Last posts on gallo2024-03-29T08:13:27+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/gallo/atom.xmlAlainhttp://www.nassogne.eu/about.htmlBande : le 29 septembre : ”On ne me l'avait pas dit”tag:www.nassogne.eu,2012-09-21:31593842012-09-21T13:35:23+02:002012-09-21T13:35:23+02:00 … Marre d’être la parfaite bête de cirque et de faire le grand écart...
<p style="text-align: justify;"> … Marre d’être la parfaite bête de cirque et de faire le grand écart entre la cuisine et la chambre à coucher, … marre de jongler en même temps avec les tartes de Nénenne, les biberons, la pâte à sel, le rôti à arroser et le monopoly !</p><p style="text-align: justify;"><img id="media-62629" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://static.blogs.sudinfo.be/media/24/4138110105.jpg" alt="veronique gallo3.jpg" />Invitée à s’exprimer en public sur « La femme hypertonique dans notre 21<sup>ème</sup> siècle », notre sympathique comédienne dérape et s’épanche sur sa vie d’épouse, de mère et de ménagère débordée tout en tentant au passage de draguer désespérément quelques hommes du public. </p><p style="text-align: justify;">Superposant ses rêves de petite fille à ses réalités de mère, notre héroïne analyse son quotidien qu’elle voudrait palpitant … comme un épisode de Dallas, mais qui s’avère aussi trépidant qu’un goûter chez Laura Ingalls (« La petite maison dans la prairie » … vous vous souvenez ?) </p><p style="text-align: justify;">Marie-Anne Delapierre (Véronique Gallo) nous emmène sur le chemin de la naïveté perdue.</p><p style="text-align: justify;">Aujourd’hui, que reste-t-il de Ken et Barbie, le couple idyllique de nos jeux d’enfants ?</p><p style="text-align: justify;">Ken est en surcharge pondérale pour être resté trop longtemps scotché à son ordinateur ; quant à Barbie, après trois grossesses, elle ne sait plus vraiment enfiler sa robe à paillettes …</p><p style="text-align: justify;"><strong>Véronique Gallo est irrésistible et l’on rit à gorge déployée d’un bout à l’autre de ce spectacle tonique, hilarant et plein de sincérité !</strong><strong> </strong></p><div><p align="center"><strong><em>Après avoir séduit le public régional avec « Mes nuits sans Robert », à Grune,<br /></em></strong><strong><em>après une tournée AssProPro et une reprise à La Samaritaine à Bruxelles,<br /></em></strong><strong><em>elle reprend son premier « one-woman-show » à Bande pour notre plus grand plaisir !</em></strong><strong> </strong></p></div><p><em>Au niveau mobilité, un service de prise en charge sera assuré via le « Proxibus » communal, sur toute l’entité de Nassogne ( horaire sur demande au 084/21.49.08 ).</em> </p><div><p align="center"><strong>«On ne me l’avait pas dit » par Véronique Gallo<br /></strong><strong>Samedi 29 septembre 2012 à 20h15<br /></strong>à la Salle « La Petite Europe » à Bande </p><p align="center">Réservations au Centre culturel : 084/21.49.08 – E-mail : <a href="mailto:info@ccnassogne.be">info@ccnassogne.be</a></p><p align="center">Adultes : 10,00 € ou 9 cc / Etudiants : 7,00 € ou 6 cc / Art. 27 : 1,25 €</p><p align="center"><strong>Préventes : Adultes : 8,00 € et Etudiants : 5,00 €</strong> (avant le mardi 25 septembre)</p></div><p style="text-align: center;"><img id="media-62628" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blog-nassogne.blogspirit.com/media/24/2012-09-21_133302.jpg" alt="2012-09-21_133302.jpg" /></p><p align="center">Dans le cadre de son ouverture de saison 2012 – 2013, le Centre culturel local de Nassogne vous invite à retrouver le SAMEDI 29 SEPTEMBRE, à 20h15, à la salle de La Petite Europe à Bande, une comédienne belge au succès grandissant, <strong>Véronique Gallo</strong>, avec </p><p align="center"><strong>« On ne me l’avait pas dit »</strong></p><p align="center">(de et par Véronique Gallo, mis en scène par Jean Lambert et Amandine Letawe) </p><p align="center"> … Un petit bijou d’humour délicieusement piquant ! </p><p style="text-align: justify;"><strong>… Oubliez les « Desperate Housewifes », voici Marie-Anne Delapierre, alias Véronique Gallo, … super-ménagère locale, wonderwoman de la couche pampers et hilarante poule pondeuse en mal de passion ! </strong></p>
Christian Le Meut - Journalistehttp://rezore.blogspirit.com/about.htmlMouezherioù rannvroel/Elections régionales : programm al listennoùtag:rezore.blogspirit.com,2010-03-08:19054692010-03-08T10:29:00+01:002010-03-08T10:29:00+01:00 Ur sonj vat deus bet webmasterez ar blog Gwennao : tolpiñ razh ar pezh a zo...
<p>Ur sonj vat deus bet webmasterez ar blog Gwennao : tolpiñ razh ar pezh a zo kinniget evit ar yezhoù rannvroel (brezhoneg-gallaoueg), get al listennoù politikel war ar renk evit ar mouerezhioù (votadegoù) rannvroel.<br /> La webmaster du blog Gwennao a eu la bonne idée de rassembler les propositions concernant les langues régionales (breton-gallo), des listes en présence pour les élections régionales.</p> <p><a title="http://gwennao-fotoiou.over-blog.com/article-regionales-propositions-langue-bretonne-gallo-46201541.html" href="http://gwennao-fotoiou.over-blog.com/article-regionales-propositions-langue-bretonne-gallo-46201541.html">http://gwennao-fotoiou.over-blog.com/article-regionales-propositions-langue-bretonne-gallo-46201541.html</a></p>
Malika SORELhttp://www.malikasorel.fr/about.htmlLa marque de cécité selon Max Gallotag:www.malikasorel.fr,2010-02-26:18998002010-02-26T13:44:00+01:002010-02-26T13:44:00+01:00 Je vous recommande d’écouter cette intervention de Max Gallo, dans...
<p>Je vous recommande d’écouter cette intervention de Max Gallo, dans l’émission <a href="http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/esprit_public/fiche.php?diffusion_id=81879" target="_blank">l’Esprit public</a> sur France Culture. Dans la première partie de cette émission, il a été question des conclusions du débat sur l’Identité nationale. Max Gallo y a également évoqué la naissance de l’idée de nation française, qu’il situe dans le Haut Moyen-Âge.</p> <p>Max Gallo : « <i>Je ne suis pas du tout d’accord pour que l’on prenne comme ça, à la légère, ce débat ou qu’on le résume à des manipulations, à la volonté de substituer un débat factice à de vrais problèmes. Je crois au contraire, que la nation française, comme les nations européennes, qui sont des réalités, mais on peut considérer que ce sont des formations politiques obsolètes “la nation”. Il y a ceux qui pensent, et c’est très répandu dans nos élites, à savoir que parler de nation aujourd’hui, en ce début du <span style="font-size: 0.8em">XXI</span><sup>e</sup> siècle à l’heure de la mondialisation, il vaut mieux dire ce que disent les manifestants souvent</i> <i>qui</i> <i>défendent les immigrés et les sans-papiers “no borders”, “pas de frontières”. Je pense que c’est une illusion mais ça existe. Mais cela dit, si on continue à penser que la nation existe et je crois qu’elle existe, qu’elle a des racines lointaines remontant au Haut Moyen-Âge, ne pas voir que les nations européennes, vieilles nations, la France étant une des plus vieilles, ont une crise d’identité c’est vraiment masquer la réalité […] Ne pas voir que ce traumatisme des évènements historiques a sa répercussion dans nos comportements de citoyens français et dire que tout ça est secondaire, qu’il faut supprimer les ministères, que poser la question de l’identité nationale ou de la nation est une question vraiment dépassée et relevant du <span style="font-size: 0.8em">XIX</span><sup>e</sup> siècle, c’est évidemment un enfantillage pour ne pas dire une marque de cécité…</i> »</p> <p>Dans ces évènements historiques, Max Gallo inclut la première guerre, la seconde guerre, l'effondrement de l'empire colonial mais également la remise en cause de la nation par la construction européenne et par la mondialisation.</p> <p>Voici à présent ce qu’écrivait Alain-Gérard Slama, dans un article du <i>Figaro</i> daté du 9 novembre 2005 intitulé « impasse de la République » : « <i>Mais le doute s’est installé au sommet du pouvoir, dans les milieux intellectuels, chez les enseignants, au sein de l’opinion. La profession de foi républicaine s’est accompagnée de mauvaise conscience. Plus l’échec des politiques d’intégration s’est profilé à l’horizon, plus le discours dominant est devenu ambigu, hésitant. C’était pain bénit pour les experts en sciences sociales, qui se sont imposés à la faveur de cette confusion, au point d’orienter des choix politiques de plus en plus indifférents aux leçons de l’histoire. Les tenants les plus fermes du principe d’égalité devant le droit, qui avait été la clé d’or du consensus national, se sont laissés ébranler par les arguments favorables aux discriminations positives. Les universalistes les plus ardents se sont demandés si les revendications identitaires et communautaires n’étaient pas le point de passage obligé des nouveaux processus d’intégration. Les maîtres se sont partagés sur la position à adopter devant des voiles islamiques, qu’ils ont d’abord interprétés comme des manifestations du malaise de l’adolescence. C’est ainsi que les piliers de l’idée républicaine, la loi, la laïcité et l’école se sont lentement fissurés…</i> »</p>
Malika SORELhttp://www.malikasorel.fr/about.htmlL’avertissement de Max Gallo : il existe des analogies entre 1789 et 2009tag:www.malikasorel.fr,2009-09-28:18305722009-09-28T23:00:00+02:002009-09-28T23:00:00+02:00 À ceux qui n’ont pas lu mon ouvrage et m’accusent de réduire la France à la...
<p>À ceux qui n’ont pas lu mon ouvrage et m’accusent de réduire la France à la Révolution française, j’apporte la réponse de l’historien Max Gallo, dans un entretien au magazine <i>Le Point</i> :</p> <p>« <i>La Révolution française est un creuset dans lequel il y a toute l'histoire de France depuis ses origines. Un monde nouveau est né de cet événement qui a marqué profondément, par sa radicalité et sa brutalité, notre conscience nationale. Si bien qu'aujourd'hui, de nombreux comportements politiques et humains sont déterminés par la force de ce passé-là.<br /> […]<br /> En examinant la Révolution, on découvre combien, dans une société organisée, la sociabilité entre les hommes est extrêmement fragile. Et qu'il suffit de quelques jours, parfois de quelques heures, pour que la barbarie des comportements humains rejaillisse. Je pense depuis toujours qu'un des périls majeurs qui guettent nos sociétés contemporaines est l'irruption de la violence et des barbaries.<br /> […]<br /> L'histoire est le seul laboratoire dont disposent les hommes pour comprendre le fonctionnement des sociétés.<br /> […]<br /> Qui dit révolution dit irruption de la violence. Nos sociétés sont extrêmement fragiles. La responsabilité majeure de celui qui a accès à la parole publique est de mettre en garde contre cette irruption.<br /> […]<br /> Le retour de la nation peut produire le pire si on refuse certaines réalités. Je suis partisan de l'Europe - malgré les apparences -, à condition que ce soit une Europe qui ne se construise pas sur la mort des nations.</i> »</p> <p><strong>Je vous encourage à lire l’intégralité de <a target="_blank" href="http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2009-06-10/interview-max-gallo-il-suffit-de-quelques-jours-pour-que-la/917/0/320453">l’entretien de Max Gallo</a>.</strong></p>
Christian Le Meut - Journalistehttp://rezore.blogspirit.com/about.htmlBreton-gallo/Brezhoneg-gallaoueg : ur bern stajoù/le plein de stagestag:rezore.blogspirit.com,2009-03-23:17296512009-03-23T11:12:00+01:002009-03-23T11:12:00+01:00 Kemenadenn a-berzh an Ubapar, ur gevredigezh a sav stajoù vakans evit ar...
<p><b>Kemenadenn a-berzh an Ubapar, ur gevredigezh a sav stajoù vakans evit ar vugale hag ar grennarded e brezhoneg, gallaoueg, ha memes e galleg ! Communiqué de l'Ubapar, association qui organise des séjours de vacances pour les enfants et les ados, en breton, gallo, et même en français !</b></p> <p><img src="http://rezore.blogspirit.com/media/01/01/1441162673.jpg" id="media-334576" alt="stajoùoadourion361.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />"37 prantad zo aozet e 2009 : unan da vare ar vakansoù Pask e Treglonou, 35 evit an hañv er 5 departamant breton (2 e gallaoueg en o zouez), hag unan er Chapel-Nevez e-kerzh vakansoù an Hollsent. Bevañ gant mignoned, c’hoari, keginañ, en em zispakañ, kanañ a-bouez-penn, eskemmañ, kousket e-barzh un deltenn… sede ar pezh a fell deomp reiñ da vevañ d’ar vugale ha d’ar re yaouank. Ha kement tra zo e brezhoneg pe e gallaoueg ! Evit a sell ouzh ar prantadoù brezhonek e rank ar vugale gouzout trawalc’h a vrezhoneg evit gallout en em zibab aes. N’eo ket ret komz gallaoueg evit kemer perzh er c’hampoù gallaouek. 600 bugel kazimant o doa kemeret perzh er c’hampoù e 2008. Spi hon eus e vint niverusoc’h c’hoazh er bloaz-mañ !<br /> War lec'hienn web UBAPAR emañ roll ar c’hampoù 2009 hag ar follenn enskrivañ : www.ubapar.org/rubrique54.html<br /> A-raok ar vakansoù Pask e vo skignet al levrig war ar c’hampoù 2009 er c’hlasoù divyezhek. Ma ne deu ket e koulz ba sac'h-skol ho pugale, lârit deomp.<br /> Kampoù gallek vez aozet ivez e rouedad UBAPAR : <a title="www.ubapar.org/rubrique78.html" href="http://www.ubapar.org/rubrique78.html">www.ubapar.org/rubrique78.html</a><br /> <br /> "37 séjours sont organisés cette année : un à Treglonou pendant les vacances de Pâques, 35 cet été dans les 5 départements bretons, et un à la Toussaint à La Chapelle-Neuve. Vivre avec ses copains, cuisiner, courir, sauter, danser et chanter, échanger, dormir sous tente… voilà ce que nous proposons de faire vivre aux enfants et aux jeunes. Et le tout en breton ou en gallo ! Pour les séjours en breton, l’enfant doit avoir une connaissance suffisante de cette langue pour pouvoir comprendre et s’exprimer aisément. La maîtrise de la langue gallèse n’est pas un pré-requis pour l’inscription aux séjours en gallo. Près de 600 enfants ont participé aux séjours en breton et en gallo en 2008. Nous espérons qu’ils seront encore plus nombreux cette année !<br /> Vous trouverez le programme des séjours 2009 et la feuille d'inscription : www.ubapar.org/rubrique54.html<br /> Le livret des séjours 2009 sera diffusé dans les classes bilingues avant les vacances de Pâques. Si ce fascicule n’arrive pas à temps dans les cartables de vos enfants, faites nous signe.<br /> Des séjours de vacances en français sont également organisés dans le réseau UBAPAR".</p> <p>Ubapar : 02.53 35 56 44.</p>
Christian Le Meut - Journalistehttp://rezore.blogspirit.com/about.htmlAmañ ”n'eo ket bet james komzet brezhoneg”tag:rezore.blogspirit.com,2008-04-22:15350612008-04-22T11:40:00+02:002008-04-22T11:40:00+02:00 Lenn a ran bep sizhun Marianne ba' ti ma zud. Ur gelaouenn interesus eo,...
<p><img src="http://rezore.blogspirit.com/media/02/00/cc86242a2f23ffabe52c5c01ef43e760.jpg" id="media-177424" alt="59a5f4ceccf1275162982323fa763a2a.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" name="media-177424" /></p> Lenn a ran bep sizhun Marianne ba' ti ma zud. Ur gelaouenn interesus eo, a gav din, met n'eus ket kalz a dra war danvez Breizh pe war ar rannvroioù all. Taol spered jakobined a zo gete a wezhoù ivez. E fin pep kelaouenn e kaver ur pennad skrivet get Alain Rémond. Fentus awalc'h, d'ar peurliesan. Ar c'hazetenner-se a zo a Vreizh a-orin, a Vro C'Hallo. Ha displegiñ a ra ba' Marianne diwezhañ (19/04/2008), goude bout gwellet ar film "Bienvenue chez les Ch'tis", penaos en deus eñv desket gallaoueg a vihanig, ha petra eo ar gallaoueg. Doujus eo Alain Rémond e keñver ar gallaoueg ("je suis né bilingue : gallo-français"), met, d'am sonj, un nebeut farioù a zo bet skrivet getan a zivout ar brezhoneg. <p><b>"Tout le monde ne parle pas breton en Bretagne" </b><br /> "Contrairement à ce que certains pourraient croire, eme Alain Rémond (...), tout le monde ne parle pas breton en Bretagne. Il existe toute une région, dans l'est de l'Ouest, où on n'a jamais parlé breton. Mais gallo. Quoiqu'il puisse m'en coûter, mettons les points sur les <i>i</i>, si le breton est bel et bien une langue, le gallo, lui n'est qu'un dialecte. Comme le ch'ti. Et, comme le ch'ti, le gallo est un dérivé du vieux français. Donc du latin. Je n'ai su que très tard que je parlais gallo. Chez moi, dans mon village, on appelait ça le patois". </p> <p>Krogomp get ar frasenn gentañ : "Contrairement à ce que certains pourraient croire, (...), tout le monde ne parle pas breton en Bretagne". N'ouion ket petra a vez gouiet get lennerion Marianne, met n'eo ket get ar gelaouenn-se e c'hellehent bout kelaouet a-feson war an brezhoneg pe war ar yezhoù rannvroel all e Frans. E Breizh, razh an dud (kazimant) a gomz galleg ha ne chom ket nemet un nebeut (250.000 den ?) a gomz breton. Hor yezh a zo en arvar bras ha c'hellehe bout kollet da vat e-pad ar c'hantved-mañ, eme an Unesco. Met an dra-se n'eo ket bet displeget da lennourion Marianne abaoe pell, pe marteze, james.</p> <p><b>Ar gallaoueg, rannyezh pe yezh ?</b><br /> Alain Rémond n'eus graet e sonj : ar gallaoueg a vehe ur rannyezh a zeuhe ag ar galleg kozh, hag ar brezhoneg a vehe ur yezh da vat. N'ouion ket mard en deus, ar paotr-se, studiet kalz ar yezhoù met, d'am sonj, n'eo ket ken splann an traoù. A-du on getan e keñver ar brezhoneg met pas e keñver ar gallaoueg. Peseurt diforc'h a zo etre ur yezh hag ur rannyezh ? N'eo ket anat. Ur yezhourez evel Henriette Walter, studiet geti ar gallaoueg a dost, a skriv : "(...) le gallo, forme que le latin a prise en Haute-Bretagne" (1). Ar gallaoueg a vez levezonet get ar galleg abaoe kantvedoù, met ne za ket ag ar galleg kozh, hervez Henriette Walter. Ar brezhoneg ivez, a vez levezonet get ar galleg abaoe pell... Neuze, ar gallaoueg, yezh pe rannyezh ? An diforc'h etre an daou n'eo ket anat met, evidon-me, ar gallaoueg a zo ur yezh da vat.</p> <p><img src="http://rezore.blogspirit.com/media/01/02/d782d31bf84d920a53998e1f2a2a89e2.jpg" id="media-177681" alt="321d6c228edf3df4adf1c5e0169cd527.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" name="media-177681" />Met n'on ket a-du ivez get un dra all skrivet get Alain Rémond. N'ouion ket e-menn emañ e gumun a orin, met mechal ma ne vehe ket er Morbihan (hervez pennadoù all skrivet getan an hañv paseet). Hervez Henriette Walter, ha yezhourion ha istorourion all ivez, tachenn ar brezhoneg a zo aet betek Roazhon, kazimant, ha betek Dol ha Pornic, e Liger Atlantel, d'an nawed kantved. Kozh eo, a sonj deoc'h ? Marteze, met an dra-se a ziskouezh penaos ar brezhoneg a zo bet komzet er Morbihan a-bezh, hag e Aodoù an Arvor a-bezh ivez e-pad kantvedoù zo memestra. Roudoù a chom ag an dra-se dre ur bochad anvioù lec'h. Alain Rémond n'en deus ket james klewet komz brezhoneg barzh kumun e dud, moarvat, met komzet e oa bet breton du-hont memestra, en amzer a gent.</p> <p><b>"On n'a jamais parlé..." </b><br /> Klewet 'vez alies awalc'h ar frasenn-se : "Ici, on n'a jamais parlé breton"; pe "A Rennes on n'a jamais parlé breton", pe c'hoazh : "A Nantes on n'a jamais parlé breton", evel ma vehe ur gwir bater. N'on ket istorour na yezhoniour met, d'am sonj, komzet veze brezhoneg get tud zo (ha marteze ur bochad), barzh karterioù a Roazhon hag a Naoned e lec'h ma veze e chom Bretoned deuet a Vreizh Izel. Ha komzet veze brezhoneg e Paris, get ur bochad tud d'an XIXe ha d'an XXe kantved ivez. Ha bremañ c'hoazh, marteze. Ha lennourion Rezore a ouia penaos e vez komzet ha desket brezhoneg e meur a lec'h er bed (New-York, Pékin, Buenos Aires ha c'hoazh...). Mod-se emañ, ar yezhoù a ya da veajiñ.</p> <p><img src="http://rezore.blogspirit.com/media/00/02/e10ee4f84a4ed95300794f085ea743df.jpg" id="media-178148" alt="f4e2dccaa1d61d7846a5c176d086197c.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" name="media-178148" />James m'eus klewet ar frasenn-se evit ar galleg : "Ici, on n'a jamais parlé français". Met 50 vloaz zo, 100 vloaz zo, pe 150 vloaz zo, ne veze ket preget galleg get kalz a dud e kumunioù 'zo a Vreizh Izel, war er maezioù dreist-holl, evel ar pezh a ziskouezh ar gartenn-se (2). Er bloaz 1863, hervez ur studiadenn graet get ministr an deskadurezh Napoléon an trived, Victor Duruy. 7 million a zen (war 30), ne gomzent ket galleg e Bro Frans ("monolingues patoisants"). E departamant Penn Ar Bed n'doa "kumun ebet e lec'h ma vez komzet galleg"; er Morbihan hag e Aodoù an Arvor ne veze ket komzet galleg barzh ul lodenn vras ag ar c'humunioù... En Ilez ha Gwilenn an disoc'hoù ne oant ket sklaer ("incertain").</p> <p>D'ar prantad-se, brezhoneg 'veze komzet get ar bobl e Breizh Isel, ha galleg get un nebeut tud. Ha d'ar c'houlz-se ivez, marteze, gourdadoù Alain Rémond a brege gallaoueg e Bro C'Hallo. Du hont ivez, ne veze ket ivez komzet galleg get kalz tud war er maezioù kant hanterc'hant vloaz zo. Gallaoueg, ne lâran ket.</p> <p><b>Christian Le Meut</b></p> <p>(1) Henriette Walter : "l'aventure des langues en Occident" Embannadurioù Robert Laffont, 1994.</p> <p>(2) Kartenn tenet a "Le français, histoire d'un dialecte devenu langue", R. Anthony Lodge, Ed. Fayard, 1997. </p>
Malika SORELhttp://www.malikasorel.fr/about.htmlMax Gallo a apprécié « Le puzzle de l'intégration »tag:www.malikasorel.fr,2007-08-02:13411242007-08-02T13:00:00+02:002007-08-02T13:00:00+02:00 Je remercie un lecteur du Puzzle de l’intégration de m’avoir aimablement...
<p>Je remercie un lecteur du <i>Puzzle de l’intégration</i> de m’avoir aimablement signalé que mon livre a été cité par Max Gallo lors de l’émission <a target="_blank" href="http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/esprit_public/fiche.php?diffusion_id=54413">« <i>L’esprit public</i> » de France Culture du 22 juillet</a>.</p> <p>Max Gallo a précisé : « C’est un livre que je trouve remarquable ! »</p> <p>Lors de cette émission consacrée au problème des banlieues, Max Gallo a conduit une analyse qui coïncide en tous points avec ce que je développe dans une partie de mon livre ; j’en suis donc particulièrement heureuse.</p>
Malika SORELhttp://www.malikasorel.fr/about.htmlQuelques témoignages de personnalitéstag:www.malikasorel.fr,2007-06-10:12734202007-06-10T10:50:00+02:002007-06-10T10:50:00+02:00 J’ai reçu un certain nombre de témoignages de personnalités au sujet du...
<p>J’ai reçu un certain nombre de témoignages de personnalités au sujet du livre <em>Le puzzle de l’intégration</em>. C’est avec plaisir que je vous en livre quelques-uns :</p><p>M. <strong>Jean-Pierre Chevènement</strong> (avec qui j’ai eu un long entretien téléphonique), Président d’honneur du MRC (Mouvement Républicain et Citoyen) et Président de la Fondation Res Publica, qui a également occupé les postes de Ministre de l’éducation nationale, Ministre de la défense et Ministre de l’intérieur : « <em>Le puzzle de l’intégration est un livre très fin et profond</em> ».</p><p>M. <strong>Jean-François Cordet</strong>, Préfet de la Seine-Saint-Denis : « <em>Je vous adresse mes félicitations pour la qualité de l'ouvrage et la pertinence des réflexions que vous engagez… Ce long et douloureux examen, cette introspection de la société française sert la République et ses serviteurs. Bravo encore.</em> »</p><p>M. <strong>Jean-Louis Debré</strong>, Président du Conseil Constitutionnel, ancien Président de l’Assemblée Nationale, dit avoir lu le livre avec beaucoup d’intérêt : « <em>L’intégration est un défi considérable que notre pays doit relever. Comme vous le savez, je crois, tout comme vous, aux vertus du modèle républicain dès lors que l’on a la volonté de le faire vivre</em> »</p><p>M. <strong>Max Gallo</strong>, historien : « <em>C’est un livre que je trouve remarquable !</em> »</p><p>M. <strong>Claude Hagège</strong>, linguiste, Professeur au Collège de France : « <em>Je trouve excellente et féconde votre distinction entre Intégration et Insertion. Elle est très illustrative. J'espère qu'elle aura le succès qu'elle mérite !</em> »</p><p>M. <strong>Alain Juppé</strong>, Maire de Bordeaux, ancien Ministre des affaires étrangères, ancien Premier ministre : « <em>Loin du politiquement correct, vous dénoncez avec fermeté l'idéologie de la victimisation faisant de tout immigré une victime en puissance.</em> »</p><p>M. <strong>Dominique de Villepin,</strong> ancien Premier ministre, ancien Ministre des Affaires étrangères et Ministre de l’intérieur : « <em>Votre combat pour l’intégration et l’égalité des chances est aussi le mien. Je les ai toujours défendues et les défendrai encore, car je crois en notre modèle républicain.</em> »</p>
Christian Le Meut - Journalistehttp://rezore.blogspirit.com/about.htmlHenriette Walter : ”Langues, patois, dialectes, c'est la même chose, au fond”tag:rezore.blogspirit.com,2006-11-07:10392322006-11-07T16:10:00+01:002006-11-07T16:10:00+01:00 En em gavet m'eus n'eus ket pell zo get Henriette Walter, ur yezhourez...
<p><img src="http://rezore.blogspirit.com/images/thumb_arabesque123.jpg" alt="medium_arabesque123.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" /><b>En em gavet m'eus n'eus ket pell zo get Henriette Walter, ur yezhourez vrudet. Henriette Walter deus embannet ul levr nevez, Arabesque, get Bassam Baraké (ed. Robert Lafont/Le Temps) war plas an arabeg en Europa abaoe mil vloaz... Aterset m'eus H. Walter war ar yezhoù dre vras, ha setu un tanva ag ar pezh displeget geti.</b></p> <p><b>J'ai rencontré récemment Henriette Walter, une linguiste renommée, professeur émérite à l’Université de Rennes (elle a beaucoup travaillé sur le gallo). Elle vient de publier, avec Bassam Baraké, Arabesque (Ed. Robert Laffont/Editions du Temps) sur la place de l'arabe en Occident depuis près d'un millénaire. Compte rendu de lecture... quand j'aurai lu le bouquin ! J'ai interviewé H. Walter sur les langues en général, voici quelques extraits de ses réponses :</b><br /> <br /> Pour Henriette Walter, “langues, patois, dialectes, c’est la même chose dans le fond. Tout ça, ce sont des langues, des instruments de communication doublement articulé avec des sons (phonèmes) et desmots (monèmes). Lorsqu’une langue se répand sur un grand territoire, des différenciations apparaissent. Lorsque le latin s’est répandu dans l’Empire romain, il s’est dialectalisé et des langues sont nées ainsi, telles que le gallo, l’italien, le français, le toscan, le milanais... La dialectalisation créé parfois des différences de village à village, sur de petits territoires. Alors on parle en français de “patois”. On peut donc parler de patois qui se réunissent pour former un dialecte et de dialectes qui se réunissent pour former une langue. L’idée que les patois seraient moins bien qu’une langue est fausse. Pour les linguistes, ce n’est pas une question de valeur mais de quantité de gens et de territoire sur lequel cette langue est parlée. Parler un patois, ce n’est pas mal, au contraire, c’est intéressant car dans les patois se sont maintenues d’anciennes distinctions, d’anciens mots, qui ont disparu dans la langue commune. Au contraire, il faut rappeler aux gens que c’est une honneur de parler patois. Il faut en être fier. C’est ce que disent les linguistes, il ne faut écouter les autres”.<br /> <br /> <b>Le gallo</b><br /> “Le gallo est une langue qui a souffert, à l’Est, à cause du français, langue de l’Etat, et à l’Ouest, à cause du breton, considérée comme une vraie langue alors que le gallo a longtemps été perçu comme un patois, pas comme une langue. Il faut replacer le gallo dans l’ensemble des langues de France avec ce renouveau pour la recherche de l’identité, des racines. Depuis une trentaine d’années, des associations essaient de mettre en relation des gallèsants, plutôt âgés, et les enfants. Les petits-enfants ont envie de connaître la langue de la grand-mère ou du grand-père, avec un échange qui leur fait connaître des choses anciennes de leur région, de leurs traditions. Mais il y a quelques problèmes, comme celui de la graphie. Chaque personne qui veut écrire une histoire voudrait représenter toutes les nuances de sa manière de parler Mais toute cette diversité ne peut être rendue par l’écriture. Il faut accepter que la langue écrite ne représente pas toujours exactement la façon de parler. C’est vrai pour toutes les langues Il faut accepter une écriture gallèse normalisée, mais on n’y est pas encore”.<br /> <br /> <b>Levrioù skrivet get/Les livres d’Henriette Walter :</b><br /> - Dictionnaires des mots d’origines étrangères (Larousse)<br /> - L’aventure des langues en Occident (Robert Laffont).</p> <p>- Le français dans tous ses états (Livre de poche)</p> <p>- L'aventure des mots français venus d'ailleurs (Livre de poche)</p> <p>- Le dernier : Arabesque, l'aventure de la langue arage en Occident (Robert Laffont/Ed. du Temps - 2006).</p>