align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Docteur Jivaro</span></p><p style="margin-bottom: 0cm; line-height: 100%;" align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides humoristiquestag:bar-zing.blogspirit.com,2013-10-26:29824152013-10-26T17:26:00+02:002013-10-26T17:26:00+02:00 Fréquemment imité dans la BD lorsqu'elle se veut sérieuse, TARZAN fut, par...
<p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Fréquemment imité dans la BD lorsqu'elle se veut sérieuse, TARZAN fut, par contre, mille et mille fois caricaturé, brocardé, moqué par les romanciers et les journalistes, le monde politique ne lui ayant pas non plus épargné les railleries.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Son personnage eut aussi à subir les fléchettes des humoristes, rien que pour amuser les enfants tout en leur apprenant à cesser de croire que les exploits du héros pouvaient correspondre à une réalité.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">La plus forte dérision appliquée au « fils des grands singes » et adressée à un jeune public reste, sûrement une œuvre BD scénarisée par Marijac (1908-1994) et dessinée par Jacovitti (1923-1997). Elle débuta dans le numéro 156 (mars 1949) de COQ HARDI pour se terminer dans le numéro 178 d’août 1949. Cela après avoir perdu un procès suite à une plainte déposée par les déteneurs légitimes du personnage « Roi de la Jungle ». D'où sortit un règlement à l'amiable : le mot Tar-zan, même coupé en deux par un trait de séparation, n'ayant pas suffi, on le réduisit à un court bégaiement : Zan-Zan).</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-764532" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/1046964406.jpg" alt="bandes dessinées,bd,tarzan,têtar-zan,zan-zan,tarzanides,marijac,pellos,coq hardi,l'épatant,jacovitti" /></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Deux années ensuite, et pour la société parisienne d'édition encore gérée par un Offenstald, le dessinateur MAT inventait un Têtar-Zan pour le retour en 1951 du vieil hebdo L'ÉPATANT.</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-764530" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2188208604.jpg" alt="bandes dessinées,BD,Tarzan,Tarzanides,Marijac,Pellos,Coq Hardi,l'épatant,Jacovitti," /></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Têtar-Zan est un Tarzanide pour amuser les gamins, mais … qui ne m'amusa pas quand j'eus perdu mes dents de lait. (je lui préférai le Zan-Zan de Jacovitti). Ce Têtar-Zan loge dans une caverne, pendant une période préhistorique impossible à délimiter pour un paléontologue. Ce qui donne à supposer que Mat et son scénariste Lortac s'inspirèrent d'un précédent homme cavernicole, à savoir le comics HALLEY-OOP. Celui ci parut pour la première fois en France en 1937, et dans le grand journal JUNIOR, journal confectionné à l'aide de séries américaines (à l'exception de Pellos. L'inévitable Pellos).</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Cette reliure numéro 1 de l'ÉPATANT 1951 compte 32 numéros, chacun doté de huit pages. Au 32e numéro </span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">l'ÉPATANT</span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"> s'interrompit sans prévenir, abandonnant son contenu BD malgré sa suite annoncée pour « Jeudi prochain ».</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Signalons qu'après Têtar-Zan, Mat récidiva avec un Spâ-râ-drâh. Les jeux de mots bas de gamme de Mat, vous feraient regretter d'avoir appris à lire.</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="RIGHT"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Docteur Jivaro</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes tarzanides du grenier (n° 35 bis)tag:bar-zing.blogspirit.com,2013-06-08:29672362013-06-08T18:19:00+02:002013-06-08T18:19:00+02:00 Selon la mythologie...
<p style="text-align: center;"><img id="media-742077" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/1456486483.2.jpg" alt="tarzan femme,tarzanides,durga rani,pellos,bd,bédé anciennes" /> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: small;">Selon la mythologie hébraïque – celle de la Bible – </span></span><span style="font-size: small; font-family: Arial, sans-serif;">la femme et le serpent se font complices pour accabler l'homme, ce grand nigaud qu'il faut savoir mener par le bout du zizi.</span></p><p style="text-align: justify;" align="JUSTIFY"> </p><p style="text-align: justify;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">C'est sous l'influence des tarzanes et autres tarzellas – alors très en vogue – que Pellos invente DURGA RANI, une jeune fille athlétique, vierge de partout.</span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span><span style="font-size: medium;">On est alors en 1947 (une feuille de lancement n° 0 existerait dès 1946 ?) On est alors en 1947, Pellos travaille encore et toujours pour les éditeurs Offenstald, lesquels produisent simultanément à des titres diversifiés une LISETTE, brochure hebdomadaire imprimée d'images et de texte. Elle est adressée aux fillettes scolarisées, dans le royaume pas forcement enchanté des petites culottes tissées de coton blanc.</span></span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span><span style="font-size: medium;">« j'aimais beaucoup KIPLING » avouera avec émotion Pellos dans le numéro 31 des Cahiers de la Bande Dessinée. Donc, géographiquement, ce ne sera pas l'Afrique, ce sera l’Inde. Mais attention,pas l’Inde des Colonies Anglaises ni celle de notre compatriote DUPLEIX. Ce sera l’Inde d'avant ou, si vous préférez, de l'Inde en dehors de toute conquête européenne. Une Inde romancée n'ayant pas même conservée souvenir de l'épopée Alexandre Le Grand.</span></span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span><span style="font-size: medium;">L'histoire de DURGA RANI se déroule sur 126 planches. Les illustrations ne sont pas enfermées dans des cases et les phylactères n'existent pas. Toute onomatopée est bannie. Les dessins servent à accompagner un long texte découpé par paliers. En résultat, il ne s'agit pas vraiment d'une BD. On peut parier que les gamines en admiraient les images avant de se décider à en lire le récit.</span></span></span> </p><p align="JUSTIFY"><img id="media-742067" style="text-align: center; margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/2739969683.jpg" alt="tarzan femme,tarzanides,durga rani,pellos,bd,bédé anciennes" /></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"> <span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">Voyager en compagnie de la « Reine des Jungles » n'équivaut pas à une période de repos. Nulle part la sécurité ! On s’entre-tue, on assassine avec rage. Les animaux s'écrabouillent, se déchirent, se dévorent pendant que DURGA RANI, autoritaire et orgueilleuse, s’exhibe colérique dans ses vengeances. Tout ça créant un climat frénétique et voluptueux. De quoi inciter plus d'une gamine à quelque rêvasserie érotique conduisant à de premières masturbations. Mais heureusement pour la tranquillité des familles répressives, le lit des enfants d'avant l’adolescence ne parle pas. Silence et couche cousue.</span> </p><p align="JUSTIFY"><img id="media-742075" style="text-align: center; margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2781958496.jpg" alt="tarzan femme,tarzanides,durga rani,pellos,bd,bédé anciennes" /></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span><span style="font-size: medium;">Pellos n'oubliait que rarement de placer sa signature au bas de chacune de ses planches. Le moindre petit dessin méritait, lui aussi, d'être paraphé. Il profitait ainsi d'une tradition française rendant hommage au travail de l'artiste aussi modeste soit-il. Les italiens dans leurs journaux pour enfants ne disposaient pas fréquemment d'une pareille reconnaissance. Mes copains d'école et moi avons aimé KIT Le Petit Shérif ainsi que Pécos Bill sans jamais connaître ni le nom ni même le pseudonyme de leurs auteurs transalpins.</span></span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span><span style="font-size: medium;">Au dessus de la signature de Pellos on voit un petit signe graphique dont la forme est modifiée après quelque temps d'utilisation. Tantôt un cœur, tantôt un œil. Parfois un profil schématisé, celui d'un animal ou d'un humain, etc. Pellos disait que ces pictogrammes l'aidaient a repérer l'année de réalisation des dessins. Était ce vrai ?</span></span></span></p><p align="JUSTIFY"> <span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">Les 126 pages de Durga Rani peuvent être divisées en quatre cahiers d'inégales épaisseurs, chacun marqué d'un pictogramme différent des trois autres.</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"><img id="media-742076" style="text-align: center; margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/4023938247.jpg" alt="tarzan femme,tarzanides,durga rani,pellos,bd,bédé anciennes" /></p><p align="JUSTIFY"> </p><p style="text-align: center;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Un ovale pages 1 à 12 - Un astérix de la page 13 à 59 et de la page 60 jusqu'à 107 : u</span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">n coeur - Une étoile page 108 jusqu'à 126 la finale</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"><img id="media-742064" style="text-align: center; margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2653992739.jpg" alt="tarzan femme,tarzanides,durga rani,pellos,bd,bédé anciennes" /></p><p align="JUSTIFY"> </p><p style="text-align: center;" align="JUSTIFY"> <span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif; text-align: center;">Durga Rani danse en acrobate païenne.</span></p><p style="text-align: center;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif; text-align: center;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le rabbin, le curé, le mollah et le secrétaire du Parti des Travailleurs détestent ce style de danse. Quant aux </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">femmes dites libérées, qu'elles soient frigides ou qu'elles soient lesbiennes, elles détestent surtout les hommes qui aiment ce genre de danseuse.</span></span> </p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="RIGHT"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span><span style="font-size: medium;">Docteur Jivaro</span></span></span></p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du grenier (n° 34)tag:bar-zing.blogspirit.com,2013-05-25:29653232013-05-25T15:50:00+02:002013-05-25T15:50:00+02:00 Par l'un de ses tarzanides précédents et parlant de Pellos, 09-03-2013,...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Par l'un de ses tarzanides précédents et parlant de Pellos, 09-03-2013, Docteur Jivaro à rapidement évoqué l'existence tumultueuse d'une DURGA RANI. Cette BD d'abord publiée hebdomadairement dans FILLETTE, connut plusieurs rééditions à succès sous la forme d'albums pendant les années 60 et 70 – et notamment lorsqu'en 1976 Pellos obtint le Prix de la Ville d'Angoulème.</span><span style="font-size: 11px;"> </span></p><p style="text-align: justify;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;">Toutefois Durga Rani « Reine des Jungles » fit aussi et de façon très courte une apparition originale dans un des numéros de la revue PHENIX.</span><span style="font-size: 11px;"> </span></p><p style="text-align: justify;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;">Comme on disait dans les BD de ma jeunesse : vivement la semaine prochaine, chers petits amis lecteurs</span></p><p align="JUSTIFY"> <span style="text-align: center; font-size: 11px;"> </span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/2391458174.jpg" target="_blank"><img id="media-739315" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/305202248.jpg" alt="bd,pellos,durga rani,offenstald,spe,tarzan,tarzanide,bédé anciennes" /></a></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;">Avec qui voulez-vous lutter ?</span><span style="font-size: 11px;"> </span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;">Une attitude souvent adoptée de TARZAN et par laquelle l'impétueuse jeune vierge semble s'enfermer dans le refus obstiné de toute intrusion en elle d'un macho méprisé.</span><span style="font-size: 11px;"> </span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;">Elle ne sait donc pas de quelle jouissance sa virginité la lèse ?</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: 11px;"><br /></span></p><p style="text-align: right;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Docteur Jivaro </span></p>
Bredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.htmlLes Tarzanides du grenier (n° 25)tag:bar-zing.blogspirit.com,2013-03-09:29543932013-03-09T19:53:00+01:002013-03-09T19:53:00+01:00 PELLOS Athéniens ! s'exclamait DIOGENE, ironique et risquant le...
<p style="text-align: left;"><strong><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">PELLOS</span></strong></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">Athéniens ! s'exclamait DIOGENE, ironique et risquant le bâton, Athéniens ! Vous avez construit un pont mais il n'y a plus d'eau en-dessous. Vendez le pont pour vous acheter de l'eau.</span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Deux mille ans après – Davantage, on peut dire – le dessinateur PELLOS débute une vraie carrière dans la bande dessinée. Il crée un « Monsieur Petitpon ».</span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">On est en 1937, dans le journal illustré JEUNESSE MAGAZINE. Sur trente deux pages, l'aviation occupe une place prépondérante, et les garçons en sont enthousiastes. Alors forcément, Monsieur Petitpon commence ses aventures amusantes en construisant dans son salon un monoplan à hélice.</span></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-724613" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2831501475.jpg" alt="bd,bd anciennes,tarzan,tarzanides,bd de collection,illustrés pour enfants" /></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En page 32, on trouve « le fils de Sherlock Holmes » dont le graphisme est signé de GROVE que l'on appréciera plus tard dans Le Canard Enchaîné.</span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"> <span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">Notre bédéïste PELLOS devient vite l'un des principaux collaborateurs de la famille Offenstald. Celle-ci éditait de très nombreux titres pour une clientèle surtout constituée d'enfants prolétariens et de fils de petits commerçants. Dans cette famille, il y eut une rivalité commerciale entre les jeunes et les vieux. Les jeunes éditèrent JUNIOR ; les vieux éditèrent l'AS. L'AS utilisait du matériel français pendant que JUNIOR faisait appel aux produits américains. Cependant, tous les deux recouraient à un même personnage cumulant les suffrages populaires dans le roman, le cinéma et la Bédé : TARZAN. Mais avec une différence entre deux styles : L'AS imprimait les images signées REX MAXON, et JUNIOR celles signées HOGARTH.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;"><br /></span></p><p style="text-align: center;"> <img id="media-724609" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/1265297462.jpg" alt="bd,bd anciennes,tarzan,tarzanides,bd de collection,illustrés pour enfants" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: Arial, sans-serif;">Dans l'AS de 1938, la présentation TARZAN respectait la disposition du dessin et du texte américains, les images carrément distinctes de l'écriture, les bulles étant absentes.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Quelque vingt ans après son Monsieur Petitpon, PELLOS prend, toujours à la demande d'un des fils Offenstald, la succession de FORTON (1908-1934) pour rajeunir les célèbres PIEDS NICKELES. Rapide, nerveux, expéditif, PELLOS s'attache pendant presque quatre décennies (1948-1981) à cette série humoristique à laquelle il fait perdre l'ambiance anarchique d'origine. Entre Monsieur Petitpon, de 1937, et les Pieds Nickelés qu'il reprit en 1948, donc entre deux séries BD drolatiques, PELLOS gagnera aussi une célébrité dans les caricatures relatives aux sports. Lui même, pratiquera plusieurs d'entre eux. Les sports de combat l’intéressaient tout particulièrement : boxe, lutte gréco-romaine, catch, judo – en veux-tu en voilà et, pourquoi pas, le pancrace ? On ne parlait pas alors de kung-fu. Appréciant pleinement la force physique mobilisée par la volonté de vaincre, il est normal que PELLOS ait façonné pour la BD des champions capables d'actes héroïques exigeant autant de musculature que de dévouement.</span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour JUNIOR, il produira Jean-Jacques ARDENT.</span></span> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J.J. Ardent, beau comme une statue grecque à laquelle une bonne déesse à insufflé la vie, affronte une créature hybride, moitié gorille, moitié homme (non, non, ce n'est pas TARZAN). Cette … Ce monstre c'est MANOUK fabriqué scientifiquement par le Docteur Mackenvicht, un expérimentateur dangereux. Un match extrême s'ensuit où le sport est dévié jusqu'au cannibalisme.</span></span> <span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">Un enjeu sexuel apparaît aggravant la compétition : le vainqueur épousera la jolie blonde, Leïla. L'ambitieux Docteur Mackenvicht l'a d'ailleurs promise au vorace Manouk pour l’exciter plus encore à écraser J.J. ARDENT.</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-724610" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/2979544983.jpg" alt="bd,bd anciennes,tarzan,tarzanides,bd de collection,illustrés pour enfants" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pendant l’entraînement en vue de chaque épreuve J.J. ARDENT est conseillé par un maître nageur nommé Weissmuller. Tiens donc ! on voit que PELLOS appartient bien au temps pendant lequel Johnny Weissmuller, champion olympique de natation, incarnait le mythe de TARZAN pour le cinéma américain. Ainsi WEISSMULLER TARZAN parvenait à PELLOS par l'intermédiaire de J.J. Ardent. On pense tout de suite à tous les dérivés musclés et demi-nus inscrits dans la lignée des Tarzanides. Et l'on s'interroge : comment PELLOS, si doué pour animer des musculatures dans la bande dessinée, à t'il fait pour éviter d'avoir à illustrer un Tarzanide ? Son talent surpassait celui de nombre des dessinateurs qui se firent connaître rien qu'en imageant pauvrement quelques-uns des substituts de TARZAN ! Voyez l'italien AKIM, maladroitem</span></span><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">ent illustré.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-724615" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/1967588934.jpg" alt="bd,Zorro,bd anciennes,tarzan,tarzanides,bd de collection,illustrés pour enfants" /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La guerre du feu, </span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">n° 256 de l'année 1951</span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">image Pellos </span></span><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">extraite de Zorro</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-724635" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/4009521383.jpg" alt="bd,bd anciennes,pellos,durga rani,offenstald,tarzan,tarzanides,jeunesse magazine" /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: right;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: right;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p style="text-align: right;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: Arial, sans-serif;">Image Firmin Serac</span></p><p style="text-align: right;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">extraite de Zorro, n° 252</span></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-724624" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/1161962145.2.jpg" alt="bd,bd anciennes,pellos,durga rani,offenstald,tarzan,tarzanides,jeunesse magazine" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Et pour les petites demoiselles qui ne sont pas des mauviettes (dixit Pellos) voici DURGA RANI, en 1948 et dans le gentil petit journal FILLETTE.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: small;">DURGA RANI, sûrement la plus violente de toutes les autres Tarzella imaginées à son époque. Beaucoup de parents s'en effrayèrent.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: small;"><br /></span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">PELLOS, dont la longueur de vie (1900-1998) couvrit quasiment celle du XXe siècle reçut le Grand Prix d’Angoulême en 1976. Non sans regretter que certaines BD ait été politisées à outrance et de manière gauchiste dès le commencement des années 70.</span></span> </p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="RIGHT"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Docteur Jivaro</span></span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"> </p>