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pjourdan
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[#PromiseConsulting] [#Consolab] Une nouvelle page s'ouvre pour Alibaba après le départ de Jack Ma
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2019-09-12:3141489
2019-09-12T11:08:46+02:00
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A 55 ans, Jack Ma quitte la présidence d'Alibaba, créé il y a vingt ans...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/01/1384168066.jpg" id="media-1074300" alt="" /></p><p>A 55 ans, Jack Ma quitte la présidence d'Alibaba, créé il y a vingt ans dans un appartement de Hangzhou, au sud de la Chine. Le discret Daniel Zhang, 47 ans, prend les rênes d'un groupe devenu un géant du e-commerce, de la finance et du cloud.</p><p>Comme la plupart des Chinois, Jack Ma affectionne les dates anniversaires. C'est donc le jour de ses 55 ans, ce mardi, que l'emblématique patron d'Alibaba a confié les rênes du géant chinois de l'e-commerce à Daniel Zhang, le « CEO » du groupe désormais propulsé à la présidence du conseil d'administration. L'ex-petit professeur d'anglais, devenu l'homme le plus riche de Chine (avec une fortune estimée à 37 milliards d'euros), a pris soin d'assurer une transition en douceur : après avoir déjà abandonné le poste de directeur général en 2013, il avait annoncé sa mise en retrait il y a un an, le jour de ses 54 ans.</p><p><a title="http://bit.ly/2m9mALr" href="http://bit.ly/2m9mALr" target="_blank" rel="noopener">[Lire plus]</a> </p><p>#chine #e-commerce #finance #alibaba #chine #france #china #asie #french #retail, j'utilise @tagsfinder_com (www.tagsfinder.com)</p>
pjourdan
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[#CONSOLAB] [VENTES] | Nouveaux #formats et #e-commerce stimulent les #ventes de #parfums d’#intérieur aux #États-Unis |
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2018-07-16:3112371
2018-07-16T11:05:00+02:00
2018-07-16T11:05:00+02:00
DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mlhlFn Nouveaux #formats...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/00/3540380626.jpg" id="media-1011862" alt="" /></p><p><strong>DE PREMIUM BEAUTY NEWS | <a href="http://bit.ly/2mlhlFn" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://bit.ly/2mlhlFn</a></strong></p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline; font-size: 12pt;"><strong>Nouveaux #formats et #e-commerce stimulent les #ventes de #parfums d’#intérieur aux #États-Uni</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le marché américain des parfums d’ambiance a encore accéléré en 2017 par rapport à l’année précédente, les ventes sur Internet jouant un rôle important dans la dynamique du marché, selon l’étude Home Fragrances </strong>: U.S. Market Analysis and Opportunities de Kline. Les bougies vendues en grande distribution dominent largement le marché, mais les petites marques des segments de haut de gamme connaissent une croissance à deux chiffres.</p><p style="text-align: justify;"><strong>« Ce marché, en particulier la catégorie des bougies, continue de bien performer, car les consommateurs restent attirés par ces produits pour leurs designs élégants, leur esthétique et l’expérience sensorielle qu’ils procurent »,</strong> explique Dana Kreutzer, analyste principale chez Kline. « Le commerce électronique et la technologie transforment ce segment en proposant de nouvelles expériences aux consommateurs, et les marques de luxe comme les petites start-up profitent du e-commerce pour renforcer leur présence ».</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Concurrence accrue</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Côté distribution, les cartes continuent à être rapidement rebattues entre les marques.</strong> Tout au long de l’année, Yankee Candle a renforcé sa présence en grande distribution en entrant chez Walmart durant le printemps. Newell Brands, la maison mère de la marque, a ouvert son premier magasin pop-up store expérientiel pendant la période des fêtes de fin d’année.</p><p style="text-align: justify;"><strong>La concurrence entre les principaux acteurs du marché et les marques émergentes a continué de se renforcer en 2017.</strong> Newell Brands s’est affirmé comme le géant du marché, avec l’ajout des marques WoodWick et Chesapeake Bay Candle à son portefeuille de parfums d’ambiance en 2017. Toutefois, Bath & Body Works, l’une des marques les plus prestigieuses, enregistre toujours d’excellentes performances. Par ailleurs, les acteurs émergents du segment haut de gamme tirent le marché : Voluspa, Nest, Illume et Paddywax figurent parmi les marques les plus performantes avec des progressions à deux chiffres en 2017.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Le canal de la vente directe a progressé de 10% en 2017, tandis que les ventes de bougies dans ce canal ont crû encore plus vite.</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Les bougies dominent</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Les bougies sont toujours la principale catégorie du marché en 2017, contribuant pour plus de 41% aux ventes.</strong> Elles forment également la catégorie la plus dynamique du marché, tirées par les ventes de bougies de luxe qui enregistrent une croissance deux fois plus rapide que celle de la catégorie. Plusieurs nouveaux acteurs sont entrés sur le segment du luxe en 2017, tels que Gibson & Dehn et HomeWorx by Harry Slatkin, qui vend ses produits à travers sur la chaine commerciale QVC. Mais en dépit de ces nouveaux arrivants et de la forte croissance de plusieurs marques de prestige, Yankee Candle reste le leader du marché.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Autre catégorie bénéficiant des faveurs des consommateurs : les diffuseurs. Cette catégorie est particulièrement innovante ; parfum et technologie s’y combinent et de nouveaux diffuseurs intelligents de marques comme Moodo et Aera offrent aux consommateurs la possibilité de contrôler et de personnaliser leurs parfums d’intérieur.</strong> De nouveaux formats, tels que les diffuseurs sans liquide de Nest et Diptyque, augmentent l’attractivité de ce segment.</p>
pjourdan
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[#CONSOLAB] [BEAUTE] | « Le #e-commerce #crossborder est très #adapté au #marché #chinois de la #beauté », Joël Palix, F
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2018-04-06:3104548
2018-04-06T10:02:00+02:00
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DE MARIE-HELENE CORBIN | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2uHCctp...
<p><strong>DE MARIE-HELENE CORBIN | PREMIUM BEAUTY NEWS | <a href="http://bit.ly/2uHCctp" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://bit.ly/2uHCctp</a></strong></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt;"><strong> «</strong></span> <span style="text-decoration: underline; font-size: 12pt;"><strong>Le #e-commerce #crossborder est très #adapté au #marché #chinois de la #beauté », Joël Palix, Feelunique </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>« Le marché chinois de la beauté est le plus ouvert au monde », a affirmé Joël Palix, PDG de la plate-forme de e-commerce Feelunique lors de China Connect, le rendez-vous des spécialistes du marketing digital en Chine qui s’est tenu en mars à Paris.</strong> Citant le cabinet d’étude L2, il a souligné que parmi les dix marques de beauté les plus performantes en ligne en Chine, quatre sont françaises (Avène, Dior, Lancôme, L’Oréal Paris), deux américaines (Estée Lauder, Maybelline), deux coréennes (Innisfree, LANEIGE), une japonaise (SK-II), et seulement une chinoise (CHANDO).</p><p style="text-align: justify;">« <strong>Feelunique réalise plus de 100 millions de livres sterling de chiffre d’affaires principalement en ligne en proposant à 550 marques de cosmétiques de distribuer du jour au lendemain leurs produits dans le monde entier », explique le PDG</strong>. Fonctionnant sur la base d’un modèle e-commerce crossborder, la plate-forme anglaise fondée en 2004 n’est en Chine que depuis octobre 2015. Elle s’est alors rapprochée de la société Azoya, basée à Shenzhen, qui a mis au point la version chinoise du site internet Feelunique et gère localement le merchandising, le marketing ainsi que le customer service. « Nous distribuons pour le moment 350 marques et 20 % de nos ventes globales sont réalisées en Chine », indique Joël Palix. </p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/3328920381.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-988546" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/2666569678.jpg" alt="-10528-c448e.jpg" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Suspicion sur les plates-formes locales</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Selon lui, cette réussite vient du fait que les Chinois achètent beaucoup sur Internet (le marché de la beauté en Chine représente 12% des ventes globales mais 30% des ventes en ligne à l’échelle mondiale) et sont super informés.</strong> « Les consommateurs chinois passent des heures à essayer d’obtenir des informations sur des marques qui ne sont pas disponibles en Chine, sur des plates-formes spécifiquement créées à cet effet telles que Xiaohongshu (Little Red Book). C’est là où le modèle crossborder devient si pertinent. »</p><p style="text-align: justify;"><strong>Le e-commerce local n’est qu’une partie du marché, « car les Chinois ne font pas confiance aux plates-formes locales qui peuvent vendre des contrefaçons potentiellement dangereuses quand il s’agit de cosmétiques, et préfèrent se tourner vers les sites occidentaux », assure Joël Palix.</strong> Ces derniers proposent également des produits moins chers car moins taxés, un avantage auquel sont sensibles les acheteurs chinois.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Éviter les tests sur les animaux</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Pour les marques étrangères, le modèle crossborder est un moyen d’accéder plus rapidement au marché chinois, « qui sinon requiert 6 à 18 mois dans le cas d’un enregistrement local », prévient Joël Palix</strong>. « De plus, les produits doivent alors être approuvés par les autorités chinoises qui imposent les tests sur les animaux, ce que beaucoup de marques considèrent contraire à leur éthique. » Le crossborder, parfaitement légal en Chine, permet donc de passer outre certaines contraintes pesantes et de tester le marché en limitant les frais.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais le succès n’est pas assuré pour autant, la clé étant pour les marques d’attirer l’attention et de créer une communauté, que ce soit en ligne ou dans la vie réelle.</strong> « Les consommateurs chinois veulent aujourd’hui davantage qu’un produit, ils souhaitent une interaction avec la marque, une sensation d’appartenance à une communauté, un style de vie spécifique, » rappelle Joël Palix. « L’important est moins la plate-forme que vous utilisez que la qualité de votre contenu et la façon dont vous vous adaptez au calendrier chinois, comment vous entrez en relation avec les consommateurs, même en dehors de Chine, par le biais de KOLs (Key Opinion Leaders), ou de la diaspora chinoise de l’étranger qui peut passer le mot à sa famille et ses amis en Chine. »</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>Paysage mouvant</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>WeChat reste à l’heure actuelle la plate-forme incontournable si l’on veut toucher une audience chinoise. « C’est aujourd’hui notre principal moteur.</strong> Il est essentiel de développer une stratégie propre à WeChat avec un contenu exclusivement chinois », insiste Joël Palix qui précise que Feelunique n’est pas présent sur les plates-formes majeures Tmall et JD.com. « Ce qui a provoqué beaucoup de scepticisme lors de notre lancement en Chine. »</p><p style="text-align: justify;"><strong>« Nous nous ouvrons toutefois à d’autres plates-formes, telles que Xiaohongshu (Little Red Book), et nous sommes constamment sur nos gardes pour être sûrs que notre modèle est le bon dans cet environnement chinois en constante évolution.</strong> » Selon Joël Palix, Feelunique a gagné en efficacité dans son fonctionnement global depuis son entrée en Chine, car « le pays ouvre la voie en termes de vente de beauté en ligne. »</p><p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/02/1877789908.jpg" id="media-988547" alt="" /></p>
pjourdan
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[#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Découvrez les #parts de #marché des principaux #sites #e-commerce en #France | @LSA
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2018-04-03:3104351
2018-04-03T11:14:39+02:00
2018-04-03T11:14:39+02:00
DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2GlBrYr Découvrez...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/01/673043711.jpg" id="media-988056" alt="" /></p><p><strong>DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2GlBrYr</strong></p><p style="text-align: center;"><span style="text-decoration: underline; font-size: 12pt;"><strong>Découvrez les #parts de #marché des principaux #sites #e-commerce en #France</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>A l’occasion de son Consumer Day, Kantar Worlpanel a dévoilé les parts de marché des principaux vendeurs sur internet.</strong> Si Amazon est largement leader, un challenger en particulier se distingue.</p><p style="text-align: justify;">« <strong>C’est une première mondiale.</strong> On n’a jamais publié ce type d’information », assure Frédéric Valette, directeur retail insight de Kantar Worldpanel. A l’occasion de son Consumer Day 2018, la société a publié le classement des principaux e-commerçants en France hors sites de grandes surfaces alimentaires (GSA). Sans surprise, Amazon est largement leader sur la vente de biens hors services, c'est-à-dire les biens techniques, la mode, les PGC FLS, la maison, la culture, l'hygiène-beauté, la parapharmacie... Un marché online que Kantar Worlpanel estime à 34,3 molliards d'euros en prenant en compte les dépenses en BtoC (hors voyages et services) sur les sites internet français mais aussi sur les sites implantés à l’étranger et qui livrent en France (les frais de livraison ne sont pas intégrés et les résultats ne sont pas retraités des retours produits).</p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/2249634192.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-988055" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/1434675927.jpg" alt="parts, marché, sites, e-commerce, France" /></a></p><p style="text-align: justify;"><strong>Sur ce périmètre, Amazon a 18,9% de part de marché. </strong>« C’est beaucoup bien sûr mais dans d’autres pays, c’est bien plus d’après les estimations qui peuvent être faites à l’international », commente Frédéric Valette. Il faut dire que, toujours selon Kantar Worldpanel, 25% des 600 millions de commandes réalisées sur internet par les Français en 2017 ont été faites via Amazon. « Nous estimons que les Français ont dépensé 5,6 milliards d’euros chez Amazon en 2017, un chiffre d’affaires en croissance de 22%. C’est beaucoup pour internet mais c’est à relativiser par rapport aux grandes surfaces alimentaires qui réalisent des dizaines de milliards d’euros de ventes en France », rappelle Frédéric Valette.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Le premier challenger d’Amazon sur internet est Cdiscount avec 8,9% de part de marché. </strong>« Lancé depuis longtemps, Cdiscount a une vraie force sur les biens technique, la téléphonie et la maison », ajoute Frédéric Valette. Vente Privée avec 3,9% de part de marché complète le trio de tête.</p>
pjourdan
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Baromètre #Cross-canal | produits de beauté | Internet et Enseignes Spécialisées font reculer les Enseignes de Masse
tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2017-06-07:3092037
2017-06-07T09:39:00+02:00
2017-06-07T09:39:00+02:00
COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL Produits de beauté : la...
<p style="text-align: center;"><strong>COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL</strong></p><p style="text-align: center;"><strong>Produits de beauté : la nécessité d’une expérience physique condamne-t-elle l’e-commerce ?</strong></p><p style="text-align: center;"><img id="media-964296" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/925784644.JPG" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>Poursuivant son étude mensuelle cross-canal, Promise Consulting | Panel On The Web s'est intéressée aux lieux d'achat favoris des Français pour leurs produits de beauté (maquillage, soin, shampoings & produits pour le corps).</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Le Baromètre Cross-Canal</strong> mesure la performance comparée des circuits de distribution traditionnels et de e-commerce par segments de marché. Il fait suite aux enseignements d’un ouvrage de référence publié par Promise Consulting sur les Nouveaux Comportements de Consommation et intitulé « Le Marketing de la Grenouille » (Editions Kawa | <a title="http://bit.ly/2k1N4rf" href="http://bit.ly/2k1N4rf" target="_blank">http://bit.ly/2k1N4rf</a>). Pour plus d’informations : <a title="http://promiseconsulting-blog.com" href="http://promiseconsulting-blog.com" target="_blank">http://promiseconsulting-blog.com</a>.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Si les enseignes commencent à intégrer ces tendances</strong> en adoptant des stratégies dites « omnicanales », la naissance de pure players dédiés exclusivement à la beauté et à l’hygiène s’annonce complexe. Plusieurs facteurs semblent en effet freiner leur développement, même si le secteur du maquillage et du soin ont vu l’émergence d’acteurs nouveaux dont le développement commercial s’appuie essentiellement – sinon exclusivement – sur le digital (ex. Birchbox, Smashbox, etc.). En effet, en raison de la nécessité de l’expérience physique qu’impose ce type de produits, l’achat en ligne paraît souvent risqué pour le consommateur. Pour autant, sous la pression de sites de vente en ligne de produits cosmétiques et d’hygiène comme Feelunique.com, Santemoinschere.com ou Allbeauty.com, les enseignes physiques, qui continuent d’être les lieux d’achat favoris des consommateurs français, ont bien entamé leur révolution digitale. </p><p style="text-align: justify;"><strong>Suite à un premier volet consacré aux vêtements,</strong> la lingerie, les chaussures et les parfums, puis à un deuxième consacré aux produits alimentaires, Promise Consulting a souhaité mesurer le taux de pénétration des canaux pour les pr<strong>oduits de beauté (maquillage, soin, shampoings et produits de bains)</strong>, et enfin la satisfaction et l’intention de recommandation à l’issue du dernier achat effectué en fonction des lieux d’achat.</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>QUELQUES CONCLUSIONS FORTES</strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-964297" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/01/2632528254.jpg" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" /></p><p style="text-align: justify;"><strong>la pénétration de l’e-commerce est encore loin derrière celle des magasins physiques</strong> et les Français dans leur grande majorité ont encore le réflexe de se rendre en hypermarchés ou dans des enseignes spécialisées en proportions importantes (au minimum 81% des achats sont effectués en magasins).</p><p style="text-align: justify;">Pour autant, les enseignes traditionnelles auraient tort de se reposer sur leurs lauriers car l’étude met en exergue deux points inédits :</p><p style="text-align: justify;"><strong>1- Le commerce digital surclasse les hypermarchés et les supermarchés en termes de satisfaction dans les trois univers mais les enseignes spécialisées font jeu égal avec le digital en maquillage et en soin pour la peau.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>2- L'e-commerce s'impose face aux points de vente physiques en matière de recommandation, à l'exception du maquillage toutefois grâce à la forte attractivité des enseignes spécialisées. </strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>ETUDE COMPLÈTE SUR DEMANDE AUPRES DE</strong> <a title="PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" href="mailto:PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" target="_blank">PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM</a></p><p style="text-align: justify;"><strong>EN SAVOIR PLUS SUR L’OUVRAGE « LE MARKETING DE LA GRENOUILLE »</strong> : <a title="http://bit.ly/1J9f7vi" href="http://bit.ly/1J9f7vi" target="_blank">[Marketing de la Grenouille]</a></p><p><strong>TELECHARGER LES INFOGRAPHIES</strong> : <a title="http://bit.ly/2quYFXA" href="http://bit.ly/2quYFXA" target="_blank">[Infographies]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/01/1130751112.jpg" id="media-964091" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #000080;"><strong>AVIS D'EXPERT</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Philippe JOURDAN, Associé fondateur Promise Consulting, Professeur des Universités, membre de l’American Marketing Association (AMA)</strong> : </p><p style="text-align: justify;"><img id="media-964272" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/02/3610577072.png" alt="cosmetique,shampoing,produits pour le corps,beaute,cross-canal,multicanal,magasin,enseigne,e-commerce,digital" />« Cette étude barométrique consacré à l’univers des produits de beauté illustre l’apport d’une stratégie cross-canal ou multicanal dans la consolidation d’un modèle économique basé sur la densité d’un réseau de points de vente diversifiés et experts. Nous avons souvent été questionnés en tant que conseil sur notre appréciation du risque d’ubérisation du secteur de la beauté. La performance comparée des magasins physiques et des plateformes de e-commerce en termes de pénétration, de satisfaction et de recommandation, montrent que la complémentarité des deux circuits (sinon leur interpénétration) est aujourd’hui davantage plébiscitée par les consommateurs que leur concurrence frontale.</p><p style="text-align: justify;">Le risque de disruption est sans doute plus prononcé dans l’univers du maquillage (alors qu’il est moindre dans l’univers du soin) mais <span style="color: #000000; background-color: #ffffff;">d’une </span>façon générale, l’univers de la beauté ne réunit pas les conditions d’une « ubérisation » à court terme : le secteur comporte un grand nombre d’acteurs tant en fabrication qu’en distribution, il est fortement innovant et comporte peu de rentes de situation, les circuits de distribution sont souvent divers et longs, la technologie, si elle est un facilitateur de services, n’est pas au cœur de la valeur ajoutée des offres dans aucun des segments (maquillage, soin, shampoings & produits pour le corps), les coûts d’accès au marché demeurent élevés, mais surtout les produits achetés sont avant tout expérientiels : le consommateur est demandeur d’essais, d’échantillons, de conseils, et partant la distribution physique conserve des atouts dont elle sait pleinement jouer ».</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>METHODOLOGIE</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Cette étude a été menée par Promise Consulting auprès de 1 003 personnes (522 femmes et 481 hommes)</strong> représentatifs de la population française et âgées de 18 ans et plus. La période de collecte des informations s’étend du 20 au 26 mars 2017 et s’est effectuée via l’Access Panel de Promise Consulting sur Internet. La méthode des quotas a permis de s’assurer de la représentativité de l’échantillon sur les critères de genre, d’âge, de régions d’habitation, de taille de commune, de composition du foyer et de revenus du foyer;</p><p style="text-align: justify;">Les résultats présentés dans le cadre du présent communiqué de presse portent sur la<strong> population féminine uniquement pour les catégories maquillage et soin et sur une population mixte hommes et femmes pour la catégorie shampoings & produits pour le corps.</strong></p><p style="text-align: justify;">Les résultats sont ici publiés pour les catégories de produits d’hygiène, de maquillage et des soins pour la peau. D’autres catégories de produits on fait ou feront l’objet de publications ultérieures dans les semaines à venir (si vous souhaitez en savoir plus ou être tenu informé : <a title="lcorpechot@agence79.com" href="mailto:lcorpechot@agence79.com">lcorpechot@agence79.com</a>).</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>LES MAGASINS PHYSIQUES DEMEURENT INDÉTRÔNABLES EN TERMES DE LIEUX D’ACHAT</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000080;"><strong><span style="color: #000000;">L’ACHAT EN MAGASIN DOMINE ENCORE LARGEMENT DANS L’UNIVERS DE LA BEAUTE</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000080;"><strong><span style="color: #000000;">Un constat qui n’est pas réellement une surprise : </span></strong><span style="color: #000000;">l</span><span style="color: #000000;">es circuits traditionnels que sont les enseignes spécialisées et les hyper et supermarchés, quel que soit le produit en question, restent à ce jour les lieux d’achat de produits de beauté les plus fréquentés par les consommateurs et ce, dans une très large mesure. En effet, qu’il s’agisse de maquillage <strong>(81%)</strong>, des soins pour la peau <strong>(82%)</strong> ou des produits d’hygiène <strong>(92%),</strong> les magasins physiques devancent sans conteste l’e-commerce en termes de lieux d’achat favoris des consommateurs français. </span> </span></p><p style="text-align: center;">[Télécharger]</p><p style="text-align: justify;"><strong>L'EXPERIENCE PHYSIQUE A L'ACHAT : UNE NECESSITE</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">A l’instar des produits alimentaires, l’expérience en magasins est très majoritairement privilégiée pour des achats de produits cosmétiques ou d’hygiène</span></strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">. Pour ce type de produits, le consommateur a besoin d’une expérience physique : toucher, sentir, voir le produit, le tester sur soi sont des éléments essentiels pour orienter son achat, notamment en raison des risques d’allergie ou des précautions à prendre en fonction du type de peau. Le besoin de conseil à l’achat et la possibilité de tester le produit grâce à des échantillons sont autant de facteurs qui déterminent un achat de produit cosmétique en magasin plutôt que sur Internet. Même si la part des achats sur le Web augmente chaque année, les consommateurs gardent donc leurs habitudes en termes de lieux d’achat pour leurs produits de beauté.</span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">UNE LENTE EVOLUTION DE L’E-COMMERCE DANS L'UNIVERS DE LA BEAUTE</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;"><strong>L’e-commerce cependant s’installe peu à peu dans le paysage de la beauté</strong> : 18% des femmes de 18 à 60 ans ont effectué leur dernier achat de maquillage en ligne contre 19% pour les produits de soin et 9% pour les shampoings et les produits pour le corps (hommes + femmes). Logiquement le maquillage est le produit le plus souvent acheté en ligne : moins risqué, davantage acheté par les plus jeunes, de plus faibles valeur unitaire, les produits de maquillage s’adaptent mieux au commerce à distance.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;"><strong>Résultat notable</strong> : si le taux de pénétration des achats en ligne est comparable entre tranches d’âge en maquillage, cela n’est pas le cas dans les univers des produits de soin et plus encore les shampoings et produits pour le corps : les 45+ achètent en réalité plus souvent en ligne ces deux dernières catégories de produits, dont ils sont – il est vrai – plus gros consommateurs pour eux-mêmes ou leur foyer. Plusieurs raisons l’expliquent : en matière de produits de soin, les plus jeunes – 18-44 ans – sont contraints budgétairement et se rendent prioritairement en hypermarchés et supermarchés alors que les sites de soin pour le visage en ligne sont souvent orientés vers des offres premium ; en matière de shampoing et de produits pour le corps, la domination du mass s’impose à toutes les tranches d’âge. C<strong>’est au final dans l’univers des shampoings & des produits pour le corps que la pénétration des achats sur Internet est la plus basse<span style="text-decoration: underline;">.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10.0pt; color: black;">[Télécharger]</span></p><p><strong>LES POINTS DE VENTE PHYSIQUE PEUVENT COMPTER SUR LA DENSITE DE LEUR RESEAUX DE POINTS DE VENTE</strong></p><p style="text-align: justify;">Avec la multiplication des supermarchés et des hypermarchés à proximité des villes, les consommateurs bénéficient d’une multiplicité de lieux pour effectuer leurs achats de produits de beauté. L<strong>es points de vente physiques au-delà des grandes surfaces ont également reconquis les centres villes, proposant une offre de proximité qui séduit les citadins</strong>. Le consommateur a donc la possibilité de s’offrir simplement et rapidement le produit qu’il recherche, tout en disposant d’une interaction directe avec le personnel du point de vente et la possibilité de tester le produit avant de s’engager à l’acheter, dans les rayons spécialisés ou mieux encore dans les points de vente dédiés à la beauté des grandes enseignes alimentaires (ex. Monop’Beauty).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Au-delà des enseignes de la grande distribution, la distribution spécialisée complète utilement la couverture</strong>. Les chaines de beauté (ex ; Séphora, Nocibé, Marionnaud), les enseignes en nom propre (Yves Rocher, Body Shop, Kiko en maquillage), les rayons beauté des grands magasins et les parapharmacies forment un réseau particulièrement dense et étendu de points de vente de produits de beauté sur notre territoire.</p><p style="text-align: justify;">Notons que la province devance systématiquement Paris lorsqu’il s’agit de faire ses achats sur le Web et plus particulièrement pour le maquillage et le soin. Cela peut notamment s’expliquer par l’éloignement de certains Français avec les enseignes physiques précités. <strong>Le Web peut également tirer son épingle du jeu sur les produits haut de gamme ou les produits à tarifs réduits, faisant par exemple l’objet d’un déstockage</strong>. En effet, si le délai de livraison est souvent un frein à l’achat, notamment pour des raisons de besoin immédiat qui concernent surtout les produits d’hygiène, l’e-commerce dispose d’une carte à jouer sur son offre premium, ou bien sur des modèles économiques plus originaux, tels que l’abonnement ou l’assortiment de produits pré-choisis.</p><p style="text-align: center;">[Télécharger]</p><p style="text-align: justify;"><strong>LE WEB COMME OUTIL CROSS-CANAL : UN AUTRE MOYEN DE FIDELISATION POUR LES ENSEIGNES COSMETIQUES</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">En effet, nombreuses sont les enseignes disposant d’une offre quasi identique sur internet à celle que l’on peut trouver en magasins. Sephora, Nocibé, Yves Rocher, ou même L’Oréal et Vichy, tous disposent de leur offre e-commerce, <strong>ce qui leur permet de multiplier les points d’accès aux produits pour que le consommateur puisse combiner les avantages d’un magasin traditionnel avec la liberté d’Internet.</strong> Cette multiplication des points d’accès permet de fidéliser un peu plus la clientèle des magasins, cette dernière connaissant déjà leur expertise et la variété de leur offre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>De ce fait, il ne s’agit pas forcément dans cette étude d’une opposition marquée entre enseignes physiques et enseignes digitales</strong>. Pour l’e-commerce, il s’agit souvent de plateformes Internet créées et gérées par des enseignes qui ont décidé d’intégrer une stratégie omnicanale. Le choix demeure entre se déplacer pour ses produits nécessaires et inconnus, ou se faire livrer des produits que l’on connait ou des produits haut de gamme.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>De même l’hypothèse qui consiste à cantonner l’achat en magasin à la découverte de nouveaux produits et l’achat sur Internet à une fonction de rachat (ou de réapprovisionnement) n’est pas vérifiée</strong>. Le succès des offres de Smashbox et Birchbox en particulier montre que l’essai de nouveaux produits n’est pas l’apanage des seuls points de vente physiques. Les magasins physiques eux-mêmes ont développé des espaces privilégiés pour le réapprovisionnement – à l’instar de certaines recharges de parfum – une manière originale de concilier la fidélisation du client au point de vente et un engagement en faveur du développement durable.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ffffff; background-color: #000080;"><strong>INTERNET : UNE AVANCE EN TERMES DE SATISFACTION VIS-A-VIS DES HYPERMARCHES UNIQUEMENT </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet devance en termes de satisfaction avant tout les hypermarchés et les supermarchés </strong>qui sont donc les grands perdants de la confrontation. Ceci est essentiellement vérifié pour les shampoings & produits pour le corps (+11 points) et pour les produits de soin pour la peau (+8 points) et demeure contenu pour le maquillage (+3 points). Faut-il y voir une explication de l’érosion relative de la position autrefois dominante des circuits de masse dans la distribution en particulier des shampoings & produits pour le corps ? Nous le pensons.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet et les circuits plus spécialisés font en revanche jeu égal sur les catégories phares de la cosmétique que sont le maquillage (41% vs 42%) et le soin (47% pour tous les deux)</strong>. Il est vrai que les achats sur Internet dans ces deux catégories sont souvent le prolongement de l’achat en magasins spécialisés (les sites marchands sont détenus par les enseignes physiques, Séphora, Nocibé, Marionnaud ou Yves Rocher par exemple). En outre, le web-to-store ou le store-to-web, parfaitement maîtrisés par bon nombre d’acteurs contribuent à situer l’achat en ligne et en magasin le long d’un seul et même continuum.</p><p style="text-align: justify;"><strong>A souligner que les écarts de satisfaction entre Internet et les magasins physiques au profit des enseignes spécialisées sont systématiquement plus élevés auprès des 18-44 ans</strong>, clientèle particulièrement « choyée» par ces formats de distribution s’agissant de leurs achats en maquillage et en soin (offres, prix, services, événements, fidélisation, ambiance en magasin, etc.).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Rappelons que la satisfaction client demeure très complexe</strong>, notamment dans son rapport avec la fidélisation. Un client peut en effet être satisfait et infidèle, ou au contraire fidèle bien qu’insatisfait à titre occasionnel. La satisfaction est également à mettre en relation avec deux autres variables psychosociologiques : d’un côté les attentes, dont on peut supposer qu’elles sont différentes en nature et en intensité selon que l’on achète en ligne ou en magasin ; de l’autre, l’engagement généré qui demeure élevé s’agissant de l’achat des produits visés dans cette étude. Le grand nombre de marques, la diversité des enseignes, le recours à une innovation constante et des lancements nombreux de nouveaux produits sont autant d’incitations à être peu fidèle, même si l’on est par ailleurs satisfait.</p><p><strong>SATISFACTION : LES ENSEIGNES SPECIALISEES FONT JEU EGAL AVEC INTERNET EN MAQUILLAGE ET SOIN</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>S’agissant de la satisfaction éprouvée lors du dernier achat, les enseignes spécialisées génèrent une satisfaction au niveau de celle d’Internet en maquillage (42% vs 41%) et en soin (47% pour les deux).</strong> La commodité, le choix et le prix forment les atouts du média digital. Les enseignes spécialisées ont su en revanche capitaliser sur la proximité, le service, l’offre, le conseil et l’ambiance dans le point de vente. Elles ont également intégré avec intelligence l’outil digital en amont et en aval de la visite en magasin, mais également sur le lieu de ventes où les applications connectées se multiplient.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Cette conclusion ne s’applique pas à l’univers des shampoings & produits pour le corps.</strong> Internet recueille la satisfaction la plus élevée, bien que son taux de pénétration lors du dernier achat demeure encore faible (9%) et au niveau de celles des enseignes spécialisées sur un marché dominé par les hypermarchés & supermarchés.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Une conclusion s’impose</strong> : <strong>les hypermarchés et les supermarchés sont les grands perdants de la triangulaire entre Internet, circuits de masse et circuits spécialisés</strong>. Ils recueillent une satisfaction en retrait sur les trois univers, et le plus souvent sur les deux tranches d’âge.</p><p style="text-align: justify;"><strong>SERVICE IRREPROCHABLE ET QUALITE AU RENDEZ-VOUS POUR L’E-COMMERCE</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>Internet est plus souvent choisi pour un achat de commodité et de facilité </strong>lorsque l’on connait déjà le produit que l’on souhaite acheter. Le taux élevé de satisfaction après des achats en ligne peut s’expliquer par deux raisons : une habitude d’achat en ligne que motive une bonne connaissance du produit et de sa qualité ou l’achat d’un nouveau produit dont la qualité, la rapidité de livraison et le service avant et après-vente répondent aux exigences du consommateur.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Mais les achats sur Internet disposent également d’autres atouts</strong> : en matière de produits de soin, les pure players en ligne parient également sur de nouveaux modèles économiques, l’abonnement à un prix fixe pour une offre découverte tous les mois se substitue à l’essai et à l’achat en magasins dans le cas des Box. Certaines marques pointues (Cinq Mondes, Payot, etc.) – davantage en soin qu’en maquillage il est vrai – ont fait le pari d’une commercialisation uniquement sur le Web ou bien encore d’un essai dans le cadre d’un SPA et d’un salon de beauté et d’un rachat en ligne uniquement pour poursuivre la routine de soin à la maison.</p><p style="text-align: justify;">On peut également noter que pour les 3 catégories de produits, <strong>les acheteurs s’étant rendus sur internet les plus satisfaits sont les personnes âgées de plus de 44 ans</strong>. Pour autant, comme le met en lumière cette étude, il s’agit de la catégorie de personnes dont les achats se font encore très majoritairement en magasins. Cela démontre non seulement l’évolution des mentalités par rapport aux achats en ligne, mais aussi que la qualité des services et des produits proposés en ligne répondent aux attentes élevées d’une catégorie de personnes dont les habitudes d’achat demeurent pourtant bien ancrées, mais pour combien de temps</p><p style="text-align: justify;"><span style="background-color: #000080; color: #ffffff;"><strong>TAUX DE RECOMMANDATION : A L’EXCEPTION DU MAQUILLAGE, INTERNET IMPOSE SON TEMPO</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>INTERNET
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07-04-2017 | Produits alimentaires : l'e-commerce en tête de gondole | #Baromètre cross-canal #PromiseConsulting | @adet
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2017-05-09T16:03:39+02:00
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POUR TELECHARGER LE COMMUNIQUE DE PRESSE : 20170303 Alimentation...
<p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/2443091357.jpg" id="media-963944" alt="" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-963943" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/01/2184680321.jpg" alt="alimentaire, barometre, cross-canal, e-commerce" /></p><p>POUR TELECHARGER LE COMMUNIQUE DE PRESSE : <a id="media-963932" href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/02/01/1653017367.docx">20170303 Alimentation COMMUNIQUE DE PRESSE PROMISE CONSULTING INC V2.0.docx</a></p><p>POUR TELECHARGER CET ARTICLE : <a id="media-963931" href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/02/4070513466.jpg">20170509 1519.jpg</a></p><p>POUR EN SAVOIR PLUS : <a title="philippe.jourdan@promiseconsultinginc.com " href="mailto:philippe.jourdan@promiseconsultinginc.com" target="_blank">philippe.jourdan@promiseconsultinginc.com </a></p><p> </p>
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Baromètre #Cross-canal | Commerce physique vs commerce #digital : qui donne le plus satisfaction ? | @adetem @LSAconsom
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2017-03-27T10:45:00+02:00
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COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL Produits alimentaires :...
<p style="text-align: center;"><span style="background-color: #ffffff; color: #333399;"><strong>COMMERCE PHYSIQUE VS. COMMERCE DIGITAL </strong></span><br /><span style="background-color: #ffffff; color: #333399;"><strong>Produits alimentaires : l’e-commerce en tête de la satisfaction et des intentions de recommandations</strong></span></p><p style="text-align: center;"><strong>LE BAROMETRE CROSS-CANAL[1] | THE CROSS-CHANNEL BAROMETER | PROMISE CONSULTING</strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #333399;"><strong>POUR POURSUIVRE SON ETUDE CROSS-CANAL, PROMISE CONSULTING INC., SOCIETE DE CONSEIL ET D'ETUDES EN MARKETING S’EST INTERESSEE AUX LIEUX D’ACHATS FAVORIS DES FRANÇAIS POUR LEURS PRODUITS ALIMENTAIRES.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Si les entreprises de retail commencent à intégrer ces tendances en adoptant des stratégies dites « omnicanales », le passage au e-commerce s’avère un défi encore plus complexe pour les enseignes de distribution alimentaire</span>. En effet, à cause des dates de péremptions et de la nécessité de préserver la chaîne du froid, les contraintes logistiques qui pèsent sur la distribution des produits alimentaires pèsent lourdement sur l’e-commerce alimentaire. Pour autant, sous la pression des initiatives prises en particulier par Amazon Fresh, les enseignes alimentaires ont choisi la distribution hybride du Drive comme la réponse la plus adaptée. </p><p style="text-align: justify;">Suite à un premier volet consacré aux vêtements, la lingerie, les chaussures et les parfums, Promise Consulting a souhaité mesurer le<span style="text-decoration: underline;"> taux de pénétration des canaux pour les produits alimentaires, le degré de satisfaction et les intentions de recommandation à l’issue du dernier achat effectué en fonction des lieux d’achat</span>. </p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Quelques conclusions fortes</span> : la pénétration de l’e-commerce est encore loin derrière celle des magasins physiques et les Français dans leur grande majorité ont encore le réflexe de se rendre en hypermarchés dans des proportions importantes (5% du dernier s’est fait sur Internet vs 95% en magasins physiques). Pour autant, les enseignes traditionnelles auraient tort de se reposer sur leurs lauriers car l’étude met en exergue deux points inédits :</p><p><strong>[1]- </strong>Le commerce digital prend l’ascendant sur le commerce physique en matière de satisfaction pour les pour les produits alimentaires.</p><p><strong>[2]- </strong> Le e-commerce s’impose face aux points de vente physiques en matière de recommandation surfant sur les facilités offertes par les canaux digitaux en matière de bouche-à-oreille et de buzz.</p><p> </p><p><span style="color: #333399;"><strong>AVIS D’EXPERT </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/3846885849.jpg" target="_blank"><img id="media-959544" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/556619311.jpg" alt="philippe jourdan, promiseconsulting" /></a>Philippe JOURDAN, Associé fondateur Promise Consulting, Professeur des Universités, membre de l’American Marketing Association (AMA) : </p><p style="text-align: justify;"><em>« <span style="text-decoration: underline;">Le modèle économique de l’hypermarché a toujours entre autre reposé sur l’implication du consommateur dans la réalisation d’une partie de la prestation</span> : dans les années 60 et 70, nombreux étaient les foyers à consacrer leur Samedi après-midi au cérémonial des courses en hypermarchés. </em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="text-decoration: underline;">Aujourd’hui ce rendez-vous obligé peut être vécu par certains comme une corvée </span>: il n’a pas disparu pour autant, en particulier en Province. 95% des Français ont effectué leur dernier achat alimentaire dans un magasin physique vs 5% sur Internet. Pour autant, les grandes enseignes ont bien perçu la menace que représente le e-commerce. Les contraintes propres à la distribution de produits frais et périssables ont amené les grandes enseignes à se tourner vers le Drive, une formule hybride de type « Click & Collect », selon deux modes, un mode intégré (le client vient chercher sa commande en magasin) ou déporté (le client vient chercher sa commande dans un lieu de stockage différent du magasin) : l’an dernier selon Kantar World Panel, ce sont près de 6 millions de ménages qui se sont laissés tentés par le Drive, soit une part de marché de près de 4,2% des produits alimentaires, proche de la pénétration de 5% que nous mesurons en 2017. </em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="text-decoration: underline; color: #000000; background-color: #ffffff;">Le profil des acheteurs adeptes du Drive diffère également sensiblement de celui des acheteurs en magasins</span> : plus jeunes (8 sur 10 ont moins de 49 ans contre 1 sur 2 en magasin) et surreprésentés au sein des professions intermédiaires (18,7% vs 12,5%). Au final, notre enquête révèle que si la pénétration du e-commerce demeure encore modeste en France s’agissant des achats alimentaires, le modèle hybride donne satisfaction avec 45% qui se disent très satisfaits (vs 37% pour les achats effectués en magasin) et un taux de recommandation de 40%. Certes les scores tant en ligne qu’en magasin demeurent plus faibles que ceux que l’on peut observer pour d’autres catégories d’achat plus impliquantes mais n’en demeurent pas moins plus élevés que ceux relevés à l’issue d’un achat en magasin physique, démontrant une dynamique qui profite aujourd’hui au modèle hybride de l’achat alimentaire en ligne. »</em></p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/2819059356.png" target="_blank"><img id="media-959546" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/3948200390.png" alt="promise consulting, alimentaire, barometre, canal, digital, enseigne, hyoermarches" width="672" height="376" /></a></p><p style="text-align: center;">Télécharger l’infographie : <a title="http://bit.ly/2nKLSP6" href="http://bit.ly/2nKLSP6" target="_blank">http://bit.ly/2nKLSP6</a></p><p style="text-align: center;"><strong>ETUDE COMPLÈTE SUR DEMANDE AUPRES DE <a title="PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" href="mailto:PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM" target="_blank">PHILIPPE.JOURDAN@PROMISECONSULTINGINC.COM</a></strong></p><p style="text-align: center;"><strong>EN SAVOIR PLUS SUR L’OUVRAGE « LE MARKETING DE LA GRENOUILLE » : <a title="http://bit.ly/1J9f7vi" href="http://bit.ly/1J9f7vi" target="_blank">http://bit.ly/1J9f7vi</a></strong></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: 8pt;"><em>[1] Le Baromètre Cross-Canal mesure la performance comparée des circuits de distribution traditionnels et de e-commerce par segments de marché. Il fait suite aux enseignements d’un ouvrage de référence publié par Promise Consulting sur les Nouveaux Comportements de Consommation et intitulé « Le Marketing de la Grenouille » (Editions Kawa | http://bit.ly/2k1N4rf). Pour plus d’informations : http://promiseconsulting-consoblog.com. </em></span></p><p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/02/3304955058.png" id="media-959533" alt="" /></p><p><span style="color: #333399;"><strong>MÉTHODOLOGIE</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Cette étude a été menée par Promise Consulting auprès de 1003 personnes</span> (522 femmes et 481 hommes) représentatives de la population française et âgées de 18 ans et plus. La période de collecte des informations s’étend du 14 au 21 février 2017 et s’est effectuée via l’Access Panel de Promise Consulting sur Internet. La méthode des quotas a permis de s’assurer de la représentativité de l’échantillon sur les critères de genre, d’âge, de régions d’habitation, de taille de commune, de composition du foyer et de revenus du foyer.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Les résultats sont ici publiés pour la seule catégorie des produits alimentaires</span>. D’autres catégories de produits on fait ou feront l’objet de publications ultérieures dans les semaines à venir (si vous souhaitez en savoir plus ou être tenu informé : <a title="lcorpechot@agence79.com" href="mailto:lcorpechot@agence79.com" target="_blank">lcorpechot@agence79.com</a>).</p><p><span style="color: #333399;"><strong>LES MAGASINS PHYSIQUES DEMEURENT INDÉTRÔNABLES EN TERMES DE LIEUX D’ACHAT</strong></span></p><p style="text-align: left;"><strong><span style="color: #000000;">L’EXPÉRIENCE PHYSIQUE À L’ACHAT : UNE NÉCESSITÉ</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">L’expérience en magasins est toujours très majoritairement privilégiée pour des achats alimentaires.</span> Pour ce type de produits, le consommateur a besoin d’une expérience physique : toucher, sentir, voir le produit sont des éléments essentiels pour orienter son achat, notamment pour les produits frais. La vigilance sur les dates de péremption, la nécessité de préserver la chaîne du froid, l’orientation vers des produits frais achetés chaque semaine, forment autant de leviers d’une fréquentation a minima hebdomadaire qui demeure la règle, guidant ainsi le choix parfois forcé de nombreux consommateurs. De facto, plus de 9 Français sur 10 ont effectué leurs derniers achats alimentaires conséquents en hypermarchés ou supermarchés.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Certes, les comportements ont changé</span> : la liste de courses est suivie avec plus de rigueur, et les achats spontanés sinon impulsifs en déambulant dans les rayons où le consommateur se laisse tenter plus facilement sont moins nombreux.</p><p style="text-align: justify;"><strong>POUR INTERNET, SORTIR DE L’IMPASSE D’UNE CONSOMMATION CENTREE SUR LE NON-PERISSABLE OU LES SEULS PRODUITS VOLUMINEUX</strong></p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/01/2834824441.jpg" target="_blank"><img id="media-959555" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/01/3511461284.jpg" alt="hypermarche, drive, alimentaire, marketing, digital, e-commerce, france, region, territoire, ville" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Même si la part des achats sur le Web augmente chaque année, les consommateurs gardent donc leurs habitudes en termes de lieux d’achat pour l’alimentaire</span>.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Les points de vente physiques au-delà des grandes surfaces ont également reconquis les centres villes</span>, proposant une offre de proximité qui séduit les citadins. Faire ses courses en rentrant du travail le soir pour un petit appoint, ou le weekend pour remplir son réfrigérateur pour le restant de la semaine est une habitude bien ancrée chez les consommateurs français habitant les grandes zones urbaines.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Cependant, le Web tire son épingle du jeu sur les produits non-périssables, comme l’alcool, les conserves et les produits ménagers</span>. En parallèle, certains produits locaux uniquement distribués via le canal digital séduisent les consommateurs. Le développement du modèle hybride du Drive permet d’estomper les frontières entre l’offre disponible en magasin et celle référencée en ligne. Pour le e-commerce alimentaire, l’objectif reste bien de sortir de l’impasse des seuls produits non-périssables – pour contrer en particulier les initiatives des pure players tels Fresh Amazon – ou des produits de commodités, souvent volumineux et à plus faibles marges.</p><p style="text-align: justify;"><strong>LE WEB COMME OUTIL CROSS-CANAL : L’ALIMENTAIRE IMPOSE SON SYSTEME HYBRIDE DU DRIVE</strong></p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/896228417.png" target="_blank"><img id="media-959556" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/1853681597.png" alt="hypermarche, drive, alimentaire, marketing, digital, e-commerce, france, region, territoire, ville" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Les Drives, concept français qui permet aux consommateurs de faire leurs courses en ligne puis d’aller les retirer en point de vente, sont un exemple d’intégration « cross-canal » réussie</span> pour les circuits de distribution alimentaire, plus particulièrement dans les zones à plus faible densité de population[1]. Les drives font figure de facteur clef dans l’optimisation du maillage territorial, un enjeu bien intégré par les hyper et supermarchés, mais permettent surtout à ces derniers de multiplier les points d’accès aux produits pour que le consommateur puisse combiner les avantages d’un magasin traditionnel avec la liberté d’internet.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">De ce fait, il ne s’agit pas réellement dans cette étude d’une opposition marquée entre enseignes physiques et enseignes digitales</span>. Pour l’e-commerce, il s’agit dans la grande majorité des cas de plateformes Internet créées et gérées par des magasins physiques (Auchan, Leclerc, Magasins U etc.) qui ont décidé d’intégrer une stratégie omnicanale. Le choix demeure entre se déplacer… et se déplacer…. la livraison à domicile dans le cas de l’alimentaire restant le recours des commerces de proximité des centres villes. Les pure players concentrés exclusivement sur les produits alimentaires sont pour l’instant rares, notamment pour des questions d’ordre logistique ; le fameux « défi du dernier kilomètre ».</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #333399;"><strong>INTERNET : CHAMPION DE LA SATISFACTION CLIENT DANS UN CONTEXTE D’IMPLICATION MODEREE</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Paradoxalement, bien que les magasins restent des lieux d’achat privilégiés, Internet remporte la palme de la satisfaction à l’achat</span>. Rappelons que la satisfaction client demeure très complexe, notamment dans son rapport avec la fidélisation. Un client peut en effet être satisfait et infidèle, ou au contraire fidèle bien qu’insatisfait. La satisfaction est également à mettre en relation avec deux autres variables psychosociologiques : d’un côté les attentes, dont on peut supposer qu’elles sont différentes en nature et en intensité selon que l’on achète en ligne ou en magasin ; de l’autre, l’engagement généré qui demeure moyenne s’agissant de l’achat de produits alimentaires.</p><p style="text-align: justify;"><strong>SATISFACTION : INTERNET S’IMPOSE DANS L’ALIMENTAIRE</strong></p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/1769546553.jpg" target="_blank"><img id="media-959557" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/3962342420.jpg" alt="hypermarche, drive, alimentaire, marketing, digital, e-commerce, france, region, territoire, ville" /></a></p><p style="text-align: justify;">Alors que le dernier achat est en grande majorité effectué en magasin physique, <span style="text-decoration: underline;">Internet est le canal qui recueille le taux de satisfaction le plus élevé s’agissant du dernier achat de produits alimentaires</span> effectué en ligne avec 45% d’acheteurs en ligne très satisfaits, soit 8 points de plus que les hyper et supermarchés (37%). Lors d’achats de produits alimentaires sur Internet, il est intéressant de noter que le<span style="text-decoration: underline;"> taux de satisfaction en Province est beaucoup élevé (52%) comparé à Paris (16%), une différence qui peut traduire soit une plus forte maturité des parisiens devenus en quelque sorte « coutumiers » de l’achat en ligne, soit une commodité du online d’autant plus fortement valorisée en Province que la distance à parcourir pour faire ses courses en magasins peut être importante</span>. </p><p><strong>FACILITE, ACCESSIBILITE ET GAIN DE TEMPS</strong></p><p><span style="text-decoration: underline;">Internet est plus souvent choisi pour un achat de commodité et de facilité</span>, comme l’exemple des drives évoqués plus haut le démontre. Ce succès notable peut s’expliquer par la compression du temps d’achat, la facilité et la simplicité avec lesquelles ce système permet de faire ses courses.</p><p>Commander les produits de chez soi sur internet en disposant d’une liste exhaustive, attendre l’heure estimée de fin de préparation de la commande, et aller chercher ses courses en voiture : un modèle accessible qui permet un énorme gain de temps et facilite les achats des consommateurs qui ne disposent pas de commerces de proximité. <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #000000; text-decoration: underline;">Le temps d’attente en caisse ne constitue-t-il pas le premier frein à la satisfaction en points de vente physique ?</span></span></p><p><span style="color: #333399;"><strong>TAUX DE RECOMMANDATION : INTERNET DISPOSE D’UNE COURTE AVANCE SUR LES HYPER ET SUPERMARCHÉS</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;"><strong>UNE LÉGÈRE AVANCE POUR L’E-COMMERCE</strong></span></p><p style="text-align: justify;">La satisfaction éprouvée à l’occasion du dernier achat sur Internet est un réel défi pour les magasins physiques, en raison du lien existant entre satisfaction et intention de recommandation : <span style="text-decoration: underline;">l’étude révèle que les taux d’intention de recommandation positive sont les plus élevés sur Internet pour les produits alimentaires dans un contexte d’engagement modéré s’agissant de l’achat de produits alimentaires, d’une façon générale</span>. </p><p style="text-align: justify;">Le Web affiche une très courte longueur d’avance : il arrive en tête des intentions de recommandations avec 40%, de peu devant les hyper et supermarchés à 36% d’intentions de recommandations. L<span style="text-decoration: underline;">à encore, le taux d’intention de recommandation est bien plus élevé en Province (46%) qu’à Paris (16%).</span> Ces derniers résultats sont logiques en ce qu’ils suivent les tendances géographiques observées pour les taux de satisfaction.</p><p style="text-align: justify;"><strong>PARTAGES, COMMENTAIRES ET BOUCHE A OREILLE</strong></p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/823499512.jpg" target="_blank"><img id="media-959558" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/02/2532106100.jpg" alt="hypermarche, drive, alimentaire, marketing, digital, e-commerce, france, region, territoire, ville" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">En toute logique, si les clients ayant effectué leurs achats sur internet sont les plus satisfaits, il est normal qu’ils soient aussi les plus enclins à recommander leurs achats.</span> Ceci s’explique également par la facilité et la rapidité des partages sur Internet (montée en puissance des réseaux sociaux, espaces dédiés aux recommadations et aux commentaires sur les sites marchands, etc.). Le bouche à oreille demeure l’outil le plus efficace pour propager une image de marque et toucher un large public et le digital ne fait qu’accélérer ce processus.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Pour autant, l’engagement demeure modéré et à la différence des comportement observés pour d’autres catégories de produits (cosmétiques, maquillage, mode, etc.) ou bien encore auprès de certaines tranches d’âge (les Millenials), les facilités de transmission virale offertes par le Web ne sont que modérément utilisées par les acheteurs de produits alimentaires en ligne</span> : acheter ses produits alimentaires en ligne demeure une expérience vécue comme une commodité sans un besoin de partage et d’expression prononcé sur le Web.</p><p style="text-align: justify;"><strong>MAGASINS PHYSIQUES : LE SUCCES DU CROSS-CANAL</strong></p><p style="text-align: center;"><a href="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/861057174.jpg" target="_blank"><img id="media-959561" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/01/00/437286401.jpg" alt="hypermarche, drive, alimentaire, marketing, digital, e-commerce, france, region, territoire, ville" /></a></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Résultat notable : les hyper et su</span><span style="text-decoration: underline;">permarchés restent au contact.</span> En effet, leur offre pléthorique, les possibilités d’achats spontanés et des aménagements nouveaux avec l’attractivité des galeries commerciales ou des zones d’achats groupés (alimentaire, informatique, culture, loisirs, sports et bricolage, etc.) permettent à ce type d’enseignes d’afficher un bon taux d’intentions de recommandation.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Lorsqu’il s’agit de produits alimentaires, le consommateur recherche avant tout une offre variée et qualitative à une distance raisonnable de son domicile pour effectuer ses achats rapidement</span>. Mais lorsque cette offre ne peut être assurée, dans le cas des zones à plus faible densité de population notamment, les hyper et supermarchés ont intégré une stratégie omnicanale permettant de proposer leurs produits en ligne pour un gain de temps significatif pour le consommateur, et ont donc réussi à rester compétitif en matière de recommandation.</p><p><span style="font-size: 8pt;"><em>[1] Selon une étude Bonial (société spécialisée dans la digitalisation des catalogues), la France comptait 4025 Drives en 2016.</em></span></p><p><strong><span style="color: #333399;">A PROPOS DE PROMISE CONSULTING INC.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Promise Consulting est un groupe de conseil et d’études marketing réunissant les sociétés Promise Consulting Inc., JPL Consulting et Panel On The Web</span>. Promise Consulting intègre des prestations de conseil et d’études à forte valeur ajoutée. Elle a créé une méthodologie innovante de mesure de la performance de marque et du ROI des investissements centrés sur la marque : Monitoring Brand Assets©. Cette méthodologie a été déployée dans près de 50 pays à date, porte sur l’étude de 250 marques dans les secteurs les plus divers et totalise plus de 1.000.000 questionnaires administrés en ligne dans le monde.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Etabli à Paris, New-York et Casablanca</span>, le groupe mène des études et des prestations de conseil dans le monde entier. Il est plus particulièrement reconnu pour son expertise en matière de mesure de la valeur de marque (brand value) du point de vue des clients.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline; color: #000000;">Promise Consulting a su développer des méthodes et des modèles innovants, récompensés 7 fois en 10 ans, par la profession au plan national et international.</span> Il accompagne les plus grandes marques de luxe, de cosmétiques et de distribution dans leur développement sur le marché national et les marchés étrangers. Il intervient également dans de nombreux secteurs d'activité, chaque fois que les marques souhaitent disposer d'une stratégie de croissance éclairée pour mieux comprendre leur marché, s'adresser à leurs consommateurs, séduire et fidéliser leurs clients.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;">Le CEO de Promise Consulting, Pr Philippe Jourdan, est rédacteur en chef de la Revue Française de Marketing (RFM), depuis 2011.</span> Il publie dans des revues académiques de niveau international sur les problématiques de valorisation des marques dans les secteurs du luxe, de la beauté et de la distribution sélective. Il publie également dans la presse économique et d’actualités (Le Monde, Les Echos, Le Figaro, l’Opinion, La Revue des Marques, etc.). Il est également professeur des universités, chercheur à l’IRG (CNRS) et lauréat du Meilleur Article de Recherche AFM 2000. Il a enfin une certification Social Media. <a title="http://www.promiseconsultinginc.com/" href="http://www.promiseconsultinginc.com/" target="_blank">http://www.promiseconsultinginc.com/</a></p><p> <br /><span style="color: #333399;"><strong>CONTACTS PRESSE </strong></span></p><p style="text-align: center;"><strong>AGENCE79 | Dimitri HOMMEL-VIKTOROVITCH | Tel : 01 41 10 21 57 | Mobile : 06 98 20 77 12 | <a title="dhommel@agence79.com" href="mailto:dhommel@agence79.com" target="_blank">dhommel@agence79.com</a></strong></p><p style="text-align: center;"><strong>AGENCE79 | Lucien CORPECHOT | Tel : 01 46 20 59 08 | Mobile : 06 60 59 01 16 | <a title="lcorpechot@agence79.com" href="mailto:lcorpechot@agence79.com" target="_blank">lcorpechot@agence79.com</a></strong></p><p> <br /> </p>
pjourdan
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[Figure You Should Know] – 50 years old [#ecommerce #luxury #promiseconsulting @printempsetudes]
tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-04-15:3070679
2016-04-15T17:00:00+02:00
2016-04-15T17:00:00+02:00
Chinese consumers in the age group of 50 (or above) tend to make less...
<p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/00/3251246733.3.PNG" id="media-914778" alt="" /></p><p><strong><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">Chinese consumers in the age group of 50 (or above) tend to make less online purchases than any of the other age groups. We can assume they are not technology-driven users, though it is actually not the case. </span></strong></p><p><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">According to a report by KPMG (2015), Chinese consumers over 50 years old are barely buying products online, even though 45% of them are quite well-off (RMB 50 000 and higher). Furthermore, 73% of them seems to never purchase products online. </span></p><p><strong><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">However, they are more likely to make online purchases of services such as hotel reservations (47%), restaurant bookings (35%) or domestic trips (32%), which shows that they are still quite a good niche.</span></strong></p><p><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">KPMG highlights an issue on that matter: older generations are overlooked by brands in their marketing strategy, although they might be a meaningful niche, especially regarding services.</span></p><p><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"><strong>Source</strong> : <a href="https://www.kpmg.com/CN/en/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Documents/China-Connected-Consumers-201510.pdf">KPMG</a></span></p><p><strong><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;">You would like to know more about Promise Consulting?</span></strong><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif'; color: black;"> </span><a href="http://promiseconsulting-blog.com/"><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Verdana','sans-serif';">Blog Promise Consulting</span></a></p>
pjourdan
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Après avoir longtemps résisté, le #luxe essaye de rattraper son retard dans le #commerce en ligne
tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-04-01:3069763
2016-04-01T10:26:00+02:00
2016-04-01T10:26:00+02:00
ACTUS REUTERS Après avoir longtemps résisté, le secteur du luxe essaye...
<p style="text-align: justify;"><strong>ACTUS REUTERS</strong></p><p class="chapoType4" style="text-align: justify;"><strong>Après avoir longtemps résisté, le secteur du luxe essaye de rattraper son retard dans le commerce en ligne, canal devenu crucial pour capter davantage de croissance et appréhender une clientèle de plus en plus jeune, volatile et connectée.</strong></p><p style="text-align: justify;">Longtemps rétif, le secteur du luxe tente de rattraper son retard dans le commerce en ligne, canal devenu crucial pour capter davantage de croissance et appréhender une clientèle de plus en plus jeune, volatile et connectée. Pris de vitesse par la rapidité avec laquelle évoluent les nouveaux consommateurs du luxe, notamment asiatiques, les groupes comme <a class="lien-contextuel" title="LVMH : Actualités du groupe français d'entreprise spécialisé dans le luxe - Usine Nouvelle" href="http://www.usinenouvelle.com/lvmh/" target="" rel="">LVMH</a>, propriétaire de Louis Vuitton ou Céline, Dior, Kering (Gucci) ou <a class="lien-contextuel" title="Hermès : Actualités et News de l'entreprise - L'Usine Nouvelle" href="http://www.usinenouvelle.com/hermes/" target="" rel="">Hermès</a> n'ont d'autre choix que de s'engager de façon plus volontariste dans le digital, au prix d'importants changements dans leur culture d'entreprise.</p><p style="text-align: justify;"><em>"Nous sommes à un tournant, avec une vraie prise de conscience de la nécessité du digital</em>", estime Mélanie Flouquet, analyste de JP Morgan, pour qui le e-commerce constitue un <em>"gros enjeu à moyen terme</em>" pour le secteur. Pendant que la croissance du marché mondial du luxe a ralenti aux environs de 5% en 2014, celle des ventes en ligne a atteint 30%, après une hausse annuelle moyenne de 28% entre 2011 et 2013, selon le cabinet Bain & Co.</p><p style="text-align: justify;"><strong><span class="interTitre">NÉCESSITÉ DE DÉVELOPPER LE MULTICANAL</span></strong></p><p style="text-align: justify;">Le "multicanal", qui efface les frontières entre e-commerce et magasins en dur, s'avère d'autant plus nécessaire qu'après une phase d'expansion massive, nombre de marques ont stabilisé leur réseau et ne peuvent compter sur des ouvertures de boutiques pour accroître leurs ventes.</p><p style="text-align: justify;">Grâce à une stratégie digitale très poussée lancée il y a cinq ans, Burberry a signé, avec Hermès, une des meilleures croissances organiques du secteur en 2014. <em>"L'omnicanal est un levier de croissance et de présence absolument indispensable. Les groupes de luxe n'ont pas d'autre choix que d'être sur tous les canaux de distribution"</em>, note Marc-André Kamel, associé de Bain & Co, qui observe que chez les jeunes de 15 à 25 ans, "un produit qui n'existe pas sur un smartphone n'existe pas tout court".</p><p style="text-align: justify;"><strong><span class="interTitre">LVMH <em>"EN TRAIN DE S'ADAPTER"</em></span></strong></p><p style="text-align: justify;">Le succès du site ouvert par Cartier (groupe <a class="lien-contextuel" title="L'actualité de la marque d'accessoires de luxe française Richemont" href="http://www.usinenouvelle.com/richemont/" target="" rel="">Richemont</a> <cfr.vx)>aux <a class="lien-contextuel" title="Toute l'information économique et industrielle aux Etats-Unis" href="http://www.usinenouvelle.com/etats-unis/" target="" rel="">Etats-Unis</a>a fait prendre conscience au secteur que des produits pouvaient être vendus en ligne à des prix très élevés sans dégrader leur image. La conversion annoncée de Chanel - la marque qui ne vend que des cosmétiques en ligne a annoncé qu'elle serait prête pour le multicanal à la fin 2016 - et la flambée boursière de Yoox après son rapprochement avec le site Net-a-Porter, (Richemont), témoignent aussi de l'intérêt stratégique de ce canal de distribution.</p><p style="text-align: justify;">Bernard Arnault, PDG de LVMH, a reconnu devant les actionnaires du groupe que <em>"de plus en plus de produits vont se vendre sur Internet</em>" et déclaré que le groupe <em>"était en train de s'adapter à cette évolution"</em>. Acheter un produit en ligne et pouvoir le faire livrer en magasin ou commander dans un magasin un produit indisponible pour le faire livrer à domicile font partie des services devenus incontournables. Et LVMH "entend les proposer à l'avenir pour la plupart de ses marques", aux dires de son directeur financier, Jean-Jacques Guiony.</p><p style="text-align: justify;">Chez Louis Vuitton, les ventes en ligne représentent environ 2% à 3% du chiffre d'affaires, selon les analystes. Mais le malletier reste, selon un gérant d'actifs, "encore loin d'une expérience omnicanal globale", même s'il est plus avancé que d'autres comme <a class="lien-contextuel" title="Découvrez les news de la marque de mode italienne Prada sur L'Usine Nouvelle" href="http://www.usinenouvelle.com/prada/" target="" rel="">Prada</a>, Dior ou Hermès qui ne vendent qu'une poignée de sacs en ligne, sans parler de Céline, autre marque de LVMH, qui ne dispose pas de site marchand. Estimant que <em>"l'omnicanal doit faire partie des services proposés aux clients"</em>, Axel Dumas, gérant d'Hermès, a évoqué à l'occasion des résultats annuels du sellier "<em>des investissements assez lourds en 2015-2016 dans les systèmes informatiques et le site".</em></p><p style="text-align: justify;"><strong><span class="interTitre">MUTATION</span></strong></p><p style="text-align: justify;">Chez Gucci (Kering), aux prises avec une délicate relance, le multicanal<em> "compte parmi les priorités"</em>, a fait savoir le directeur financier du groupe, Jean-Marc Duplaix. La griffe, qui réalise environ 3% à 4% de ses ventes en ligne, selon les estimations, entend lancer cette année une nouvelle plate-forme de e-commerce.</p><p style="text-align: justify;">Le digital est aussi synonyme d'une profonde mutation du "business model" du luxe car vendre en ligne n'est pas simple techniquement et difficile à mettre en place (répartition des produits entre les différents canaux de distribution, gestion des stocks, logistique de livraison), relève Marc-André Kamel.</p><p style="text-align: justify;">Les marques savent qu'elles ne peuvent y échapper mais <em>"n'arrivent pas encore à maîtriser l'infrastructure leur permettant de proposer une boutique en ligne totalement optimisée</em>", résume Uche Pézard, directrice exécutive du cabinet Luxe Corp. Soucieuses de pouvoir assurer un service sans défaut, conforme à l'image qu'elles véhiculent, certaines griffes préfèrent retirer des produits de leur site car elles n'arrivent pas encore à optimiser leurs systèmes et ne veulent pas décevoir les clients.</p><p style="text-align: justify;"><strong><span class="interTitre">DIFFICILE DE MODIFIER LA CULTURE D'ENTREPRISE</span></strong></p><p style="text-align: justify;">Toutes n'en sont pas au même stade de réflexion (environ 35% des marques de luxe ne vendent pas en ligne) et le fossé culturel reste important avec le monde de la technologie. <em>"Le plus difficile, c'est peut être de modifier la culture d'entreprise et les hommes. C'est de leur expliquer que c'est un bien et non un mal pour les magasins</em>", note l'associé de Bain.</p><p style="text-align: justify;">L'Europe continentale est d'ailleurs plus rétive que le Royaume-Uni ou les Etats-Unis. La part du e-commerce dans les produits de luxe y est estimée entre 2% à 3%, contre 7%-8% au Royaume-Uni et 10% aux Etats-Unis. De l'avis général, si les perspectives sont prometteuses en Europe et aux Etats-Unis, elles semblent encore éloignées en <a class="lien-contextuel" title="Info et actu économique et industrielle en Chine" href="http://www.usinenouvelle.com/chine/" target="" rel="">Chine</a> où les marques sont confrontées à l'explosion du marché gris qui représente, selon Bain, 15% des achats de produits de luxe effectués dans le monde par la clientèle chinoise.</p><p style="text-align: justify;">Tant que d'authentiques produits seront vendus sur des sites chinois 30% moins cher que dans les magasins, les marques ne voudront guère ouvrir leurs propres sites dans le pays. Le digital, qui est aussi une source d'amélioration de la rentabilité - il élève le taux de ventes au mètre carré et allège les dépenses publicitaires - pourrait compter pour 40% de la croissance du marché mondial du luxe attendue d'ici à 2020, soit environ 35 milliards sur les 88 milliards d'euros prévus, selon les estimations d'Exane BNP Paribas.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1mBhsuF" target="_blank">[RETROUVER L'ARTICLE DANS L'USINE DIGITALE]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/02/3727959120.jpg" id="media-913009" alt="" /></p>
pjourdan
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Pourquoi le #e-commerce transfrontalier avec la #Chine est prometteur mais difficile ? [#luxe]
tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-21:3069037
2016-03-21T15:00:00+01:00
2016-03-21T15:00:00+01:00
PAR CHUNYAN Li, AUTEUR DE L'OUVRAGE "REUSSIR SUR LE MARCHE CHINOIS",...
<p style="text-align: justify;"><strong>PAR CHUNYAN Li, AUTEUR DE L'OUVRAGE "REUSSIR SUR LE MARCHE CHINOIS", EDITION EYROLLES</strong></p><p style="text-align: justify;">Interview donné à la Tribune.fr, le 27/10/2015.</p><p style="text-align: justify;"><strong>En 2014, le commerce en ligne transfrontalier avec la Chine a connu une hausse de 33% en valeur, et les perspectives s'annoncent bonnes.</strong> Un marché sur lequel les entreprises françaises peuvent gagner des parts à condition d'en connaître les spécificités. Par Chunyan Li, fondatrice de FEIDA Consulting, et auteure du livre « Réussir sur le marché chinois » (éditions Eyrolles).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Une nouvelle opportunité prometteuse...</strong><br />Le e-commerce transfrontalier avec la Chine devient un sujet très « à la mode » cette année, et représente certainement une forte et nouvelle opportunité pour développer un courant d'affaires avec la Chine, notamment pour les ETI et PME françaises.</p><p style="text-align: justify;">En 2014, le e-commerce transfrontalier (B2B & B2C) de la Chine a atteint 690 milliards de dollars (15 % à l'importation et 85 % à l'exportation), soit une croissance de 33 % sur un an, d'après le Centre de recherche sur le e-commerce de Chine. Les consommateurs chinois sont particulièrement intéressés par des produits occidentaux dans les secteurs des soins maternels et infantiles, des soins de santé, de l'habillement, de la cosmétique, etc.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Ce faisant, ils ont notamment montré leur fort intérêt pour la France et les produits français.</strong> Les marques françaises de moyen et de haut de gamme - qui sont encore peu connues en Chine mais qui possèdent une bonne qualité, un aspect différenciant et une « histoire à raconter » - ont certainement un marché à explorer en Chine.</p><p style="text-align: justify;"><strong>La plateforme du e-commerce transfrontalier permet également de réduire les étapes intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs finaux, abaissant ainsi le coût des produits et améliorant leur rapport qualité-prix.</strong></p><p style="text-align: justify;">D'ailleurs, dans certains secteurs comme la cosmétique, le processus d'enregistrement d'une marque étrangère en Chine peut s'avérer long et coûteux. Entrer sur le marché chinois via le e-commerce en suivant le processus d'enregistrement de marque en parallèle, permet de gagner du temps pour commercialiser ses produits en Chine.</p><p style="text-align: justify;">Enfin, depuis 2014, le gouvernement chinois a mis en place une politique d'appui favorisant le e-commerce transfrontalier, réduisant les taxes sur la plupart des catégories de produits importés.</p><p style="text-align: justify;"><strong>... mais une opportunité nécessitant une préparation conséquente</strong><br />Par rapport à l'importation traditionnelle en Chine, le e-commerce transfrontalier facilite le démarrage : les procédures administratives et les coûts à engager sont réduits, dans la phase initiale. En revanche, plusieurs défis sont à prendre en compte.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Premièrement, la visibilité.</strong> Pour concurrencer les nombreuses sociétés étrangères ou chinoises, et attirer des consommateurs chinois très attachés aux grandes marques, et de plus en plus à la recherche de qualité et d'originalité, il est nécessaire d'investir sur la construction de la marque dès le début à travers des campagnes de marketing ou de communication, via les canaux traditionnels et/ou les médias sociaux comme WeChat ou Weibo.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Deuxièmement, la logistique.</strong> En Chine, les services de livraison express sont très bien développés, peu coûteux voire souvent gratuits, et les consommateurs sont habitués à recevoir un produit deux à trois jours après la commande sur le marché intérieur. Pour une commande transfrontalière, il serait idéal de ne pas dépasser un délai de deux semaines de livraison. Pour y arriver, il faudra que les entreprises expédient à l'avance leurs produits et en conservent un stock dans des « entrepôts sous douane » basés en Chine, souvent à travers des partenaires de logistique ou des sites de e-commerce fournissant ce service comme JD.com.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Troisièmement, la propriété intellectuelle.</strong> Une entreprise encore absente de Chine pourra se faire connaître assez rapidement à travers le e-commerce, et devra donc démarrer en parallèle la procédure d'enregistrement de ses marques, afin d'éviter - ou tout du moins, de réduire - le risque de violation de ses droits.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Enfin, les éléments culturels.</strong> Toute relation d'affaires se ramène finalement à une relation humaine. Il faudra donc prendre en compte les spécificités et les attentes des consommateurs chinois tout en gardant sa « French Touch ». Par exemple, il existe une forte culture du rabais en Chine : les consommateurs y comparent souvent plusieurs sites proposant le même produit avant d'effectuer un achat, raison pour laquelle il y a en permanence des promotions sur Internet. Il est donc important que le rapport qualité-prix reste compétitif ou de savoir mettre en avant sa valeur ajoutée si son positionnement de prix reste élevé.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Saisir les opportunités du e-commerce transfrontalier avec la Chine, nécessite donc à la fois une bonne préparation, une forte réactivité et une grande capacité d'adaptation. C'est à cette condition que cet outil prometteur constituera un levier de succès pour les entreprises françaises !</strong></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1XErZkP" target="_blank">[LIRE L'ARTICLE DANS TRIBUNE.FR]</a></p><p> </p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/01/00/4204191519.png" id="media-911514" alt="" /></p>
pjourdan
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L’Oréal Luxe lance son site d’e-commerce Ma Beauté Luxe [#loreal #luxe #e-commerce]
tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-18:3068883
2016-03-18T09:11:46+01:00
2016-03-18T09:11:46+01:00
Après L’Oréal Paris, c’est au tour de la division Luxe de L’Oréal de...
<p style="text-align: justify;"><strong>Après L’Oréal Paris, c’est au tour de la division Luxe de L’Oréal de proposer des box beauté. Elles sont vendues via un site internet dédié baptisé Ma beauté luxe. Le site permet aussi d’acheter une large sélection des produits commercialisés par les principales marques de la division.</strong></p><p style="text-align: justify;">On n’est jamais mieux servi que par soi-même. L’Oréal poursuit son développement en e-commerce avec le site Ma Beauté Luxe. Cette plateforme développée pour la division Luxe de L’Oréal vend des box beauté. Pour 29 euros, ils composent une boîte contenant cinq miniatures de produits des marques de L’Oréal Luxe. Ils ont actuellement le choix entre 126 produits en taille mini, parfums soins ou maquillage. Pour les indécis, le site propose un "diagnostic". En répondant à quelques questions, les internautes se voient suggérer des produits répondant à leurs attentes.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Box beauté déjà composées</strong></p><p style="text-align: justify;">Ma Beauté Luxe vend aussi des box déjà composées baptisées "Prêt-à-beauté", également vendues à 29 euros. Il s’agit de coffrets thématiques ou de boîtes consacrées à une marque de la division Luxe. Par exemple, actuellement, sont mises en avant des box Biotherm Homme, Lancôme, Khiel’s ou Urban Decay ou des coffrets Cocoon et Week-end en amoureux. Avec chaque box, le consommateur reçoit un bon de réduction de 10 euros pour 70 euros d’achat sur le site.</p><p style="text-align: justify;"><strong>456 références vendues à l'unité</strong></p><p style="text-align: justify;">En effet, Ma Beauté Luxe ne vend pas que des box. Le portefeuille du site comprend 456 références en format vente. Les marques de la division commercialisées par le site sont, pour l’instant, Lancôme, Khiel’s, Giorgio Armani, Biotherm, Cacharel, Diesel, Paloma Picasso, Urban Decay et Viktor & Rolf. Le grand absent est donc Yves Saint-Laurent car la marque a son propre site internet (yslbeauty.fr). Tout comme Helena Rubinstein (helenarubinstein.com) et Clarisonic (clarisonic.fr).</p><p style="text-align: justify;">Côté services, les frais de livraison sont offerts sans minimum d'achat. L'Oréal Luxe fait appel au service So Colissimo de La Poste et promet une livraison en 48h après le départ du colis du centrelogistique de la division installé à Ingré, près d'Orléans (Loiret).</p><p style="text-align: justify;">La division Luxe n'est pas la seule à proposer des box beauté. Du côté de la branche Produits grand public, L'Oréal Paris en propose depuis trois ans. Autrefois nommée Instant Beauty Box, elles ont récemment été rebaptisées L'Or Box et sont vendues 19,50 euros. Elles contiennent trois produits L'Oréal Paris en taille réelle, des goodies et/ou des échantillons. Sur le site marchand L'Oréal Paris, la livraison n'est gratuite qu'à partir de 40 euros d'achat.</p><p><a href="http://bit.ly/1XzAAoV" target="_blank">[RETROUVER L'ARTICLE DANS LSA-CONSO.FR]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/00/00/2519163604.png" id="media-911178" alt="" /></p>
pjourdan
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La marque de montres de luxe Tag Heuer va se lancer dans le commerce en ligne [#tagheuer #luxury #watch]
tag:whatsnewinmarketing.blogspirit.com,2016-03-07:3067926
2016-03-07T10:00:00+01:00
2016-03-07T10:00:00+01:00
(AFP) - Tag Heuer, la marque phare du groupe de luxe français LVMH sur le...
<p style="text-align: justify;"><strong>(AFP) - Tag Heuer, la marque phare du groupe de luxe français LVMH sur le segment de l'horlogerie, veut se lancer dans le commerce en ligne, a indiqué jeudi son patron, Jean-Claude Biver, lors d'un entretien avec l'AFP.</strong></p><p style="text-align: justify;"><br />"Les ventes en ligne sont en train d'entrer dans les habitudes de consommation et si le consommateur change, il faut le suivre et aller là où il va", a-t-il expliqué.</p><p style="text-align: justify;">En prenant ce tournant, la marque, dont les montres se vendent généralement entre 1.000 et 7.000 francs suisses (922 à 6.470 euros), entend notamment séduire la prochaine génération d'acheteurs.</p><p style="text-align: justify;">"Si les gens qui ont actuellement 15 à 20 ans achètent aujourd'hui leurs livres, leurs vêtements, leurs baskets en ligne, ils trouveront normal d'acheter une montre de luxe sur internet quand ils auront 25 ou 30 ans", a-t-il ajouté.</p><p style="text-align: justify;">Il entend également répondre aux attentes des consommateurs dans des grands pays où les achats de produits de luxe par internet sont désormais considérés comme naturels.</p><p style="text-align: justify;">"Je reçois régulièrement des courriels de clients aux États-Unis qui me disent que leur magasin le plus proche se trouve à 400 kilomètres et qui ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas l'acheter en ligne", a-t-il poursuivi.</p><p style="text-align: justify;">"A Monaco ou au Luxembourg, on peut toujours trouver un magasin à proximité, mais dans un grand pays comme les États-Unis ou le Canada, cela a beaucoup plus de sens", a-t-il argumenté.</p><p style="text-align: justify;">Aux États-Unis, Tag Heuer a déjà fait un premier pas sur internet où il distribue sa nouvelle montre connectée conçue avec Google et Intel.</p><p style="text-align: justify;">"La montre connectée est le produit idéal à vendre sur internet", a-t-il fait valoir.</p><p style="text-align: justify;">Si les sites de ventes en ligne se sont multipliés pour la mode haut de gamme ou la maroquinerie, les horlogers suisses se sont jusqu'à présent montrés très réservés sur la distribution par internet, les clients aimant généralement voir le produit en boutique avant d'acheter un produit onéreux.</p><p style="text-align: justify;">De plus, la distribution s'appuie sur des contrats sélectifs ou d'exclusivité avec les magasins qui devront arriver à échéance avant de pouvoir envisager de basculer pleinement dans la distribution en ligne, a nuancé Jean-Claude Biver.</p><p style="text-align: justify;">Il faudra aussi trouver un modus operandi avec les conseillers en boutique "afin que chacun y trouve son compte", a précisé ce vétéran de l'industrie horlogère.</p><p style="text-align: justify;">Dans l'immédiat, il n'envisage pas encore de mettre en ligne toute la gamme, mais de commencer progressivement, "plutôt aux alentours de 2018-2019".</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1QYWtPU" target="_blank">[READ THE AFP PRESS RELEASE]</a></p><p><img src="http://whatsnewinmarketing.blogspirit.com/media/02/02/154165089.png" id="media-909201" alt="" /></p>
pjourdan
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”Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner” [#Amazon #retail #e-commerce]
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2016-03-02:3067750
2016-03-02T18:22:05+01:00
2016-03-02T18:22:05+01:00
'Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner,' says Richard Goyder By...
<p style="text-align: justify;"><strong>'Amazon will eat our breakfast, lunch and dinner,' says Richard Goyder</strong><br /><em>By Sue Mitchell, March 2, 2016, Ths Sydney Mornbing Herald, Business Days</em></p><p style="text-align: justify;">Wesfarmers group managing director Richard Goyder says US online retail behemoth Amazon will "eat all our breakfasts, lunches and dinners", unless Australian retailers become more innovative and barriers to competition are removed.</p><p style="text-align: justify;">Mr Goyder told a retail forum in Sydney on Tuesday his biggest fear was not the competitive threat from Australian retailers, but tech companies such as Amazon, which are gearing up for a major push into Australia.</p><p style="text-align: justify;">"We've got big competition online and through a physical presence … we are in a disruptive, disrupted world," Mr Goyder told about 450 retailers at the Retail Leaders forum.</p><p style="text-align: justify;">Mr Goyder said online retailers such as Amazon, Google and asos.com could trade 24 hours a day, seven days a week and 365 days a year, while Australian bricks and mortar retailers, including Wesfarmers' Bunnings, Kmart, Target, Coles and Officeworks chains, were restricted by archaic trading hours and excessive regulation.<br />Advertisement</p><p style="text-align: justify;">In Perth, for example, some large bricks and mortar retailers could only trade for six hours a day on Sunday, which is now the busiest shopping day of the week in other cities.</p><p style="text-align: justify;">However, the concept of pure bricks and mortar retailing was fast abating and all retailers needed to have an online and social media presence, he said.</p><p style="text-align: justify;"><a href="http://bit.ly/1L69Yei" target="_blank">[READ THE FULL ARTICLE]</a></p><p><br /><br /></p><p> </p><p><em> </em></p><p><img src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/00/2451494212.jpg" id="media-908858" alt="" /></p>
pjourdan
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[#Conso-battant] E-commerce : générer de l'engagement client grâce à la négociation commerciale
tag:leconsobattant.blogspirit.com,2014-11-12:3021797
2014-11-12T22:48:00+01:00
2014-11-12T22:48:00+01:00
[2] Les Échos - 7 Octobre 2014 - Par Camille BOULATE Négocier le...
<p><span style="text-decoration: underline;"><strong>[2] Les Échos - 7 Octobre 2014 - Par Camille BOULATE<br /></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;"><img id="media-827939" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leconsobattant.blogspirit.com/media/00/01/3291444598.JPG" alt="Netotiate, Cdiscount, négocier, négociation, e-commerce" />Négocier le prix sur les sites de e-commerce est désormais possible. </span></strong><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Netotiate, solution de négociation pour les sites marchands, propose aux acteurs du e-commerce d’améliorer l’interactivité mais également l’engagement client. </span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: small;">Explications avec son dirigeant, Noam Javits.</span></p><div class="copy-paste-block"><p style="text-align: justify;">Les sites de e-commerce se ressemblent tous. Proposer le meilleur produit au meilleur prix deviendrait difficile. Alors pour améliorer l’expérience client et <a class="LIEN_EXTERNE" href="http://business.lesechos.fr/directions-numeriques/moins-rentables-les-sites-de-e-commerce-cherchent-des-revenus-complementaires-7125.php" target="_blank">générer un meilleur engagement des internautes</a>, Noam Javits, qui dirige la start-up américaine Netotiate, solution de négociation, a trouvé la solution. Grâce à son système de marchandage en ligne, proposé aux cybermarchands, Netotiate entend apporter plus d’interactivité aux internautes lors de leurs achats sur Internet. <em>« L’idée est assez simple : nous proposons aux sites de e-commerce un système de négociation du prix des produits. Il est basé sur des règles définies en amont avec le client </em>, explique Noam Javits.</p><strong>Pour lire la suite :</strong> <a title="http://bit.ly/1v5awb2" href="http://bit.ly/1v5awb2" target="_blank">http://bit.ly/1v5awb2</a></div><div id="diaporama_article" class="flexslider" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 0px 20px; padding: 0px; position: relative; zoom: 1; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><ul class="slides" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; line-height: 1.5; padding: 0px; list-style: none; zoom: 1;"><li class="flex-active-slide" style="box-sizing: border-box; display: block; -webkit-backface-visibility: hidden; width: 1205px; float: left; margin-right: -1205px; position: relative; opacity: 1; z-index: 2;"><p class="flex-caption" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; line-height: 18px; bottom: 0px; color: #777877; font-family: ptsansnarrowreg, helvetica, arial, sans-serif; font-size: 16px; left: 0px; padding: 5px 0px 0px; position: relative; width: 1108.59375px; min-height: 45px; float: left; display: inline-block; background: none 0px 0px repeat scroll rgba(255, 255, 255, 0.6);"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; color: #000000; background-color: #ffffff;"> </span></p></li></ul></div>
maplanete
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L'initiative. Dites non au carbone avec La Poste
tag:maplanetea.blogspirit.com,2012-02-23:3314968
2012-02-23T10:02:00+01:00
2012-02-23T10:02:00+01:00
DR La Poste La Poste avait choisi le jour de la Saint-Valentin, le 14...
<p style="text-align: center;"><img id="media-171102" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/02/1833931653.jpg" alt="objectif zéro co2.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small;">DR La Poste</span></p><p><strong>La Poste avait choisi le jour de la Saint-Valentin, le 14 février dernier, pour annoncer qu'elle compenserait ses émissions de CO2 ainsi que celles de ses sous-traitants, en France comme à l'étranger. Belle déclaration d'amour à la planète.</strong></p><p><strong>Zéro carbone pour les courriers et colis de La Poste à partir du 1er mars</strong></p><p>Si nos facteurs et factrices sont parmi les premiers acteurs du développement durable, en marchant par tous les temps et en pédalant dur depuis des décennies pour nous livrer nos courriers, La Poste a fait le constat que les trois quarts de ses émissions de CO2 étaient liées au transport des plis et des colis. L'entreprise, qui s'est engagée à <strong>réduire son bilan carbone de 20 % d'ici à 2015,</strong> pour atteindre cet objectif, doit renforcer ses investissements dans des véhicules propres, la formation à l'éco-conduite, une gestion environnementale de ses bâtiments et l'éco-conception de ses offres. Elle doit également consacrer 12 millions d'euros par an pour compenser le reste de ses émissions de carbone. La Poste s'est engagée à ce que cette compensation se fasse sans surcoût pour les clients et les crédits carbone seront issus en majorité issus de projets dans les pays en développement. <strong>Le développement du e-commerce,</strong> qui va de pair avec un accroissement des transports de livraison de colis, pourra ainsi devenir un des vrais bons élèves du développement durable. Forte du succès qu'elle a rencontré avec la Lettre verte, lancée en septembre 2011, La Poste entend aussi rester concurrentielle, tout en répondant également à l'attente de ses clients et usagers, de plus en plus sensibles au respect de l'environnement et du développement durable, nouveaux moteurs de consommation.</p><p><strong>L'éco-Poste : info ou intox ?</strong></p><p><strong><img id="media-171110" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://maplanetea.blogspirit.com/media/01/00/1116317107.jpg" alt="lettre verte.jpg" />Lancée en septembre 2011, la Lettre Verte de La Poste est le premier geste "grand public" éco-responsable de l'entreprise.</strong> Ce service d’envoi de courrier se veut rapide, plus économique et plus respectueux de l’environnement que la Lettre prioritaire. Ne nécessitant pas de prendre l’avion (hors liaisons Outre-mer et Corse), la Lettre Verte participe à la politique de réduction des émissions de CO2 de La Poste.</p><p><strong>Elle a fait cependant l'objet d'une polémique "écologique", lors de son lancement, avec deux syndicats</strong>. Pour la CGT , "les plates-formes régionales de tri qui ont remplacé et supprimé de nombreux centres départementaux" généraient déjà "plus de transports du courrier par camions"... et avec la Lettre Verte, " La Poste" allait mettre "encore plus de camions sur les routes". Sud-PTT, qui se fondait sur le rapport annuel sur le développement durable de La Poste, publié en interne, indiquait quant à lu,i que les émissions de CO2 liées au transport étaient passées "de 300 millions de tonnes en 2004 à 515 millions en 2010". Quoiqu'il en soit, la question du suivi et de la mesure de l'impact environnemental est toujours fondamentale en matière de développement durable. Pour "évaluer" la Lettre Verte, La Poste a mis en place un éco-calculateur, qui a reçu le label Veritas, et devait permettre de mesurer l'impact environnemental de ses offres, pour ses commerciaux (c'est chose faite) et pour ses usagers (cela devrait être opérationnel en mai 2012).</p><p><strong>Verra-t-on un jour La Poste abandonner le jaune de son logo pour adopter la couleur verte ? </strong>Peut-être pas. Mais on doit reconnaître qu'elle fait preuve d'un réel volontarisme en matière de développement durable, sans se borner à un green washing de façade. Bien des entreprises, privées ou publiques, auraient raison de s'en inspirer.</p><p><a href="mailto:c.lafon@sudouest.fr"><strong>Cathy Lafon</strong></a> <br /><br /></p><p><strong>► </strong><strong>PLUS D'INFO sur la Lettre Verte :</strong> <strong><a href="http://www.laposte.fr/Professionnel/Vos-envois-de-courrier/Envois-courants/Lettre-verte" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></p><p><strong>► </strong><strong>A LIRE AUSSI <br /></strong></p><p><strong>Les courriers et colis de La Poste deviennent neutres en carbone (Actu-Environnement) : <a href="http://www.actu-environnement.com/ae/news/neutralite-carbone-zero-emissions-courriers-la-poste-14954.php4" target="_blank">cliquer ICI</a></strong></p>
Action Barbès
http://actionbarbes.blogspirit.com/about.html
Le Figaro s'intéresse à TATI.fr et aux soldes
tag:actionbarbes.blogspirit.com,2011-06-30:2370925
2011-06-30T07:00:00+02:00
2011-06-30T07:00:00+02:00
Une petite surprise quand même de voir que le Figaro s'intéresse aux bons...
<p style="text-align: justify;">Une petite surprise quand même de voir que le <a title="Le Figaro en ligne le 24 juin" href="http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/06/24/97002-20110624FILWWW00497-tatifr.php" target="_blank">Figaro</a> s'intéresse aux bons résultats de TATI.FR au point de trouver sur son site en ligne ce titre :</p><p><span style="color: #808080; font-family: helvetica;"><strong><span style="font-size: large;">Tati.fr/soldes: ventes en hausse de 65%</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;">Le journal reprend les termes du communiqué de Tati : " Ces bons résultats renforcent le succès du site qui s’impose progressivement comme l’un des sites e-commerce de référence sur le marché du petit prix." En effet, après une seule année d’existence,<a title="le site en ligne de TATI" href="http://www.tati.fr/femme.html" target="_blank">Tati.fr</a> attire en moyenne 3 millions de visiteurs uniques chaque mois. En mai 2011, plus 2,5 millions d’articles avaient ainsi déjà été vendus.</p><p>Dans le quartier, nous ne voyons pas vraiment faiblir l'affluence.... Tati n'a pas que des e-clients, il attire aussi les clients sur place en grand nombre.</p><p><a title="le blog de TATI" href="http://blog.tati.fr/" target="_blank">Tati m'a dit</a>.... c'est leur blog ! (où la couleur rose domine toujours, sans les carreaux Vichy, mais le rose est bien présent.)</p>
Denis Henri Failly
http://denisfailly.blogspirit.com/about.html
Les 6 dimensions du ”Social Commerce” selon Mark Ellis
tag:denisfailly.blogspirit.com,2011-03-01:2255089
2011-03-01T11:23:42+01:00
2011-03-01T11:23:42+01:00
2 options en matière de E-commerce : Faire du Social Media là où les...
<div id="__ss_6934854" style="width: 425px;"><strong style="display: block; margin: 12px 0 4px;">2 options en matière de E-commerce :</strong></div><div style="width: 425px;"><strong style="display: block; margin: 12px 0 4px;"> Faire du Social Media là où les gens achètent ?</strong></div><div style="width: 425px;"><strong style="display: block; margin: 12px 0 4px;"><span style="font-weight: normal;"><strong style="display: block; margin: 12px 0 4px;">ou vendre là où es gens font du Social Media ?</strong></span></strong></div><div style="width: 425px;"><strong><span style="font-weight: normal;"><br /></span></strong></div><div style="width: 425px;"><object id="__sse6934854" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" width="425" height="355" data="http://static.slidesharecdn.com/swf/ssplayer2.swf?doc=2-the6dimensionsofsocialcommerce-markellissyzygy-110215095122-phpapp01&stripped_title=2-the-6-dimensions-of-social-commerce-mark-ellis-syzygy&userName=wearelikeminds" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="data" value="http://static.slidesharecdn.com/swf/ssplayer2.swf?doc=2-the6dimensionsofsocialcommerce-markellissyzygy-110215095122-phpapp01&stripped_title=2-the-6-dimensions-of-social-commerce-mark-ellis-syzygy&userName=wearelikeminds" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="src" value="http://static.slidesharecdn.com/swf/ssplayer2.swf?doc=2-the6dimensionsofsocialcommerce-markellissyzygy-110215095122-phpapp01&stripped_title=2-the-6-dimensions-of-social-commerce-mark-ellis-syzygy&userName=wearelikeminds" /><param name="name" value="__sse6934854" /><param name="allowfullscreen" value="true" /></object></div><div id="__ss_6934854" style="width: 425px;"><div style="padding: 5px 0 12px;">View more <a href="http://www.slideshare.net/">presentations</a> from <a href="http://www.slideshare.net/wearelikeminds">Like Minds</a>.</div></div>
daWid
http://www.dawid.fr/about.html
AXA Banque sucks
tag:www.dawid.fr,2010-08-11:1966181
2010-08-11T17:09:00+02:00
2010-08-11T17:09:00+02:00
AXA Banque, banque 100% Internet. Aucun guichet, aucun point d'accueil....
<p><a href="http://www.dawid.fr/media/00/01/125880469.jpg" target="_blank"><img name="media-508464" src="http://www.dawid.fr/media/00/01/1322925219.jpg" id="media-508464" alt="Banque.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" /></a>AXA Banque, banque 100% Internet. Aucun guichet, aucun point d'accueil. Un contact par mail, via le site Web ou un simple numéro de téléphone. Pas de conseiller attitré. Je serais tenté de dire pas de conseiller du tout, étant donné le niveau de qualité de service fourni... mais je vais me faire taxer de mauvais coucheur. Je n'irai donc pas jusque là...</p> <p style="text-align: justify;"><a href="http://www.dawid.fr/media/01/00/125880469.jpg" target="_blank"></a>Les services Internet, c'est bien. C'est bien pour ceux qui ne veulent parler à personne. Comme je suis un peu autiste sur les bords, je suis un gros consommateur de services en ligne. J'achète tout sur Internet. Plus de queue à la caisse, personne pour vous solliciter à la banque pour vous vendre un truc dont vous n'avez pas besoin... La tranquillité !</p><div style="text-align: justify;"></div> <div style="text-align: justify;"><a href="http://www.dawid.fr/media/02/01/963718526.jpg" target="_blank"><img name="media-508468" src="http://www.dawid.fr/media/02/01/1807985073.jpg" id="media-508468" alt="Accueil.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></a>Revers de la médaille, personne pour vous conseiller. Ni pour vous dépanner en cas de bug du site. C'est ce qui m'arrive actuellement avec AXA Banque. Je découvre avec étonnement sur mon dernier relevé du mois de juillet qu'une option jusqu'ici gratuite devenait payante. Au passage, je n'ai jamais été averti, ni par email ni par courrier... Peut-être un de ces prospectus dépliants que personne ne lit jamais, mais je ne m'en souviens pas. Peu importe. Je décide de me désabonner de l'option. Je vais donc sur le site. Je me connecte à mon espace client. Je décoche toutes les petites cases, satisfait. Je ne serai plus prélevé pour un service pour lequel je ne souhaite pas payer.</div> <p><script type="text/javascript" src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/langs/fr.js?20090525"> //<![CDATA[ <!-- <! <! // --> // <script src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/langs/fr.js?20090525" type="text/javascript"> // --></mce:script><mce:script type="text/javascript" src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/plugins/blogspirit/langs/fr.js?20090525" mce_src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/plugins/blogspirit/langs/fr.js?20090525"></mce:script>--&gt; //]]> </script> <script type="text/javascript" src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/plugins/blogspirit/langs/fr.js?20090525"><!-- <! <! // --> // --> // --></script> ; //]]> </script></p> <p style="text-align: justify;">Que neni ! 2 jours plus tard, je reçois une nouvelle alerte ! Branlebas de combat. Je vérifie que mes cases sont bien décochées. Je me rends compte qu'il en restait 2 dans un menu différent du premier (ah, l'ergonomie des sites Web, tout un programme !). Je décoche scrupuleusement toutes les cases de tous les menus. Cette fois, j'ai bon. Plus d'alerte à craindre, donc pas de prélèvement. 2 jours plus tard, patatras ! Nouvelle alerte. Et cette fois pas de case cachée. J'ai fouillé dans tous les recoins du site, rien. Je contacte donc mon "conseiller" à l'aide du formulaire. Réponse du technicien le 23 juillet :</p> <p style="text-align: justify;"><i>Bonjour Monsieur XXXXXX,</i></p> <p><i>Nous avons bien reçu votre remarque au sujet des alertes.</i></p> <p><i>Je vous informe que le nouveau paramétrage des alertes compte et carte bleue a bien été pris en compte.</i></p> <p><i>Concernant la facturation des alertes mails, je transmets votre demande au service clientèle qui vous tiendra informé des remboursements.</i></p> <p><i>Nous restons à votre entière disposition et vous remercions pour votre confiance.</i></p> <p><i>Bien cordialement,</i></p> <p><i>Webmaster AXA Banque</i> <script type="text/javascript" src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/langs/fr.js?20090525"> //<![CDATA[ <!-- <! <! <! <! // --> // --> // --> // --> // --> //]]> </script> <script type="text/javascript" src="http://www.blogspirit.com/admin/javascript/tinymce/plugins/blogspirit/langs/fr.js?20090525"> //<![CDATA[ <!-- <! <! <! <! // --> // --> // --> // --> // --> //]]> </script></p> <p><i>++++++++++++++++++++++++++++++++++++++</i></p> <p>J'attends encore le contact du service commercial...</p> <p>Plus d'alerte depuis le 23 juillet. Au moins, les techniciens semblent efficaces. Plus d'alerte... jusqu'à ce début de semaine. C'est dans ces situations là que vous regrettez d'être asocial et allergique aux sollicitations commerciales.</p> <p>La prochaine fois, je choisirai mieux ma banque...</p> <p> </p> <p><span><span style="font-family: mceinline;"><strong>UPDATE</strong></span></span> <strong>: réponse reçue cet après-midi (13 août) du service commercial, email très courtois avec moultes excuses. Coïncidence ?</strong></p> <p> </p> <p style="text-align: justify;"> </p>
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Le BarCampSophiaAntipolis 2 : 104 inscrits, ça promet !
tag:agora-einstein.blogspirit.com,2009-11-04:1848098
2009-11-04T17:19:00+01:00
2009-11-04T17:19:00+01:00
Le BarCampSophiaAntipolis 2 « E-commerce »...
<div style="text-align: center;"> <div style="text-align: center;"><span style="color: #ff9900;"><b><img src="http://femmes3000cotedazur.blogspirit.com/media/01/01/1016193266.jpg" id="media-415794" alt="logo BarcampSophiaAntipolis.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt;" name="media-415794" width="350" height="88" /></b></span></div> <br /></div> <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff9900;"><b>Le BarCampSophiaAntipolis 2</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #008000;"><b><i>« E-commerce »</i></b></span></p> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>Jeudi 5 novembre 2009</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>16h30 - 23h30</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>AGORA</b> <b>Einstein - Sophia Antipolis</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #333333;">Plan d'accès : cliquer <a href="http://www.agora-einstein.fr/plan-acces.php">ici</a>.</span></p> <p align="center"> </p> <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff9900;"><b><span style="color: #333333;">104 inscrits sur le wiki de l'événement ! C'est presque 3 fois plus que pour la 1ère édition en juin dernier !</span></b></span></p> <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff9900;"><span style="color: #333333;">Il faut savoir que les grands BarCamps français et internationaux ayant déjà à leur actif une quinzaine d'éditions rassemblent en moyenne 80 à 120 personnes. 104 participants, une belle soirée en perspective !<br /></span></span></p> <p style="text-align: center;">--<b><br /></b></p> <p>Plus d'une quarantaine de personnes étaient venues discuter autour du thème « identité numérique et e-réputation » lors de la 1<sup>ère</sup> édition le 20 juin dernier. Le 5 novembre 2009, le BarCampSophiaAntipolis revient avec encore plus d'ambition !</p> <p><span style="color: #008000;"><b><i>Le BarCampSophiaAntipolis : L'EVENEMENT incontournable des NTIC à Sophia Antipolis</i></b></span></p> <p>C'est une <b>rencontre ouverte</b> entre <b>professionnels et passionnés</b> du web, sous forme <b>d'ateliers participatifs</b>, autour d'un thème NTIC.</p> <p><b>Partager, échanger, discuter</b>, de façon <b>libre et conviviale sur des thématiques NTIC. Une opportunité de rencontrer les bonnes personnes</b> et <b>d'apprendre les bonnes méthodes</b> en matière de e-commerce et de nouveautés web<b>.</b> Tel est le concept novateur du BarCampSophiaAntipolis !</p><p><span style="color: #008000;"><b><i>2<sup>nde</sup> édition sur l'e-commerce : le nouvel eldorado des commerçants ?</i></b></span></p> <p>Le thème de <b>l'e-commerce</b>, présenté aujourd'hui comme le nouvel eldorado des commerçants, <b>sera débattu sous plusieurs angles de réflexions</b>, aussi bien techniques que commerciaux, afin de produire de nouveaux projets, et d'apporter une valeur ajoutée à tous les participants. Voici quelques thèmes d'ateliers qui seront au goût du jour :</p> <ul class="unIndentedList"> <li><i>Communication, positionnement image, ergonomie, fondamentaux d'un site e-commerce réussi ?</i></li> <li><i>Que peut apporter le web sémantique à l'e-commerce?</i></li> <li><i>Quelle solution pour se lancer dans la vente en ligne ? (agence web, SSII, open source, plateforme SAAS...)</i></li> <li><i>La place du mobile dans le e-commerce de demain.</i></li> <li><i>Workshop sur les outils communautaires : Facebook, Twitter, social shopping.</i></li> <li><i>Problématiques de visibilité des boutiques en ligne quand on sait qu'il en existe presque 60.000 rien qu'en France.</i></li> </ul> <p> </p> <p><span style="color: #008000;"><b>Quelques noms connus seront parmi nous :</b></span></p> <p>Didier GLEMAREC de Leadshare et BarCamp E-commerce Paris</p> <p>Franck HASHAS de Bloxx</p> <p>Mathilde LE ROUZIC de bagatelles.fr et uncadeau.com</p> <p> </p> <p><span style="color: #008000;"><b><i>Pour plus d'informations...</i></b></span></p> <p><b>Entrée gratuite.</b></p> <p><b>Inscription obligatoire</b> par email à <a href="mailto:sbayer@cari.fr">sbayer@cari.fr</a> .</p> <p><b>Informations et actualités</b> sur le <a href="http://barcamp-sophia-antipolis.blogspirit.com/">blog</a>.</p> <p><b>Communautés</b> : <a href="http://www.facebook.com/home.php#/group.php?gid=77619014381&v=wall&ref=ts">Groupe Facebook</a>, <a href="http://groups.google.fr/group/barcamp-sophia-antipolis">Groupe Google</a> et <a href="http://www.twitter.com/BarCampSophia">Twitter BarCampSophia</a></p>
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J - 8 avant la 2nde édition du BarCampSophiaAntipolis sur l'e-commerce. Déjà 49 inscrits!
tag:agora-einstein.blogspirit.com,2009-10-28:1844747
2009-10-28T15:38:50+01:00
2009-10-28T15:38:50+01:00
BarCampSophiaAntipolis - 2 ème édition...
<div style="text-align: center"><img src="http://agora-einstein.blogspirit.com/media/02/02/1016193266.jpg" id="media-415795" alt="logo BarcampSophiaAntipolis.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" width="346" height="87" name="media-415795" /></div> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>BarCampSophiaAntipolis - 2<sup>ème</sup> édition</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #008000;"><b><i>« E-commerce »</i></b></span></p> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>Jeudi 5 novembre 2009</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>16h30 - 23h30</b></span></p> <p align="center"><span style="color: #ff9900;"><b>AGORA</b> <b>Einstein - Sophia Antipolis</b></span></p> <p align="center">Plan d'accès : cliquer <a href="http://www.agora-einstein.fr/plan-acces.php">ici</a></p> <p align="center"> </p> <p>Plus d'une quarantaine de personnes étaient venues discuter autour du thème « identité numérique et e-réputation » lors de la 1<sup>ère</sup> édition le 20 juin dernier. Le 5 novembre 2009, le BarCampSophiaAntipolis revient avec encore plus d'ambition !</p> <p><span style="color: #008000;"><b><i>Le BarCampSophiaAntipolis : L'EVENEMENT incontournable des NTIC à Sophia Antipolis</i></b></span></p> <p>C'est une <b>rencontre ouverte</b> entre <b>professionnels et passionnés</b> du web, sous forme <b>d'ateliers participatifs</b>, autour d'un thème NTIC.</p> <p><b>Partager, échanger, discuter</b>, de façon <b>libre et conviviale sur des thématiques NTIC. Une opportunité de rencontrer les bonnes personnes</b> et <b>d'apprendre les bonnes méthodes</b> en matière de e-commerce et de nouveautés web<b>.</b> Tel est le concept novateur du BarCampSophiaAntipolis !</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #008000;"><b><i>2<sup>nde</sup> édition sur l'e-commerce : le nouvel eldorado des commerçants ?</i></b></span></p> <p style="text-align: justify;">Le thème de <b>l'e-commerce</b>, présenté aujourd'hui comme le nouvel eldorado des commerçants, <b>sera débattu sous plusieurs angles de réflexions</b>, aussi bien techniques que commerciaux, afin de produire de nouveaux projets, et d'apporter une valeur ajoutée à tous les participants. Voici quelques thèmes d'ateliers qui seront au goût du jour :</p> <ul style="text-align: justify;" type="disc"> <li><i>Communication, positionnement image, ergonomie, fondamentaux d'un site e-commerce réussi ?</i></li> <li><i>Que peut apporter le web sémantique à l'e-commerce?</i></li> <li><i>Quelle solution pour se lancer dans la vente en ligne ? (agence web, SSII, open source, plateforme SAAS...)</i></li> <li><i>La place du mobile dans le e-commerce de demain.</i></li> <li><i>Workshop sur les outils communautaires : Facebook, Twitter, social shopping.</i></li> <li><i>Problématiques de visibilité des boutiques en ligne quand on sait qu'il en existe presque 60.000 rien qu'en France.</i></li> </ul> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><span style="color: #008000;"><b>Quelques noms connus seront parmi nous :</b></span></p> <p style="text-align: justify;">Didier GLEMAREC de Leadshare et BarCamp E-commerce Paris</p> <p style="text-align: justify;">Franck HASHAS de Bloxx</p> <p style="text-align: justify;">Mathilde LE ROUZIC de bagatelles.fr et uncadeau.com</p> <p style="text-align: justify;"><span style="color: #008000;"><br /></span></p> <p style="text-align: justify;"><span style="color: #008000;"><b><i>Pour plus d'informations...</i></b></span></p> <p style="text-align: justify;"><b>Entrée gratuite.</b></p> <p style="text-align: justify;"><b>Inscription obligatoire</b> par email à <a href="mailto:sbayer@cari.fr">sbayer@cari.fr</a> .</p> <p style="text-align: justify;"><b>Informations et actualités</b> sur le <a href="http://barcamp-sophia-antipolis.blogspirit.com/">blog</a>.</p> <p style="text-align: justify;"><b>Communautés</b> : <a href="http://www.facebook.com/home.php#/group.php?gid=77619014381&v=wall&ref=ts">Groupe Facebook</a>, <a href="http://groups.google.fr/group/barcamp-sophia-antipolis">Groupe Google</a> et <a href="http://www.twitter.com/BarCampSophia">Twitter BarCampSophia</a></p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p> </p>