Last posts on haendel2024-03-29T14:15:29+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/haendel/atom.xmlmimylasourishttp://grignotages-de-mimylasouris.blogspirit.com/about.htmlOne charming nighttag:grignotages-de-mimylasouris.blogspirit.com,2016-03-27:30694762016-03-27T11:32:18+02:002016-03-27T11:32:18+02:00 Malgré son costume qui tombe à la perfection et lui donne une allure folle,...
<p>Malgré son costume qui tombe à la perfection et lui donne une allure folle, Ian Bostridge n'est pas <em>charming</em>. Il y a en lui quelque chose de tranchant, une intelligence aiguë, un regard perçant, des os saillants, une réserve austère, qui font de chaque rencontre une reconquête. Il faut en passer par un instant de déconvenue, un <em>oh, il n'est peut-être pas si bien que ça, en fait, moins que dans mon souvenir</em>, pour retrouver ensuite ce qui est à l'origine de ce souvenir : une voix, une articulation, qui transforme le chant en parole.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Ce n'est pas une voix qui décoiffe<a class="sdfootnoteanc" href="#sdfootnote1sym" name="sdfootnote1anc"><sup>1</sup></a> ; pas l'un de ces tuyaux d'arrosage sonore qui vous submergent lorsqu'ils projettent dans votre direction. Pas de débordement chez Ian Bostridge, qui va chercher en lui-même la source de la parole, creuse un corps déjà maigre pour en extraire le chant juste, à chaque fois exprimé in extremis, quand bien même les phrases interminables prouvent que ses réserves sont chaque fois suffisantes, quoique chose fois épuisées. Chez lui, la parole est chantante par ses intonations davantage que par son air. On la voit sillonner ses tendons, tendre son corps au point de lui faire plier un genou, soulever les pieds, et se faire expulser d'une caresse ou d'un claquement bien senti.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Surtout en anglais, à vrai dire. Les extraits qu'il chante en français sont plus secs que nerveux ; je ne saurais dire si cette aridité est à imputer à Lully et Rameau ou à leur interprète, mais c'est moins ma tasse de thé. Alors que quand il chante en anglais, <a href="http://www.theatrechampselysees.fr/saison/recital-de-chant-grandes-voix/ian-bostridge" target="_blank"><em>oh my god !</em></a> De « <span style="font-style: normal;"><a href="https://www.musixmatch.com/fr/paroles/Henry-Purcell/One-Charming-Night" target="_blank">One charming night</a> »</span> <span style="font-style: normal;">(extrait de </span><em>The Fairy Queen</em><span style="font-style: normal;">, Purcell)</span>, sans livret, je ne comprends guère que la litanie des <em>hundreds and thousands</em>, mais cette comptabilité est dressée avec tant de poésie qu'elle me rappelle immédiatement les milliers <em>oscula</em> de je ne sais plus quel poète élégiaque latin… Avec lui, les anges n'ont plus rien de niais (« <a href="http://songsfortenors.jimdo.com/lyrics/songs/waft-her-angels/" target="_blank">Waft her, angels, through the skies</a> », extraits de <em>Jephtha</em><em><span style="font-style: normal;">, Haendel</span></em>) et Jupiter devient un charmant diablotin (« I must with speed amuse her / Lest she too much explain » extrait de <em>Semele</em>, Haendel). Je me laisse bercer par la musique, agacer par sa voix – tout à fait délectable. Les bis ne sont pas de trop, annoncés d'une voix de ténor, forcément (on devrait toujours avoir un ténor sous le coude pour annoncer les bis), jusqu'à ce que la chanteur déclare « La voix, ce soir, y'en a plus ». Finita. Ahlalala…</p><p class="sdfootnote"><a class="sdfootnotesym" href="#sdfootnote1anc" name="sdfootnote1sym"><br />1 </a>Remarque capillaire idiote : les cheveux tirés vers l'arrière lui donnent un petit air d'aigle inquiétant à la David Bowie.</p><p> </p>
Casadeihttp://casadei.blogspirit.com/about.htmlLe Messie de Haendeltag:casadei.blogspirit.com,2014-08-21:30140502014-08-21T12:08:00+02:002014-08-21T12:08:00+02:00 Le Messie de Haendel était donné hier soir en l'abbatiale de La...
<p style="text-align: center;"><img id="media-815186" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://casadei.blogspirit.com/media/02/00/371569715.jpg" alt="king.jpg" /></p><p style="text-align: justify;">Le <strong>Messie de Haendel</strong> était donné hier soir en l'abbatiale de <strong>La Chaise-Dieu</strong> par le <strong>King's Consort</strong> en ouverture du <strong>48° Festival de musique</strong>.</p><p style="text-align: justify;">Après un été qu'il faut bien qualifier de quelque peu maussade, le miracle s'est reproduit encore cette année, l'abbatiale était pleine pour cette ouverture, le public du festival étant particulièrement fidèle.</p><p style="text-align: justify;">La musique sacrée, même si ce n'est pas la vocation première du Festival, convient particulièrement bien au cadre de l'abbatiale, dont les couleurs se sont éclaircies à la suite des travaux de réhabilitation en cours.</p><p style="text-align: justify;">L'<strong>oratorio de Haendel</strong> est une œuvre très agréable qui alterne les moments de recueillement, de méditation, poignants, d’allégresse, au fil des interventions de l'orchestre, du chœur et des quatre solistes basse, ténor, alto et soprano, sans rôle spécifique.</p><p style="text-align: justify;">Le chef <strong>Robert King</strong>, fondateur de l'ensemble en 1980 à l'âge de 20 ans conduit avec une petite baguette et beaucoup d'alerte et de précision, on le sent plein d'humour, bref très britannique.</p><p style="text-align: justify;">Le surtitrage en français contribue à une réelle compréhension du sens de l’œuvre avec successivement l'arrivée du Messie, la vision des bergers, la vie du Christ, la passion, la résurrection, un Hallelujah d'allégresse, une action de grâce et un Amen.</p><p style="text-align: justify;">On frémit parfois lorsqu'on lit ce passage : <em>préparez la route du seigneur, tracez droit dans le désert une grande route pour notre Dieu</em>. (Isaïe 40,1-3) au moment des conquêtes de l’<strong>État Islamique</strong> en <strong>Irak</strong> et en <strong>Syrie</strong>. Mais dans l'ensemble, c'est bien le destin du <strong>Christ</strong> qui domine l’œuvre.</p>
mimylasourishttp://grignotages-de-mimylasouris.blogspirit.com/about.htmlAlcinatag:grignotages-de-mimylasouris.blogspirit.com,2014-04-15:30020142014-04-15T23:04:00+02:002014-04-15T23:04:00+02:00 Je ne lis pour ainsi dire plus : sans que je m'en aperçoive, les opéras...
<p>Je ne lis pour ainsi dire plus : sans que je m'en aperçoive, les opéras ont pris la place des romans dans mon exploration de la psyché humaine. On y scrute avec la même temporalité, lente, dense, les détours de l'âme humaine sans passer (uniquement) par le langage ; en passant outre ce filtre rationnel de notre esprit, qui empêche parfois de comprendre ce qui n'est pas rationnel, la musique nous touche plus directement – et l'on est souvent touché sans savoir pourquoi sur le moment. Quelque chose résonne, qu'il faut l'aide du livret pour embrasser. Dans l'<em>Alcina</em> d'Haendel, quasiment chaque phrase est répétée deux, trois fois ou plus : la première fois s'apparente à la lecture (des surtitres), on assimile le sens, dont on se pénètre ensuite à la répétition. On a le temps de s'installer dans la musique, dans ce qu'elle évoque et suscite – c'est la temporalité lente des sentiments. On s'en imprègne jusqu'à ne plus pouvoir douter de ce qui est ressenti (que cela soit par les personnages ou le spectateur, qui finissent par se rejoindre), jusqu'à ce que la révélation d'une nuance de sentiment apparaisse, dans un moment d'une grande limpidité.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Ce qui reste d'<em>Alcina </em>n'est pas l'histoire pleine de personnages à l'identité trouble, double ou cachée à coups de travestissements et de quiproquos<a class="sdfootnoteanc" name="sdfootnote1anc" href="#sdfootnote1sym"><sup>1</sup></a> (on est pris d'une légère envie de se flinguer à la relecture du <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Alcina" target="_blank">livret</a>, pourtant plus ou moins clair lorsqu'on suit l'action à mesure et in situ ; la velléité de prendre un crayon est découragée par le nouveau schéma actanciel que l'on découvre à chaque phrase). Ce qui reste d'<em>Alcina</em>, ce sont quelques scènes rares et en premier lieu : l'air d'<em>Ombre pallide</em>, interprété par la magnifique Myrtò Papatanasiu. Alcina vient de perdre dans le même mouvement son pouvoir et son amant. Elle qui charme les hommes avant de les changer en rochers, ruisseaux et animaux se voit à son tour métamorphosée : de magicienne redoutable, elle est devenue cette femme recroquevillée, qui projette une ombre trop grande pour elle. Se soutenant contre le chambranle de la porte du palais, sa souffrance sort dans un souffle. La magie simulait l'amour des hommes mais non le sien : elle qui n'a jamais pris le risque d'être aimée des hommes qu'elle désire se voit abandonnée et sa souffrance est réelle. Son amant, délivré par sa fiancée, la quitte en même temps que ses chimères : sans liberté de l'être aimé, pas d'amour véritable ; il faut pouvoir être quittée pour pouvoir être aimée<a class="sdfootnoteanc" name="sdfootnote2anc" href="#sdfootnote2sym"><sup>2</sup></a> – Alcina en fait l'amère découverte lorsque le charme cède.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">La seconde scène qui m'a à ce point marquée vient en contrepoint de la première, à la toute fin, lorsque Ruggiero revient sur ses pas, vers Alcina, au moment où sa fiancée l'entraînait au loin. On est habitué à suivre les héros, à cheminer avec eux aux côtés du bien, à vouloir que tout se termine pour le mieux, mais cette fois, la victoire laisse une impression étrange ; le retour de la fiancée a quelque chose de petit bourgeois, d'étriqué, qui ne satisfait pas. Elle ne voit pas ce que Ruggiero perçoit, au-delà d'un trop évident syndrome de Stockholm : le mal, l'ensorceleuse qu'elle combattait était avant tout une faiblesse, une si grande peur de se voir abandonnée par des hommes au cœur de pierre qu'elle préférait les réduire immédiatement à cet état. Le triomphe a un arrière-goût de tristesse, Robert Carsen<a class="sdfootnoteanc" name="sdfootnote3anc" href="#sdfootnote3sym"><sup>3</sup></a> l'a parfaitement compris et discrètement souligné : Ruggiero qui lâche la main de sa fiancée pour se retourner sur Alcina, c'est dire qu'on aurait pu aimer cette femme, si elle l'avait permis. Il n'y a plus désormais de place que pour l'empathie de Ruggiero, une très belle empathie, empreinte de tristesse, au milieu de la pauvre joie sinon d'avoir retrouvée sa fiancée, du moins d'échapper au même sort qu'Alcina, à sa vie à demi-vécue.</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: right;">(Bien contente que l'accompagnatrice haendelienne en titre de <a href="http://palpatine42.free.fr/blog/post/2014/02/21/traaaaaaditore" target="_blank">Palpatine</a> se soit désistée, au final. Je ne m'attendais pas à une telle découverte.) </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><div id="sdfootnote1"><p class="sdfootnote"><a class="sdfootnotesym" name="sdfootnote1sym" href="#sdfootnote1anc">1</a> Le duo comique formé par Sandrine Piau et Cyrille Dubois est quand même très fun – surtout lorsque le général d'Alcina, habillé en maître d'hôtel, se met en garde une cuillère à la main.</p></div><div id="sdfootnote2"><p class="sdfootnote"><a class="sdfootnotesym" name="sdfootnote2sym" href="#sdfootnote2anc">2</a> J'ai retrouvé ça dans <em>Her</em>, récemment.</p></div><div id="sdfootnote3"><p class="sdfootnote"><a class="sdfootnotesym" name="sdfootnote3sym" href="#sdfootnote3anc">3</a> Il y a aussi des messieurs tout nus dans sa mise en scène (mais si, les rochers, enfin !), ce qui n'est pas désagréable – mais je crois que j'ai surtout un faible pour les grands pans de murs lambrissés, qui font toujours leur petit effet sur moi à l'opéra.</p></div>
Françoisehttp://legranddeblocage.blogspirit.com/about.htmlEn musique !tag:legranddeblocage.blogspirit.com,2011-05-21:23504112011-05-21T16:09:53+02:002011-05-21T16:09:53+02:00 http://youtu.be/4BQemxvhhDQ et http://youtu.be/h018rMnA0pM Je n'ai...
<p style="text-align: center;">http://youtu.be/4BQemxvhhDQ </p><p style="text-align: center;">et</p><p style="text-align: center;">http://youtu.be/h018rMnA0pM</p><p style="text-align: center;">Je n'ai pas choisi les pires... </p><p style="text-align: center;">mais peut préférez vous : </p><p style="text-align: center;">http://youtu.be/bknbsY7kj4Y</p><p style="text-align: center;">A demain.</p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlHaendel with care: la flashmob de Noëltag:leshommeslibres.blogspirit.com,2010-12-15:32975482010-12-15T21:42:00+01:002010-12-15T21:42:00+01:00 Vous croyez aller faire vos courses banalement. Vous vous retrouvez aux...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/3659623527.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/99706086.jpg" id="media-73172" alt="haendel.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-73172" /></a>Vous croyez aller faire vos courses banalement. Vous vous retrouvez aux loges V.I.P. du concert. C’est ça, effet Georg Friedrich Handel. Et pourtant...<br /> <br /> <i>«<a target="_blank" href="http://www.uquebec.ca/musique/catal/handel/hangfbio.html"><span style="text-decoration: underline;">George Frideric Handel</span></a>, dont l'art définit la grandeur et la majesté en musique, était, dans sa personne, obèse, d'apparence négligée, glouton, bancal, d'esprit lourd et pouvant souvent être vu titubant dans les rues de Londres, tout en marmottant en allemand, tel un clochard ivre. Il était perçu comme étant un peu fou; des études modernes révèlent des indications quant à la présence de dépression maniaque, dont un symptôme serait à l'origine de ses frénésies créatrices bizarres. Toutefois, à la fin d'une carrière qui a connu des hauts extravagants et des bas précipités, Handel en est venu à représenter, pour son temps ce qu'il représente pour le nôtre: un des génies qui sont les gloires de notre race.<br /> <br /> Alors comme maintenant, cette réputation était et est principalement basée sur une seule œuvre d'une popularité sans précédente, Messiah (le Messie). Ce magnifique oratorio, que l'on retrouve partout, a failli éclipser tout le reste de son œuvre. Ce chef d'œuvre n'était pas un coup de hasard mais simplement l'œuvre la plus inspirée de la part d'un artiste qui dépendait, plus que tout autre, sur l'inspiration de sa muse. Son contemporain, Bach, était le grand architecte du son de son époque; Handel en était son grand improvisateur.»<br /></i><br /> <br /> Hallelujah. C’est ici:<br /> <br /> <object height="390" width="640" data="http://www.youtube.com/v/SXh7JR9oKVE&hl=fr_FR&feature=player_embedded&version=3" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowScriptAccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/SXh7JR9oKVE&hl=fr_FR&feature=player_embedded&version=3" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p><p style="text-align: justify;">Ils font fort! En plein supermarché. A la cantine. Crac, sans prévenir: Hallelujah! C’est la flashmob de Noël.</p>
Pierre Vallethttp://lavoixdu14e.blogspirit.com/about.htmlConcerts : Bach, Haendel, Mozart, à la chapelle Saint Bernard et « La musique fait son cinéma » à la mairie du 14ème.tag:lavoixdu14e.blogspirit.com,2010-05-14:19324822010-05-14T12:06:00+02:002010-05-14T12:06:00+02:00 Concerts à la Chapelle Saint Bernard de Montparnasse Samedi 15 mai...
<p style="text-align: justify;"><b>Concerts à la Chapelle Saint Bernard de Montparnasse</b></p> <p style="text-align: justify;"><b><i>Samedi 15 mai 20h30: Concert de Printemps</i></b> - Soprano Virginie Perrin; Flutiste Amélie Loubet; Pianiste Pierre poudevigne; Clarinettiste Stephane Becarie</p> <p style="text-align: justify;">Œuvres de : Bach, Caccini, Haendel, Gounod, Fauré, Mozart, Massenet, Puccini, Schubert, Verdi, Siloti, Gretry</p> <p style="text-align: justify;"><i><b>Dimanche 16 mai 16h: Concert de flute et piano</b></i> - : 40e concert de flûte et piano par les élèves de Mr. et Mme Masado Kudo</p> <p style="text-align: justify;"><i>34, place Raoul Dautry - 75015 Paris - (Entrée sous la pendule de gauche de la gare)</i></p> <p style="text-align: justify;"><b>« La musique fait son cinéma » à la mairie du 14ème.</b></p> <p style="text-align: justify;">Dans le cadre des rencontres chorales des écoles du 14ème, en partenariat avec l'Education Nationale et la mairie du 14ème, concert de l'Ensemble à vent des Conservatoires Jean-Philippe Rameau (6ème), Maurice Ravel (13ème) et Darius Milhaud (14ème), de l'Ensemble de cuivre inter-Conservatoires et de La Sirène - Orchestre d'Harmonie de Paris, Chœurs d'enfants des écoles du 14ème.</p> <p style="text-align: justify;">Œuvres de Dany Elfman, Lalo Shiffrin, Michel Legrand, Ennio Morricone, Léonard Bernstein, John Williams, Pink Floyd et Björk.</p> <p style="text-align: justify;"><i>Entrée libre. Salle des fêtes de l'annexe de la mairie, 12 rue Durouchoux. M° Mouton Duvernet ou Denfert Rochereau.</i></p>
Pierre Vallethttp://lavoixdu14e.blogspirit.com/about.htmlConcerts à la Chapelle Saint Bernard de Montparnassetag:lavoixdu14e.blogspirit.com,2010-03-20:19106212010-03-20T16:52:25+01:002010-03-20T16:52:25+01:00 Samedi 20 mars 20h30 : Concert de Trio Altaï Musique russe, classique et...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><b><span style="font-size: 8pt; font-family: Verdana;">Samedi 20 mars 20h30 : Concert de Trio Altaï Musique russe, classique et traditionnelle</span></b> <span style="font-size: 8pt; font-family: Verdana;">: Sibelius, Rimsky-Korsakoff, Katchatourian, Piazzolla, Boudachkine – « Les lacs bleux », « Je vous ai rencontrée »… – flûte traversière, balalaïka et piano</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><b><span style="font-size: 8pt; font-family: Verdana;">Dimanche 21 mars 16h</span></b> <b><span style="font-size: 8pt; color: black; font-family: Verdana;">Promenade musicale en compagnie de Haendel, Lloyd Webber, Verdi, Scarlatti</span></b> <span style="font-size: 8pt; color: black; font-family: Verdana;">:</span></p> <p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: 8pt; color: black; font-family: Verdana;">Agnès Reynier – soprano ; Alain Thomas – piano ; Yves Gersant – trompette</span></p> <p><b><span style="font-size: 8pt; font-family: Verdana;">34, place Raoul Dautry - 75015 Paris - (Entrée sous la pendule de gauche de la gare<br /> Tel/Fax : 01.43.21.50.76</span></b></p>
Jean-Luc Tonneauhttp://mdi.blogspirit.com/about.htmlHIVERNALES : LE DUO TRAVERSO EN CONCERT LE 14 MARS 2010 A MONT-DOLtag:mdi.blogspirit.com,2010-03-12:18661472010-03-12T18:35:00+01:002010-03-12T18:35:00+01:00 DPI, sur les conseils de son "agent" rennais Jacques Poissenot ,...
<p><img name="media-438342" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" alt="hivernales.png" id="media-438342" src="http://mdi.blogspirit.com/media/01/01/518477474.png" />DPI, sur les conseils de son "agent" rennais <strong><span style="background-color: #993300;">Jacques Poissenot</span></strong>, accueille le duo <span style="background-color: #0000ff;">"Traverso"</span>, composé des artistes internationales <span style="background-color: #0000ff;"><span style="color: #888888;">Lujza Markova</span></span> et <span style="background-color: #0000ff;">Delphine Leroy</span>, pour un unique concert qui sera donné le 14 mars 2010 en l'église St Pierre à Mont-Dol, 16h. Bach, Telemann.</p> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://mdi.blogspirit.com/media/01/00/1204511336.jpg"><img name="media-459192" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" alt="AFFICHE DUO TRAVERSO .jpg" id="media-459192" src="http://mdi.blogspirit.com/media/01/00/958188429.jpg" /></a></div> <p><a target="_blank" href="http://mdi.blogspirit.com/media/01/02/982320488.jpg"><img name="media-431520" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" alt="Lujza[1].jpg" id="media-431520" src="http://mdi.blogspirit.com/media/01/02/1443641679.jpg" /></a> <span style="background-color: #0000ff;"><strong>Lujza Markova</strong></span> est née à Bratislava (Slovaquie). Après les études de piano elle entre dans la classe d'orgue au Conservatoire National de Bratislava, puis au Conservatoire Supérieur de Bratislava. En même temps elle bénéficie d'une bourse du Gouvernement Français pour poursuivre ses études d'orgue au CNR de Lille (avec Jean Boyer et Aude Heurtematte) et de Rouen (avec Louis Thiry). Elle y obtient une médaille d'or et deux prix de perfectionnement.<br /> <br /> Passionnée par le clavecin et son répértoire, elle intégre la classe de clavecin de Pascal Dubreuil au Conservatoire d'Angoulême et termine ses études avec un Diplôme d'Etudes Musicales de clavecin et de musique de chambre.<br /> <br /> Elle partage son activité entre l'enseignement du clavecin et de la basse continue aux conservatoires de Rennes et d'Angoulême, et les concerts en soliste, en formation de musique de chambre ou avec orchestre (ensembles Les Menus Plaisirs, Ars Posoniensis, Camerata Antiqua Bettoniensis, collaboration avec l'Orcheste Symphonique de la Radio de Bratislava, avec le Choeur d'enfants de la Radio de Bratislava...)</p> <p> </p> <p><img name="media-431521" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" alt="Delphine[1].jpg" id="media-431521" src="http://mdi.blogspirit.com/media/00/01/861260555.jpg" /><span style="background-color: #0000ff;"><strong>Delphine Leroy</strong></span> commence ses études musicales à Orléans, où elle obtient un Diplôme d’Etudes Musicales en flûte traversière moderne. Elle se spécialise ensuite en musique ancienne au Conservatoire à Rayonnement Régional de Cergy Pontoise d’abord, puis au Conservatoire Royal de la Haye (Pays-Bas). Elle étudie la flûte traversière baroque auprès de Barthold Kuijken et obtient en 2008 le « Master in Music ». Titulaire du Diplôme d’Etat à l’enseignement de la musique ancienne ainsi que de son équivalent européen, le « Teacher Degree », Delphine Leroy enseigne la flûte traversière baroque au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rennes ainsi qu’au Conservatoir <script src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/langs/fr.js?20090525" type="text/javascript"> //<![CDATA[ <!-- <! <! <! <! <! <! <! <! <! <! <! <! // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> //]]> </script> <script src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/plugins/blogspirit/langs/fr.js?20090525" type="text/javascript"> //<![CDATA[ <!-- <! <! <! <! <! <! <! <! <! <! <! <! // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> // --> //]]> </script> e à Rayonnement Départemental de Mantes –la-Jolie.<br /> Delphine Leroy se produit aussi bien en petite formation qu’en orchestre. Elle a joué notamment avec Collegium Musicum Den Haag, Akademie Köln, Harmonie Universelle, Musica ad Rhenum, Arsys Bourgogne, etc., et a travaillé avec des chefs tels que Paul Mc Creesh, Hervé Niquet, Udo Reinemann, etc.<br /> Delphine Leroy est titulaire d’une Maîtrise de Lettres Modernes et collabore activement avec la maison d’Edition de fac simile Fuzeau.</p> <p><strong><span style="background-color: #ff0000;">Au programme de cet après-midi dominical :</span></strong></p> <p><span style="background-color: #0000ff;">- G.Ph.Telemann:</span></p> <p>Concerto I en Ré Majeur pour flûte traversière et clavecin</p> <p> </p> <p><span style="background-color: #0000ff;">- G.Ph.Telemann:</span></p> <p>Fantaisie pour clavecin seul</p> <p>Fantaisie pour flûte seule</p> <p>Fantaisie pour clavecin seul</p> <p>Fantaisie pour flûte seule</p> <p> </p> <p><span style="background-color: #0000ff;">- J.S.Bach:</span></p> <p>Sonate en mi-mineur pour flûte et basse continue, BWV 1034</p> <p> </p> <p><span style="background-color: #ff0000;"><span style="font-family: mceinline;">- G.Ph.Telemann:</span></span></p> <p>Concerto VI en la mineur pour flûte traversière et clavecin</p> <p><strong><br /></strong></p>
Pierre Vallethttp://lavoixdu14e.blogspirit.com/about.htmlConcert à Notre-Dame du Rosaire , dimanche 7 février à 18h : Vivaldi, Pergolèse et Haendel au programmetag:lavoixdu14e.blogspirit.com,2010-02-06:18909982010-02-06T18:48:00+01:002010-02-06T18:48:00+01:00 Jorris Sauquet, organiste à l'orgue de Notre- Dame du Rosaire et Daniel...
<p style="text-align: justify;">Jorris Sauquet, organiste à l'orgue de Notre- Dame du Rosaire et Daniel Blanchard, contreténor, se produiront le dimanche 7 février prochain à 18h dans un programme Vivaldi, Pergolèse (Salve Regina), Haendel, extrait du Messie.<br /> <br /> <i>Entrée libre, participation aux frais</i>.</p>
Pierre Vallethttp://lavoixdu14e.blogspirit.com/about.htmlBach, Haëndel et Verdi : Concert exceptionnel mardi 1er décembretag:lavoixdu14e.blogspirit.com,2009-11-30:18605602009-11-30T14:14:00+01:002009-11-30T14:14:00+01:00 21 h, à l'église Saint Sulpice Paris 6 ème : Requiem de Verdi,...
<p style="text-align: justify;"><b>21 h, à l'église Saint Sulpice Paris 6<sup>ème</sup> : Requiem de Verdi, « Jésus que ma joie demeure » de la cantate 147 de Bach et Alléluia du Messie de Haëndel</b></p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://lavoixdu14e.blogspirit.com/media/01/00/2018476714.jpg" id="media-427125" alt="verdi.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-427125" width="157" height="220" /></p> <p style="text-align: justify;">Le concert du 1er décembre est un événement majeur, car le choeur Clément Wurtz sera en jumelage non seulement avec le Choeur Hugues Reiner, mais pour l'occasion, avec 40 choristes recrutés au sein du Choeur de Radio-France et l'orchestre symphonique des Muses.</p> <p style="text-align: justify;">Une partie des recettes sera reversée à l'ONG La Voix de l'Enfant</p> <p style="text-align: justify;">Retirez dès à présent à l'accueil de la Maison d'accueil Clément Wurtz, 57,59 rue de Patay 75013 vos billets au tarif de 15€- ou 01 42 64 83 16 .Sinon vous pourrez les prendre sur place à Saint Sulpice dès 15h.</p> <p style="text-align: justify;">Vous pouvez visionner les vidéos des deux précédents concerts à l'adresse suivante : : <a href="http://www.dailymotion.com/relevance/search/choeur+clement+wurtz" target="_blank">http://www.dailymotion.com/relevance/search/choeur+clement+wurtz</a></p>
Casadeihttp://casadei.blogspirit.com/about.htmlMiracles au Festival de La Chaise-Dieutag:casadei.blogspirit.com,2009-08-23:18122912009-08-23T18:18:00+02:002009-08-23T18:18:00+02:00 Tous les soirs lorsque la musique du concert retentit dans l'Abbatiale de...
<p style="text-align: justify;">Tous les soirs lorsque la musique du concert retentit dans <strong>l'Abbatiale de La Chaise-Dieu</strong>, deux ou trois pisistelles, difficile de les compter, mues par les lumières des projecteurs tracent leur chorégraphie au dessus de l'orchestre et des solistes. Un jour, une des stars qui se produisent, un brin trop capricieuse, interrompra sans doute sa prestation estimant qu'il lui est impossible de chanter ou de jouer en concerto avec les chauves-souris. Jusqu'à présent cela ne s'est pas produit, premier miracle.</p> <p style="text-align: justify;">Jeudi, miracle que la rencontre entre <strong>Giulano Carmignola</strong> (photo), violoniste virtuose, spécialiste de <strong>Vivaldi</strong>, et <strong>Paul McCreesh</strong>, réputé pour ses interprétations de musique renaissance et baroque. Les deux musiciens refusent évidemment de se faire enfermer dans des "boites" mais leur parcours témoigne cependant de cette spécialisation. <strong>Camignola</strong> et <strong>McCreesh</strong> n'avaient jamais joué ensemble, ne s'étaient jamais rencontrés, ils ont fait connaissance avant leur première répétition dans le studio de <strong>France Musique</strong> à l'invitation de <strong>Marc Dumont</strong>. Le soir du concert, <strong>Carmignola</strong>, physique de play-boy italien, il m'a fait un peu penser, en plus âgé à <strong>Alain Delon</strong> dans <strong>Le Guépard</strong>, était tendu. Lorsqu'il joue du violon, tous les muscles de son visage sont en action, dans un effort qu'on devine violent. <strong>Paul McCreesh</strong> au contraire semble s'amuser lorsqu'il dirige son ensemble de <strong>Bâle</strong>, il danse littéralement, avec une agilité incroyable, tout sourire, de son visage poupin un peu rosé d'anglais. Ce couple inattendu nous a donné un magnifique concerto pour piano et cordes en ré mineur de <strong>Felix Mendelssohn-Bartholdy</strong>.</p> <p style="text-align: center;"><img src="http://casadei.blogspirit.com/media/02/01/436321348.jpg" alt="concerts2009 007.jpg" style="margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px;" id="media-393020" /></p> <p style="text-align: justify;">Miracle, enfin le plus grand par définition, que celui de <strong>La Résurrection,</strong> ici de <strong>Georg Friedrich Haendel</strong> interprétée par le <strong>Collegium 1704</strong> dirigé par <strong>Vàclav Luks</strong>. <strong>Jean, Marie-madeleine, Marie Cléophas, Lucifer,</strong> et un <strong>ange</strong> nous content cette histoire bimillénaire que nous connaissons par coeur, qui se trouve illustrée en images, autour de nous, au dessus des 144 stalles, par les merveilleuses tapisseries flamandes de <strong>La Chaise-Dieu</strong>. Où mieux qu'à <strong>La Chaise-Dieu</strong> revivre cette histoire qui nous émeut toujours, surtout quand elle est aussi magifiquement interprétée par cet ensembe tchèque, les solistes et chacun des pupitres donnant tour à tour le meilleur d'eux-mêmes? La <em>standing ovation</em> réservée à <strong>Vàclav Lutz</strong>, ses solistes et ses musiciens était amplement méritée.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://casadei.blogspirit.com/media/02/02/275343257.jpg" alt="concerts2009 024.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-393021" /></div> <p style="text-align: justify;"><strong>La Chaise-Dieu</strong> est bien décidément un miracle de tous les instants!</p>