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Anarchie en Euro
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<p><a href="http://necronomie.blogspirit.com/media/00/02/3533875820.jpg" target="_blank" rel="noopener">click on picture<br /><img id="media-1228875" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://necronomie.blogspirit.com/media/00/02/2305880698.jpg" alt="mail.jpg" /></a></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p>Les copains grecs surmotivés</p><p><a href="https://www.youtube.com/watch?v=yWdSrN_QBRo">Απεργία: Δικάμερο βίντεο από την πρώτη γραμμή των συγκρούσεων έξω από τη Βουλή - YouTube</a></p>
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Le Dégréçage continue
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2020-12-08T18:21:40+01:00
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ACTUELLEMENT EN GRÈCE : LE MOUVEMENT SOCIAL FAIT FACE À UNE...
<table class="yiv9487971189rnb-container" style="max-width: 100%; min-width: 100%; table-layout: fixed; background-color: #ffffff; border-radius: 0px; border-collapse: separate; padding-left: 20px; padding-right: 20px;" border="0" width="100%" cellspacing="0" cellpadding="0" bgcolor="#ffffff"><tbody><tr><td class="yiv9487971189rnb-container-padding" align="left" valign="top"><table class="yiv9487971189rnb-columns-container" border="0" width="100%" cellspacing="0" cellpadding="0"><tbody><tr><th class="yiv9487971189rnb-force-col" style="text-align: left; font-weight: normal; padding-right: 0px;" valign="top" width="550"><table class="yiv9487971189rnb-col-1" border="0" width="550" cellspacing="0" cellpadding="0" align="left"><tbody><tr><td style="font-size: 14px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif, sans-serif; color: #3c4858;"><div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: 16px;"><strong>ACTUELLEMENT EN GRÈCE : LE MOUVEMENT SOCIAL FAIT FACE À UNE FORTE RÉPRESSION POLICIÈRE ET REND HOMMAGE À LA RÉSISTANCE CONTRE LA LOI SÉCURITÉ GLOBALE EN FRANCE</strong>; <br /><br />Au soir du 6 décembre, le quartier d’Exarcheia est sous un déluge d’armes et d’uniformes. Pour empêcher toute révolte, l’état grec a déployé un véritable régiment de flics appuyé par deux hélicoptères et plusieurs drones. Des cris éclatent ici et là, ainsi que des explosions. Un immeuble inhabité est en feu. Depuis l'arrivée au pouvoir de la droite il y a un an, la police grecque multiplie les tentatives d’affaiblir le quartier en évacuant beaucoup de squats. Mais certains résistent encore, en particulier le Notara 26 et le K*Vox. Cependant, ces dernières heures, la nouvelle irruption policière a atteint un niveau sans précédent. Non seulement par le nombre, mais aussi par des actes particulièrement choquants.</span></div></div></td></tr></tbody></table></th></tr></tbody></table></td></tr><tr><td style="font-size: 1px; line-height: 20px;" height="20"> </td></tr></tbody></table><p><img class="yiv9487971189rnb-header-img" style="display: block; float: left; border-radius: 5px;" src="https://ecp.yusercontent.com/mail?url=http%3A%2F%2Fimg.yannisyoulountas.net%2Fim%2F18523%2F1f6545c280473166a28a10e874da3faba9befc46f807e87504620d614236c038.jpg%3Fe%3DT1KCiaaRW3SZfyDrpjKC0KSrWsKwKeeehiVrcTuvNuoY9JMT1moiCLPFth9E9423caeSQ4FvdPrGpsWnXFvuvT9s2eOcxbfAXZqNcJRGIHklYm4G7Uc_0KWvnoNP4Hec4pjyswwcxyjd4g8V_iZP0tqso8d3GwG0uQnLTdfTQXVz4CfhBO3GrtA9vyKdKCTs8WniPzmZjSxuq0psf3VOAq6bxKKj1g&t=1607447722&ymreqid=6494e769-92a6-9385-1cad-e30002014100&sig=I0rd5GHEyfkiMsEFqAULXw--~D" alt="" width="" border="0" hspace="0" vspace="0" /></p><p><img class="yiv7574392836rnb-header-img" style="display: block; float: left; border-radius: 5px;" src="https://ecp.yusercontent.com/mail?url=http%3A%2F%2Fimg.yannisyoulountas.net%2Fim%2F18523%2Fd253c0ff3ee9a610d275d866a8c729dfd57d5644e7ab6687cab476e53b38e567.jpg%3Fe%3D_RmtPAOhbRAIRwhcoH8bFTSQWbBAiFgntZIAbmKgL2gVV3ZUe1ZKD8IE8475s3bTX4LNWz2R347OoKzi9aG8pl2ebxTFIR-Gsq2LFBzxbaFCZVqnj6WWqc_DNmoeBQZPYFmEVLfwoo77-y6bxQIcbU0mNsgxM8VmFxEZMq8X_qG0qeYzLki-BRL-62JIxaT9yYkllAW3IXq8WLgKmTMMSEWIFH4y9g&t=1607357959&ymreqid=6494e769-92a6-9385-1c39-b80024014400&sig=uoBnCofdMnUxSdq.Z5.qUQ--~D" alt="" width="" border="0" hspace="0" vspace="0" /></p><p> </p>
Tania
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Relais
tag:textespretextes.blogspirit.com,2019-07-02:3139506
2019-07-02T20:20:00+02:00
2019-07-02T20:20:00+02:00
« Comme il s’était trouvé, il y avait un mois de cela, avec de...
<p><em><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/01/3054040626.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1069861" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/01/256728612.jpg" alt="Tolstoï Payot.jpg" /></a>« Comme il s’était trouvé, il y avait un mois de cela, avec de jeunes camarades qui sortaient de l’école des cadets, il avait fait exprès de voyager le plus lentement possible, jugeant qu’il était aux derniers jours de sa vie ; à chaque relais, il étalait son lit, sa cantine et organisait des parties de préférence ; le registre des réclamations lui servait de passe-temps et il était très content quand on lui refusait des chevaux. </span></em></p><p><em><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Assurément, il aurait été un héros s’il avait pu se transporter directement de P. aux bastions, mais maintenant il avait à traverser de grandes souffrances morales, pour devenir l’homme calme et patient dans les travaux et à l’heure du danger, que nous sommes habitués à voir sous les traits de l’officier russe. L’enthousiasme aurait eu bien de la peine à renaître en lui. »</span></em></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Léon Tolstoï, </span><em><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Sébastopol en août</span></em></p>
Tania
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Récits de Sébastopol
tag:textespretextes.blogspirit.com,2019-07-01:3139483
2019-07-01T08:30:00+02:00
2019-07-01T08:30:00+02:00
A l’âge de 26 ans, Léon Tolstoï a participé à la défense de Sébastopol ,...
<p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">A l’âge de 26 ans, <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Tolsto%C3%AF#L'écrivain_soldat" target="_blank" rel="noopener">Léon Tolstoï</a> a participé à la <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_S%C3%A9bastopol_(1854-1855)" target="_blank" rel="noopener">défense de Sébastopol</a>, la base navale russe, dont la chute a mis fin à la guerre de Crimée. Cette dernière expérience militaire lui a inspiré <a title="Site de l'éditeur" href="https://www.payot-rivages.fr/payot/livre/les-r%C3%A9cits-de-s%C3%A9bastopol-9782228923972" target="_blank" rel="noopener"><em>Les récits de Sébastopol</em> </a>(1855, traduits du russe par Louis Jousserandot). Il s’était précédemment battu dans le Caucase contre les rebelles ; il s’en souviendra plus tard dans <em>Les Cosaques</em> (1863).</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/01/3486624616.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1069788" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/01/3191320466.jpg" alt="tolstoï,récits de sébastopol,littérature russe,guerre de crimée,1854-1855,combat,souffrance,mort,peur,courage,culture" /></a><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">Franz Roubaud, <a title="Panorama 1854-1855" href="https://en.wikipedia.org/wiki/Franz_Roubaud#/media/File:Panorama1854-1855.jpg" target="_blank" rel="noopener"><em>Le siège de Sébastopol</em></a>, 1904 (détail)</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;"><em>Sébastopol en décembre</em> (1854) s’ouvre au lever du jour : <em>« De la rade arrivent une brume et le froid. Il n’y a pas de neige, le sol est noir partout, mais la gelée matinale vous coupe le visage et craque sous les pas, et le murmure incessant et lointain de la mer, interrompu de temps à autre par les volées du canon à Sébastopol, rompt seul le silence du matin. »</em> Le récit passe bientôt à la deuxième personne : <em>« Il n’est pas possible qu’à la pensée que vous êtes, vous aussi, à Sébastopol, vous ne vous sentiez pas l’âme envahie d’un certain sentiment de vaillance et d’orgueil et que le sang ne coure pas plus vite dans vos veines… »</em></span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Le narrateur décrit des vaisseaux, la foule sur le quai – <em>« des soldats en gris, des matelots en noir, des femmes aux vêtements bigarrés ».</em> Des paysans vendent à boire et à manger près des affûts de canons, des chevaux, des chariots… <em>« Vous cherchez vainement sur les visages des traces d’agitation, d’effarement, même de cet enthousiasme, de cette résolution des gens décidés à mourir ; vous ne voyez rien de pareil, mais des gens comme on en voit tous les jours, occupés tranquillement de leur besogne quotidienne (…). »</em></span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Il interroge un vieux soldat amputé d’une jambe : <em>« La première chose à faire, Votre Noblesse, voyez-vous, c’est de n’y pas penser tant ; quand on n’y pense pas, ce n’est rien du tout. »</em> Des blessés, des visages douloureux, des médecins <em>« les bras sanglants jusqu’au coude »</em>, très vite, la guerre se présente <em>« sous sa forme réelle, le sang, les souffrances, la mort… »</em></span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Sans s’attarder aux récits d’auberge, il préfère franchir une barricade et se rapproche d’une éminence où il y a beaucoup moins de monde et <em>« plus du tout de femmes ».</em> Sifflement d’un boulet ou d’un obus, bruit de canonnade, soldat qui patine dans la boue sur la pente, l’avancée est impressionnante et plus encore cet espace <em>« libre, creusé de trous et boueux, environné de tous les côtés de gabions, de remblais, de souterrains, de plates-formes, de casemates où se dressent de gros canons de fonte et des boulets en piles régulières. »</em></span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Arrivé à la redoute Iazonov, il lui faut continuer pour atteindre le quatrième bastion. Il observe le calme apparent de marins qui jouent aux cartes à l’abri d’un parapet, l’enthousiasme de soldats qui ont tiré le canon avec adresse. Puis un sifflement de bombe, les gémissements après l’explosion, la voix des mourants – l’horreur de la guerre.</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Six mois plus tard, en mai 1855, <em>« des milliers d’êtres ont été froissés dans leur amour-propre, des milliers ont été satisfaits dans leur orgueil, des milliers se sont reposés dans les embrassements de la mort. »</em> La différence entre les aristocrates et les autres se ressent de toutes les manières : vêtements, confort, langage, prérogatives… Le prince Galtsine : <em>« J’avoue que je ne puis croire qu’avec du linge non blanchi et sans s’être lavé les mains, on soit capable de courage. On sait bien qu’on ne peut pas avoir cette belle bravoure de gentilhomme. »</em> Ce qui se verra démenti.</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Quel défi de soigner, de panser qui peut guérir, de laisser derrière soi qui ne guérira pas… Soldat ou officier, chacun a sa manière d’avoir peur sans le laisser voir, de la tromper. Dans l’horreur glacée, on se demande qui sera tué, où l’on sera touché… Bombes, civières, corps ensanglantés, <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/tag/tolstoï" target="_blank" rel="noopener">Tolstoï</a> raconte la guerre sans détourner les yeux. Il s’en souviendra en écrivant <em>Guerre et Paix</em>.</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;"><em>Sébastopol en août,</em> le plus long des trois récits, raconte la fin d’un siège de onze mois : <em>« Sur toute la ligne des bastions de Sébastopol, où, pendant tant de mois, avait bouillonné une vie d’une extraordinaire énergie, qui avaient vu pendant tant de mois des héros se succéder dans la mort les uns après les autres, inspirer pendant tant de mois aux ennemis la terreur, la haine et finalement l’admiration, sur ces bastions, plus personne maintenant nulle part. Tout y était maintenant mort, farouche, terrible, mais non silencieux ; tout s’y écroulait encore. »</em></span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Comme l’écrit <a title="Lecture de Dirlandaise (Critiques libres)" href="http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/26570" target="_blank" rel="noopener">Dirlandaise</a>, ce dernier récit <em>« est un véritable chef-d’œuvre. Tolstoï y met en scène deux frères qui se retrouvent à combattre dans l’enfer de Sébastopol et connaissent chacun un sort tragique. Volodia, le plus jeune, est particulièrement attachant. Il est tourmenté à l’idée d’être un lâche mais, lorsque l’heure vient de s’exposer au danger, il réalise que ses soldats le sont encore plus que lui, ce qui remonte son amour-propre et lui fait accomplir des actes défiant toute prudence, dans le but de se prouver à lui-même son courage et sa loyauté envers la patrie. »</em></span></p>
Tania
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Dire non
tag:textespretextes.blogspirit.com,2016-02-23:3110870
2016-02-23T20:20:00+01:00
2016-02-23T20:20:00+01:00
« Vivre face à l’urgence des périls,...
<p><em><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/01/4021583283.jpg" target="_blank"><img id="media-178220" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/01/4154734761.jpg" alt="glucksmann,andré,une rage d'enfant,récit,autobiographie,philosophie,combat,nazisme,anticommunisme,liberté,colère,culture" /></a></font></span></em></p><p> </p><p> </p><p><em><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>« Vivre face à l’urgence des périls, vivre dans la vérité parce qu’on refuse la vie dans le mensonge, vivre de la liberté sans céder aux sirènes de la servitude, autant de méthodes pour vivre sans mourir idiot, dire non à la destruction et à la dépression. »</font></span></em></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>André Glucksmann,</font></span><em><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font> <a title="Glucksmann, une rage" href="http://textespretextes.blogspirit.com/tag/glucksmann" target="_blank">Une rage d’enfant</a></font></span></em></p><p><span style="font-size: 14pt;"><font> </font></span></p>
Tania
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Glucksmann, une rage
tag:textespretextes.blogspirit.com,2016-02-22:3110869
2016-02-22T08:30:00+01:00
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Qui était André Glucksmann (1937-2015), derrière le personnage rebelle,...
<p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Qui était <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Glucksmann" target="_blank">André Glucksmann </a>(1937-2015), derrière le personnage rebelle, adversaire du politiquement correct ? <a title="Site de l'éditeur" href="http://www.fayard.fr/une-rage-denfant-9782012793521" target="_blank"><em>Une rage d’enfant</em> </a>(2006) commence justement par cette question : <em>« Qui suis-je ? »</em> De trois à sept ans, il a vécu entre deux noms, deux prénoms – <em>« pas de foyer, seulement des domiciles, tous incertains »</em> – dans une famille autrichienne émigrée, juive et résistante, venue se réfugier en France.</font></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/02/362895973.jpg" target="_blank"><img id="media-178183" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/2582408229.jpg" alt="glucksmann,andré,une rage d'enfant,récit,autobiographie,philosophie,combat,nazisme,anticommunisme,liberté,colère,culture" /></a><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;"><font><br />Le philosophe André Glucksmann devant la bibliothèque de son appartement <br />dans le Xème arrondissement de Paris. <br />Photo </font></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;"><font>© Hubert Fanthomme (<a title="Source" href="http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Andre-Glucksmann-Trop-souvent-la-gauche-se-croit-moralement-infaillible-862567" target="_blank">Archives de Paris-Match</a></font></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;"><font>, 10/11/2015)</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Quatre femmes : Martha sa mère – son amour et son admiration pour elle revient tout au long du récit –, sa grand-mère, ses deux sœurs. Seul point fixe en cette période de valises et de déménagements, le gramophone à manivelle et les symphonies de Beethoven en 78 tours. Le père, Rubin Glucksmann, meurt dans un naufrage en 1940. Une enfance donc entre Rivière et Glucksmann (<em>« homme-bonheur »</em>), Joseph (pas Staline, assure sa mère, mais <a title="Critique" href="http://www.revue-silene.com/f/index.php?sp=comm&comm_id=134" target="_blank">Thomas Mann</a>) et André (à cause d’<a title="Wikipedia (en anglais)" href="https://en.wikipedia.org/wiki/Edgar_Andr%C3%A9" target="_blank">Edgar André</a>, militant communiste décapité par les nazis). </font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Le garçon est le premier Français de la famille. Ses parents, qui se sont rencontrés à Jérusalem puis sont revenus en Allemagne avec leurs filles dans les années trente pour contrer l’ascension d’Hitler, se sont sauvés à Paris en 1937, année de sa naissance. En France, Martha continue dans la Résistance. Lui grandit choyé par ses <em>« fées familiales »</em> : <em>« je n’entrevis que par raccrocs, souvent après coup, le bazar sanglant où j’étais plongé ».</em> </font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Pris dans une rafle à domicile, ils échappent aux wagons de la mort grâce à l’audace de sa mère qui crie haut et fort aux prisonniers du camp de Bourg-Lastic ce qui les attend tous à Dachau, malgré les menaces des gendarmes pour la faire taire, et clame la nationalité française de son petit garçon de quatre ans. Ce qui leur vaut d’être finalement rangés parmi les <em>« non-juifs ». « Sauvé par le courage de dire et d’apostropher les bourreaux, le gamin écopait, sans le savoir, d’un cours inaugural de philosophie socratique. Il était moins une, Martha avait parié sur l’insolence, elle eût pu en crever comme Socrate. »</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>L’optimisme après la chute du mur de Berlin en 1989 inquiète Glucksmann, lui rappelle celui de la Libération. Il avait déjà la révolte chevillée au corps, lorsque, furieux de voir sourire les Rothschild en visite au château de Ferrières devenu foyer pour enfants rescapés (où sa mère travaillait) après la guerre, il a lancé son soulier <em>« sur les autorités bienfaitrices »</em>, la <em>« cérémonie charitable »</em> lui étant insupportable, cette façon de faire comme si rien d’horrible n’avait eu lieu.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Après coup, était-ce le premier signe de sa <em>« colère philosophique »</em> ? de son <em>« refus d’occulter, vite fait bien fait, les cadavres accumulés dans les placards de l’univers » </em>? Glucksmann est un <em>« déraciné »</em> comme l’était son père, marchand ambulant de vieux habits quittant le ghetto pour Vienne, puis l’Europe pour la Palestine, militant communiste et sioniste. Il apprendra plus tard qu’il travaillait pour le Komintern.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Veuve à la Libération, sa mère décide de repartir à Vienne mais le laisse libre. Son fils de dix ans choisit alors de rester pour s’inventer <em>« des racines et une histoire françaises ».</em> A treize ans, il entre au parti communiste, le quitte à dix-huit ans. Son héritage ? Trois révélations : Auschwitz, la chute d’Hitler, Hiroshima. La question du Mal est essentielle.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Au quatrième chapitre intitulé <em>« Bonjour, Révolution ! »</em>, <em>Une rage d’enfant</em> change de tonalité. Aux souvenirs personnels succèdent le débat et l’analyse, un parcours philosophique. Glucksmann compare la Révolution française et la Révolution américaine, qu’il juge plus réussie. Il dénonce la posture napoléonienne des <em>« ambitieux du moment »</em>, à la recherche d’un accomplissement hors de l’anonymat du troupeau.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Lui-même a été tenté par cette voie, comme Julien Sorel, et avec le recul, il regrette, il a honte d’avoir été <em>« anarcho-maoïste »</em> en 1968, aveuglé par la <em>« Révolution culturelle ».</em> Son engagement véritable, c’est dire et faire, joindre une parole juste à une action efficace. Plutôt que décréter ce qui est bien (l’opposé du mal), il part de ce qui ne va pas : <em>« l’incongru, l’erreur et l’horreur ».</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>L’anticommunisme est son cheval de bataille : au Goulag, <em>« la révolution russe massacre par millions et invente un esclavage moderne qu’elle exporte aux quatre coins de l’univers. »</em> Il rappelle l’apostrophe de Cohn-Bendit en 68 à Louis Aragon venu se mêler aux étudiants : <em>« Aragon ! Tu as du sang sur tes cheveux blancs »</em>. Glucksmann est fier d’avoir participé à la <em>« démarxisation des esprits ».</em></font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>Les philosophes et les écrivains sont ses repères, les poètes le guident dans sa réflexion : Hugo, Baudelaire, Mallarmé… Le succès inattendu de son essai <a title="Compte rendu dans la revue des ressources (par Pascal Perrineau)" href="http://www.larevuedesressources.org/IMG/pdf/La_cuisinie_re_et_le_mangeur_d_hommes_recension___976_num_26_2_418236_t1_0324_0000_002.pdf" target="_blank">La cuisinière et le mangeur d’hommes </a><em>– Réflexions sur l’Etat, le marxisme et les camps de concentration</em> (1975) le classe parmi les <em>« nouveaux philosophes ».</em> Qu’un juif mette à égalité le nazisme et le communisme fait alors scandale.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font><em>« Qu’est-ce alors que la connaissance philosophique de soi ? Rien d’autre que l’injonction première de se définir dans le plus complet dénuement, face à l’adversité la plus radicale. »</em> Non, écrit Glucksmann, il n’est pas un <em>« prophète d’apocalypse »</em>, mais <em>« tout juste un penseur en colère ».</em> Il appelle au devoir de responsabilité et de lucidité, sans détourner les yeux. Il décrit le triomphe du nihilisme jusque dans ses avatars terroristes actuels.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font><a title="« De quoi André Glucksmann est-il le nom ? » par Philippe Granarolo dans Philo Contemporaine (Iphilo, 12/11/2015)" href="http://iphilo.fr/2015/11/12/de-quoi-andre-glucksmann-est-il-le-nom-philippe-granarolo/" target="_blank">Glucksmann</a> rapporte ses principaux combats, dont celui pour la <a title="Encyclopédie Larousse" href="http://www.larousse.fr/encyclopedie/autre-region/Tch%C3%A9tch%C3%A9nie/146168" target="_blank">Tchetchénie</a>, <em>« détail du monde » </em>: cent à trois cent mille victimes depuis 1995, pour moins d’un million d’habitants ! Sa capitale Grozny réduite en poussière, <em>« Guernica puissance X »</em>, dans l’indifférence générale. Il dénonce l’aveuglement européen devant le despotisme de Poutine.</font></span></p><p><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"><font>A la mort d’André Glucksmann il y a quelques mois, les <a href="http://www.lepoint.fr/culture/andre-glucksmann-les-reactions-a-la-mort-du-philosophe-10-11-2015-1980441_3.php" target="_blank">hommages </a>ont été nombreux pour cet indigné et ce défenseur infatigable des droits de l’homme. A la fin d’<a title="« Qui était Glucksmann ? » Chez Thierry Ardisson à la sortie de son livre (Ina.fr)" href="https://www.youtube.com/watch?v=8IUq97d58ro" target="_blank"><em>Une rage d’enfant</em></a>, il commence son <em>« au revoir »</em> par ces mots : <em>« Ma vie n’est pas un roman. Surtout pas. »</em></font></span></p>
Tania
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Salut, fils
tag:textespretextes.blogspirit.com,2015-02-03:3110648
2015-02-03T20:20:00+01:00
2015-02-03T20:20:00+01:00
« – Salut, fils, a dit Tyrone. Mon traître avait entendu la...
<p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><em><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/00/2199558242.jpg" target="_blank"><img id="media-166061" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/02/201372915.jpg" alt="Chalandon poche.jpg" /></a>« – Salut, fils, a dit Tyrone.<br /> Mon traître avait entendu la fermeture éclair. Il ne m’a pas regardé. Il a ouvert le bras pour prendre mon épaule. Je suis venu à lui. Il fumait. Il m’a serré en frère. Comme il le faisait lorsque j’allais mal. Lorsque j’avais peur, quand je doutais de tout, quand parfois je croyais la guerre inutile ou perdue. Nous étions comme ça, à deux, face au lac, au milieu de son Irlande et sous son ciel. Il m’a pris par l’épaule. Il n’a rien dit, d’abord. Il a laissé le vent, la lumière effleurer les collines, les murets de pierres plates. Sa main, lourde sur mon épaule, ses yeux clos. Je l’ai regardé. J’étais fier. De sa confiance, surtout. »</span></em></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">Sorj Chalandon,</span><a title="Irlandais de coeur (T&P)" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2015/01/30/irlandais-de-coeur-1139390.html" target="_blank"><em><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;"> Mon traître</span></em></a></p>
Tania
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Irlandais de coeur
tag:textespretextes.blogspirit.com,2015-02-02:3110647
2015-02-02T08:30:00+01:00
2015-02-02T08:30:00+01:00
Publié six ans avant Le quatrième mur , Mon traître (2007) de...
<p><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">Publié</span><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;"> six ans avant <a title="Antigone à Beyrouth (T&P)" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2014/04/13/antigone-a-beyrouth-1128133.html" target="_blank"><em>Le quatrième mur</em></a>, <em>Mon traître </em>(2007) de Sorj Chalandon est déjà un roman hanté par la guerre, ici celle de l’<a title="Notice Wikipedia" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9e_r%C3%A9publicaine_irlandaise" target="_blank">IRA</a>, mais il ne faudrait pas l’y réduire : c’est d’abord une histoire d’amitié, celle d’Antoine, un luthier français, pour des Irlandais dont l’accueil, le combat, les manières d’être, lui font battre le cœur, et d’une trahison.</span> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/357268434.jpg" target="_blank"><img id="media-166059" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/01/2615238677.jpg" alt="chalandon,sorj,mon traître,roman,littérature française,irlande,ira,amitié,combat,trahison,culture" /></a><span style="line-height: 115%; font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: xx-small;"><br />« Mon traître », d’après <em>Mon traître</em> et <em>Retour à Killybegs</em> de Sorj Chalandon au <a title="Source de la photo" href="http://www.bouffesdunord.com/fr/saison/5187ac0067afe/mon-traitre" target="_blank">Théâtre des Bouffes du Nord</a> (2013) </span></p><p style="text-align: left;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;"><em>« La première fois que j’ai vu mon traître, il m’a appris à pisser. »</em> Son nom est donné d’emblée : Tyrone Meehan, rencontré dans un club de Belfast <em>« réservé aux anciens prisonniers républicains ».</em> Jim, un ami menuisier et chômeur, et sa femme Cathy O’Leary ont amené là leur ami français en avril 1977, au milieu d’une <em>« petite foule qui vivait entre liberté et captivité, qui avait sa place aux tables à bière, et puis ses habitudes derrière les barbelés. »</em></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">En début ou en fin de soirée, on joue <a title="Hymne national irlandais (YouTube)" href="https://www.youtube.com/watch?v=QfgnVMFtd7E" target="_blank"><em>Soldier's Song</em></a>, l’hymne national irlandais, un instant qu’Antoine aime partager : <em>« Et là, au milieu de tous, debout avec tous, avec le même regard blessé, le même visage de craie, les mêmes cheveux de pluie, la même respiration fragile, j’étais comme irlandais. »</em> Cela fait deux ans qu’il laisse régulièrement son petit atelier parisien, <em>« l’odeur du bois et du vernis »</em>, pour se rendre chez Jim en Irlande du Nord où errent tant de journalistes, de militants de la cause irlandaise. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">Il est tout de suite séduit par le petit homme élégant, <em>« en veste de tweed marron chiné d’ocre et de vert, avec une chemise à carreaux fins et une cravate de laine sombre »</em> et casquette de laine, qui lui montre comment se tenir devant l’urinoir sans éclabousser ses chaussures. Antoine a trente-deux ans, l’homme beaucoup plus. A l’étonnement de Jim quand il revient à sa table, le Français comprend que Tyrone Meehan <em>« était de ceux que célèbrent les chansons rebelles »</em>, un vétéran que tous les Irlandais admirent.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">C’est à Paris en 1974 qu’un Breton venu à son atelier lui a fait rencontrer <em>« la République irlandaise »</em>, en lui montrant la photo d’un homme souriant <em>« qui portait une chemise à col rond »</em>. Dans son étui à violon, ce visiteur avait collé une photo de <a title="Notice Wikipedia" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Connolly_(Irlande)" target="_blank">James Connolly</a>, un patriote irlandais fusillé en 1916. Antoine a aimé ce visage.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">Pour ses trente ans, en 1975, il est allé faire la fête à Dublin avec un ami apprenti avec lui à Mirecourt, marié à une Irlandaise. Puis, en se souvenant d’une remarque du Breton – <em>« Vous ne connaissez pas le Nord ? Alors vous ne connaissez pas l’Irlande »</em> –, il a pris un bus pour Belfast, a marché dans des rues où les blindés britanniques passaient sans cesse, et c’est là que Jim O’Leary a proposé à l’homme au violon, tout simplement, de rentrer boire un thé chez lui, et qu’il a fait connaissance avec ce couple accueillant dont le fils était mort l’année d’avant d’une balle plastique reçue en plein front.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">La vie d’Antoine en est changée. De lui-même, il ne dit pas grand-chose à part l’amour de son métier et quelques lignes sur sa femme qui l’a quitté, sur ses amis d’avant qui ne le reconnaissent plus. Auprès de ces Irlandais il se sent différent, <em>« quelqu’un en plus »</em>, avec <em>« un autre monde, une autre vie, d’autres espoirs ».</em> Il lit tout ce qu’il trouve sur l’Irlande, apprend son histoire, sa langue, le goût de la Guinness. Chaque fois qu’il retourne auprès de ses amis, de Tyrone qui le traite comme un fils, il se sent à sa place. Il voudrait épouser leur cause, même si eux préfèrent qu’il reste lui-même, leur ami français.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;"><em>Mon traître</em> est l’histoire de cette amitié, de ce compagnonnage avec des militants de l’IRA, et d’une trahison improbable qui va tout chambouler. <a title="Entretien (CFPJ, 2008)" href="http://lab.cfpj.com/2008/01/10/interview-de-sorj-chalandon-pour-la-parution-de-mon-traitre-l-ecriture-passee-a-la-rape/" target="_blank">Sorj Chalandon</a>, journaliste et écrivain, a nourri cette fiction de trente ans d’histoire irlandaise et de lutte armée </span><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif';"><span style="font-size: large;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US; mso-ansi-language: FR-BE; mso-bidi-language: AR-SA;">– <span style="font-size: medium;">il a reçu le prix Albert-Londres en 1998 pour ses reportages sur l’IRA. Au </span></span></span></span><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: medium;">plus près des faits mais en changeant certains noms, il décrit cette fraternité qu’il a lui-même vécue tout en s’interrogeant sur son traître, un traître fascinant.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: center;"><span style="line-height: 115%; font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">* * *<br /></span><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;">1915 - 2015</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif; font-size: small;"><a title="Dossier 100 ans La Libre Belgique" href="http://www.lalibre.be/culture/medias-tele/100-ans-de-la-libre-100-personnalites-confient-ce-qu-elles-voudraient-lire-dans-la-libre-en-2015-54cf3a9e35701001a1801bca" target="_blank"> <strong><em>La Libre Belgique</em> a cent ans ! </strong></a><br /> Du Palais royal à Maggie De Block, <span style="mso-spacerun: yes;"> </span><br /> 100 personnalités répondent à la question :<br /> "Que souhaitez-vous lire dans <em>La Libre</em> en 2015 ?"</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: center;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: xx-small;">(mise à jour 2/2/2015 15h10)</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt;"> </p>
Pucemuce
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Plus forte
tag:lesyeuxetlecoeur.blogspirit.com,2015-01-23:3033684
2015-01-23T11:38:00+01:00
2015-01-23T11:38:00+01:00
J'ai craqué l'allumette. Mis le feu à mes cheveux. J'envoie du vent dans...
<p style="text-align: center;"><img id="media-844390" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://lesyeuxetlecoeur.blogspirit.com/media/00/02/367157701.jpg" alt="poème,poésie" width="380" height="311" /></p><p>J'ai craqué l'allumette. Mis le feu à mes cheveux.</p><p>J'envoie du vent dans ta face. Mille doigts, mille papilles.</p><p>Je déboutonne ta peau. Une mise à nue, matador. Un pas de deux.</p><p>Fais attention à moi, je m'éparpille !</p><p> </p><p>Tu ne te méfies pas, mon échine s'abaisse.</p><p>C'est pour mieux faire danser mes robes. Dans l'arène.</p><p>Une pique. Des tambours qui m'agressent.</p><p>Trop de mains se hérissent, dans les tribunes se traînent.</p><p> </p><p>Touché. Non, j'implose.</p><p>Mille débris au sol bientôt éparpillés. Que reste-t-il de ma prose ?</p><p>Un son pur, une métamorphose.</p><p>Je m'enracine dans ma terre, plus forte que jamais. A moi, la valse.</p><p> </p><p>Copyright @Marion Duchêne (23 janvier 2015)</p><p> </p><p> </p>
hommelibre
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La loyauté de genre = prison intellectuelle
tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2013-07-03:3298747
2013-07-03T09:23:00+02:00
2013-07-03T09:23:00+02:00
Je m’efforce de bien distinguer l’idéologie féministe ainsi que les...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/789024979.jpg" target="_blank"><img id="media-146417" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/2505507259.jpg" alt="hommes,femmes,genre,débat,combat,cause des hommes,masculin,féminin,généralisation,communautarisme, loyauté,idéologie," width="270" height="275" /></a>Je m’efforce de bien distinguer l’idéologie féministe ainsi que les associations plus ou moins radicales (presque toutes le sont devenues), ce que je nomme <a href="http://www.atypic.ch/Atypic_Editions/feminisme_hommes_femmes_goetelen_john_atypic_livre_critique_feminista.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><em>la Féminista</em></span></a>, d’avec l’ensemble des femmes. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Je n’ai pas de thé à offrir aux femmes qui viennent sur ce blog, mais de l’écoute. Je ne suis pas un ennemi. Parfois certains d’entre nous, hommes, sommes blessés et l’exprimons avec vigueur. Cela m’arrive aussi. La guerre n’est jamais très loin des campements humains. C’est ainsi et je ne prétends pas faire mieux que quiconque sur ce point.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Mais je m’efforce souvent d’être objectif, malgré mes positions parfois tranchées (il le faut aussi), de rester dans le débat d'arguments et d'éviter les attaques personnelles. Je lâche rarement une discussion en prenant les gens de haut. Nous ne sommes pas dans l’obligation d’avoir un consensus. Si déjà nous pouvons débattre, clarifier parfois, élargir nos regards, je trouve que cela vaut le temps mis ici.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">J'ai eu l'occasion de dialoguer longuement avec beaucoup de femmes (dont des féministes déclarées) ici sur ce blog. Avec certaines je garde une sympathie, un clin d'oeil de loin en loin. Avec d’autres les boucliers restent levés. J'ai souvent fait alliance avec des femmes. Il </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">est difficile évidemment de critiquer un mouvement (le féminisme et ce qu’il est devenu) qui prétend parler au nom «des» femmes. Difficile de faire entendre une voix qui pour beaucoup est suspecte parce que l’on est homme. Parfois je serais aussi bien à partager </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">une chanson, à danser ou à regarder le soleil se coucher sur la mer. Mais cela ne suffit pas à gérer tous les aspects de la vie!</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">A dire vrai la notion même de cause masculine me gonfle un peu. Mes bonheurs sont ailleurs et la vérité m'intéresse davantage que les communautarismes. Mais il faut y </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/01/2808541725.jpg" target="_blank"><img id="media-146422" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/808409440.jpg" alt="hommes,femmes,genre,débat,combat,cause des hommes,masculin,féminin,généralisation,communautarisme,loyauté,idéologie" width="276" height="207" /></a></span>passer tant l’époque est calée sur des communautarismes exacerbés </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">de genre, de religion, ou de toutes sortes d’appartenances sexuelles ou intellectuelles. Je</span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> parle de cause des hommes, de misandrie, de vécu des hommes, de culture de la différence parce que j’ai pris conscience de l’importance du sujet dans notre société. Je suis convaincu qu’il faut revaloriser la place des hommes et des pères, pour ne nombreuses raisons, et pas simplement en disant amen au féminisme et en se culpabilisant d’être des hommes. Mais en l’assumant avec fierté - y compris sur certains aspects de la masculinité qui sont critiqués dan le féminisme actuel en général, politisé, extrémiste et misandre. Féminisme </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">qui sur de nombreux points doit être vigoureusement contredit et déconstruit si l’on veut un vrai partenariat entre les femmes et les hommes. Les hommes devraient-ils se laisser </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">formater par les femmes? Je ne le pense pas.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Je m’efforce de laisser mon hypersensibilité au vestiaire quand je débats, mais je ne me sens pas pour autant proche des hommes qui sifflent toutes le femmes qui passent dans la rue. Même si cela fait possiblement partie de la survie de l’espèce... :-) </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">J’accepte que parfois les échanges soient chargés d’adrénaline. Trop de douceur rend fragile. Je ne lâche pas facilement le morceau et il me faut de solides arguments pour que je change de position. Cela fait partie de mes qualités: je ne renonce pas pour plaire mais parce que je suis convaincu.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Si je devais faire simple je dirais: les femmes oui, le féminisme non. Je n’ai pas pour autant de loyauté automatique ou obligatoire de genre: je ne veux pas me sentir d’affinité avec des hommes simplement parce qu’ils sont hommes. <a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/archive/2009/01/12/les-loyautes-parasites.html" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><em>Les loyautés parasites</em></span></a> ne m'intéressent pas. J’y perdrais mon indépendance d’esprit et ma loyauté à l’humain. Je serais emprisonné. Et cela, non merci!</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">On rencontre parfois chez des hommes qui soutiennent la cause masculine le même réflexe rejetant que chez certaines féministes misandres. Le risque de la généralisation à toutes les femmes est réel. Je suis conscient que beaucoup d'hommes ont des choses à dire sur la condition masculine, sur la misandrie, sur la mythologie féministe. Je vois aussi combien, pour certaines femmes, cela doit être difficile de se confronter à des hommes parfois à cran et dont la susceptibilité légitime mais aussi très réactive démarre au quart de tour.</span></p>
hommelibre
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Tous discriminés, tous exclus?
tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2013-05-27:3298706
2013-05-27T10:03:00+02:00
2013-05-27T10:03:00+02:00
L’élevage industriel perturbe le climat Les Végan, végétariens et...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/1088388497.jpg" target="_blank"><img id="media-143266" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/444299857.jpg" alt="vegan,discrimination,exclusion,combat,lutte,mariage gay,libération,conformisme,stigmatisation," width="274" height="206" /></a>L’élevage industriel perturbe le climat</span></strong><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les Végan, végétariens et végétaliens, on fait leur «pride» il y a une semaine. Leur mode de vie exclut la viande et, selon la tendance, toute alimentation d’origine animale. Ce choix tient sur trois raisons principales: les risques de l’excès de viande sur la santé, le coût écologique élevé de l’élevage par rapport à l’agriculture, et le refus de l’exploitation des animaux au profit des humains.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Le premier point, soit l’impact de l’alimentation et de l’excès de viande sur la santé, est de plus en plus documenté mais encore controversé médicalement. Le deuxième point est un constat. L’alimentation animale utilise beaucoup de ressources naturelles et 30% des terres émergées. La surface de terre qui permet de nourrir un humain avec de la viande permettrait d’en nourrir 6 à 7 fois plus en moyenne avec des céréales. L’élevage industriel consomme beaucoup d’eau, de céréales et participe à la pollution de l’air (méthane) et des nappes phréatiques. La mise en culture et en pâtures de terres forestières pour l’élevage réduit la surface mondiale de forêts. Or la déforestation a une conséquence directe et forte sur le réchauffement climatique, entre autres par la moindre absorption du CO2, gaz à effet de serre qui se retrouve dans l’atmosphère plutôt que d’être piégé dans la végétation arboricole. La consommation exponentielle de viande contribue donc à une modification climatique importante et rapide.</span><br /><br /><br /><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Les animaux, esclaves moderne?</span></strong><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Esclaves? Pire. Les esclaves n’étaient pas élevés pour servir de plat de résistance. Les animaux le sont. L’usage ancestral légitimerait-il l’exploitation et la consommation des animaux? Quelle est la valeur de la vie animale - donc de la nôtre puisque nous sommes des mammifères, et que seule notre habileté nous donne une supériorité dominatrice sur les animaux? Tous les règnes animaux sont-ils équivalents? </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">La consommation de produits animaux implique plusieurs questions. Le pragmatisme fait<a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/1127024135.jpg" target="_blank"><img id="media-143267" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/01/1914205828.jpg" alt="vegan,discrimination,exclusion,combat,lutte,mariage gay,libération,conformisme,stigmatisation," width="274" height="181" /></a> utiliser tout ce qui est à disposition, pourvu que nous soyons capables de l’obtenir. Toute discrimination dans nos choix est en partie conséquence une idéologie. En ce sens le végétarisme est une idéologie puisqu’il implique un choix intellectuel argumenté et en partie philosophique, une différenciation de valeur, et un renoncement volontaire qui est une forme de contrainte. Il n’y a pas d’idéologie sans renoncement et contrainte.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">L’alimentation à base de produits animaux ne va donc pas forcément de soi et le fait qu’elle soit chose courante est due à l’habitude et non à une réflexion. Mais c’est ainsi: la réflexion vient en général après l’action, du moins en ce qui concerne les modes de vie. On fait, on agit, avant de constater les conséquences bonnes ou mauvaises de l’action et de réfléchir à la manière ou au pourquoi l’on fait.</span><br /><br /><br /><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Discriminés, vraiment?</span></strong><br /><br /><em><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">«<a href="http://www.lematin.ch/societe/Apres-la-Gay-Pride-la-Veggie-Pride/story/16501959" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;">Les gays sont mieux traités</span></a> que les gens qui ne mangent pas de produits d’origine animale! Jamais un médecin ne dirait à un homo d’arrêter d’être homo. Par contre, beaucoup ne cessent de nous dire de manger de la viande!»</span></em><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Cette affirmation est excessive. La discrimination est une notion précise: elle se manifeste par des empêchements, contraintes et interdit légaux, professionnels, concrets, appliqués de manière systémique contre une catégorie de population et qui ne semblent pas justifié par des raisons techniques. Or les personnes végétariennes ne sont pas empêchés de l’être. Elles trouvent tous les produits dont elles ont besoin dans le commerce, des livres, des forums, des congrès pour échanger. </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ces personnes sont-elles l’objet d’une hostilité sociétale particulière? Elles dérangent et questionnent, mais il n’y a pas d’empêchement systémique. Le fait que les non-végétariens les critiquent est-elle une discrimination? Certainement pas. La critique, ou même l’incompréhension et les conseils, justifiés ou non, font partie de la communication à l’intérieur d’un groupe. La différence questionne. C’est ainsi dans tous les domaines. Si elle ne questionnait cela signifierait que nous sommes en désintérêt des autres. Ce questionnement demande du temps avant de trouver une réponse grâce à laquelle les gens et les choses trouvent une place. Il n’y a pas de changement sociétal sans questionnement.</span><br /><br /><br /><strong><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/01/3016914286.jpg" target="_blank"><img id="media-143268" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/02/4062350727.jpg" alt="vegan,discrimination,exclusion,combat,lutte,mariage gay,libération,conformisme,stigmatisation," width="199" height="282" /></a>Une société de victimes?</span></strong><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Aujourd’hui c’est la confusion des notions: la simple critique est présentée comme une discrimination et une exclusion. Invoquer la discrimination à toute occasion </span><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">comme un réflexe </span>enlève le crédit de ce terme et exprime une volonté d'étouffer les débats à l'avance. La société devient trop fragile, trop victimaire, elle ne sait plus se confronter à elle-même intellectuellement. Non les Végan ne sont pas des victimes, non ils ne sont pas discriminés. La posture victimaire est à la mode et doit rapporter des statuts privilégiés? Cela conduit à un morcellement, une fragmentation de la société, une «somme des victimes» formant un monde de lamentation et de revendication où le moindre désaccord est stigmatisé. Cela tue tout débat intellectuel. La grande soupe victimaire est de plus en plus indigeste.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Je lis sur <em>Libération</em>, à propos de la manifestation contre le mariage gay d’hier à Paris: <em>«La réac-pride se dégonfle»</em>. Réac-pride: pourquoi cette stigmatisation? Le droit au désaccord et à l’expression de ce désaccord n’est donc plus intellectuellement légitime? Qui sont ces intellos qui veulent tuer les débats en excluant les positions différentes par la stigmatisation et l’amalgame? Le conformisme actuel nie la différence. La société devient de plus en plus étouffante et le politiquement correct va tôt ou tard générer une révolte de l’esprit.</span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Nous sommes tous l’autre de quelqu’un, le différent, l’étranger. Nous devons l’assumer, faire agréer notre réalité. Nous n’avons pas de place de fait, à part le droit de vivre. Pour le reste tout se gagne. Toutes les sociétés jusqu’à la nôtre avaient des exigences à l’égard des individus qui la composent. Aujourd’hui les individus n’auraient plus que des droits à l’égard de la société-parent? </span><br /><br /><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">A éviter les vrais combats on devient incapable de valoriser notre existence. Le réel nous rattrapera.</span><br /><br /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Il y a une semaine c’était au tour des Vegan de défiler dans les rues de Genève pour dénoncer la discrimination dont ils seraient l’objet. La posture victimaire semble encore une fois être le dénominateur commun à tous les mouvements revendicatifs. A croire que nous ne sommes plus qu’une société de victimes qui ne savent que se plaindre, trouver des fautifs et chercher la protection de l’Etat-parent.</span></p>
phalexandre
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La pensée du jour de Jacko...
tag:blogdewellin.blogspirit.com,2012-03-18:3231619
2012-03-18T08:00:00+01:00
2012-03-18T08:00:00+01:00
« La pire des défaites : celle d’avoir refusé le combat »...
<p><img style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://mestiti.m.e.pic.centerblog.net/ufpdj5sd.gif" alt="ufpdj5sd.gif" /></p><p><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: x-large; color: #000000;">« <em>La pire des défaites : celle d’avoir refusé le combat</em> » </span></p><p><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: medium;">Gérard d’Aboville</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_d'Aboville" target="_blank"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://www.pneuboat.com/_news/2008/gerard_aboville.jpg" alt="gerard_aboville.jpg" /></a></p><p> Cliquez sur l'image</p><p><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://mamidoo.free.fr/html/gifs/barres/animees/divers/bar2.gif" alt="bar2.gif" /><strong style="font-size: 11px;"><span style="color: #ff6600;">J<em><span style="font-family: 'comic sans ms', sans-serif; font-size: x-small;">acko n'est qu'un perroquet qui répète ce qu'il entend... Surtout le dimanche...</span></em></span></strong><span style="font-size: 11px;"> </span></p>
Minh2909
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Mortal Kombat Destrution Finale
tag:cine2909.blogspirit.com,2011-11-14:2384284
2011-11-14T12:00:00+01:00
2011-11-14T12:00:00+01:00
Liu Kang (Robin Shou) a vaincu le tyran Shang Tsung et remporté ainsi...
<p style="text-align: center;"><img id="media-605332" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/00/2167860595.33.jpg" alt="aff.jpg" /></p><p><strong>Liu Kang (Robin Shou)</strong> a vaincu le tyran <strong>Shang Tsung</strong> et remporté ainsi le <strong>Mortal Kombat</strong> assurant la paix sur terre pour au moins une génération. A peine sorti de son combat ; Il doit faire face à une nouvelle menace personnifiée par le terrible <strong>Shao Khan (Brian Thompson)</strong>, venu tout droit d’<strong>Outre-monde</strong> et violant ainsi les lois édictées par les dieux anciens. Il a l’intention de faire fusionner son monde avec la <strong>Terre </strong>; ses généraux vont ainsi pouvoir s’en donner à cœur joie et répandre la terreur. En compagnie de ses potes <strong>Rayden (James Remar)</strong>, <strong>Sonya Blade (Sandra Hess)</strong> ou encore la princesse <strong>Kitana (Talisa Soto)</strong> ; Liu Kang va de nouveau combattre pour sauver le destin des humains.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-605333" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/02/2535282206.6.jpg" alt="02.jpg" /></p><p>Après un premier épisode plus ou moins réussi, le célèbre de baston sanglant se voit offrir une suite ; une nouvelle qui aurait pu ravir les fans mais ce n’est pas vraiment le cas. Dieu sait ce qui a traversé l’esprit du réalisateur <strong>John R. Leonetti</strong> qui nous inflige une terrible <em><strong>Fatality</strong></em> avec ce gigantesque navet. Dès les premières minutes, il est bien difficile de se retenir d’exploser de rire devant le ridicule de certaines situations. A cela s’ajoute le jeu branlant des comédiens, les décors en carton-pâte et le scénario bien évidemment inexistant. <strong>Mortal Kombat Destrution Finale</strong> a davantage les allures d’un téléfilm qu’autre chose et s’impose comme l’une des pires adaptations de jeux vidéos !</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong>En savoir plus sur <span style="background-color: #00ff00; color: #000000;"><a title="Mortal Kombat" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2011/08/07/mortal-kombat.html" target="_blank"><span style="background-color: #00ff00; color: #000000;">Mortal Kombat</span></a></span> ?</strong></p>
Minh2909
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Mortal Kombat
tag:cine2909.blogspirit.com,2011-11-07:2384281
2011-11-07T12:00:00+01:00
2011-11-07T12:00:00+01:00
Un nouveau tournoi Mortal Kombat est sur le point de débuter et il...
<p style="text-align: center;"><img id="media-605330" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/2167860595.30.jpg" alt="aff.jpg" /></p><p>Un nouveau tournoi <strong>Mortal Kombat</strong> est sur le point de débuter et il pourrait sceller le destin de la Terre. Après avoir remporté 9 victoires consécutives, le maléfique <strong>Shang Tsung (Cary-Hiroyuki Tagawa)</strong> pourrait en effet envahir notre monde s’il venait à être déclaré vainqueur mais le <strong>Seigneur Rayden (Christophe Lambert)</strong> n’entend pas le laisser faire. Parmi tous les participants, il va soutenir un trio prometteur composé de <strong>Liu Kang, Johnny Cage & Sonya Blade (Robin Shou, Linden Ashby & Bridgette Wilson)</strong> mais ils sont encore loin d’être prêts à vaincre leurs adversaires. Pour Liu Kang, ce tournoi a surtout un parfum de revanche car son jeune frère <strong>Chan (Steven Ho)</strong> fut vaincu par Shang Tsung qui s’est également emparé de son âme.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-605331" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/2535282206.13.jpg" alt="02.jpg" /></p><p>A l’époque de sa sortie au cinéma, j’avais adoré <strong>Mortal Kombat</strong> car il faut remettre les choses dans leur contexte, cela suivait la désastreuse adaptation de <strong>Street Fighter</strong>. Plus de 15 ans plus tard, je me rends maintenant compte que le film de <strong>Paul W.S. Anderson</strong> était loin d’être le résultat exceptionnel que je voulais bien croire. Le casting déjà est une catastrophe hormis peut-être <strong>Robin Shou</strong> qui est le seul à savoir se battre et puis il y a cette profusion d’effets spéciaux qui paraissent totalement désuets aujourd’hui. Il y a des films qu’il ne vaut mieux pas revoir et cette adaptation du jeu de <strong>Midway</strong> en fait clairement parti. Écrasante déception !! En tout cas, le film aura eu suffisamment de succès à l’époque pour nous offrir une suite, une merveilleuse perle de kitsch.</p><p> </p><p style="text-align: center;"><strong>En savoir plus sur <span style="background-color: #00ff00; color: #000000;"><a title="Mortal Kombat Destruction Finale" href="http://cine2909.blogspirit.com/archive/2011/08/07/mortal-kombat-destrution-finale.html" target="_blank"><span style="background-color: #00ff00; color: #000000;">Mortal Kombat Destruction Finale</span></a></span> ?</strong></p>
Minh2909
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Tekken
tag:cine2909.blogspirit.com,2011-01-24:2094569
2011-01-24T12:00:00+01:00
2011-01-24T12:00:00+01:00
Une armée de Jacks a fait irruption dévastant sa maison et lorsque...
<p><p style="text-align: center;"><img id="media-553960" style="margin: 0.7em 0;" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/02/00/716005396.15.jpg" alt="aff1.jpg" /></p></p><p>Une armée de <strong>Jacks </strong>a fait irruption dévastant sa maison et lorsque notre pote <strong>Jin Kazama (Jon Foo) </strong>s’est rendu sur les lieux, il n’a pu que constater la mort de sa mère<strong> Jun (Tamlyn Tomita)</strong>. Pour le jeune homme, le responsable de sa mort est tout trouvé, ce n’est nul autre que <strong>Heihachi Mishima (Cary-Hiroyuki Tagawa)</strong> et il va tout faire pour assouvir sa vengeance. Il décide ainsi de participer au tournoi <strong>Iron Fist</strong> afin d’affronter les combattants <strong>Tekken </strong>ce qui le mènera directement auprès d’Heihachi. Avant cela, il va devoir se défaire de <strong>Marshall Law (Cung Le) </strong>mais pendant ce temps, quelqu’un d’autre cherche à faire chuter Heihachi. Il s’agit de son propre fils <strong>Kazuya (Ian Anthony Dale)</strong> qui souhaite s’emparer du pouvoir de son père.</p><p><p style="text-align: center;"><img id="media-553961" style="margin: 0.7em 0;" src="http://cine2909.blogspirit.com/media/01/02/2535282206.2.jpg" alt="02.jpg" /></p></p><p>Les amateurs de jeux vidéo auront bien entendu reconnu l’adaptation du célèbre hit de <strong>Namco</strong> dont les débuts remontent quand même à 1994 ! Généralement, passer de la console à l’écran est rarement salutaire, il y a eu des résultats désastreux et d’autres plus convenables. <strong>Tekken </strong>se situe entre les 2 ; on échappe au ridicule d’un <strong>Street fighter </strong>mais on est encore loin de l’adaptation idéale. Le casting des personnages est déjà un point négatif ; les femmes brillent par leur plastique tandis que les hommes manquent de charisme. Ajoutez à cela des combats chorégraphiés par <strong>Cyril Raffaelli</strong> mais qui manquent vraiment de panache et vous obtenez une nouvelle fois une belle déception. Allez, on va plutôt retourner jouer à la console !</p>
JMOlivier
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L'Ogre des Lettres romandes
tag:jolivier.blogspirit.com,2009-10-13:3327398
2009-10-13T11:45:00+02:00
2009-10-13T11:45:00+02:00
On oublie aujourd'hui dans quel climat plombé de calvinisme strict, de...
<p>On oublie aujourd'hui dans quel climat plombé de calvinisme strict, de radicalisme bien-pensant, il publia ses premiers livres, comme <i>La Confession du pasteur Bur</i>g* (quel titre hérétique !) et <i>Le Portrait des Vaudois</i>**. Il fallut la reconnaissance parisienne et le Prix Goncourt (en 1973) pour donner au personnage, comme à son œuvre, une solide autorité.<br /> <img src="http://jolivier.blogspirit.com/media/01/02/3499858002.jpeg" id="media-39285" alt="images-1.jpeg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Pourtant, jusqu'à la fin, le combat fut ardu. Rappelons-nous son dernier livre, <i>Un Juif pour l'exemple</i>***, qui raconte la mise à mort, en 1942, dans la petite ville de Payerne, d'un marchand de bestiaux juif, Arthur Bloch, par un groupuscule fasciste. Tout l'art de Chessex tient dans ce livre : à la fois limpide et provocant, direct et cru, creusant l'âme humaine jusqu'à l'os. Tout le nord vaudois s'est indigné de ce livre « scandaleux » qui remue la boue d'un passé qu'on aimerait oublier, mais qui ne passe pas. Là encore, malgré un large succès public (33'000 exemplaires vendus), Chessex dut affronter insultes et menaces.<br /> Toute vie d'écrivain est une vie de colères et de combats : il faut sans cesse défendre ce qu'on écrit contre l'esprit négatif du temps, les haines tenaces, les résistances sourdes. En ce domaine, comme en beaucoup d'autres, Jacques Chessex nous a montré la voie. Ses livres vont nous accompagner longtemps.<br /> <br /> <b>* <i>La Confession du pasteur Burg</i>, Poche suisse, l'Âge d'Homme.<br /> ** <i>Le Portrait des Vaudois,</i> collection Babel, Actes Sud.<br /> *** <i>Un Juif pour l'exemple</i>, Grasset, 2009.</b></p><p><img src="http://jolivier.blogspirit.com/media/01/01/2153122273.jpeg" id="media-39284" alt="images-1.jpeg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" />Pendant un demi-siècle, Jacques Chessex a secoué la Suisse romande par ses colères et ses indignations. Répondant, le 9 octobre dernier, lors d'un débat public à Yverdon, à un auditeur anonyme qui l'interpellait sur l'« affaire Polanski », Chessex, une dernière fois, a clamé sa colère contre les bien-pensants et la lâcheté helvétique, et il s'est écroulé, victime d'un malaise mortel.<br /> Cette mort théâtrale est à l'image de l'écrivain qui cultivait son personnage, à la fois austère et grave. Elle est à l'image, aussi, d'une vie de combats dans laquelle l'écrivain vaudois, plus d'une fois, a dû affronter les critiques, les attaques personnelles, voire les invectives ou les menaces.</p>
Minh2909
http://cine2909.blogspirit.com/about.html
Ong Bak II - La naissance du dragon
tag:cine2909.blogspirit.com,2009-08-04:1804761
2009-08-04T17:00:00+02:00
2009-08-04T17:00:00+02:00
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Orphelin, il s’est trouvé une nouvelle famille pour grandir et surtout pour devenir plus fort. Il n’y a pas un jour où Tien ne s’entraine pas, perfectionnant ses techniques de combat et devenant ainsi un guerrier redoutable. Alors que sa force est enfin reconnue de tous, il cherche désormais à se venger car durant son enfance, sa famille a été décimée et le seul responsable est le <b>Seigneur Rat-Cha-Sei-Na (Saranyu Wongkrajang)</b>.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://cine2909.blogspirit.com/media/00/00/659034085.3.jpg" id="media-387893" alt="19129762.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p><b>Tony Jaa</b> s’était fait connaitre avec le personnage d’<b>Ong Bak</b>, on trouvait alors à cet acteur thaïlandais une habilité au combat digne d’un <b>Bruce Lee</b>. Gros succès en <b>Thaïlande</b>, <b>Ong Bak II - La naissance du dragon</b> s’annonçait donc énorme mais comme c’est souvent le cas l’attente ne valait pas forcément le coup. On peut déjà reconnaitre le mérite de ce film de ne pas avoir joué la carte de la facilité en proposant une suite banale (bonjour aux américains) mais un prequel. <b>Tony Jaa</b> (qui est aussi réalisateur) s’est lancé dans un projet très ambitieux en voulant dépasser le simple film d’action. Le scénario est malheureusement trop succinct mais on se console avec les phases de combat qui sont d’une précision implacable et d’un niveau rarement atteint. A voir seulement pour les fans de kung-fu.</p> <p> </p> <p style="text-align: center;"><b><span style="background-color: #ffff00;"><span style="text-decoration: underline;">Il faut le voir pour :</span></span> Prendre un cours accéléré d’arts martiaux et apprendre à sa battre avec un éléphant.</b></p>
hommelibre
http://leshommeslibres.blogspirit.com/about.html
La rage du lapin...
tag:leshommeslibres.blogspirit.com,2009-04-10:3296394
2009-04-10T23:50:00+02:00
2009-04-10T23:50:00+02:00
Vous pensez peut-être que les lapins sont des pleutres juste bons à finir...
<p style="text-align: justify;"><img style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" alt="lapin.jpg" id="media-24709" src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/02/02/2950806204.jpg" />Vous pensez peut-être que les lapins sont des pleutres juste bons à finir en civet après avoir lutiné la lapine en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire? Qu'hormis leurs copulation au rythme techno il ne mangent des carottes que pour avoir de beaux yeux pour vous émouvoir?</p> <p style="text-align: justify;">- Gade le ti lapinou, il è zoli, ze l'ème! s'écrie l'enfant émerveillé qui n'a pas encore senti la force des pattes arrières.</p> <p style="text-align: justify;">- Ze le veux, trépigne l'enfant, pas encore au fait des crottes qu'il devra ôter de son lit avant d'aller dormir.</p> <p style="text-align: justify;">Et voilà le lapin acheté, et une cage, et du foin, et une provision de carottes. </p> <p style="text-align: justify;">Et voilà le printemps, les beaux jours, la douceur de l'air, les visages des femmes qui portent si bien le soleil, les jambes des femmes qui portent si bien nos regards, les premiers jeux de l'année dans le jardin, et lapinou qui gambade, fou de joie de respirer les senteurs de la terre et de cette liberté surveillée.</p> <p style="text-align: justify;">Et tout le monde dit:</p> <p style="text-align: justify;">- Qu'il est beau, qu'il est joli!</p> <p style="text-align: justify;">Et l'enfant dit:</p> <p style="text-align: justify;">- kil è bô, kil è zoli!</p> <p style="text-align: justify;">Et tout le monde de s'émerveiller, d'admirer, de commenter, de se faire du pied sous la table, de boire l'apéro, de boire le premier rosé, de faire du bruit après cette longue convalescence qu'est l'hiver.</p> <p style="text-align: justify;">Et le serpent, que dit-il? Le serpent? Quel serpent?</p> <p style="text-align: justify;">Celui-ci...</p> <p style="text-align: justify;"><object height="344" width="425" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,40,0" classid="clsid:d27cdb6e-ae6d-11cf-96b8-444553540000"><param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowscriptaccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/_Ez5QPW-ku4&hl=fr&fs=1" /> <embed height="344" width="425" src="http://www.youtube.com/v/_Ez5QPW-ku4&hl=fr&fs=1" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" type="application/x-shockwave-flash" /></object></p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/76683270.jpg" id="media-24708" alt="1964305478.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" /></p><p style="text-align: justify;">Ah, vous croyiez que les lapinous sont à l'image de ces douceâtres icônes en chocolat qui saturent les étalages ad nauséam? Vous aviez encore le souvenir de votre peluche aux longues oreilles sur lesquelles vous pouviez tirer jusqu'à l'arrachement sans craindre de méchant coup de patte?</p>