Last posts on falorni2024-03-29T09:49:05+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/falorni/atom.xmlhommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlSégolène Royal: l’honneur d’être une cibletag:leshommeslibres.blogspirit.com,2012-06-19:32982222012-06-19T09:20:00+02:002012-06-19T09:20:00+02:00 Et bien non: il n’y a pas d’honneur à être cible. Que vos adversaires...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/1394377028.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/00/2990405189.jpg" id="media-118569" alt="SégoFalorni.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-118569" height="197" width="352" /></a>Et bien non: il n’y a pas d’honneur à être cible. Que vos adversaires vous visent est la conséquence d’un combat. Cela ne vous donne pas de certificat de moralité. Il faut lutter contre le fait d’être une cible. Celle-ci finissant toujours, inévitablement, meurtrie, il n’y a aucun honneur dans la souffrance. Il n'y a que la souffrance dans la souffrance. Mais celle-ci peut au moins se vivre avec honneur. L’honneur est dans notre intégrité, pas dans les flèches que l’on nous décoche. Etre une cible c’est avoir échoué quelque part.<br /> <br /> L’honneur d’être une cible est de peu de valeur: il suffirait de se mettre devant des balles pour devenir cible et y trouver grandeur. Il n’y aurait rien besoin d’autre, aucun mérite personnel ne serait demandé. Même nos erreurs, si elles sont la cible de critiques, deviendraient des morceaux de bravoure. Il semble que l’on pousse le bouchon un peu loin.<br /> <a target="_blank" href="http://www.liberation.fr/politiques/2012/06/17/l-impossible-resurrection-d-une-encombrante-icone_827097?xtor=EPR-450206"><span style="text-decoration: underline;"><b><br /> Libération traçait hie</b></span></a>r une sorte de nécrologie de Ségolène Royal. L’article retrace le parcours difficile de la madone socialiste et rappelle sa prestation décalée du Zénith où elle avait prononcé cette phrase de Cyrano dans un geste d’une théâtralité au goût incertain: <i>«On n’abdique pas l’honneur d’être une cible»</i>. <i>(vidéo ci-dessous)</i><br /> <br /> L’honneur d’être une cible. Tout est dit. Que de rancoeurs, de règlements de comptes dans cette phrase. Ségolène ne fait que régler des comptes. Elle a été contrée dans le parti? Elle a tout fait pour. Et elle aurait pu considérer l’adversité comme un vrai tremplin, prendre le parti à témoin, en faire une critique entre quatre yeux, théoriser les attaques dont elle était l'objet pour en faire une vraie réflexion et un outil de progression. Elle l’aurait réformé. Elle n’a pas su convaincre dans le parti, passant par-dessus ses confrères éléphants. Elle a tout fait pour dresser les gens contre elle. Ensuite elle s’en plaint. Il y a un mécanisme terrible: «Je fais tout pour que l’on me tire dessus et ensuite je me mets en posture de victime comme si je n’y étais pour rien». Elle trouve certainement de la force dans la posture de victime. Mais à jouer sur tous les tableaux la mécanique se grippe. Et là il semble que le moteur soit même cassé.<br /> <br /> Elle peut accuser qui elle veut, cela ne prend plus. La photo d’elle pour l’AFP, devant sa porte où est collée une affiche de son adversaire, est pitoyable. Sa prestation le dimanche soir 17 juin, 10 minutes avant la clôture du scrutin, ne servait qu’à attirer encore les médias sur elle, à <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/4133163615.2.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2510312286.jpg" id="media-118570" alt="Segoluche1.jpg" style="border-width: 0pt; float: right; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em;" name="media-118570" height="239" width="319" /></a>montrer combien elle est victime et à dénigrer son adversaire sans lui concéder la victoire. Quel manque de panache pour cette dame qui prétendait mimer Cyrano.<br /> <br /> Je n’ai jamais été fan de Ségolène. Je n’oublie pas qu’elle a fait envoyer en prison et/ou en procès des centaines de professeurs parce que, cédant à l’hystérie collective qui a suivi l’affaire Dutroux, elle avait ordonné aux directeurs d’établissement scolaire de dénoncer même les rumeurs d’abus sur des enfants. «L’école du soupçon», de Marie-Monique Robin (Edition La Découverte) a montré comment, pendant cinq ans de chasse au sorcières, des mensonges, des cabales, des vengeances ont détruit la vie de profs innocents. Cette séquence de terreur judiciaire reste collée aux basques de Ségolène, qui n’a jamais regretté d’avoir été trop loin.<br /> <br /> Je n’ai jamais non plus été fan du féminisme revendicatif de Ségolène, ni de ses appels mystiques à la fraternité. Jouant sur un registre très émotionnel, abusant du «seule contre tous», elle ne m’était guère comestible. Pourtant j’ai fait un papier sur elle récemment suite au tweet de Vava Trierweiler, où j’essaie de <a target="_blank" href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2012/06/14/segolene-royal-un-objet-sacrificiel.html"><span style="text-decoration: underline;"><b>comprendre ce qui se joue autour d’elle</b></span></a>, sans jugement. J’avais de la compassion à cause de son parcours difficile. Et puis il y a cette photo devant sa porte, et cette transgression de la loi électorale dans le but que l’on parle d’elle en premier partout. Non seulement elle est mauvaise perdante, non seulement elle a un comportement limite, mais il elle semble incapable de prendre la mesure de ses échecs. Sa posture de victime privilégiée l’abonne à l’échec. Heureusement la France lui a échappé.<br /> <br /> Ségolène est critiquable. La critiquer n’est pas du sexisme comme elle le laisse souvent entendre pour discréditer ses adversaires. Elle est dure, elle peut être violente et autoritaire. C’est une femme politique, elle connaît les ficelles et joue sa partition. Elle serait tellement plus digne et crédible si elle ne se plaignait pas. Que penser alors de François Bayrou, roulé dans la farine par le parti socialiste après avoir soutenu Hollande, et perdant son dernier mandat sans broncher? Il n'y a pas plus de morale politique à gauche qu'à droite. Derrière les bisounours il y a l'ogre.<br /> <br /> Hier je lisais une proposition d’internautes suggérant que François Hollande nomme Ségolène Royal au Conseil Constitutionnel, «pour réparer le mal qui lui a été fait». C'est un peu fort de café. La République ne lui doit rien. Le président n’a pas à utiliser les institutions comme un monarque distribuant les places honorifiques en autant de lots de consolation.<br /> <br /> Ségolène est toujours un personnage particulier. Mais son capital sympathie semble proche de l'épuisement.<br /> <br /> <br /> <object height="315" width="420" data="http://www.youtube.com/v/c76rOk8JrG4?version=3&hl=fr_FR" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /> <param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowscriptaccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/c76rOk8JrG4?version=3&hl=fr_FR" /> <param name="allowfullscreen" value="true" /></object></p><p style="text-align: justify;">Cela aurait pu n’être qu’une boutade. Il semble pourtant que ce soit la profession de foi de Ségolène Royal. Elle reprend à son compte la réplique d’un personnages de fiction parmi les plus populaires en France: Cyrano de Bergerac. <i>«On n’abdique pas l’honneur d’être une cible»</i>.</p>
gorge profondehttp://lefranc-tireurmarseillais.blogspirit.com/about.htmlDu royalisme républicaintag:lefranc-tireurmarseillais.blogspirit.com,2012-06-14:29068252012-06-14T16:44:43+02:002012-06-14T16:44:43+02:00 ...
<p> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"> <br /></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"> </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"> Rarement quelques mots auront fait autant de « buzz » dans la médiasphère. Mais nous sommes dans l’ère des mini-messages et ceux-ci circulent presque à la vitesse de la lumière. Le mal qu’ils peuvent faire est, bien entendu, proportionnel à la notoriété de celui ou celle qui les émet. En l’occurrence, le tweet qu’a adressé, lundi, Valérie Trierweiler à Olivier Falorni ne pouvait rester ignoré (nul besoin de le reproduire ici). Non que l’actuelle « première dame » puisse être considérée comme une autorité morale. Mais, par son statut de conjointe du président, elle gravite dans les plus hautes sphères du pouvoir et tout ce qu’elle peut dire prend, dès lors, une valeur d’indice, sinon d’oracle. Mais qu’est-ce qui a vraiment motivé ce message d’encouragement au candidat PS dissident, adversaire de Ségolène Royal dans la première circonscription de Charente-Maritime ? Une rivalité de femmes ? Une dispute entre conjoints ? Y a-t-il eu un réel piratage informatique ou la volonté délibérée de faire entrer dans la sphère publique un message privé, quitte à le maquiller en « fuite » ? Quoiqu’il en soit de ces hypothèses, on pourra peut-être reprocher à Valérie Trierweiler d’avoir manqué de discrétion mais pas de pertinence. Car la candidature d’Olivier Falorni à la députation de la Rochelle est certainement plus fondée, plus légitime que celle de Ségolène Royal. Adjoint au maire de la Rochelle, président de la section PS de Charente-Maritime, il a une expérience et un engagement, au niveau local, que la présidente du Poitou-Charente n’a pas. Pour elle, cette députation ne serait qu’un marchepied vers la fonction autrement plus prestigieuse de présidente de l’Assemblée Nationale. C’est un peu sa revanche et le cadeau attendu pour sa campagne malheureuse de 2007. Autant dire que ses électeurs ne risquent guère que de la voir dans les pages des journaux et à la télévision. Or, quel est le sens de la fonction de député(e), sinon d’être un médiateur entre les citoyens et le pouvoir étatique ? Sinon de faire entendre la parole populaire aux plus hautes instances de l’Etat ? Cette vicariance, on ne le sait que trop, est viciée par l’indifférence et l’abstentionnisme – dans l’hémicycle du palais Bourbon, celui-là. En l’occurrence, celle convoitée par Royal est tellement grevée par l’opportunisme et l’ambition personnelle que ses chances de séduire un électorat local ne reposent guère que sur le soutien insistant de son parti. Quid, dès lors, de la voix du peuple, la seule qui est censée faire et défaire les gouvernants dans notre république ? La seule qui est censée assurer la probité de notre système ? On ne peut pas reprocher à la droite son immoralisme politique et reprendre, à gauche, ses bonnes vieilles méthodes que sont la préséance et le népotisme. Ségolène Royal a une carrière qui incline au respect. Elle joue sans doute son destin politique à La Rochelle. Mais nul ne peut exiger qu’on lui déroule le tapis rouge, sous peine de nier les valeurs mêmes de la gauche dont elle n’a cessé de se réclamer.</span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"> </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small;"> Bruno DA CAPO</span></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlSégolène Royal: un objet sacrificiel?tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2012-06-14:32982142012-06-14T16:05:00+02:002012-06-14T16:05:00+02:00 Comme femme politique ses grandes ambitions sont freinées pour la...
<p style="text-align: justify;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2424573090.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/3458658559.jpg" id="media-118193" alt="Ségo-OS-1.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-118193" height="173" width="299" /></a>Comme femme politique ses grandes ambitions sont freinées pour la troisième fois (après les échecs à la présidentielle et au secrétariat du PS). Certes elle reste présidente de région. Mais c’est un peu loin de Paris et des sunlights. Que se passe-t-il avec cette femme autrefois tant aimée et aujourd’hui régulièrement désavouée? Y a-t-il quelque chose de particulier à comprendre dans son personnage ou son itinéraire?<br /> <br /> Elle a publiquement associé sa vie privée et son engagement politique. On se souvient des images avec sa fille qui venait de naître en 1992. Cela procédait probablement d’une volonté d’unification du privé et du politique. Une élue est aussi et d’abord une humaine. La mise en scène de la famille n’est pas exceptionnelle.<br /> <br /> Ségolène a ensuite été utilisée par son parti. Elle avait une forte aura, faisait vibrer les militants et les sondages lui ont à un moment promis une carrière exceptionnelle. Mais comment gérer cela avec un compagnon qui, discrètement, attendait son tour et voyait la possible victoire de sa compagne comme un frein à sa propre ambition? Qui n’a pas vraiment soutenu la candidate pendant la campagne? Et où puiser la force de la victoire quand ce même compagnon vit une double vie et que sa vie sentimentale et familiale s’écroule?<br /> <br /> Mais elle devait présenter une image parfaite pour être élue. A-t-elle été conseillée par les éléphants du parti, qui voyaient en elle la No 1 des sondages et la sauveuse du PS après le traumatisme de 2002, avant de voir l’humaine? A-t-elle été mise en avant au mépris de son vécu douloureux? Elle qui se voulait libre, sa vie a été sacrifiée au profit d’une hypothétique victoire de la gauche en 2007. Mais elle l’a aussi voulu. Son ambition a gonflé. Elle voulait sauver la gauche et la France. En avait-elle les compétences? Difficile d’en juger alors qu’elle n’y a pas accédé.<br /> <br /> Je ne le pense pas.<br /> <br /> D’une part elle fonctionnait de manière très, trop émotionnelle. On adhérait à elle, pas à un programme. C’est dangereux en politique. Ceux qui l’ont réussi, comme De Gaulle à l’époque, avaient une stature et une solidité personnelle hors du commun. Cela ne semble pas être son cas, et la <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/567279961.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/582412789.jpg" id="media-118194" alt="Ségo-OS-2.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" name="media-118194" /></a>fragilisation de sa vie sentimentale ne peut être mise de côté dans les raisons de son échec.<br /> <br /> Elle était également trop clivée, pas assez consensuelle à l’intérieur même de son parti. Elle s’est fait des ennemis qu’elle n’a pas su neutraliser. Son militantisme féministe ne l’a pas servie non plus. Quelqu’un aurait dû lui dire que cela divisait l’électorat. Voter pour une candidate solide au bon programme, c’eût été possible. Mais voter parce que c’était une femme introduisait une discrimination et une division dans les esprits. Et l’on sentait qu’en démolissant son père elle réglait des comptes avec les hommes.<br /> <br /> Et puis ses sorties comme la bravitude, ses attitudes parfois décalées, son style passionaria auraient eu plus de succès en Amérique du sud, où l’on élit sans problème des femmes à la présidence.<br /> <br /> Elle s’est isolée de ceux qui devaient la soutenir, croyant qu’en s’offrant en sacrifice à la nation elle allait faire voter les coeurs plus que les têtes. On a entendu de manière subliminale, dans cette attitude sacrificielle, un discours d’ego qui ne collait pas avec l’humanisme auquel elle prétendait. Il y avait en elle à la fois la complexité de sa personnalité et les contradictions idéologiques du parti socialiste (par exemple entre la revendication d’une plus grande liberté et l’écho d’un collectivisme contraire à cette liberté, ou sur l’autorité. Contradictions que Hollande porte toujours, d’ailleurs). Le message a été brouillé.<br /> <br /> Aujourd’hui son parti est prêt à lui offrir un lot de consolation: la Présidence de l’Assemblée nationale. Pour cela elle doit être élue à La Rochelle. Où elle a été parachutée contre le candidat légitime du PS, Olivier Falorni, qui était déjà en place: Conseiller régional et adjoint au maire. Il a donc été évincé. Sur une raison étrange: la parité! Il fallait une femme, ainsi en a décidé le PS, au nom d’une alternance paritaire. Ce qui montre bien que cette idéologie rigide de la parité ne colle pas à la réalité du terrain et qu’elle entraînera dans l’avenir de nombreux autres échecs. Car Falorni ne s’est pas désisté et est entré en campagne en dissident du PS. Les cadors du parti avaient-ils imaginé un tel scénario? Encore une fois Ségolène - ou son staff de campagne - n’a pas su plaider sa cause. Trop sûre d’elle? Trop autoritaire? Objet de l’idéologie paritaire?<br /> <br /> Elle doit aujourd’hui faire face à des sondages désastreux pour elle, à l’échec de la primaire de 2011, à l’échec de sa candidature au secrétariat du PS, à la <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2012/06/12/valerie-trierweiler-premiere-maratre-de-france.html"><span style="text-decoration: underline;"><b>dérive autoritaire et assassine de Vava</b></span></a>, au soutien vénéneux de celle qui lui a pris le secrétariat du parti. Encore une fois <a target="_blank" href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2009/02/25/segolene-royal-en-chute-libre.html"><span style="text-decoration: underline;"><b>elle n’a pas su rallier à sa cause</b></span></a>. Son échec lui est donc imputable. Mais elle a aussi été instrumentalisée, comme elle l’est aujourd’hui par Fanfreluche Trierweiler, qui est prête à l’envoyer aux enfers pour être seule maîtresse à bord dans la vie du président.<br /> <br /> Ségolène Royal, objet de sacrifice. Ayant cru pouvoir faire expier les batailles d’ego du parti en s’offrant sur l’autel de la présidentielle. Portant les espoirs passés, tentant de transformer les déceptions en rédemption, et ce moins au travers d’un programme qu’au travers de sa propre personne. Utilisée même dans le rejet. Portée aux nues et trahie comme peu l’ont été.<br /> <br /> Je n’aurais jamais voté pour madame Royal. Mais son parcours freiné, et la rage dont elle peut être l’objet autant que la dévotion, ainsi que sa manière de tenir debout contre l'adversité me font saluer en elle une bête politique hors du commun. Cela même si elle est largement la cause de ses échecs.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><i>(Cliquer sur les images pour les agrandir)</i></p> <p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Après avoir reçu de plein fouet le tweet assassin de la Madame Ben Ali française (Vava Trierweiler), et bien que les sondages lui soient très défavorables, Ségolène Royal veut encore y croire à La Rochelle. Non élue elle perdrait la possibilité d’être présidente de l’Assemblée Nationale.</p>