Last posts on new-york2024-03-29T09:29:09+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/new-york/atom.xmlTaniahttp://textespretextes.blogspirit.com/about.htmlArtiste mais femmetag:textespretextes.blogspirit.com,2016-10-13:31110042016-10-13T08:34:00+02:002016-10-13T08:34:00+02:00 Jeu savant et passionnant, Le Monde flamboyant de Siri Hustvedt...
<p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Jeu savant et passionnant,<a title="Site de l'éditeur" href="http://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature-etrangere/un-monde-flamboyant" target="_blank"><em> Le Monde flamboyant</em> </a>de <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Siri_Hustvedt" target="_blank">Siri Hustvedt </a>(2014, traduit de l’américain par Christine Le Bœuf) pourrait passer pour un essai, à lire <a title="Extrait à lire en ligne" href="http://www.actes-sud.fr/sites/default/files/9782330034979_extrait.pdf" target="_blank">l’avant-propos </a>signé I. V. Hess sur Harriet Burden, une artiste new-yorkaise retirée du monde de l’art après avoir exposé dans les années 1970-1980. En 2003, une lettre de Richard Brickman à une revue d’art révélait qu’Harry était l’auteur véritable de <em>« Masquages </em>», une formidable expérience artistique sur la façon dont l’œuvre d’art est perçue et valorisée.</font></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/02/3597053974.jpg" target="_blank"><img id="media-183997" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/01/2912434011.jpg" alt="hustvedt,siri,un monde flmaboyant,roman,littérature américaine,new-york,création,art,femmes artistes,critique,culture" /></a></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Trois hommes, de 1999 à 2003, ont accepté successivement d’exposer ses œuvres sous leur nom et de jouer le créateur pour le public et les médias : Anton Fish, Phinéas Q. Eldridge et Rune, avec un succès retentissant. Ainsi Harriet Burden a magistralement démontré le <em>« préjugé antiféministe du monde de l’art »</em> et les <em>« rouages complexes de la perception humaine ».</em> Nourrie de lectures philosophiques et théoriques, méconnue de ses contemporains, elle voyait en <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Margaret_Cavendish" target="_blank">Margaret Cavendish</a>, duchesse de Newcastle, intellectuelle excentrique du XVIIe siècle, son alter ego – d’où le titre du roman, que Siri Hustvedt lui a emprunté.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Ce début sérieux pourrait rebuter, et la structure fragmentée de cette fiction, mais au fur et à mesure que le puzzle de Siri Hustvedt donne chair à la vie de femme et au destin d’artiste de Harry Burden, c’est un roman captivant, bouleversant même. On fait connaissance avec elle juste après la mort de son mari, un riche marchand d’art, qu’elle a rencontré dans sa galerie à vingt-six ans (lui en avait quarante-huit) et qui s’écroule brutalement un matin, à la table du petit déjeuner.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Leurs enfants, Maisie et Ethan Lord, donnent leur point de vue de temps à autre dans le récit qui contient des lettres, des articles, des témoignages, et beaucoup de passages des carnets répertoriés alphabétiquement où Harry notait ses observations et réflexions. Dans la dépression du deuil, elle reprend goût à la vie grâce à une phrase du Dr Fertig qu’elle voit régulièrement : <em>« Il est encore temps de changer les choses, Harriet. »</em> A sa fille, après son déménagement à Brooklyn, elle dira : <em>« Maisie, je me sens des ailes. »</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Ce qui est étonnant, c’est que personne n’ait soupçonné le jeu des pseudonymes. Même une critique qui avait apprécié ses débuts d’artiste n’a rien deviné et, quand on lui demande après coup si elle l’aurait exposée, <em>« croit »</em> qu’elle l’aurait fait, bien que son travail lui semblait <em>« trop intense ».</em> Grande, puissante, érudite, Harry faisait peur en tant qu’artiste, tout le monde la jugeait parfaite dans le rôle d’épouse du riche Felix Lord.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Sa fille, en lisant ses notes après sa mort, se reprochera de n’avoir pas senti à quel point sa mère était malade de se savoir <em>« affreusement incomprise »</em> dans son métier. Les <em>« poupées »</em> que fabriquait Harry inquiétaient Maisie comme des signes de dépression, alors que sa mère donnait vie ainsi à son imaginaire : <em>« Non existants, impossibles, les objets imaginaires habitent tout le temps nos pensées mais, en art, ils passent du dedans au dehors, mots et images franchissent la frontière. »</em> (Carnet C)</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Après la tristesse de la séparation avec Felix, Burden sent que sa liberté est arrivée, que personne ne la bloque plus sauf elle-même. Et pour déjouer les préjugés à l’égard des femmes artistes, dont elle donne de nombreux <a title="Comme en témoigne une affaire récente (Le Figaro)" href="http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/en-direct-du-monde/en-espagne-un-peintre-est-accuse-ne-pas-realiser-ses-tableaux-lui-meme_1814659.html" target="_blank">exemples </a>dans l’histoire de l’art, elle se donne pour défi de changer la manière dont on perçoit ses <em>« métamorphes ».</em> Anton Tish, son premier masque, rencontré dans un bar grâce à un des <em>« assistants-réfugiés »</em> qu’elle accueille dans sa grande maison, fera<em> « un malheur avec son installation ».</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Son amie depuis douze ans, Rachel Briefman, a toujours vu en Harry une passionnée, <em>« une omnivore animée d’une immense avidité de toutes les connaissances qu’il lui était possible d’ingérer. »</em> Enfant, Harry admirait son père, <em>« le philosophe-roi »</em> dont le bureau lui était interdit. Vers seize ans, le développement de son corps <em>« magnifique, fort, voluptueux »</em> l’avait terriblement embarrassée. Dans <em>Frankenstein</em> de Mary Shelley, le monstre était son personnage préféré.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font><em>« Pourquoi les gens voient-ils ce qu’ils voient ? Il faut qu’il y ait des conventions. Il faut qu’il y ait des attentes. Sans cela, nous ne voyons rien ; tout serait chaos. Types, modes, catégories, concepts. »</em> (Carnet A) La <em>« grande Vénus »</em> de Harry offre à Anton Fish, vingt-quatre ans, la reconnaissance en tant qu’artiste que n’aurait pas obtenue la mère de deux enfants adultes. Ensuite, avec Phineas Q. Eldridge qui se produit sur scène en tant que mi-homme mi-femme, mi-noir mi-blanc, la complicité est immédiate. Il l’aidera à fabriquer et exposer les <em>« Chambres de suffocation ».</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Bruno Kleinfeld, un voisin subjugué par l’allure, les manteaux et les chapeaux de Harriet Burden, finit par oser l’inviter à dîner et devient son complice intime et attentionné. Bien qu’il la pousse à signer son travail, elle reste cachée et veut choisir le bon moment pour la révélation. Son troisième avatar masculin, Rune, déjà célèbre par ses vidéos égotistes avant leur collaboration pour <em>« Au-dessous »</em>, va bouleverser les plans de Harry de manière inattendue.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font><a title="Critique de Télérama" href="http://www.telerama.fr/livres/un-monde-flamboyant,118980.php" target="_blank"><em>Un monde flamboyant</em> </a>multiplie les points de vue sur <a title="Vidéo : entretien avec Siri Hustvedt (Médiapart)" href="http://www.dailymotion.com/video/x29psi7_siri-hustvedt-un-monde-flamboyant-entretien-integral_news" target="_blank">l’artiste</a>, <a title=""Siri Hustvedt: la femme derrière le masque" par Isabelle Falconnier (L'Hebdo, 2014)" href="http://www.hebdo.ch/hebdo/culture/detail/siri-hustvedt-la-femme-derrière-le-masque" target="_blank">sur l’art</a>, sur <a title=""Siri Hustvedt : Portrait d’une artiste plurielle sur la scène de nos préjugés (Un monde flamboyant)" par Christine Marcandier (Diacritik)" href="https://diacritik.com/2016/06/01/siri-hustvedt-portrait-dune-artiste-plurielle-sur-la-scene-de-nos-prejuges-un-monde-flamboyant/" target="_blank">la réception des œuvres</a>, entraînant le lecteur dans une exploration vertigineuse de la création et de la manière dont les autres la perçoivent. L’abondance des références littéraires et artistiques en fait une mine de sujets à méditer. Ceux qui connaissent un peu <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/tag/Hustvedt" target="_blank">Siri Hustvedt</a>, <em>« <a title="Critique et entretien avec Geneviève Simon (La Libre Belgique)" href="http://www.lalibre.be/culture/livres-bd/le-poche-de-la-semaine-siri-hustvedt-un-monde-flamboyant-540733b8357030e6103d804b" target="_blank">intellectuelle vagabonde »</a>,</em> fameuse épouse du non moins célèbre <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/tag/Auster" target="_blank">Paul Auster</a>, s’amuseront de la voir mentionner brièvement son nom au passage comme celui d’<em>« une obscure romancière et essayiste ».</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;">Coïncidence (une expérience que les lecteurs connaissent bien) : <em>La femme qui pleure</em> de Picasso rencontrée dans <em>La compagnie des artistes</em>, la <a title="Muses modernes (T&P)" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2015/10/08/muses-modernes-1146755.html" target="_blank">Dora Maar </a>du <em>« petit Picasso ardent et énergique »</em> qui aimait faire pleurer les femmes, y fait une apparition. <em>« Tous, nous voulons nous croire résistants aux paroles et aux actions d’autrui »</em>, c’est une illusion.</span></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlWinter in the #Hamptons: the hidden #poverty of New York’s luxury escape [#video]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-31:30694372016-03-31T15:00:00+02:002016-03-31T15:00:00+02:00
<p style="text-align: center;"><a href="http://www.theguardian.com/us-news/video/2016/mar/25/hamptons-in-winter-hidden-poverty-new-york-video" target="_blank"><img id="media-912380" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/00/2592613561.png" alt="hamptons, winter, new-york, uhnwi" /></a></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.html#Luxury #Stores Will Be Based on #Experience and #Design Flexibilitytag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-30:30694332016-03-30T15:00:00+02:002016-03-30T15:00:00+02:00 In order for retailers to better understand the process of...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/02/2649778539.jpg" id="media-912375" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>In order for retailers to better understand the process of experience-first luxury design, co-founders Jeremy Bergstein and Dave Skaff outlined five steps for architects, designers and retail companies to create thought-out spaces from the onset of the build process:</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>1- Consider the ‘New Retail Architecture’ – Physical architecture and digital architecture have to get to know each other.</strong> Enterprise technology influences almost every element of the modern customer experience. These systems are too critical to the core service the store delivers to ignore early on. You need to build on a strong foundation before you can architect any type of shoppable brand space.</p><p style="text-align: justify;"><strong>2- Think Beyond the Space –</strong> Customers are interacting with your brand inside and outside of store lease lines. Understand early on how your customers are engaging with the brand so you can enchant them and build experiences to meet them where they are.</p><p style="text-align: justify;"><strong>3- Leverage Historical Data –</strong> Don’t underestimate the power of data, and be prepared to make changes along the way. Data can inform everything from hyper-optimized regional store marketing and assortments to store displays, experiences and layout.</p><p style="text-align: justify;"><strong>4- Give Customers What They Want –</strong> Now that you know your customer, “architect” your space so guests will stay longer and give them an opportunity to have a personal moment with brand and product.</p><p style="text-align: justify;"><strong>5- Allow For Flexibility –</strong> Remember that key elements like flexible checkout and fulfillment are now table-stakes for a complete customer experience. Flexibility impacts physicality in an store environment.</p><p style="text-align: justify;">The Science Project (TSP) is a luxury retail design firm based in New York City. From Kate Spade to Perry Ellis and Barneys New York, they have continually pushed the boundaries of what truly defines “experience” in meaningful, well-thought-out ways that work across the digital, data and built environments and push the traditional boundaries of architecture.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1TaxjNz" target="_blank">[READ THE FULL ARTICLE]</a></p>
pjourdanhttp://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/about.htmlNext wave of store closings may hit luxury [NYC] [#CNBC #NYC #fifthavenue]tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-02-24:30669132016-02-24T11:00:00+01:002016-02-24T11:00:00+01:00 CNBC, 17/02/2016. It isn't every day you see a sign boasting 40...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/02/1958547941.jpg" id="media-907080" alt="" /></p><p><strong>CNBC, 17/02/2016.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>It isn't every day you see a sign boasting 40 percent off in the window of a luxury shop. But as real estate executive Andy Graiser walked past one of Prada's New York City boutiques a week before Christmas, that's exactly what he encountered.</strong></p><p style="text-align: justify;">Though the design house is working through some internal issues (namely, products that have fallen flat with their target demographic), Graiser, founder of A&G Realty, said such deep discounting at a luxury shop is indicative of broader woes across the luxury space — troubles that could result in the segment being next in line to trim its store fleet.</p><p style="text-align: justify;">The problems that luxury firms are battling are twofold. For one, they're facing macroeconomic pressures including a sinking stock market, stalled global growth and a stronger dollar, all of which discourage the high-end consumer from spending.<strong> For another, they're trying to sell their wares to a group of shoppers who have become less focused on material goods, and are instead more interested in dining out or travel — a trend that could have long-term implications for the industry.</strong></p><p style="text-align: justify;">Due to these factors and an overall glut of retail space in the U.S., Graiser predicts luxury retailers will be next in line to close some stores, as they try to compete in a country that has more than two times the retail space per capita than the United Kingdom, France, Brazil and Germany combined.</p><p style="text-align: justify;">"There are real issues with some of these luxury players," Graiser said. "There's going to be a lot more closures that are going to be occurring."</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://cnb.cx/21dPZhk" target="_blank">[READ THE FULL ARTICLE]</a></p><p> </p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlNew-York: chute des seins en boursetag:leshommeslibres.blogspirit.com,2013-06-06:32987172013-06-06T09:52:00+02:002013-06-06T09:52:00+02:00 Il y aura de tout. Les seins menus et bourgeonnants...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/3359057130.jpg" target="_blank"><img id="media-144064" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/1742459905.jpg" alt="new-york,seins nus,topless,seins,égalité,poitrine,hommes,mères,silicone,foot,central park," width="299" height="208" /></a></span>Il y aura de tout. </span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les seins menus et bourgeonnants d’adolescentes, les ogives triomphantes de leurs mères, les gouttes parfaites, les mamelles en forme de pectoraux anabolisés, les tétons pointus de deux centimètres, les aréoles plates, les gants de toilette usés, les citrouilles à l’américaine, les cicatrisés un peu rigides à la mode silicone mountain, les poires bien mûres, ceux en forme de citrons, de cerises sucrées, de mangues savoureuses, les volcaniques, les besaces chargées, les fontaines généreuses des mères qui allaitent, les tendres, les fermes, les pleins, les secs, ceux qui disent «Viens», ceux qui regardent ailleurs, ceux qui frissonnent sous les regards, ceux qui font se demander pourquoi toutes les femmes n’ont pas les mêmes: tous pourront se montrer au grand jour <em>(cliquer sur l'image pour l'agrandir)</em>.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">C’est une grande évolution de société, au nom de... devinez quoi? Au nom de l’égalité. Mais ce n'est pas sans danger. Si certains hommes à torse nu sont de vraies bombes sexuelles, chez les femmes tous les seins attirent les regards. Bonjour l’inattention au volant! Ce serait une campagne des carrossiers que je n’en serais pas étonné.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Non, je blague. Parce que les femmes ne pourront mettre leurs seins à l’air que là où les hommes le font. Cela limite les lieux et les périodes de l’année. Il y aura Central Park, les chantiers de construction où - tout le monde le sait - des cohortes de femmes portent les </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/3270506083.jpg" target="_blank"><img id="media-144065" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/724513666.jpg" alt="new-york,seins nus,topless,seins,égalité,poitrine,hommes,mères,silicone,foot,central park," width="300" height="300" /></a></span></span>parpaings et les sacs de ciment à torse-nu, certains bords de la rivière Hudson, deux ou trois rues de banlieue: le tour est vite fait. Vraiment? Pas certain. Ainsi la joueuse de foot</span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> dans la courte vidéo 1 ci-dessous. Et l’activiste féministe topless dans la vidéo 2, qui se balade entre autres sur un marché. La particularité de cette vidéo est que là où elle est seins nus, aucun homme n’est à torse nu! D’ailleurs on ne voit guère d’hommes en tétons sur les marchés de Genève ou de Bruxelles.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Je ne sais si les images ont été sélectionnées pour, mais elle semble ne pas trop attirer l’attention. Il faut dire qu’elle n’est pas un top model. Et puis quel homme voudrait d’une féministe? N’y a-t-il déjà pas assez de raisons de se prendre la tête sans cela?</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les seins nus, ce n’est pas nouveau. Je ne parle pas de la secte violente des Femen, mais des africaines, nos mères à tous historiquement! Ne les a-t-on pas vues régulièrement la poitrine dénudée, arborant fièrement leur torse glabre et brillant sous les ardeurs verticales du soleil africain? Les seins ne sont donc pas partout un élément de stimulation sexuelle. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Quoi? Damned! Les seins serviraient aussi à l’allaitement! Nom d’une pipe! Ils ne sont pas qu’objet de désir des pères, mais aussi des bébés - pas pour les mêmes raisons bien sûr. Ceux-ci n’ayant pas encore remarqué que toucher les jolies pommes de la dame fait assez vite monter la grue dans leur pantalon. La mécanique emprunte des voies mystérieuses.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Mais quand-même, notre culture a hissé - si j’ose dire - les seins au rang d’éléments sexuels forts. Les montrer partout, et pas seulement dans l’ambiance érotique de la plage, </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/00/284624688.jpg" target="_blank"><img id="media-144066" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/3084594988.jpg" alt="new-york,seins nus,topless,seins,égalité,poitrine,hommes,mères,silicone,foot,central park," width="300" height="213" /></a></span>pourrait les banaliser et enlever aux relations charnelles un de leur piments. Les seins seraient alors dévalués. Ils chuteraient dans les bourses. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Hé! ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit: je parle des bourses des valeurs. A quoi pensiez-vous, vilaine?!</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">A propos de chute, tiens, encore une injure de la nature faite au dogme de l’égalité: les femmes ne sont visiblement pas égale devant la loi... de la gravité. Et certainement pas du tout égales aux hommes qui eux n’ont rien à faire tomber au-dessus du nombril. C’est rageant! Il y a toujours une solution: marcher sur les mains remet les idées, et le reste, en place...</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Moi j’aime bien les seins nus à la plage mais j’aime aussi la différence. A force de vouloir tout faire comme les hommes elles vont cesser de les intéresser. Bien sûr, la récompense masculine est de savoir qu’ils restent les numéros 1, ceux que l’on prend comme modèles. Les féministes copient, une fois de plus. Elles n’ont pas beaucoup d’imagination et leur détestation des hommes n'est qu'un tsunami de jalousie. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Cette place de numéros 1 des hommes pourrait-elle à terme être menacée? Pas vraiment. Car il y a un truc qu’elles ne feront jamais comme les mâles <em>(vidéo 3)</em>. Non mais allô!</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><em><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Image 2: Keira Knightley. 3: Vin Diesel.</span></em></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Une chanson où il est question de seins (de l'album Doa):</span><br /><img id="media-144068" src="http://static.blog.tdg.ch/backend/graphics/insert-multimedia.jpg" alt=" http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/3672266258.mp3" /></p><p style="text-align: justify;"><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les footballeuses, pas de raison qu’elles ne fassent pas comme les hommes:</span><br /><br /><iframe width="420" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/bF2GHqRNgeQ" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe><br /><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Et l’activiste féministe seins nus: il y a pire. Être sourd et aveugle, par exemple.</span><br /><br /><object width="420" height="315" data="http://www.youtube.com/v/RXnfBUOA1LE?hl=fr_FR&version=3" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /><param name="src" value="http://www.youtube.com/v/RXnfBUOA1LE?hl=fr_FR&version=3" /><param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><object width="420" height="315" data="http://www.youtube.com/v/8vAziBDUqRA?version=3&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /><param name="src" value="http://www.youtube.com/v/8vAziBDUqRA?version=3&hl=fr_FR" /><param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">_______________________________________________________________________</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><a href="http://www.doa-album.ch" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Doa, l'album:</span></span></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/1806133029.jpg" target="_blank"><img id="media-144038" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/3403384636.2.jpg" alt="pagnol,auteuil,fille,puisatier,sociologie,femmes,hommes,famille,grossesse,honneur,riche,pauvre" width="100" height="143" /></a></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><br /></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><a href="http://www.atypic.ch" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Le Diable en été, roman:</span></span></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/3345787705.jpg" target="_blank"><img id="media-144039" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/419925593.jpg" alt="pagnol,auteuil,fille,puisatier,sociologie,femmes,hommes,famille,grossesse,honneur,riche,pauvre" width="100" height="150" /></a></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La grosse pomme - New York - veut faire appliquer une loi de vingt ans autorisant les femmes à être seins nus partout où les hommes peuvent l’être. Yo! Et comme il n’y a pas de discrimination, tous les seins de toutes les formes et de tous les âges seront enfin à la fête. Même ceux de nos grands-mères. Et les messieurs pourront mater sans complexe puisque c’est montré.</span></p>
Blog NEIDINGERhttp://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/about.htmlMarie-Christine Giordano Dance Compagnietag:blogdesylvieneidinger.blogspirit.com,2013-05-28:33257922013-05-28T00:03:00+02:002013-05-28T00:03:00+02:00 MCGD n'est pas un nouveau parti politique de la sphère genevoise !...
<p class="Standard"> <span style="font-size: small;"><strong><span lang="EN-US"><span style="font-family: helvetica;">MCGD n'est pas un nouveau parti politique de la sphère genevoise ! </span></span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;" lang="EN-US"><span style="font-family: helvetica;">En fait, le mouvement MCGD se retrouve à l'extrême-gauche puis à l'extrême-droite, au centre. </span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;" lang="EN-US"><span style="font-family: helvetica;">Mais aussi en haut et en bas. En avant plié, en arrière déployé<strong>.</strong></span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;" lang="EN-US"><span style="font-family: helvetica;">Virevoltant, sautillant<strong> : Marie-Christine Giordano Dance Compagnie.</strong></span></span><img id="media-143295" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/media/02/02/3259956512.GIF" alt="femme.GIF" /></p><p style="text-align: center;"><span lang="EN-US"><span style="font-size: medium; font-family: helvetica;"><strong></strong><span style="font-size: small;">L'artiste est née à Fribourg.</span></span></span><br /><span style="font-size: small; font-family: Arial;">"<em>En 1987, une bourse Suisse facilite le début de sa scolarité dans la prestigieuse école de danse de New York City, l’Alvin Ailey. Peu de temps après, elle reçoit une distinction de la Marta Graham school of Contemporary Dance. Apres avoir obtenu son diplôme de danseuse professionnelle en 1993, elle est envoyée au festival international de danse de Vienne afin d’y représenter officiellement la Marta Graham Dance Company</em>."</span><img id="media-143296" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/media/02/00/894841573.GIF" alt="gigi.GIF" /></p><p class="Standard"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Arial; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR;">"<span style="font-family: helvetica; font-size: small;"><em>En 1996, elle est commissionnée afin de chorégraphier un solo pour la pièce de Jean Cocteau nommé The Humann Voice at the Bouwerie Lane Theater, NYC. </em></span></span></p><p class="Standard"><span style="font-family: helvetica; font-size: small;"><em>Elle " présente alors <strong>sa première pièce en Suisse en 2002.</strong> La compagnie performe des lors à la St Marks Church, 92nd Street Y Harkness Dance Center, the Tribeca Performing Arts Center, BAX (Brooklyn Arts Exchange), Chez Bushwick, the Swiss Institute, ainsi que de nombreuses autres scènes européennes".</em></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-143297" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/media/00/02/986466691.GIF" alt="mjj.GIF" /></p><p class="Standard"><span><span style="font-size: small; font-family: helvetica;"><br /></span></span></p><p class="Standard"><span><span style="font-size: small; font-family: helvetica;">En octobre 2012, <a href="http://www.mcgiordanodance.org/"><span style="text-decoration: underline; color: #000080;"><strong>Marie-Christine Giordano Dance Compagnie </strong></span></a> se produisait à Penthes.</span></span></p><p class="Standard"><span style="font-family: helvetica; font-size: small;">Un <a href="https://www.facebook.com/pages/Marie-Christine-Giordano-Dance-comit%C3%A9-de-Suisse/201779723213785"><span style="text-decoration: underline;"><strong>comité</strong></span></a> dit"de suisse" s'est créé il y a moins de 2 mois, en mars dernier pour soutenir et promouvoir la danse contemporaine helvète à travers la technique chorégraphique de Marie-Christine Giordano, habitant New York depuis vingt ans maintenant.</span></p><p class="Standard"><span style="font-family: helvetica; font-size: small;">Devenue désormais une vraie" Suissesse du Monde."...</span></p><p class="Standard"><span><span style="font-size: small; font-family: helvetica;">Elle explore avec ses voiles et à travers son art les différentes facettes de la féminité.</span></span></p><p class="Standard"><span><span style="font-size: small; font-family: helvetica;">Observation : le corps présenté dans la photo de danse avec voile est excessivement maigre...<br /></span></span></p><p class="Standard"><span><span style="font-size: small; font-family: helvetica;">Alors, qu'est-ce qu'être femme au XXIème siècle?</span>"<br /></span></p><p> Sylvie Neidinger</p><p> </p><p><a href="http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/danse/"><span style="text-decoration: underline; color: #0000ff; font-size: medium;"><strong> Rubrique Danse</strong></span></a></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p>
CARONhttp://www.cequiest.com/about.htmlGUGGENHEIM, Maurizio Cattelan en suspensiontag:www.cequiest.com,2011-10-14:24102792011-10-14T10:07:00+02:002011-10-14T10:07:00+02:00 Ma petite idée... avec un petit café... Lors de la Biennale de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times; color: #333333; font-size: large;"><em>Ma petite idée... avec un petit café...</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #333333; font-size: large;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times;"><a href="http://www.cequiest.com/media/01/01/2713294091.jpg" target="_blank"><span style="color: #333333;"><img id="media-619224" style="margin-top: 0.2em; margin-right: 1.4em; margin-bottom: 0.7em; margin-left: 0px;" title="" src="http://www.cequiest.com/media/01/01/2454148556.jpg" alt="maurizio cattelan,guggenheim,new-york,exposition,laurence caron,art contemporain" /></span></a><span style="font-size: medium;">Lors de la Biennale de Venise en 2001, </span></span><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium;">Le Pape Jean-Paul II fut écrabouillé par un météorite... Une sculpture de cire, une des provocations artistiques les plus marquantes de Maurizio Cattelan. <br />A chaque fois, c'est une déferlante. Ce qui dérange est Art. <a href="http://www.cequiest.com/" target="_blank"><span style="color: #333333;">Ce qui est</span></a> Art est dérangeant. L'intervention humaine dans le processus de création éveille nos sens et parfois les bouscule. </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; color: #333333;"><span style="font-family: 'times new roman', times;">Ils sont nombreux à condamner ce courant d'art contemporain, dans l'esprit <strong><a href="http://www.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-Duchamp/ENS-duchamp.htm" target="_blank"><span style="color: #333333;">Duchamp</span></a>. </strong>Le verdict tombe : on oublie le </span><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times;"> beau au profit de la communication. </span></span></p><p><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;"><a href="http://www.cequiest.com/media/01/00/194024233.jpeg" target="_blank"><span style="color: #333333;"><img id="media-619222" style="margin-top: 0.2em; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.4em; margin-left: 0.7em; float: right;" title="" src="http://www.cequiest.com/media/01/00/4105864202.jpeg" alt="maurizio cattelan,guggenheim,new-york,exposition,laurence caron,art contemporain" /></span></a></span></p><p style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;">Je ne crois pas que l''Art soit une représentation de la beauté, mais plutôt une tentative humaine (plus ou moins réussie) de représenter ce qui est. Et ce qui est aujourd'hui, est AUSSI communication, et donc pas forcément beau... </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; color: #333333;"><img id="media-619221" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.cequiest.com/media/02/00/1072060335.jpeg" alt="Maurizio Cattelan,guggenheim,new-york,exposition,laurence caron,art contemporain" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;">On peut alors parler d'Art Contemporain, celui qui s'inscrit dans notre époque ; une époque où politiques et humanistes puisent dans quelques stratégies marketing pour se faire entendre, pour se faire voir, pour se faire vendre... </span></p><p style="text-align: justify;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;">Voici un nouvel espace de liberté, des territoires inconnus à explorer, seul le temps dira si nous avions tort ou raison.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium; color: #333333;"><a href="http://www.cequiest.com/media/00/00/872672505.jpg" target="_blank"><span style="color: #333333;"><img id="media-619223" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.cequiest.com/media/00/00/3991095068.jpg" alt="maurizio cattelan,guggenheim,new-york,exposition,laurence caron,art contemporain" /></span></a></span></p><p style="text-align: right;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;">Laurence Caron-Spokojny</span></p><p> </p><p style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;">Maurizio Cattelan au <span style="text-decoration: underline;"><strong>musée <a href="http://www.guggenheim.org/" target="_blank"><span style="color: #333333; text-decoration: underline;">Guggenheim</span></a></strong></span> de New-York. </span></p><p style="text-align: left;"><span class="Apple-style-span" style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium; color: #333333;">A voir aussi : <strong><a href="http://www.perrotin.com/" target="_blank"><span style="color: #333333;">Galerie Perrotin</span></a>.</strong></span></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlEclairage nouveau sur DSK: un passionnétag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-07-31:33017332011-07-31T14:26:00+02:002011-07-31T14:26:00+02:00 Une lettre envoyée à son père et avouant cette liaison aurait abouti dans...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/682298506.2.png" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/1727379505.png" id="media-92177" alt="dsk-marie-victorine.png" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-92177" height="264" width="397" /></a>Une lettre envoyée à son père et avouant cette liaison aurait abouti dans les rédactions de télévisions américaines, sans qu’elle s’explique cela. Sous la menace d’articles elle a décidé de prendre les devants et de parler la première. Elle s’est confiée à des journaux et au journal télévisé de la TSR.<br /> <br /> Encore un témoignage mis sous notre nez sans que nous puissions en vérifier la réalité. Mais s’il reflète la réalité il apporte un éclairage différent sur la personnalité de M. Strauss-Kahn. Il parle «de l’intérieur», de l’attitude amoureuse de l’homme. Un homme présenté comme séducteur mais pas violent. Du moins pas de la violence qu’on lui attribue. Un témoignage qui tient en partie du contrefeu médiatique suite à l’offensive télévisuelle massive de Nafissouta Diallo cette semaine.<br /> <br /> L’intérêt du témoignage de Marie-Victorine tient dans le regard qu’elle porte sur une relation amoureuse passionnelle et très physique. Elle relativise cette notion de violence. Après le «Tout homme est potentiellement violeur» d’une féministe française il y a quelques semaines, on revient ici aux fondamentaux de la relation amoureuse: séduction, pulsion physique, forte énergie sexuelle, désir manifesté de manière très directe. Sa réponse à une question d’Arnaud Bédat, journaliste à l’<a target="_blank" href="http://www.illustre.ch/DSK-maitresse-FMI_114733_.html"><span style="text-decoration: underline;">Illustré</span></a>, est sans ambiguïté:<br /> <br /> <i>«DSK a-t-il été parfois violent avec vous?<br /> <br /> Kenneth Thompson m’a aussi posé la question. C’est quoi la violence? Un homme qui vous plaque au mur et qui vous embrasse, c’est violent? Il y a violence et violence. Pour moi, ce n’était pas violent. Il ne l’a jamais été avec moi. Ni physiquement ni verbalement. Je considère notre relation davantage comme de la passion que comme de la violence. Nous étions dans une relation consentie. Donc, même s’il l’avait été dans l’intimité, ça ne regarderait que nous.»</i><br /> <br /> Ce qu’elle dit va plus loin que l’affaire Diallo-DSK. C’est un regard plus général sur le couple et le comportement des protagonistes dans une relation amoureuse. Cela rappelle que si des couples privilégient la tendresse et la douceur dans leur sexualité, d’autres apprécient une vigueur moins fleur bleue. Le désir peut s’exprimer avec intensité et force. Qu’une femme exprime ici apprécier cela fait heureusement le contrepoint au féminisme des années 1970 pour lequel tout acte sexuel initié par un homme était un viol. Théorie qui a biaisé le regard de la société sur le désir masculin et qui a imprégné bien des Cours de Justice d’un préjugé défavorable aux hommes. Ce préjugé aux conséquences dramatiques est toujours à l'oeuvre.<br /> <br /> Quel est l’avis de Marie-Victorine sur ce qui s’est passé au Sofitel? L’avis de quelqu’un qui n’y était pas, comme tout le monde. Mais son expérience relationnelle avec DSK relativise:<br /> <br /> <i>«Cette femme dit qu’elle a lutté, je veux bien la croire. Mais ça m’étonne un peu, car, d’après mes souvenirs, Dominique n’est pas le genre d’homme qui a besoin de forcer. C’est là que la manipulation séductrice intervient peut-être. La force n’est pas le moyen qu’il utilise… Il utilisera le charme, définitivement, mais pas la force…»</i><br /> <br /> Au téléjournal, elle est plus explicite: il lui paraît IMPROBABLE (en majuscule comme elle le dit) et invraissemblable que Dominique Strauss-Kahn ait commis ce qui lui est reproché. C’est un témoignage que l’on peut qualifier juridiquement de «moralité». Il n’éclaire pas les faits et tout avis personnel n’est que subjectif. Mais puisque dans ce genre d’affaire, on dissèque, ou même on éventre la personnalité du mis en cause et que tout acte peut être interprété, il a toute son importance.<br /> <br /> <br /> <i><span style="text-decoration: underline;"><a target="_blank" href="http://www.tsr.ch/video/info/journal-19h30/#id=3300306">http://www.tsr.ch/video/info/journal-19h30/#id=3300306</a></span></i></p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><i><span style="text-decoration: underline;"><object height="382" width="382" data="http://www.tsr.ch/v/embed/DqYk" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowScriptAccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.tsr.ch/v/embed/DqYk" /></object><br /></span></i></p><p style="text-align: justify;">Sa vie privée ne cesse d’être jetée sur la place publique. Un nouveau témoignage est apparu, qui a déjà commencé à faire le tour des médias et des blogs. Marie-Victorine affirme avoir été la maîtresse de Dominique Strauss-Kahn en 1997. Quelques remarques concernant ce témoignage.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlC’est fait: DSK libre sur paroletag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-07-01:33016892011-07-01T18:13:00+02:002011-07-01T18:13:00+02:00 Il s’agit d’une étape importante puisque les raisons de cet allégement...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/2911184188.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/2144978218.jpg" id="media-89417" alt="Justice1-1.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-89417" /></a>Il s’agit d’une étape importante puisque les raisons de cet allégement sont confirmées: la crédibilité de l’accusatrice est mise en cause. C’est une nouvelle phase qui commence aujourd’hui dans cette affaire. On ne peut préjuger de la suite qui adviendra. Toutefois, en regard de la dureté de l’accusation et des premiers jours de cette affaire, et de tout ce qui a été dit sur ce qui s’est passé ou non au Sofitel, le doute s’est introduit dans le dossier Sofitel-Diallo-Strauss-Kahn. Le procureur Cyrus Vance, cité par l’avocat Ben Brafman, a déclaré lui-même que cette affaire n’est pas ce qu’elle semblait être.<br /> <br /> Dès cet instant l’accusé peut circuler librement sur le territoire des Etats-Unis. Il ne peut encore se rendre à l’étranger. Il va quitter l’appartement de Manhattan pour se rendre possiblement dans la mai de son épouse.<br /> <br /> L’avocat de l’accusatrice, citée par son avocat M. Thompson, a déclaré que Madame Diallo n’a pas varié dans ses déclarations. La non variation des propos ne saurait cependant être une preuve pour l’accusation. L’avocat Kenneth Thompson a ensuite fait le procès en plaidant déjà devant le public, en racontant sa version comme une vérité et une certitude. On comprend qu’il tente de défendre sa cliente contre la perte de crédit. Il affirme nombre de détails sordides qui ne peuvent être démontrés. Et il tente de minimiser les mensonges sur sa demande d’immigration, prétendant que Madame Diallo aurait été violée par des soldats en Guinée - raison pour laquelle elle aurait menti à l’immigration.<br /> <br /> Ce discours paraît contre-productif. Loin de rétablir la parole de sa cliente l’avocat me paraît en faire trop et le choc de cette audience est visible.<br /> <br /> L’affaire va pouvoir continuer avec un peu plus de sérénité.<br /> <br /> Quel que sera le résultat la situation d’aujourd’hui contraste à ce point avec celle de mi-mai que je ne peux me départir du sentiment d’un acharnement de l’accusation.<br /> <br /> Mais encore une fois je ne préjuge pas du résultat.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><a target="_blank" href="http://www.goetelenjohn.ch/goetelenjohn.ch/roman_le_diable_en_ete_john_goetelen.html"><i><span style="text-decoration: underline;">Un roman pour l'été:</span></i></a></p> <p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/3589264191.38.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/3345049542.22.jpg" id="media-88788" alt="CouvDiable.jpg" style="border-width: 0pt; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" name="media-88788" height="383" width="258" /></a></p><p style="text-align: justify;">La décision vient d’être prise à New-York: le juge Obus annule la caution et décide de la libération sur parole de Dominique Strauss-Kahn. La contrainte judiciaire est donc considérablement allégée. Pour autant les poursuites sont maintenues par le procureur.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlL’affaire du Sofitel: le deuxième acte commencetag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-06-06:33016552011-06-06T19:52:58+02:002011-06-06T19:52:58+02:00 Le choix de la confrontation Il peut bien sûr corriger et expliciter...
<p style="text-align: justify;"><b><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/571997921.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/3299102542.jpg" id="media-87377" alt="New_York1_City_New_York.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-87377" /></a>Le choix de la confrontation</b><br /> <br /> Il peut bien sûr corriger et expliciter ses déclarations lors d’un procès mais le dossier peut être lourdement orienté par une interprétation tendancieuse d’une parole trop précoce.<br /> <br /> Aujourd’hui nous ne savons pas plus ce qui s’est passé dans la suite du Sofitel où séjournait Dominique Strauss-Kahn. En l’état nous savons simplement que le Procureur maintient ses accusations - à ce jour, la plaignante n’a pas encore déposé de plainte - et que l’accusé plaidera non coupable.<br /> <br /> Si le premier acte fut saisissant de par sa mise en scène publique et par les fuites orchestrées et non vérifiées ou même parfois démenties, et par les attaques, le déballage, les partis-pris et l’énorme caisse de résonance médiatique que nous avons vue, le deuxième acte qui commence aujourd’hui pose des indicateurs plus clairs que tous ceux qui ont été évoqués jusqu’à ce jour.<br /> <br /> DSK choisit la confrontation et le procès en plaidant non-coupable. Quels que soient les éléments matériels à disposition du Procureur, l’accusé rejette avec force à l’accusation. Il défie le Procureur. On n’imaginait pas qu’il en soit autrement.<br /> <br /> L’accusatrice est représentée par de nouveaux avocats, dont l’un d’eux est très connu pour son combat pour les droits civiques. L’accusation place donc l’enjeu: il s’agit bien de racisme et de combat de classe, le riche et puissant blanc abusant de l’immigrée africaine. Nul ne peut dire si ce scénario correspond à la réalité, mais c’est la représentation que l’accusation veut faire du procès. Mais ce n’est pas un argument inébranlable. Au contraire.<br /> <br /> En jouant sur ce registre, éminemment subjectif et qui ne prouve pas un acte criminel pour autant, on pourrait penser que l’accusation n’est au fond pas aussi solide qu’elle le prétend. A-t-elle à ce point besoin de contextualiser son accusation pour la rendre crédible? La question n’est pas déplacée.<br /> <br /> <br /> <b>L’invisibilité de la dénonciatrice</b> <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/3330262030.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2457568761.jpg" id="media-87378" alt="new-york3_ny_3.jpg" style="border-width: 0pt; float: right; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em;" name="media-87378" /></a><br /> <br /> Ainsi se plante aujourd’hui le décor et l’intrigue qui amèneront vers le procès. Vu l’enjeu des ego et le retentissement médiatique de l’affaire Sofitel-DSK, aucun des deux protagonistes ne peut perdre. Et ce qui apparaît davantage aujourd’hui, c’est la personnalisation de l’accusation sur le Procureur. La dénonciatrice n’a toujours pas porté plainte, on ne l’a jamais vue, on la décrit comme traumatisée alors que personne ne peut le vérifier: il s’agit bien à ce point d’un spectacle orchestré par le Procureur et destiné à préparer le jury et orienter le climat par les médias.<br /> <br /> A ce stade la dénonciatrice - que certains nomment à tort «présumée victime» car on ne peut être présumé qu’innocent - la dénonciatrice donc n’existe plus. Elle est et sera encore l’objet d’investigations de la défense. Certains dénoncent ce qu’elle va subir. C’est la règle. DSK subit aussi des investigations fouillées. S’il est innocent ces investigations seront terribles pour lui. S’il est coupable elles seront terribles pour la dénonciatrice.<br /> <br /> Mais elle n’existe plus. Seuls se dressent un Procureur et un ancien directeur du FMI. C’est entre eux que la partie se joue, une partie dont elle est l’enjeu. En préservant la dénonciatrice le Procureur se met en avant. Il n’a pas de fusible. Le moindre couac lui sera porté en compte sans pitié. Sa marge de manoeuvre est très réduite. Montrer la dénonciatrice pour se protéger lui-même reviendrait à prendre un risque considérable: si son invisibilité la renforce, sa visibilité pourrait la desservir car elle s’expose à la critique. Il a d’ailleurs lui-même décidé de la protéger. Si elle ne peut plus travailler, comme il le dit en mettant la cause sur l’éventuel traumatisme, c’est parce qu’il ne veut pas qu’elle se montre.<br /> <br /> La stratégie de la garder isolée du public pourrait être plus payante que de la laisser parler à la presse. Le jury n’aura pas encore eu l’occasion de se faire une idée d’elle et sera plus enclin à prendre ce qu’elle dira sans trop la contester. Il faut du temps pour mettre en cause la parole de quelqu’un. Là ce temps n’aura pas existé et son isolement l’aura stressée. C’est le point fort du Procureur. Il sait qu’il devra convaincre bien plus que démontrer. C’est avec elle qu’il tentera de gagner le procès - sans préjuger pour autant de la force ou de la faiblesse des éléments matériels et des autres témoignages dont il dispose.<br /> <br /> Dans le deuxième acte qui s’engage aujourd’hui, les éléments matériels et les témoignages seront toujours importants. Mais la stratégie le sera tout autant. Plus encore qu’avant, tout ce qui va sortir servira avant tout un objectif de communication préparatoire à la manière dont les juré «entendront» l’histoire qu’on leur présentera. Pour le moment, ce n’est plus la vérité qui compte.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><a target="_blank" href="http://www.goetelenjohn.ch/goetelenjohn.ch/roman_le_diable_en_ete_john_goetelen.html"><span style="text-decoration: underline;"><i>Le diable en été</i></span></a></p> <p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/2860559276.13.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/4116208248.7.jpg" id="media-87271" alt="CouvDiable.jpg" style="border-width: 0pt; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" name="media-87271" /></a></p><p style="text-align: justify;">La justice américaine a ceci d’étonnant que la personne mise en cause dans une accusation ne sait pas précisément ce qu’on lui reproche avant plusieurs semaines - ici trois. On comprend le mutisme de l’accusé: tout ce qu’il dit peut être tourné en sa défaveur sans qu’il puisse s’en défendre.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlDébat TdG: DSK, victime ou bourreautag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-05-19:33016342011-05-19T07:34:00+02:002011-05-19T07:34:00+02:00 Le thème est sensible. En l'état nous ne disposons que de quelques...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/1380139782.2.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/1597877175.2.jpg" id="media-85992" alt="menottesdsk1.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-85992" /></a>Le thème est sensible. En l'état nous ne disposons que de quelques éléments avec l'impossibilité d'une mise en perpective, soit de comprendre l'histoire qui s'est passée.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Nous avons reçu des images d'une grande violence psychologique. Il y a besoin de mâcher ces images et ces informations pour tenter de leur donner une place, et pour trier ce que nous prenons ou rejetons de l'information.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Il y a le cas particulier de DSK bien sûr. Et en l'état il est présumé innocent comme l'accusatrice est présumée sincère. Mais cette affaire porte en elle plus que ce qui est reproché à Dominique Strauss-Kahn, si cela se vérifie. Elle ramène à l'image sociale du puissant et du petit, de l'ogre en quelque sorte. Elle ramène aussi aux relations hommes-femmes, aux fausses accusations, à la violence de la justice, à la violence humaine simplement.</p> <p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/1419030380.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/363802903.jpg" id="media-85990" alt="plan_plaine.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" name="media-85990" /></a></p> <p style="text-align: justify;">C'est une vaste thématique qui en émerge. C'est peut-être aussi pour cela, et au-delà de la personnalité de DSK, qu'elle touche si profondément.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Le public pourra aussi poser des questions. le débat est animé par Christiane Pasteur, journaliste à la Tribune.</p> <p style="text-align: justify;">A ce midi donc, 12h30, Café des Savoises (maison des associations), à la rue des Savoises à côté de la place du Cirque.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><a target="_blank" href="http://www.goetelenjohn.ch/goetelenjohn.ch/roman_le_diable_en_ete_john_goetelen.html"><span style="text-decoration: underline;">A paraître le 11 juin chez publibook.com</span></a>:</p> <p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/2860559276.16.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/4116208248.10.jpg" id="media-85991" alt="CouvDiable.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-85991" height="329" width="223" /></a></p><p>La Tribune organise un débat ce midi au Café des Savoises, de 12h30 à 13h15. Il fait partie des débats du jeudi. Je suis invité à y parler. Thème de cette semaine: "DSK, victime ou bourreau?"</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlDSK: est-ce plausible?tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-05-18:33016332011-05-18T14:32:00+02:002011-05-18T14:32:00+02:00 L’accusation est faite pour tuer Les personnages publics entrent un...
<p style="text-align: justify;"><b><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/457753310.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/3800437141.2.jpg" id="media-85940" alt="newyork_cty.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-85940" /></a>L’accusation est faite pour tuer</b><br /> <br /> Les personnages publics entrent un peu dans notre vie. On parle d’eux comme si on les connaissait de près. On sait à la fois beaucoup et si peu sur eux et sur leur vraie personnalité. Sur les hommes au pouvoir, ou qui le recherchent, la messe est dite: il est généralement admis qu’ils ont des appétits sexuels à la mesure de leur poste. Je ne sais pas si cela se vérifie partout.<br /> <br /> En ce qui concerne DSK il semble qu’il est particulièrement porté sur la question. Ses plus proches amis le reconnaissent. Il est même considéré comme lourd. Mais il y a aussi nombre de femmes qu’il n’a jamais courtisé, comme le précisait hier son biographe, Michel Taubman. On ne peut donc simplement dire qu’il saute sur tout ce qui bouge. Et la séduction, même lourde, ne suppose pas que le personnage puisse passer à l’acte criminel. L’affaire évoquée par la journaliste Tristane Banon et qui passe en boucle sur le net me laisse perplexe. Dans la vidéo où elle en parle elle n’a aucun signe de traumatisme, ce qui est pourtant reconnaissable. Elle parle avec assurance, tranquillité, force détails, presque en riant par moments. C’est d’ailleurs si peu prenable que même Ardisson la blague sans qu’elle réagisse.<br /> <br /> L’accusation est dure, très dure. C’est toujours le cas en justice: les procureurs ne prennent pas de gants. Leur job est d’être des tueurs, en quelque sorte. L’accusation est donc gagnante au début d’une affaire. Le mis en cause subit la contrainte physique et morale, et est décrit comme un monstre. S’il est innocent, ou s’il a vécu les choses autrement que ce qui est rapporté, rien à faire: il est déjà à moitié crucifié. S’il est coupable, c’est son problème après tout. Mais s’il ne l’est pas? Rappelons qu’une accusation n’est pas une reconnaissance de culpabilité. Mais qu’elle est si dure que les jurés sont facilement dans le suivisme: ils suivent le procureur. Plus c’est gros, moins facilement ils peuvent acquitter, car un jury peine à résister à l’autorité. Donc Dominique Strauss-Kahn est dans un engrenage qu’il lui sera très difficile de démonter même s’il est innocent. En réalité il doit s’attendre au pire, et cela d’autant plus parce qu’il est qui il est. Le privilège est ici inversé: sa puissance ne le protège pas, elle l’accable.<br /> <br /> <br /> <b>Est-ce plausible?</b><br /> <br /> Certains trouvent qu’on en fait trop pour DSK et qu’il n’y a pas assez de compassion pour la présumée victime. C’est compréhensible: on n’entend que l’accusation. Et l’on sait que si cette personne a réellement été agressée de 12h à 12h15, ou si cela n’est pas la vérité mais ne peut être démenti, M. Strauss-Kahn risque de passer 20 ans ou plus en prison, soit y finir sa vie. La relation entre ces deux durées implique que l’accusation soit passée au peigne fin. Surtout que dans les affaires de moeurs la tendance générale est à croire la présumée victime plus que le présumé agresseur, et la femme plus que l’homme.<br /> <br /> Dans cette affaire des éléments chiffonnent. La presse s’en fait l’écho. Des zones d’ombre importantes et des contradictions polluent ce dossier. <a target="_blank" href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2011/05/17/dsk-le-bateau-coule.html"><span style="text-decoration: underline;">J’en parlais hier</span></a>. Aujourd’hui je souhaite plonger dans la question posée par Me Poncet: est-ce plausible?<br /> <br /> <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/3629929786.2.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/00/2834077991.jpg" id="media-85941" alt="hsofitel-new-york-.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" name="media-85941" /></a><br /> Le premier point est la présence de la femme de chambre dans la suite. Divers éclairages ont été apportés sur ce point. Ce qui est certain c’est que la salle de bain n’est pas à côté de l’entrée. Voici le témoignage d’un hôtelier posté sur le forum du journal Le Point:<br /> <br /> <i>«Moi-même hôtelier, propriétaire d'un 4*, connaisseur des procédures Sofitel, je me permets d'apporter ma modeste contribution.<br /> <br /> Pour une suite exécutive de presque 100 m² comme ici, on n'envoie jamais une seule femme de chambre au départ du client (il faut la nettoyer en 30mn, ce qui est impossible pour 1 seule personne), mais 2 ou 3.<br /> <br /> Le Sofitel NY dispose d'un système de clés par carte centralisé, qui permet de savoir, pour l'ensemble du personnel, si le client est ou n'est pas dans sa chambre en temps réel.<br /> <br /> 3. Pour les clients VIP, l'obligation de discrétion est renforcée, la gouvernante d'étage doit donner systématiquement son feu vert au personnel avant que celui-ci n'entre dans la chambre.»</i><br /> <br /> <br /> Le second point est très étonnant. Imaginez cet homme de 62 ans, au corps un peu voûté, qui n’est probablement plus un rambo physiquement et sexuellement, sortir de la douche en pleine érection, voir la femme de chambre, sauter nu vers la porte ouverte pour la fermer à clé, lui sauter dessus, se battre, perdre du temps devant sa résistance, ne pas arriver vraiment à ses fins (selon l’acte d’accusation rien n’est très clair), se laisser griffer et répandre son ADN partout, puis 15 minutes après se rhabiller, s’en aller et discuter tranquillement dans l’ascenseur, passer 10 minutes à la réception pour rendre la chambre (à 580 $, pas à 3‘000...). Si donc il venait de commettre un crime la femme de chambre pouvait alerter tout le monde.<br /> <br /> Puis cet homme qui aurait commis ce crime sort, va manger avec sa fille, puis va à l’aéroport prendre son avion réservé depuis plusieurs jours, téléphone à l’hôtel pour le portable oublié en disant où on peut le lui rapporter.<br /> <br /> Est-ce plausible? Cet homme avait anticipé à Libération le risque d’une telle affaire, il était donc prévenu. S’il a contraint cette femme, alors c’est un coup de folie. Si c’était consenti, ce devait être sauvage pour qu’il y ait des griffures sur son corps...<br /> <br /> <br /> Aujourd’hui on lit le témoignage du frère. Il l’a entendue en larmes. Mais cela ne prouve rien. J’ai vu comment une accusatrice peut se mettre en larme et mettre dans sa poche des proches, des policiers et une juge. C’est plausible. Cela existe. Malheureusement pour les vraies victimes.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><a target="_blank" href="http://www.goetelenjohn.ch/goetelenjohn.ch/roman_le_diable_en_ete_john_goetelen.html"><i><span style="text-decoration: underline;">Un roman pour l'été, un roman bon pour la tête par les temps qui courent. Un roman où les hommes et les femmes ne se mentent pas:</span></i></a></p> <p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/3589264191.23.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/3345049542.23.jpg" id="media-88788" alt="CouvDiable.jpg" style="border-width: 0pt; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" name="media-88788" height="383" width="258" /></a></p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p style="text-align: justify;">Je rappelle aussi le livre de Patrick Guillot, <b>«La Misandrie, histoire et actualité du sexisme anti-hommes»</b>, à découvrir sur le site <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article316&var_mode=calcul" target="_blank">la-cause-des-hommes</a></span>.</p> <p><i><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/3348750099.3.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/138493037.2.jpg" id="media-89541" alt="misandrie3.jpg" style="border-width: 0pt; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" name="media-89541" height="374" width="260" /></a></span></i></p><p style="text-align: justify;">Lors du débat Infrarouge de la TSR, un avocat, Me Poncet, posait la question suivante à propos des accusations contre Dominique Strauss-Kahn: est-ce plausible? Cette question est lancinante depuis quatre jours. Sans faire le travail des enquêteurs et des avocats il y a besoin d’imaginer ce qui a pu se passer, pour tenter de digérer une affaire qui ne trouve pas sa place dans la tête.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlMarseille: la clope fait un tabac dans les barstag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-02-03:32976502011-02-03T14:19:48+01:002011-02-03T14:19:48+01:00 Ce n’est pas la première ville à interdire la cigarette à l’extérieur....
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/3995702538.gif" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/620220771.gif" id="media-76624" alt="Clope1.gif" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-76624" /></a>Ce n’est pas la première ville à interdire la cigarette à l’extérieur. L’intérêt de la nouvelle est qu’elle tombe en même temps qu’une autre: en France, à Marseille les gens fument de plus en plus dans certains bars et boîtes de nuit. C’en devient une épidémie. Les consommateurs en ont marre d’aller dehors, et les serveurs laissent faire parce que le client qui reste dedans consomme plus et que les temps sont difficiles.<br /> <br /> Et pour une question d’ambiance également:<br /> <br /> <i>«<a target="_blank" href="http://www.laprovence.com/article/region/marseille-le-grand-retour-de-la-cigarette-dans-les-bars-et-boites-de-nuit"><span style="text-decoration: underline;">Quand les gens</span></a> fument, ce n'est plus la même ambiance. Les clients sont plus détendus, ils discutent plus longtemps et au lieu de prendre deux verres, ils en prennent quatre. Pour nous, c'est ça le plus important.<br /> <br /> Certes. Et pour ceux qui ne fument pas ? «Avant la loi, personne ne se plaignait», rappelle Stéphane. «Qu'est-ce que vous voulez qu'on dise ?, demande Hugo, 26 ans, serveur en discothèque.»<br /> <br /></i><br /> Décidément l’équilibre entre liberté, respect des autres et santé reste délicat à trouver. Quand l’interdit est contourné la liberté y gagne. Mais pas le respect de l’autre ni la santé.<br /> <br /> En Suisse il y a la possibilité de créer une pièce hermétique pour fumeurs. Très peu d’établissements l’ont mise en place. Mais les fumeurs respectent l’interdiction, semble-t-il. Que penseraient-ils si une loi à la new-yorkaise était votée? Pour ma part je trouverais cela très excessif. Je ne fume plus mais je trouve qu’on doit laisser les gens un peu plus tranquilles. L’Etat est devenu un supplétif aux donneurs de leçons. Parce que si l’on peut défendre l’interdiction dans un lieu fermé, là cela devient de l’idéologie, une idéologie de pureté dont l’interdit est le bras armé.<br /> <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/2790871626.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/3755680170.jpg" id="media-76626" alt="clope2-mauvaise odeur.jpg" style="border-width: 0pt; float: right; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em;" name="media-76626" /></a></p> <p style="text-align: justify;"><br /> Qu’est-ce qui motive la décision du maire?<br /> <br /> <i>«Cet été, les New-Yorkais à la recherche d'air frais et de repos vont pouvoir respirer et s'asseoir sur des plages qui ne seront pas jonchées de mégots».</i><br /> <br /> La propreté peut être un argument. Aux fumeurs de faire attention. Pour le reste, la clope n’est qu’un facteurs parmi beaucoup d’autres. On veut de l’air frais? Il faut interdire les voitures, les chauffages des immeubles, le passage des avions, les pets, les crachats, la mauvaise haleine, l’odeur de transpiration, les parfums, que sais-je encore?</p> <p style="text-align: justify;"><br /> J’ai une meilleure idée: il faudrait carrément interdire les gens...</p><p style="text-align: justify;">New.York vient d’adopter une nouvelle loi très dure pour les fumeurs: il est désormais interdit d’en griller une à l’extérieur, précisément dans les parcs, sur les plages et dans tous les lieux de plein-air: quartiers piétonniers et promenades.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlBrèves de sciences: volcans, neige, marmotte, Challenger et Japontag:leshommeslibres.blogspirit.com,2011-01-29:32976392011-01-29T23:32:00+01:002011-01-29T23:32:00+01:00 Yellowstone: le supervolcan gonfle Le parc naturel de Yellowstone...
<p style="text-align: justify;"><b><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/204336160.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/2304340797.jpg" id="media-76228" alt="yellowstone-x2.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-76228" /></a>Yellowstone: le supervolcan gonfle</b><br /> <br /> Le parc naturel de Yellowstone aux Etats-Unis est situé sur l’un des rares <a target="_blank" href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2010/04/19/volcan-alors-yellowstone-maousse-costo.html"><span style="text-decoration: underline;">supervolcans</span></a> du monde. Volcan dont l’activité souterraine est permanente. On estime qu’il entre en éruption environ tous les 600’000 ans. Or la dernière remonte à 640’000 ans. Et une éruption recouvrirait de cendres près de la moitié du pays.<br /> <br /> Depuis 2004 les observateurs ont constaté une élévation du sol, de 25 centimètres par endroits. Le magma semble s’accumuler dans la chambre magmatique située à une dizaine de kilomètres de profondeur. Selon les experts il s’agit d’une sorte de respiration naturelle du volcan qui gonfle et dégonfle selon un cycle dont la périodicité n’est pas encore précisément connue.<br /> <br /> <br /> <br /> <b><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/00/1429554017.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2848506750.jpg" id="media-76229" alt="NeigeNY2.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-76229" /></a>New-York: janvier le plus neigeux et Groundhog Day Snowstorm,</b><br /> <br /> Janvier 2010 est entré dans les annales comme le plus neigeux depuis que les relevés existent. 90 centimètres cumulés avec des vagues de chutes environ tous les cinq jours. Aéroports fermés pendant plusieurs jours, toits qui s’effondrent, blizzard, rues impraticables: le prix d’un hiver maousse costo.<br /> <br /> Selon certaines prévisions une nouvelle tempête massive pourrait toucher un large nord-nord-est en milieux de semaine prochaine avec un froid polaire. C’est la «Tempête de neige du jour de la marmotte», comme elle est déjà nommée. Le jour de la marmotte, ça vous rappelle quelque chose? <i>Un jour sans fin</i>, film que j’adore, avec Bill Murray et la magnifique Andy MacDowell.</p> <p style="text-align: justify;"><br /> <br /> <br /> <b><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/283012743.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/3580786552.jpg" id="media-76231" alt="Challenger2.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-76231" /></a>Challenger, il y a 25 ans</b></p> <p style="text-align: justify;">Il y a juste 25 ans, le 28 janvier 1986, la navette Challenger explosait en vol quelques secondes après son décollage. Ce jour-là sept astronautes, deux femmes et cinq hommes, mourraient à cause d’une faille technologique. Sous les yeux de leurs familles.<br /> <br /> Une pensée pour ces pionniers désireux de repousser plus loin les limites. Et l’explication <a target="_blank" href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2009/10/12/challenger-le-drame-en-direct.html"><span style="text-decoration: underline;">sur ce billet</span></a>.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><object height="390" width="640" data="http://www.youtube.com/v/j4JOjcDFtBE&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowScriptAccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/j4JOjcDFtBE&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><b>Eruption au Japon</b><br /> <br /> Un volcan est entré en éruption au Japon le 19 janvier: le Mont Shinmoedake. Hier son activité a augmenté et l’a fait classer en niveau d’alerte 3. Voici quelques images impressionnantes et superbes:<br /> <br /> <object height="390" width="640" data="http://www.youtube.com/v/JKSS811z1iI&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowScriptAccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/JKSS811z1iI&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p> <p style="text-align: justify;"><br /> <br /> Sources:</p> <p style="text-align: justify;"><a target="_blank" href="http://www.maxisciences.com/yellowstone/yellowstone-gonfle-par-des-poches-de-magma_art12055.html">http://www.maxisciences.com/yellowstone/yellowstone-gonfle-par-des-poches-de-magma_art12055.html</a><br /> <br /> <a target="_blank" href="http://fr.euronews.net/2011/01/28/tempete-de-neige-record-sur-la-cote-est-americaine/">http://fr.euronews.net/2011/01/28/tempete-de-neige-record-sur-la-cote-est-americaine/</a><br /> <br /> <a target="_blank" href="http://www.live2times.com/1986-explosion-de-la-navette-spatiale-americaine-challenger--e--4629/">http://www.live2times.com/1986-explosion-de-la-navette-spatiale-americaine-challenger--e--4629/</a></p><p>Quelques news scientifiques, et les 25 ans de l'explosion de la navette Challenger.</p>
Taniahttp://textespretextes.blogspirit.com/about.htmlLierretag:textespretextes.blogspirit.com,2009-07-21:31095132009-07-21T20:20:00+02:002009-07-21T20:20:00+02:00 « Nous ne supportons plus le lierre qui nous étouffe, pensa-t-il,...
<p class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"><em>« Nous ne supportons plus le lierre qui nous étouffe, pensa-t-il, mais le jour vient où nous nous demandons si ce n’est pas le lierre qui soutient l’édifice de nos branches pourrissantes. »</em></span></span></p> <p><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-family: "Times New Roman"; font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;">Dawn Powell, <em><a target="_blank" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2009/07/18/un-cafe-mew-yorkais.html" title="Un Café new-yorkais">Le Café Julien</a></em></span></p> <p style="text-align: center;"> <img src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/02/3588653014.jpg" alt="Powell The Wicked Pavilion.jpg" id="media-56568" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" name="media-56568" /></p> <p> </p>
Taniahttp://textespretextes.blogspirit.com/about.htmlUn Café new-yorkaistag:textespretextes.blogspirit.com,2009-07-20:31095122009-07-20T07:42:00+02:002009-07-20T07:42:00+02:00 Si vous ignorez tout de la romancière américaine Dawn Powell...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span style="font-family: Times New Roman;">Si vous ignorez tout de la romancière américaine <a target="_blank" href="http://en.wikipedia.org/wiki/Dawn_Powell" title="Notice Wikipedia en anglais">Dawn Powell</a> (1896-1965), comme moi avant de lire <em>Le Café Julien</em> (<em>The Wicked Pavilion</em>, 1954), vous trouverez dans l’édition 10/18 une postface de <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Gore_Vidal" title="Notice Wikipedia">Gore Vidal</a> qui la présente et la défend contre les critiques qui ne lui ont pas donné sa place dans la littérature de son temps. Comme la plupart des personnages de son roman, elle a quitté la province pour tenter sa chance à New York. A Greenwich Village, où elle a passé toute sa vie, elle a fréquenté et observé le milieu des artistes fauchés et des riches mécènes qui inspire le cycle new-yorkais de son œuvre.</span></span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span style="font-family: Times New Roman;">Le Café Julien est un lieu de rendez-vous branché : on y croise des gens intéressants, on s’y saoule de pernods ou de <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mazagran_(r%C3%A9cipient)" title="définition">mazagrans</a>, de rumeurs aussi. L’écrivain Dennis Orphen, un habitué, y écrit sans peine alors que dans sa chambre d’hôtel, rien ne sort de sa machine à écrire. Il connaît les habitudes des serveurs, ces <em>« êtres orgueilleux, estimant que leur premier devoir était de protéger le café de ses clients »</em>, experts dans l’art de décourager les curieux.</span></span> </p> <div style="text-align: center"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><a target="_blank" href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/1381098897.JPG"><img src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/2121014498.JPG" alt="Digitale (Nendaz).JPG" name="media-56563" id="media-56563" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></span></div> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span style="font-family: Times New Roman;">Philippe, <em>« le petit serveur replet aux allures de moine »</em> a pris sous son aile le jeune Ricky Prescott qui s’évertue, chaque fois qu’il est à New York, à passer ses soirées au Julien dans l’espoir de revoir Ellenora Carsdale là où il l’a rencontrée la première fois. Sept ans avant cet hiver 1948, il est tombé amoureux et de la ville de ses rêves et de Greenwich Village et de cette fille d’artistes <em>« incroyablement douée »</em> avec qui le courant est passé tout de suite. Mais tandis que la standardiste annonce toutes les demi-heures un appel pour M. McGrew, Ellenora, elle, ne vient pas.</span></span></span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span style="font-family: Times New Roman;">Dalzell Sloane, la cinquantaine, estime avoir échoué en amour et en art, mais il s’est laissé pousser la barbe. Il pense avec nostalgie à ses compagnons de peinture, Marius qui est mort, et Ben qui a disparu depuis des années. C’est un client de bistrot né, et quand il croise au Café Julien un grand gaillard nonchalant, qui se vante de sa forme physique à soixante ans, il le flatte volontiers, se présente, et se voit sollicité pour peindre son portrait, une aubaine. L’animation, ce soir-là, vient de la bande de Cynthia Earle, riche à millions, qu’accompagnent parasites et jeunes artistes qui offrent leur compagnie en échange de ses généreux chèques. Son ami expert en art, confie-t-elle à Sloane, est justement à sa recherche. La cote du peintre Marius ne cesse de grimper depuis sa mort, et il cherche à rencontrer ses anciens camarades dans l’espoir de retrouver quelques tableaux. Dalzell est plutôt écoeuré des éloges posthumes de Marius – de son vivant, sa grossièreté déplaisait à tout ce beau monde.</span></span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;"><span style="font-family: Times New Roman;">Pour compléter le tableau, voici Elsie Hookley, une riche Bostonienne qui s’amuse depuis des années à choquer sa famille, son frère Wharton en particulier, en s’encanaillant à New York. Elle s’est prise d’amitié pour Jerry, une jeune célibataire qu’elle veut lancer dans le monde. Initiée par elle, Mlle Delaine pourrait même faire un grand mariage – pourquoi pas avec McGrew, par exemple ? Jerry, ravie de profiter des largesses d’Elsie, comprendra que celle-ci a trop de comptes à régler avec la société dont elle est issue pour servir ses projets.</span></span></p> <p><span xml:lang="FR-BE" lang="FR-BE" style="font-family: "Times New Roman"; font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-size: 10.0pt; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;">Il y a beaucoup de dialogues et de chassés-croisés dans Le Café Julien. Certains donnent des soirées, d’autres s’y invitent. Tout le monde veut réussir, sortir de l’anonymat. L’argent qu’on donne, l’argent qui manque, Dawn Powell en parle avec autant de précision que Balzac. Entre les hommes et les femmes, l’intérêt se mêle au désir, l’amour est rare. La comédie humaine, dans une version new-yorkaise des années 1940 pleine d’ironie et d’acuité.</span></p>
Taniahttp://textespretextes.blogspirit.com/about.htmlPour l'histoiretag:textespretextes.blogspirit.com,2009-01-12:31094042009-01-12T08:37:00+01:002009-01-12T08:37:00+01:00 La poursuite du bonheur , titre qui annonce bien des drames, est signé de...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><span style="font-family: Times New Roman;"><em>La poursuite du bonheur</em>, titre qui annonce bien des drames, est signé de l’auteur à succès <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Douglas_Kennedy" title="Notice Wikipedia">Douglas Kennedy</a>. Recommandé par une <a target="_blank" href="http://colomuseur.spaces.live.com/blog/cns!AB5A71B9860C118C!1298.entry" title="« Vivre, c’est essayer / Vivir es intentar », Espacio de Colette">amie</a>, ce roman américain publié en 2001 dépeint les milieux culturels new-yorkais dans la seconde moitié du vingtième siècle.</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><span style="font-family: Times New Roman;">Kate Malone enterre sa mère. Elle confie son fils à son ex-mari pour parler à son frère, arrivé à la dernière minute. Le « fils indigne » qui n’a pas cherché à revoir sa mère avant la fin est visiblement mal à l’aise. C’est Kate qui s’est occupée d’elle,<br /> Kate qui va ranger le petit appartement dans lequel leur mère vivait chichement à Manhattan. Et c’est à Kate que s’adresse une inconnue, Sara Smythe, dans une lettre de condoléances où elle affirme la connaître depuis son enfance. Elle souhaite la rencontrer, mais Kate, en deuil, n’en a aucune envie. Jusqu’au jour où lui arrive par la poste un album de photos ; elle y reconnaît ses parents et toutes les étapes de sa propre vie. Alors elle se décide à rencontrer cette Sara, âgée de soixante-dix ans :<br /> le père de Kate, mort peu après sa naissance, a été <em>« le grand amour de sa vie ».</em></span></span> </p> <div style="text-align: center"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><img name="media-46760" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/02/2967226605.jpg" alt="De Smet Léon Portrait.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-46760" /></span></div> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><span style="font-family: Times New Roman;">Flash-back en 1945. Soirée new-yorkaise, à la veille de Thanksgiving, dans l’appartement d’Eric Smythe, le grand frère de Sara. Pour lui, elle est simplement S., <em>« S. pour "Sara" ou pour "Soeurette" ».</em> Etudiant brillant, il a déçu leurs parents en préférant à une carrière classique la vie de bohème à Greenwich Village. Sara aussi s’est rebellée, a repoussé un prétendant bien sous tous rapports. Elle tente sa chance comme journaliste à New York, où <em>Life</em> lui accorde un stage. Ce soir-là chez son frère, son regard croise celui d’un bel Irlandais, Jack Malone. Coup de foudre à Manhattan. Jack repart avec l’armée le lendemain, ils n’ont qu’une nuit devant eux. <em>« Il savait parler, oui, mais aussi écouter. Et les hommes sont toujours dix fois plus séduisants quand ils ont le don de mettre une femme en veine de confidences. »</em></span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><span style="font-family: Times New Roman;">Jack et Sara se racontent leur vie, se donnent rendez-vous neuf mois plus tard, à son retour, et promettent de s’écrire entre-temps. Jack manque terriblement à Sara, qui lui envoie lettre sur lettre mais n’en reçoit aucune. Leur histoire d'amour, riche en péripéties, n’est pas toujours à la hauteur de la formule de Puccini citée par l’auteur :<br /> <em>« Du sentiment, oui, mais pas de sentimentalité. »</em> Un coup de foudre fait-il forcément le bonheur ?</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><span style="font-family: Times New Roman;">Une belle affection lie Eric et Sara, c’est un autre fil du récit. Le frère et la sœur se soucient beaucoup l’un de l’autre, s’encouragent dans la voie qu’ils ont choisie à contre-courant de leur éducation. Après la publication d’une nouvelle jugée prometteuse, Sara se consacre surtout à <em>“Tranches de vie”</em>, sa chronique hebdomadaire pour <em>Saturday/Sunday</em>. <em>« Oui, je découvrais pas à pas qu’écrire est d’abord un étrange défi lancé à soi-même. »</em> Eric, qui travaille pour le théâtre, n’arrive pas à terminer la pièce de ses rêves. Sympathisant communiste, libertaire, il se retrouve sur la liste noire des <a target="_blank" href="http://www.arte.tv/fr/histoire-societe/les-mercredis-de-l-histoire/Programme/1003720.html" title="document arte sur le maccarthysme">maccarthystes</a> qui menacent de révéler son homosexualité s’il ne veut pas lui-même leur livrer des noms. Cèdera-t-il ou non ? <em>« C’est par nos choix que nous nous définissons. »</em> Et l'on comprendra pourquoi Sara Smythe et Kate Malone devaient absolument se rencontrer un jour.</span></span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"> </p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" class="MsoNormal"><span xml:lang="FR-BE" style="font-size: 12pt; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-font-size: 10.0pt;" lang="FR-BE"><span style="font-family: Times New Roman;">Un roman à lire donc surtout pour l’histoire et son contexte. Conflits professionnels, affaires de famille, espoirs déçus, réussites, surprises bonnes ou mauvaises de l’existence, la description du quotidien (argent, sommeil, alcool...), souvent réaliste, cède parfois aux arrangements providentiels. Avec une écriture factuelle, des<br /> dialogues surabondants, un style plutôt cinématographique, Douglas Kennedy déroule <em>La poursuite du bonheur</em> sur quelque huit cents pages. <em>« Et puis vous disparaissez, et plus personne ne se souvient du roman qu’a été votre vie. »</em></span></span></p>