Last posts on burqua2024-03-28T17:03:22+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://starter.blogspirit.com/https://starter.blogspirit.com/fr/explore/posts/tag/burqua/atom.xmlBredinhttp://bar-zing.blogspirit.com/about.html20 avril 2016. France Terre d'Asiletag:bar-zing.blogspirit.com,2016-04-20:30712402016-04-20T10:07:00+02:002016-04-20T10:07:00+02:00 SCIENCE PEAU A voile et à vapeur
<p style="text-align: center;"> </p><pre style="text-align: center;"><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 24pt;"><strong>SCIENCE PEAU<br /></strong></span></pre><pre style="text-align: center;"><strong><span style="font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 18pt;">A voile et à vapeur</span></strong></pre><p style="text-align: center;"><img id="media-916005" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3751395662.jpg" alt="Science-Po.jpg" /></p>
hommelibrehttp://leshommeslibres.blogspirit.com/about.htmlSous la burqatag:leshommeslibres.blogspirit.com,2008-07-17:32960202008-07-17T09:16:00+02:002008-07-17T09:16:00+02:00 Je pense à ces beautés légèrement vêtues dans la douceur d'été, ces robes...
<a href="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/00/02/1382337829.jpg" target="_blank"><img src="http://leshommeslibres.blogspirit.com/media/01/00/2009786732.jpg" id="media-10272" alt="burka.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left" name="media-10272" height="239" width="339" /></a>Je pense à ces beautés légèrement vêtues dans la douceur d'été, ces robes qui dansent dans le soleil, ces épaules épanouies comme des traces du paradis. Et ces beautés si intimement exposées, sur les plages de chaleur, si accessibles qu'enfin toute stratégie bavarde devient inutile. Si directement présentes que l'homme et la femme réduisent leur distance.<br /> <br /> Mais toi sous ta burqua, qui es-tu? Quels sont tes rêves et tes bonheurs? Tes épreuves et ta vie? Que puis-je savoir de ton humanité?<br /> <br /> Malheureusement tu ne m'apprends rien. Tu ne parles pas en dehors de ceux qui t'y autorisent ou te l'interdisent par un droit venu du fond des âges. Du fond de l'enfer et des des prisons mentales où ils sont eux-mêmes enfermés, et à quoi ils veulent te contraindre. Peut-être un jour vont-ils te tuer pour te rendre totalement invisible. Peut-être vont-ils tuer la moitié féminine de l'humanité pour ne plus avoir à gérer cette angoisse de ne pas savoir aimer.<br /> <br /> Jamais je ne connaîtrai ton expérience de vie, tes conseils, ni les beautés que ton esprit génère. Humaine, si humaine, et si étrangère à la fois. Je ne connaîtrai rien de toi, rien d'utile, rien d'intéressant. Rien qui puisse me faire avancer dans ma propre existence. Tu ne partages rien, aucun de ces signe nécessaires à la communication, aucune trace qui permettrait de me sentir humain face à toi. Je ne connaîtrai rien de sensible de toi, ni de ce qui fait le véritable échange et l'abondance de la vie.<br /> <br /> Sous ta burqua tu me fais inhumain, inexistant et inutile moi aussi. Je ne peux que passer au loin, t'ignorer comme tu m'ignores, te laisser dans ta prison que pour rien au monde je ne voudrais partager.<br /> <br /> Sous ta burqua, dans mon regard d'homme libre aimant les femmes libres, sous ta burqua il y a ta prison. Mais si un jour, touchée peut-être par la vigueur éveillante et libératrice de Fadela Amara ou d'autres de tes soeurs, tu décides de t'affranchir, tu auras de ma part la même place et le même respect que tout humain.<br /> <br />Sous les pavés, la plage. Sur la plage, une burqua. Sous la burqua? Une inconnue, forcément belle puisque si mystérieuse et inaccessible. Encore plus fascinante et attractive parce que si secrète et cachée. Forcément si désirable puisqu'à ce point soustraite aux regards, soustraite peut-être à la vie même.