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2024-03-29T09:31:20+01:00
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Patrick
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A Fourques : Les festivaliers n'ont pas bullé ce week-end
tag:devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com,2024-03-12:3355734
2024-03-12T07:17:06+01:00
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Avec près de 700 entrées gratuites dès samedi 9 mars, premier jour du...
<p><a href="http://devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com/media/02/02/1718306085.JPG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1375631" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com/media/02/02/2776367680.JPG" alt="IMG_6236.JPG" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt;">Avec près de 700 entrées gratuites dès samedi 9 mars, premier jour du festival La Bd est dans le pré, le succès était bien au rendez-vous pour la 11e édition du rendez-vous culturel du Val de Garonne. «La formule est séduisante avec les animations scolaires en ouverture lors des jours précédents et les dédicaces des auteurs pendant les deux jours» a déclaré le maire Jacques Bilirit lors de l'inauguration officielle. Parmi les personnalités étaient présents : Michel Gouriou, Sous-Préfet de Marmande, Sophie Borderie, présidente du Conseil Départemental et plusieurs maires de VGA. «C'est une manifestation émouvante» a reconnu Philippe Arbeau présent lors de l'inauguration avec sa mère Sophie. Une exposition sur l'œuvre de Jacques Arbeau alias Jacarbo était présentée. Pour Sandrine Ladaurade, directrice de l'école de Marcellus dont les élèves ont participé au vote pour le prix du Petit Jacarbo, «le festival est une véritable incitation à la lecture». </span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Trois BD récompensées </span></p><p><span style="font-size: 12pt;">Le jury du prix Jacarbo, présidé par Jacques Bilirit était composé de 5 membres dont Zélia Rodrigues, Sole Otero, David Cenou et Céline Pinard. Il s'est réuni entre 12 heures et 14 heures samedi pour désigner les lauréats de la 11e édition. Le lauréat du prix Jacarbo est l'album «Je suis leur silence» de Jordi Lafèbre aux éditions Dargaud. Une mention spéciale a été attribuée à «Dolorès» de Bruno Loth aux éditions La boîte à bulles. Pour le prix Jac'Ado, les collégiens du Mas d'Agenais et les lycéens de la Compassion de Marmande ont choisi parmi les 4 albums nominés, «Les combats invisibles» de Taous Merkchi, Mashi et Karim Alliane aux éditions Factory. Le tirage au sort pour un album dédicacé parmi les collégiens et lycéens a désigné Mathieu Alves. Pour le lauréat du Petit Jacarbo, les 200 écoliers de Beaupuy, Sainte-Marthe, Fourques, Sénestis, Marcellus et Marmande Labrunie ont voté pour l'album «Brume» de Jérôme Pélissier et Carine Hinder aux éditions Glénat. 4 albums dédicacés seront offerts à Nora Carret, Sacha Lafuge et Lianne Tao de l'école de Beaupuy et à Eden Labrouche de Fourques.</span></p>
Patrick
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A Fourques : La BD est dans le pré s'apprête à souffler sa onzième bougie
tag:devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com,2024-03-03:3355278
2024-03-03T07:18:13+01:00
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Les amateurs du neuvième art sous toutes ses formes pourront aller à...
<p><a href="http://devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com/media/00/01/199444596.JPG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1374981" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com/media/00/01/1703932670.JPG" alt="IMG_4378.JPG" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt;">Les amateurs du neuvième art sous toutes ses formes pourront aller à la rencontre des 20 auteurs, invités pour des dédicaces, des ateliers et des conférences, samedi 9 et dimanche 10 mars dans la salle du parc des sports. «Onze ans déjà ! La BD est dans le pré souffle sa onzième bougie» a reconnu l'équipe de l'association organisatrice Kit culture, vendredi 9 février en fin de journée dans la salle du conseil municipal. Étaient présents pour la présentation du festival à la presse : Chantal Couzineau, secrétaire, Jean-Pierre Fourteau, responsable de la programmation, Sandrine Marti, pour la partie scolaire et Arthur Délerin, service civique. </span></p><p><span style="font-size: 12pt;">D'Angoulême à Fourques </span></p><p><span style="font-size: 12pt;">«Onze auteurs ou illustrateurs présents à Fourques étaient en dédicace au festival d'Angoulême» a déclaré Jean-Pierre Fourteau. «Cinq d'entre eux (Clément Lefèvre, Jérôme Pélissier, Loui, Marie Jaffredo et Paul Drouin) ont été nominés pour les différents prix». La filière économique autour de la bande dessinée n'est pas négligée avec deux éditeurs néoaquitains : Les aventuriers d'ailleurs de Saintes et Les trois canards de Bergerac. «Le festival La BD est dans le pré ce sera pour les 9 et 10 mars mais pas que ces jours-là» a insisté la secrétaire Chantal Couzineau. Des expositions auront lieu dans la galerie Les Remp'arts du 4 au 9 mars avec une collection de 50 affiches d'Enki Bilal et des originaux de Jacarbo. Le film «Nos ombres d'Algérie» de Vincent Marie sera projeté au cinéma Le Plaza le vendredi 8 mars à 18 h 30 en présence du producteur Laurent Segal. Des dessinateurs de BD y explorent la mémoire de la guerre d'Algérie. 14 classes de CE2, CM1, CM2 et 6e vont participer à l'élection du prix «Petit Jacarbo». Des rencontres dans les classes sont programmées pour 24 classes de la grande section à la seconde. Des enfants du centre de loisirs de Marmande créent des strips du 10 janvier au 6 mars avec l'accompagnement de Ström, dessinateur de BD. Une table ronde présentera le projet durant le festival. Gratuit. Restauration sur place : foodtruck de Mémé Cocotte. Programme complet sur bdestdanslepre.fr.</span></p>
Patrick
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A Fourques, Le festival La BD est dans le pré fêtait son 10e anniversaire
tag:devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com,2023-03-15:3339209
2023-03-15T07:20:02+01:00
2023-03-15T07:20:02+01:00
«Dans 40 ans, votre festival La BD est dans le pré fêtera son...
<p><a href="http://devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com/media/00/02/446516.JPG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1351497" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://devantlobjectifdepatrick.blogspirit.com/media/00/02/391026965.JPG" alt="IMG_8732.JPG" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt;">«Dans 40 ans, votre festival La BD est dans le pré fêtera son cinquantenaire comme l'a fait cette année celui d'Angoulême». L'hommage rendu par Francis Groux, cofondateur du rendez-vous international d'Angoulême pour la pérennisation du festival de la BD dans la commune a été particulièrement remarqué et apprécié par les organisateurs, samedi 11 mars en fin de journée pour le vernissage de l'évènement. Francis Groux était accompagné de Philippe Tromblaine vice-président du festival d'Angoulême. Jean-Pierre Pourteau, président de l'association organisatrice Kit Culture et sa vice-présidente Zélia Rodrigues ont vivement remercié le maire Jacques Bilirit pour l'appui logistique pendant les deux jours du festival. «Je suis très content, qu'année après année, la culture continue à être présente dans nos petits villages» a déclaré le maire. Dimanche en fin de journée au moment du bilan, avec près de 1 000 personnes accueillies pendant les deux jours du festival, l'édition 2023 était dans la lignée des précédentes avec des auteurs contents et un public satisfait des animations proposées. Les organisateurs ont aussi annoncé les gagnants du concours de strips, des bandes dessinées en quatre cases. Les gagnants sont : Elias Pardo-Fouquet, 13 ans et Emma Dauba, 11 ans.</span></p>
Tania
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Sauvages
tag:textespretextes.blogspirit.com,2021-11-02:3260428
2021-11-02T18:00:00+01:00
2021-11-02T18:00:00+01:00
Qu’ils sont gais à rencontrer, les cyclamens sauvages ! A cette...
<p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/4248387972.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133682" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/3196857096.jpg" alt="Rouge Cloître octobre (13).jpg" /></a>Qu’ils sont gais à rencontrer, les <a title="A perte de vue (Still Life)" href="https://lesmomentsbleus.blogspot.com/2021/10/lautomne-perte-de-vue.html" target="_blank" rel="noopener">cyclamens sauvages</a> ! <br />A cette saison où les feuillages se dorent au soleil, où le <a title="Vieil or d'octobre (T&P)" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2021/10/29/vieil-or-d-octobre-3260410.html" target="_blank" rel="noopener">Rouge-Cloître</a> déploie ses couleurs, ces touffes aux subtiles nuances de rose, çà et là sous les arbres, captent le regard.</span></p><p> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/2309072907.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133683" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/2743671728.jpg" alt="Rouge Cloître octobre (14).jpg" /></a></span></p><p> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Les premiers, plus vifs, prenaient leur bain de lumière de l’après-midi. Les seconds, plus à l’ombre, plus pâles, offraient leur douceur au regard. </span></p><p> </p><p> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Quoi que dise le cyclamen dans le <a title="Cyclamen.com" href="https://www.cyclamen.com/fr/consommateur/connaitre-le-cyclamen/histoires-de-cyclamens/fleur-d-amour-fleur-d-art" target="_blank" rel="noopener">langage des fleurs</a>, le mot « délicatesse » lui correspond parfaitement. </span></p>
Tania
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Vieil or d'octobre
tag:textespretextes.blogspirit.com,2021-11-01:3260410
2021-11-01T08:02:00+01:00
2021-11-01T08:02:00+01:00
Démenti à la mauvaise réputation du ciel belge , le soleil a brillé sur la...
<p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Démenti à la mauvaise réputation du <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2021/10/26/le-ciel-3260256.html" target="_blank" rel="noopener">ciel belge</a>, le soleil a brillé sur la dernière semaine d’octobre. Du temps idéal pour se promener au <a title="Site" href="http://www.rouge-cloitre.be/fr/accueil.html" target="_blank" rel="noopener">Rouge-Cloître</a> paré de tout son vieil or. Ce <a title="Plan (ReflexCity)" href="http://www.reflexcity.net/bruxelles/communes/auderghem/rouge-cloitre" target="_blank" rel="noopener">site</a> en forêt de Soignes, vous l’avez déjà vu <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/tag/rouge-clo%C3%AEtre" target="_blank" rel="noopener">ici</a>, est remarquable à toutes les saisons.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/2186625435.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133645" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/729158682.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Tandis que certains pêchent tranquillement et que d’autres font carrément la sieste, couchés sur la rive, nous prenons l’allée ensoleillée qui longe l’étang du Moulin, si belle sous la lumière d’automne filtrée par les feuillages.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/01/1852759812.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133646" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/01/1723774225.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Plus loin, une plate-forme en surplomb donne un excellent point de vue vers le grand étang des Clabots. Les arbres tombés ou chablis sont des refuges fort appréciés des canards et autres volatiles qui s’y reposent, sans être dérangés le moins du monde par les passants ou les photographes amateurs.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/00/2271153178.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133647" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/00/1555354721.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Devant nous, derrière, de quelque côté que l’on regarde, le festival des couleurs est bien lancé. La gamme des jaunes domine encore sur les arbres, mais les tapis de feuilles sous les hêtres annoncent déjà le rouge rouille caractéristique du sol de cette belle forêt.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/285400859.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133648" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/4081355267.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">En revenant par l’autre côté des étangs, on se rapproche peu à peu de la longue et superbe bâtisse blanche de la Maison du Prieur. Sa <a title="Article et photos (La Capitale)" href="https://lacapitale.sudinfo.be/854967/article/2021-10-20/la-maison-du-prieur-du-rouge-cloitre-enfin-restauree" target="_blank" rel="noopener">restauration</a> est à présent terminée. On espère y retrouver l’an prochain une terrasse où se régaler peut-être, comme au siècle dernier, de <a title="recette belge" href="https://www.recettes-et-terroirs.com/tartines-au-fromage-blanc-belgique-38368/" target="_blank" rel="noopener">tartines</a> au fromage blanc et radis.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/00/302310500.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133650" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/00/1758840853.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">A l’arrière du prieuré, l’ancienne ferme et ses annexes accueillent des <a title="Ateliers d'artistes du Rouge-Cloître" href="http://www.rouge-cloitre.be/fr/aujourd-hui/les-ateliers-d-artistes/les-ateliers-d-artistes.html" target="_blank" rel="noopener">ateliers d’art</a> et l’association <a title="Site du Rouge-Cloître" href="http://www.rouge-cloitre.be/fr/aujourd-hui/cheval-et-foret/l-asbl-cheval-amp-foret.html" target="_blank" rel="noopener">Cheval et Forêt</a>. Deux Brabançons étaient de sortie, on ne se lasse pas d’admirer ces fameux <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait_belge" target="_blank" rel="noopener">chevaux de trait</a> qu’on voyait dans tous les villages quand nous étions enfants.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/02/4265573115.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133651" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/01/02/622684446.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">A droite des écuries, un chemin monte vers un beau talus champêtre, un côté du site souvent moins fréquenté, où le soleil jetait ses derniers feux. Puis on arrive à la plaine de jeux. En ce jour d’école, deux gamins avaient pour eux seuls le grand bateau-pirate en bois à explorer en tous sens.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/02/929955770.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133652" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/02/166740795.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">En continuant vers la droite, on descend vers la passerelle entre les deux étangs du Lange Gracht. Les cygnes n’étaient pas les seuls à en fouiller la vase. Après avoir traversé, on retourne vers l’entrée par la rue pavée du Rouge-Cloître.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/3679871269.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133654" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/1144578608.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Du talus où prospèrent les prêles et les roseaux, on a une jolie vue sur le site et ses murs d’enceinte. Profitant du dernier soleil de la journée, un canard s’éclaboussait joyeusement sur le petit étang du Lange Gracht.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/2949548202.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1133653" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/1497223816.jpg" alt="rouge cloître,auderghem,promenade,automne,lumière,chevaux de trait,jojo,andré geerts,bd,nature,culture" /></a></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman', 'serif';">Pour cette semaine de congé, je signale l’exposition <em>« <a title="Présentation" href="http://www.rouge-cloitre.be/fr/evenements/expo-jojo-en-balade-a-rouge-cloitre.html" target="_blank" rel="noopener">Jojo en balade à Rouge-Cloître</a> »</em> présentée actuellement au Centre d’art (ancien prieuré), qui plaira aux enfants d’aujourd’hui comme à ceux d’hier qui lisaient Spirou : elle rend hommage au bédéiste <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Geerts" target="_blank" rel="noopener">André Geerts</a> (1955-2010) et à son <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jojo_(bande_dessin%C3%A9e)" target="_blank" rel="noopener">petit héros</a> malicieux.</span></p>
Bredin
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Tarzanides n° 440
tag:bar-zing.blogspirit.com,2020-07-21:3152387
2020-07-21T17:57:00+02:00
2020-07-21T17:57:00+02:00
"Lorsqu'avec ses enfants vêtus de peaux de bête" ... On se...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">"Lorsqu'avec ses enfants vêtus de peaux de bête" ... </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">On se souvient plus ou moins bien du poème rédigé par Hugo le Victor et rappelant l'un des mythes fondateurs des sociétés humaines. Ici, Caïn tuant Abel, deux frères jumeaux l'un s’attardant auprès des moutons pendant que l'autre s'émancipe pour une ère nouvelle celle des forgerons. Le bâton du berger va céder la place à l'arme du guerrier. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Le poème de 1859, changé en peinture d'art par Fernand Cormon en 1880, donna naissance à nombre de thèmes dits "préhistoriques" dans la littérature mais aussi dans quelques uns des premiers films muets. Ceux qui ne connaissent TARZAN que par la silhouette qui lui est attribuée dans la bande dessinée, ignorent que l'homme singe pour le cinéma à ses débuts ressemblait quelque peu à un grand gaillard plus souvent abrité dans une caverne que sautant de branches en branches dans une forêt. Tenez, regardez le dans son premier aspect cinématographique.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/3620393327.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1095115" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/3436000261.jpg" alt="fernand cormon,elmo lincoln,frank merril,lord greystoke,bandes dessinées anciennes,bd,doc jivaro,bar zing de montluçon,tarzanides du grenier" width="230" height="367" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">On est alors en 1918 et c'est Elmo Lincoln qui tient le rôle. Aucun pagne en peau de léopard mais une toison évoquant un ours plutôt qu'un félin. Ce n'est qu'avec l'acteur suivant nommé Frank Merril que la fourrure devient tâchée, mouchetée à la ressemblance d'un carnassier. Toutefois, en France, en 1937 et dans un petit fascicule de 16 pages, le Roi de la Jungle perd son identité. Il s'appelle TANTOR. C'est ça : le nom de l'éléphant devient le nom de l'homme. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/953250269.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1095116" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/1273232957.jpg" alt="fernand cormon,elmo lincoln,frank merril,lord greystoke,bandes dessinées anciennes,bd,doc jivaro,bar zing de montluçon,tarzanides du grenier" width="204" height="271" /></a></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: Arial, sans-serif;">TARZAN n'est en rien l'individu sauvage et solitaire que nous présente sans cesse la bande dessinée. </span><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Il est en réalité un gentleman de haute famille : Lord Greystoke, propriétaire d'une importante plantation en Afrique colonisée</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"> et, à ce titre comme au moment de sa naissance il est </span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"> un sujet de la Reine Victoria et combattra</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"> vaillamment </span><span style="font-family: Arial, sans-serif;">pour que prospère</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"> l</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;">e</span> <span style="font-family: Arial, sans-serif;">Commonwealth of Nations</span><span style="font-family: Arial, sans-serif;">.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Un Commonwealth of Nations auquel le théoricien Karl Marx lui-même rendit hommage en choisissant la terre d'Angleterre comme lieu de sa sépulture. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Doc Jivaro</span></p><p align="justify"> </p>
Tania
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Palais de Justice
tag:textespretextes.blogspirit.com,2019-06-11:3138773
2019-06-11T20:20:00+02:00
2019-06-11T20:20:00+02:00
« Pour Schuiten, le Palais de Justice est une vieille...
<p><em><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/280887305.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1068410" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/00/2670791374.jpg" alt="françois schuiten,jaco van dormael,thomas gunzig,laurent durieux,le dernier pharaon,une aventure de balke et mortimer,edgar p. jacobs,bd,bande dessinée belge,palais de justice de bruxelles,pyramide de chéops,bruxelles,black-out,fantastique,dessin,culture" /></a>« Pour Schuiten, le <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_de_justice_de_Bruxelles" target="_blank" rel="noopener">Palais de Justice</a> est une vieille connaissance, un bâtiment quasi omniprésent dans son œuvre. Fils d’architectes, il a en outre créé la <a href="https://jeanpierre-buyle.avocats.be/fondation-poelaert" target="_blank" rel="noopener">Fondation Poelaert</a> avec l’avocat et ancien bâtonnier Jean-Pierre Buyle, pour défendre ce monument du patrimoine. Profitant des traces et des indices qui émaillent la décoration du Palais de Justice, Schuiten tire un fil entre le monument bruxellois et les pyramides égyptiennes. </span></em></p><p><em><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">"La plupart des détails existent. C’est aussi défendre le symbole qu’est la justice, et elle en a bien besoin aujourd’hui, ainsi qu’une manière de rendre hommage à la rigueur de Jacobs. Dans mes repérages dans les arcanes du Palais de Justice, j’ai essayé d’être aussi impliqué que lui, aussi précis." »</span></em></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Laurent Fabri, </span><a title="Article source" href="https://www.lecho.be/sabato/art/francois-schuiten-signe-le-dernier-blake-mortimer/10130243.html" target="_blank" rel="noopener"><em><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">François Schuiten signe le dernier Blake & Mortimer </span></em></a><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">(L’Echo, 29/5/2019)</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">Digigraphie signée Schuiten – Durieux : Blake et Mortimer, <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2019/06/06/le-dernier-pharaon-3138772.html" target="_blank" rel="noopener"><em>Le dernier Pharaon</em></a> <br />ACBD (<a title="Source de l'illustration" href="https://www.brusel.com/boutique/digigraphie-signee-schuiten-durieux-blake-et-mortimer-couverture-le-dernier-pharaon-acbd" target="_blank" rel="noopener">Brusel.com</a>)</span></p>
Tania
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Le dernier pharaon
tag:textespretextes.blogspirit.com,2019-06-10:3138772
2019-06-10T08:30:00+02:00
2019-06-10T08:30:00+02:00
François Schuiten réussit un coup de maître avec Le Dernier Pharaon ,...
<p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;"><a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Schuiten" target="_blank" rel="noopener">François Schuiten</a> réussit un coup de maître avec <a title="Bande annonce" href="https://www.youtube.com/watch?v=fFSwWMMwcEs" target="_blank" rel="noopener"><em>Le Dernier Pharaon</em></a>, une aventure de Blake et Mortimer <em>« d’après les personnages d’Edgar P. Jacobs »</em> qu’il signe avec le réalisateur Jaco Van Dormael et l'écrivain Thomas Gunzig pour le scénario, l’illustrateur Laurent Durieux pour la couleur. Annoncée comme son tout dernier opus, c’est la première bande dessinée que je présente sur ce blog. </span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/450349523.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1068405" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/00/1692253629.jpg" alt="françois schuiten,jaco van dormael,thomas gunzig,laurent durieux,le dernier pharaon,une aventure de balke et mortimer,edgar p. jacobs,bd,bande dessinée belge,palais de justice de bruxelles,pyramide de chéops,bruxelles,black-out,fantastique,dessin,culture" /></a></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Si vous aimez le 9<sup>e</sup> art, vous connaissez François Schuiten, l’auteur de <em><a href="https://www.brusel.com/boutique/schuiten-tirage-de-luxe-brusel-editions-brusel/" target="_blank" rel="noopener">Brüsel</a>,</em> des <em><a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Cit%C3%A9s_obscures" target="_blank" rel="noopener">Cités Obscures</a> </em>; si vous avez visité <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/tag/train+world" target="_blank" rel="noopener">Train World</a> à Schaerbeek, vous avez admiré la scénographie dont il est l’auteur dans ce musée extraordinaire. Vous retrouverez dans <em>Le dernier pharaon</em> « la 12 », cette fameuse <a href="https://www.casterman.com/Bande-dessinee/Catalogue/albums/la-12" target="_blank" rel="noopener">locomotive</a> belge dont il a raconté l’histoire par ailleurs. </span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Une note d’Edgar P. Jacobs – <em>« Entrer dans cette œuvre, c’est partir en quête d’une source qui a nourri toute notre enfance »</em>, écrit Schuiten en préambule – exprimait son intention de réaliser un Blake et Mortimer au Palais de Justice de Bruxelles, un lieu qui fascine Schuiten depuis toujours et près duquel <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Edgar_P._Jacobs" target="_blank" rel="noopener">Edgar P. Jacobs</a> a grandi.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/01/3489141495.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1068408" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/00/01/1012390675.jpg" alt="françois schuiten,jaco van dormael,thomas gunzig,laurent durieux,le dernier pharaon,une aventure de balke et mortimer,edgar p. jacobs,bd,bande dessinée belge,palais de justice de bruxelles,pyramide de chéops,bruxelles,black-out,fantastique,dessin,culture" /></a><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">© François Schuiten, <em>Le dernier pharaon</em>, p. 16</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;"><em>« A l’instar de la pyramide de Khéops, ce monstre de pierre n’a pas révélé tous ses secrets. </em><a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Myst%C3%A8re_de_la_Grande_Pyramide" target="_blank" rel="noopener">Le Mystère de la Grande Pyramide</a><em> n’avait jamais été complètement éclairci, </em>Le Dernier Pharaon<em> jettera peut-être une lumière nouvelle sur cette aventure… »</em> C’est dans cette pyramide qu’on retrouve les deux héros de Jacobs en <a title="Feuilleter les premières pages de l'album en ligne" href="https://www.dargaud.com/bd-en-ligne/autour-de-blake-mortimer-tome-11,36103-c6ce1791a5d26da7d7227ee5b19dad2b" target="_blank" rel="noopener">première page</a>, <em>« sortant péniblement d’une profonde inconscience ».</em></span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Curieuse de découvrir les monuments et les rues de Bruxelles que François Schuiten a l’art de représenter, et surtout ce Palais de Justice si mal entretenu pendant des années que sa restauration semble sans fin, sous les échafaudages, je ne m’attendais pas à lire une histoire si passionnante : le professeur Mortimer est appelé au Palais de Justice de Bruxelles où l’on a mesuré un rayonnement électromagnétique d’un niveau <em>« absolument colossal ».</em> Pourquoi tous les appareils électriques tombent-ils en panne à cet endroit du Palais ? </span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/1830119663.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1068407" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/1710491960.jpg" alt="françois schuiten,jaco van dormael,thomas gunzig,laurent durieux,le dernier pharaon,une aventure de balke et mortimer,edgar p. jacobs,bd,bande dessinée belge,palais de justice de bruxelles,pyramide de chéops,bruxelles,black-out,fantastique,dessin,culture" /></a><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">© François Schuiten, <em>Le dernier pharaon</em>, p. 9</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Quelle n’est pas la surprise de Mortimer d’y trouver au fond d’un obscur couloir un mur couvert de hiéroglyphes ! <a title="Wikipedia" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Poelaert" target="_blank" rel="noopener">Joseph Poelart</a>, l’architecte du Palais de Justice, était <em>« féru d’égyptologie »</em> ; il aurait voulu le coiffer d’une pyramide, au lieu d’un dôme. Je ne vous en dirai pas plus sur la catastrophe que va déclencher l’exploration du Palais, vous en découvrirez les péripéties surprenantes à la lecture de l’album.</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">Schuiten et les scénaristes du <em>Dernier Pharaon </em>ont inventé une nouvelle histoire formidable de <a title=""Le Dernier Pharaon ou quand Blake et Mortimer éclairent le monde de leur lanterne" par Olivier Delcroix (Le Figaro)" href="http://www.lefigaro.fr/bd/le-dernier-pharaon-ou-quand-blake-et-mortimer-eclairent-le-monde-de-leur-lanterne-20190531" target="_blank" rel="noopener">Blake et Mortimer</a>. L’Egypte antique y joue un rôle de premier plan, comme l’indique le titre, mais aussi d’autres thèmes très actuels qui intéresseront ceux qui s’inquiètent des menaces de black-out électrique ou numérique, voire de l’avenir des villes et de la planète. </span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/2533939199.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-1068409" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://textespretextes.blogspirit.com/media/02/01/1463003379.jpg" alt="françois schuiten,jaco van dormael,thomas gunzig,laurent durieux,le dernier pharaon,une aventure de balke et mortimer,edgar p. jacobs,bd,bande dessinée belge,palais de justice de bruxelles,pyramide de chéops,bruxelles,black-out,fantastique,dessin,culture" /></a><br /><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">Au coeur du palais de justice de Bruxelles, <a title="Source photo, dossier détaillé (ActuaBD)" href="https://www.actuabd.com/Le-Dernier-Pharaon-l-hommage-de-Francois-Schuiten-a-Blake-et-Mortimer" target="_blank" rel="noopener">l’équipe du "Dernier Pharaon"</a><br /></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">De g. à d. : Thomas Gunzig, Jaco Van Dormael, François Schuiten et Laurent Durieux </span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">© 2019 MD | Photo.</span></p><p><span style="font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 12pt;">S’il faut croire le dessinateur qui a annoncé la fin de sa carrière de bédéiste avec <a title="« François Schuiten, la dernière BD » par Patrick de Lamalle (RTBF, novembre 2018)" href="https://www.rtbf.be/culture/bande-dessinee/detail_francois-schuiten-la-derniere-bd?id=10066560" target="_blank" rel="noopener"><em>Le Dernier Pharaon</em></a>, ce dernier album permet d’apprécier une fois encore son art d’articuler les cases et les plans, d’architecturer l’espace, d’inventer des atmosphères à la fois réalistes et étranges. Avec ses couleurs et ses éclairages magnifiques, Laurent Durieux magnifie le trait de <a title="Schuiten, le dernier pharaon de la BD (France Culture)" href="https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-1ere-partie/schuiten-le-dernier-pharaon-de-la-bd" target="_blank" rel="noopener">François Schuiten</a> et participe à la dramatisation de l’histoire. Entre Le Caire, Bruxelles et Londres, laissez-vous entraîner dans cette aventure. Quant à moi, je compte aller voir les <span style="font-family: 'Times New Roman','serif';"><a title="présentation de l'expo" href="https://www.autrique.be/fr/component/allevents/event/1868-le-dernier-pharaon.html" target="_blank" rel="noopener">planches originales</a>, exposées à la <a title="T&P" href="http://textespretextes.blogspirit.com/archive/2009/04/23/a-la-maison-autrique.html" target="_blank" rel="noopener">maison Autrique</a> à Schaerbeek. </span></span></p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 339
tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-02-16:3129940
2019-02-16T16:59:00+01:00
2019-02-16T16:59:00+01:00
Tout'en soleil, belle journée pour un février plutôt réfrigéré...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Tout'en soleil, belle journée pour un février plutôt réfrigéré pendant ses nuits.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J’ai failli non pas attendre comme Louis XIV mais rentrer gibecière vide à la maison. Pourtant je m'étais pointé avant l'heure d'ouverture ... Je veux dire que je venais de parcourir tous les stands d'une brocante annuelle dans Domérat ; village hier encore séparé de Montluçon par les rangs d'un vignoble ne donnant qu'une "piquette" capable de vous baisser le pantalon sur les souliers.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je me consolais déjà en pensant : heureusement l'entrée est gratuite ! lorsque mon regard s’est aplati sur le sol sous une planche allongée sur des tréteaux. Oui ! c’était bien lui le blondinet !</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1060733" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/229845206.jpg" alt="BD-Mascotte,-n°-28,-1950.jpg" width="366" height="259" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Oui, c’était bien MASCOTTE.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Deux petits fascicules chacun de douze pages, les numéros 28 et 54, de parution hebdomadaire pendant la période 1950-1951. Tous deux d’un même format mais l’un imprimé à l’italienne, le texte parallèle au plus grand côté, et l’autre d’écriture horizontale alignée sous le petit côté. La provenance en était les Éditions Populaires Modernes.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1060855" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/1932612510.jpg" alt="mascotte,Éditions populaires modernes,bd,bandes dessinées des années 1950,bd de collection,doc jivaro,bar zing,les tarzanides du grenier" width="267" height="371" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les premiers scénarios se déroulent aux Indes lorsque l’Angleterre disposait d’un Empire Coloniale. MASCOTTE le blondinet est un écossais juvénile accompagné d’un grand, d’un solide gaillard les cuisses et les fesses couvertes d’un kilt. Ce me semble que sa collection englobe 87 numéros.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro n’a jamais envisagé devenir proprio de la mascotte d’un régiment.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 338
tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-02-09:3129501
2019-02-09T18:16:00+01:00
2019-02-09T18:16:00+01:00
Peut-être bien que pour vous le mot « Bimbo » désigne une fille...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Peut-être bien que pour vous le mot « Bimbo » désigne une fille mettant en valeur les reliefs de sa sexualité pour capter l’envie masculin (et la réprobation jalouse de ses voisines, cela va de soi). Ce qui n’empêche pas Doc Jivaro de connaître aussi BIMBO comme titre d’un mensuel de BD petit format.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le numéro 1 de la deuxième série date de juin 1954.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1059518" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/3469351646.jpg" alt="BD-Bimbo-n°-1,1954,-couv.jpg" width="400" height="289" /></p><p align="left"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vingt autres numéros suivirent jusqu’en 1956. Ce premier numéro compte 68 pages. Un nombre également utilisé par plusieurs de ses concurrents : CASSIDY (édit Impéria) et PIPO (édit Lug) pour exemples. Le directeur en était Jean Chapelle dont nous avons parlé à propos de l’hebdomadaire ZORRO de 1947.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À l’intérieur de BIMBO n° 1, un imprimé en bas de page avait de quoi réjouir les petits lecteurs :</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1059519" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/4077884710.jpg" alt="BD-Bimbo-06-1954,-bandeau.jpg" width="570" height="32" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les réjouir, eux, mais pas le porte-monnaie de Maman : de 35 frs le prix allait bien vite passer à 65 frs.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Dans BIMBO, deux pages blanches alternent avec deux pages colorées d’un rouge orange. Les séries BD humoristiques sont d’une coloration beaucoup plus claire que celles des séries « réalistes » en teintes saturées. C’est le cas d’un « Prince Royal » dessiné assez banalement par Roubinet, graphiste assidu auprès de Jean Chapelle.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1060371" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/97317623.2.jpg" alt="bimbo,jean chapelle,zorro,cassidy,pipo,éditions impéria,éditions lug,bd,bandes dessinées des années 1950,bd de collection,doc jivaro,bar zing" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ma sœur n’a jamais été une bimbo. D’autant plus sûrement que je n’ai pas de sœur.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> </span></span></p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 337
tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-02-02:3129197
2019-02-02T17:19:00+01:00
2019-02-02T17:19:00+01:00
À aller trop vite, à vouloir bâcler le travail, on s’expose à être...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À aller trop vite, à vouloir bâcler le travail, on s’expose à être fautif d’un oubli. Effectivement ! Doc Jivaro présentant le ZORRO hebdomadaire de Oulié et Chapelle de 1947 comme le premier du titre édité en France, était dans l’erreur.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bien avant, en 1939, ZORRO le Renard apparaissait dans le grand magazine JUNIOR des frères Offenstadt (SPE).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1058871" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/2017533782.jpg" alt="BD-Zorro-décembre-1939.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sous l’aspect d’une feuille volante de moitié grande du format habituel de JUNIOR, ce Zorro le Mystérieux fut momentanément le supplément du journal. (Ici Doc Jivaro présente le supplément au n° 196, du 26 décembre 1939).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bien sûr on voit tout de suite que les vêtements civils des protagonistes ne sont pas ceux du Mexique du XIX<sup>e</sup> siècle…</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Si ZORRO ne devint pas un personnage de BD important dès après la Première Guerre Mondiale, il devint une des figures les plus populaires du cinéma muet américain :</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1058872" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/4162630849.jpg" alt="Film-La-marque-de-Zorro.jpg" width="253" height="368" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Rompez les rangs ! Tous à la gamelle tas de pékins !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 336
tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-01-26:3128928
2019-01-26T18:10:00+01:00
2019-01-26T18:10:00+01:00
Semaine précédente, Doc Jivaro bavarda à propos des petits formats...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Semaine précédente, Doc Jivaro bavarda à propos des petits formats de BD devenus rapidement envahissants pendant les années 60.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Créé en 1947, un 13 mars, dans le prolongement d’un <em>Jeudi Magazine</em> né en mai 1946, <em>ZORRO</em> devint rapidement le titre-phare de l’éditeur Arcadie logé dans la Parisienne rue Bergère au numéro 22.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-1058456" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/4121965857.jpg" alt="jeudi magazine,zorro magazine,zorro,éditeur arcadie,bd,bandes dessinées de collection,formats bandes dessinées anciennes,doc jivaro,bar zing,rue miscailloux montluçon" width="310" height="419" /></span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Veinards que vous voici ! ce n'est pas tout le monde qui connaît la première page française BD de ZORRO.</span></span></p><p style="padding-left: 60px;" align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">De grandes dimensions traditionnelles, (28 X 38) ZORRO dut se résoudre à rapetisser ses pages afin de ne pas être abandonné comme vieillot par une génération nouvelle de lecteurs séduits par les « petits formats de poche » apparus pendant les années 50. D’hebdomadaire il devint mensuel, réduit à 13 cm X 18 cm tout en perdant ses couleurs vives.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une simple approximation visuelle suffit à prendre conscience que le petit format n'égale que le un quart du grand.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1058464" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/2777606713.jpg" alt="jeudi magazine,zorro magazine,zorro,éditeur arcadie,bd,bandes dessinées de collection,formats bandes dessinées anciennes,doc jivaro,bar zing,rue miscailloux montluçon,cimetière saint paul" width="326" height="441" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais à ce moment-là, celui qui devait plus tard incarner Doc Jivaro avait cessé de faire des allers et retours entre son domicile et le bar tabac journaux de la rue Miscailloux.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Miss Caillou ? </span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Oui Mademoiselle Caillou !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il s’agit réellement d’une rue « mise en cailloux » à la fin du XIXe dans Montluçon et à proximité du cimetière que le laïc nomme : « Cimetière de l'Ouest » pendant que les religieux le baptisent « Cimetière Saint Paul » . Sur ce sujet je fis un rêve bizarre comme tous les rêves, il y a bien au moins 50 ans d’ici, et une des séquences m’est restée en mémoire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Nous en parlerez vous ? </span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">- Je ne sais pas.</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Guillotin, guillotine
tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-01-03:3128068
2019-01-03T17:21:46+01:00
2019-01-03T17:21:46+01:00
Farniente sur l'île de Pâques Celle-ci,...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: 24pt;"><strong><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Farniente sur l'île de Pâques </span></strong></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1056958" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/4175858600.jpg" alt="BD-Electrode,-p-12-et-13.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Celle-ci, cette planche BD réalisée en 1981 fut éditée dans le fanzine ELECTRODE, fanzine qui donna naissance à RECTO VERSO. </span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le tout jeune dessinateur s'employait à imaginer des super-héros inspirés de "MARVEL Editions". Nous nommâmes l'une de ses créatures : COQATOM'</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p>
Bredin
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1er janvier
tag:bar-zing.blogspirit.com,2019-01-01:3127979
2019-01-01T15:45:00+01:00
2019-01-01T15:45:00+01:00
Bar zin g Doc Jivaro Kurt Muller souhaitent une...
<h5 style="text-align: center;"> </h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Bar zin<span style="font-size: 24pt;">g</span></strong></span></h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Doc Jivaro</strong></span></h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Kurt Muller</strong></span></h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>souhaitent une bonne année 2019</strong></span></h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>à ceux et celles</strong></span></h5><h5 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>appréciant les BD</strong></span></h5><p> </p><p> </p><p> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 329 bis
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-12-24:3127776
2018-12-24T17:27:00+01:00
2018-12-24T17:27:00+01:00
Au VI e siècle après Jules César et en réaction contre l’érotisme...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Au VI<sup>e</sup> siècle après Jules César et en réaction contre l’érotisme populaire manifesté par les Saturnales du paganisme, les évangiles imposent le monothéisme en Europe par leurs prêches et leurs guerres. Les manifestations publiques de l’animalité humaine sont interdites pendant que des draperies de pudibonderie transforment la chaude maternité d’Aphrodite-Éros en une présence platonique désexuée, celle de Marie-Jésus.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pourtant, Rome devenue chrétienne ou plutôt Judéo-chrétienne ne renonça pas à employer dans sa statuaire comme dans son art pictural la figure humaine conformément aux traditions païennes : l'imagerie était évidemment une méthode commode pour enseigner la religion nouvelle aux peuples laborieux, certes ! mais auxquels la compréhension de signes littéraires restait prohibée.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les vitraux de nos églises avec leurs personnages colorés et transparents sont la preuve historique de l'importance éducative d'une imagerie faite de figures humaines.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voici qui nous aide à comprendre que lorsque le XIX<sup>e</sup> siècle en Occident développa tout un commerce de</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">journaux illustrés destinés à la jeunesse, l’église Catholique n'en fut pas désemparée : elle avait depuis des siècles emmagasinée ses propres munitions visuelles. Et la création de la bande dessinée par la laïcité amena les religieux à créer à leur tour leur propres entreprise de captation de l'innocence. (Séduction of the innocent", Frédric Wertham, 1954) </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1056505" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/88562513.jpg" alt="BD-Coeur-Vaillant,-n°-48,-1.jpg" width="343" height="236" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Fondé en 1929, COEURS VAILLANTS fut publié sans discontinue jusqu'en 1963 où il modifia son titre en J2 puis en Formule1 avant de disparaître pendant l'année 1981.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1056506" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2088033170.jpg" alt="BD-Coeur-Vaillant-25-12-195.jpg" width="324" height="434" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bien entendu chaque année, CŒURS VAILLANTS ne manquait pas de rappeler aux enfants baptisés la naissance du Petit Jésus ; naissance sans doute abusivement datée entre le 24 et 25 décembre, c’est-à-dire en remplacement des anciennes Saturnales du polythéisme saluant la renaissance du soleil.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bonnes fêtes à tous et toutes, que vous dire d'autre ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="center"> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 328 bis
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-12-19:3127618
2018-12-19T14:55:00+01:00
2018-12-19T14:55:00+01:00
Le 14 octobre 1950, en page 12 du magazine TARZAN, une...
<p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1056228" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/1592182422.jpg" alt="BD-Cardy-truc.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le 14 octobre 1950, en page 12 du magazine TARZAN, une image fut supprimée par la censure dans les aventurlures du héros de E.R. BURROUGHS ; et remplacée par un dessin de faussaire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro, ici, a restitué la véritable vignette d'origine américaine. Laquelle est-ce ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 328
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-12-15:3127471
2018-12-15T17:55:00+01:00
2018-12-15T17:55:00+01:00
L’INTERDICTION DE LA FESSÉE C’EST POUR BIENTÔT...
<p align="center"> </p><p align="center"><span style="font-family: 'arial black', sans-serif; font-size: x-large;"><strong>L’INTERDICTION DE LA FESSÉE</strong></span></p><p align="center"> </p><p align="center"><span style="font-family: 'arial black', sans-serif; font-size: x-large;"><strong>C’EST POUR BIENTÔT</strong></span></p><p align="center"> </p><p align="center"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1055931" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/2440848777.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,le fantôme du bengale" /></p><p align="center"> </p><p align="center"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Alors profitons-en encore un petit peu avec le Fantôme du Bengale. </span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">(BD année 1941)</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Drôle de ZOZO ! sacré ZOZO !
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-12-14:3127452
2018-12-14T17:39:00+01:00
2018-12-14T17:39:00+01:00
Les collectionneurs n’en raffolent pas. N’empêche que ce petit...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les collectionneurs n’en raffolent pas. N’empêche que ce petit singe malicieux comme un malicieux singe petit eut quelque succès dans la BD, en 1935 chez l’éditeur René Touret et imprimé en Belgique.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1055886" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/3316249581.jpg" alt="BD-Zozo-Explorateur,-1935.jpg" width="275" height="386" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ici la brochure numéro 1. Il y eut neuf numéros mais les deux derniers ne sont que des reprises des quatre premiers titres. Les pages sont en bichromie, bleu et rouge, les nuances étant obtenues par un jeu de trames ajourées. Il y eut une seconde édition datée de 1947.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les amateurs écrivent que ZOZO porte un pagne confectionné de bananes… Nous venons de questionner l’experte Joséphine Baker : « Certainement pas ! » a-t-elle protesté. Mais au lieu de se préoccuper du pagne de ZOZO les curieux feraient mieux de remarquer que le dessinateur FRANCHI oublie assez souvent de dessiner la queue de l'animal. J’avais pensé faire remarquer cette négligence à monsieur l’instituteur, mais je m’en abstins craignant qu’il m’obligeât à conjuguer au temps présent et à recopier dix fois de suite la phrase : Je ne dois pas regarder des images sottes.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous allez me demander : pourquoi ZOZO aujourd’hui ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pourquoi pas ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1055887" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/2189005916.jpg" alt="BD-Zozo-explorateur-,-pg-23.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Parions que de tels personnages typés dans une situation aussi menaçante même sous forme d'humour, sont impossibles à éditer dans un journal pour les gamins d’à présent. Imaginez ça dans un dessin animé matinal, sur l'écran de votre Télé.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">T. FOU, toi, mon frère.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"> Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Partie de Poker
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-12-13:3127419
2018-12-13T16:15:00+01:00
2018-12-13T16:15:00+01:00
Comme annoncé notre Blog devient le réceptacle de...
<p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1055821" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/1138617362.jpg" alt="bd,bandes dessinées anciennes,bar zing,doc jivaro,la vie des chats domestiques,montluçon" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comme annoncé notre Blog devient le réceptacle de quelques-uns de nos travaux des décennies écoulées.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce jour, une planche BD prélevée dans une des aventurlures de Louis Fernand de Coursensac alias Bar Zing. L’épisode groupe douze pages, chacune de format réel de 65 X 47,5 cm. Matériaux utilisés : encre de chine, gouache aquarellée. (Année 1983-84)</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Météo dans Montluçon : - 3 °.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le chat Pollux (Popaul) roupille en travers du lit pendant que sa mère ISIS patrouille dans le jardin tout autour du château dont elle ne s’éloigne pour ainsi dire jamais. Elle surveille les abords de ce qui est devenu son refuge. Nous l'avons fait stériliser, la coquine ! elle se laissait trop facilement aborder par les voyous du quartier. Non mais ! On va vous apprendre à adopter une tenue correcte devant les petits écoliers, Madame !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">On n'est pas chez les Bonobos chez nous.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 327
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-12-08:3127161
2018-12-08T19:00:00+01:00
2018-12-08T19:00:00+01:00
Un internaute attentif aux propos tenus par Doc Jivaro, vient de...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Un internaute attentif aux propos tenus par Doc Jivaro, vient de rappeler l'existence parfois oubliée d’un des « gros bras » de la Bédé : LOTHAR. D’origine africaine LOTHAR apparut au même moment qu’apparut MANDRAKE parmi les comics r'américains déjà très nombreux en 1934. Leurs créateurs Lee Falk pour le scénario et Phil Davis pour le graphisme, connurent un succès immédiat, jamais démenti.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La nature dota LOTHAR d’une force prodigieuse dont les images suivantes apportent la preuve irrefutable.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1055373" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/2316345149.jpg" alt="lothar,mandrake,donald,mandragore,tarzan,bd,bandes dessinées de collection,bar zing,tarzanides,doc jivaro" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À mesurer les performances musculaires de cet Hercule noir on s’interroge si même TARZAN disposerait d’assez de ressources pour vaincre LOTHAR dans un corps à corps à la loyale. Et difficile de croire qu’un tel homme ait volontairement accepté d’être le serviteur d’un magicien nommé MANDRAKE. C’est pourtant cette situation résultat d’une hiérarchie sociale qui perdurera pendant plusieurs décennies, jusqu’à ce que les deux hommes en viennent à progresser côte à côte en bons amis égaux en droits comme en devoirs.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">D’abord présents dans deux hebdomadaires, l’un ROBINSON, l’autre HOP-LA ! Mandrake, toujours vêtu d’élégance, se fera connaître avant la guerre de 1939-40 dans le pays des deux Léon, c'est à dire le pays de Blum et de Daudet.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1055372" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/2708148757.jpg" alt="BD-Mandrake,-Supplément-355.jpg" width="270" height="408" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour ceux- celles d’entre vous qui, sans avoir à vider leur cassette d’avare, souhaiteraient lire et regarder les premières aventurlures de Mandrake et Lothar, Doc Jivaro conseille les trois volumes que les ÉDITIONS DES REMPARTS publièrent en 1980. Trois volumes en couleurs comprenant les 376 Sunday Pages d’origine yankee. (Les bouquinistes spécialisés ne manquant pas sur votre web favori. Ah ! j'allais oublier : Le grand magicien rejeton imaginaire de l’aphrodisiaque mandragore fut aussi actif dans le magazine DONALD, chaque dimanche matin, depuis le numéro 1 jusqu’au dernier : le 313 des années 1947 à 1953.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Saperlipopette ? Abracadabra serait mieux dans le sujet.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 325
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-11-24:3126652
2018-11-24T17:28:00+01:00
2018-11-24T17:28:00+01:00
Ce jour, Doc Jivaro a décidé de ne pas se fatiguer, puisant dans...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce jour, Doc Jivaro a décidé de ne pas se fatiguer, puisant dans ses réserves. Aussi se suffit-il de présenter la planche BD n° 2 de l'épisode "Du Porc Chez Les Cochons" ; épisode dont il signala l'existence samedi 10 novembre. </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1054391" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/2664439321.jpg" alt="BD-Tarzanides 325.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voici les dimensions réelles : 47 x 64,5 cm. L'encre de chine et la gouache aquarellée en sont les matériaux.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro. </span></span></p>
Bredin
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Après Luguy, voici Bar-Zing Fernand de Coursensac
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-11-12:3126223
2018-11-12T15:48:00+01:00
2018-11-12T15:48:00+01:00
Au moins trente années (30) avant d'être le nom de mon blog,...
<p style="text-align: center;"><img id="media-1053188" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/4018795029.jpg" alt="Bar Zing,bandes dessinées de collection,BD,Luguy,Autokrator,Rakass," /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Au moins trente années (30) avant d'être le nom de mon blog, BAR-ZING était le titre d'une BéDé d'un genre western et regroupant un peu plus d'une centaine de pages, chacune de format 40 X 60.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">(Pinceaux, encre de chine et gouache aquarellée).</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Arrive toujours les moments où il faut faire un bilan.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L'actualité contemporaine attendra demain.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: left;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 322
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-11-03:3125912
2018-11-03T18:33:00+01:00
2018-11-03T18:33:00+01:00
Nous perdrions notre temps à chercher dans l’historique de la...
<p style="text-align: center;"><img id="media-1052557" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/389904837.jpg" alt="tarzan,tarzanide,avatars de tarzan,lugy,luguy,bd,bandes dessinées de collection" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Nous perdrions notre temps à chercher dans l’historique de la bande dessinée, la trace d’un LUJY. Une telle empreinte ne s’y rencontre pas.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pas encore.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Car LUGY – parfois modifié en LUGUY – existe bien, quand même il demeure inconnu de vous tous.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Inconnu sauf pour Doc Jivaro qui en est le créateur sous le pseudo de RYAL.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">LUGUY, à ses débuts, se présenta comme un des avatars de TARZAN. Par la suite, il se débarrassa de cette influence due à l'enfance de l’auteur lorsque celui-ci en traçait les premiers aspects au crayon et sur du papier quadrillé d’âge scolaire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L'épisode "Du porc chez les cochons » date de 1988/89. Il compte 14 planches sans l'illustration de couverture. Son format 47,5 X 54,5 est un format assez ingrat, inhabituel dans les journaux traditionnels de BD. Autant dire il n’a pas été commode de le scanner sur notre Canon A4. A fallu découper, remonter, etc … Le résultat n’est pas bien valable.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pendant la nuit prochaine du 24 au 25 décembre le Petit Jésus et le Père Noël ont déjà idée du cadeau A3 qu'ils vont devoir faire à Doc Jivaro.</span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ryal</span></span></p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 319
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-10-13:3125185
2018-10-13T18:40:00+02:00
2018-10-13T18:40:00+02:00
– Tu nous as signalé que le Pillou-Pillou de POPEYE se nomma...
<p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Tu nous as signalé que le Pillou-Pillou de POPEYE se nomma TSOIN-TSOIN dans la première traduction française alors que Popeye lui-même s’y appelait Mathurin.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Deux montluçonnais de ma génération venaient de m’adresser cette remarque, quand nous en étions à feuilleter de vieux livres dans la boutique du dernier bouquiniste de la Ville dont Marx Dormoy fut le maire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><img id="media-1050983" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2087667304.jpg" alt="betty boob,pilou-pilou,popeye,studios fleischer,tallandier,cinÉma 71,ville de marx dormoy,bd,bandes dessinées anciennes,tarzanides du grenier,bar zing de montluçon" width="381" height="243" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Me semble qu’il y eut trois albums de ce titre édités par TALLANDIER. Mais il suffit d’en lire un seul pour vérifier tout de suite que Popeye s’y trouve changé en matelot de Marseille. Et que pour ce qui est de son œil borgne celui-ci interprété comme un œil « poché au beurre noir ». Enfin des exclamations telles que dubled, jobard, pechère, quinquin ou encore galapiat et galéjade confirment l'ambiance de l'ancienne cité phocéenne sans avoir à pousser la mystification jusqu’à conter l'histoire de la sardine qui bouche le port de Marseille.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et maintenant, regardons la couverture scannée ci-dessous où Popeye Mathurin voisine avec ... avec Betty Boop, la piquante starlette en mini jupe des années trente. À ce propos, souvenons-nous que le gaillard mangeur d'épinards n'est jamais insensible à la présence des jolies filles. </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sans oublier que le gonflement anormal de ses avant-bras suggère une disponibilité sexuelle permanente.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1050984" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3064351181.jpg" alt="betty boob,pilou-pilou,popeye,studios fleischer,tallandier,cinÉma 71,ville de marx dormoy,bd,bandes dessinées anciennes,tarzanides du grenier,bar zing de montluçon" width="222" height="312" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La proximité des deux personnages devenus marionnettes de films d'animation, est encore une des preuves quant aux nombreuses correspondances entre le cinéma et la bande dessinée. (Ici, la jarretière de Betty et l'ancre marine de Popeye sont détaillées par les studios Fleischer).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En France, l’influence réciproque entre bédé et ciné fut sérieusement étudiée dans le numéro 159 de la revue CINÉMA 71 de septembre et octobre 1971.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sur ce, Doc Jivaro vous dit au revoir, mes amis.</span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="left"> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 305
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-06-30:3111827
2018-06-30T17:48:00+02:00
2018-06-30T17:48:00+02:00
Le Panthéon chez nos ancêtres gréco-romains se dressait comme un...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le Panthéon chez nos ancêtres gréco-romains se dressait comme un temple dédié à toutes les divinités mâles ou femelles et dans une telle croyance religieuse aucun dieu, aucune déesse n’a la prétention insensée de créer l’univers et les phénomènes qui s’y animent. Tous et toutes ne se vivent que comme les créatures premières nées d’un cahos originel incompréhensible. Reconnaissons que c’est totalement l’inverse du dieu En Sof que le monothéiste adore.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Demain, Madame Simone Veil trouvera place dans un monument qui fut une église avant d’être choisie pour simuler un panthéon finalement laïcisé.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les bandes dessinées lues pendant mon enfance prirent rarement – trop rarement ? – pour thème les camps de la mort dont Himmler « intestin de Hitler » dirigeait le fonctionnement. Reste qu’une d’entre elles : SACRIFICES INCONNUS marqua ma mémoire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><img id="media-1011015" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/2642716575.jpg" alt="BD-Mission-dangereuse.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><img id="media-1011016" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/3867602520.jpg" alt="BD-Bandeau-2.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le bandeau du dessus est comme le préambule de celui d’en dessous, l'ensemble étant un produit italien. Une assez longue saga, celle d’une famille italienne déportée dans l' Allemagne du troisième Reich ; puis s’exilant en Amérique du Sud pendant des lendemains qui ne chantent pas. Mis en route le premier avril 1947, semaine après semaine, ce récit imagé ne sera stoppé que le 23 juin 1951. Il paraissait interminable avec ses prolongements jusqu’en Chine pour ensuite revenir en Afrique du Nord.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Deux images suffisent pour résumer l’ambiance impitoyable de la deuxième partie de cette BD qu’aujourd’hui encore on a peine à croire destinée à la jeunesse. Ces deux images sont installées dans le numéro 82 du 11 avril 1948 du grand magazine TARZAN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-1011025" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/1503695752.jpg" alt="simone veil,panthéon,camps de la mort,himmler,sacrifice inconnu miloc,bd,bande dessinée ancienne,tarzan,doc jivaro,tarzanides du grenier" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Assurément, le dessinateur ne disposa pas d’une documentation sur le propos des chambres à gaz. Les émanations meurtrières sont-elles produites par évaporation de granulés ou par une projection due à un système de tuyères ? En fait, dans toutes les bandes dessinées que j’ai connues relatives aux camps nazis de la mort, l’existence des chambres à gaz n’était sugerrée que par la haute cheminée d’un crématoire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Dans cette BD les femmes tiennent des rôles très importants. L’héroïsme des unes s’accompagne de séquences sentimentales avec des hommes de nationalités diverses, le tout s’opposant à la fanatique GERDA, bourrelle SS qui finira écrasée sous une pierre énorme pendant la destruction de Berlin.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Toujours dans ces deux images remarquons la jeune femme portant une serviette : cette personne paraît avoir été « rhabillée » d’un barbouillage noir docile à la censure. Nous en jugerions mieux si nous connaissions les originaux dessinés par MILOC et comment quelques-uns purent être modifiés dans leur traduction française.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">et Bob l'aviateur ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bob l'aviateur vient d'être victime de l'actualité politique.</span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 303
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-06-16:3107158
2018-06-16T09:36:00+02:00
2018-06-16T09:36:00+02:00
Par la route montante et réaménagée que de vieux montluçonnais...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Par la route montante et réaménagée que de vieux montluçonnais survivants appellent « La Côte rouge » et qui indique la direction de Limoges éloignée de quelque 150 kms, nous accédons à une surface commerciale de réputation mondiale. Son bâtiment rectangulaire propose deux entrées publiques, l’une proche d’un restaurant, l’autre donnant à droite sur un Espace Culturel. Dans les deux cas le hall géant semble nous réduire à une taille lilliputienne. Mais le gaulois que je suis y repense : l'historix Galerie des Glaces, quelle longueur mesure-t-elle ? Nous nous souvenons simplement que notre reflet était tout tordue dans la miroiterie versaillaise dont se contentait pourtant MONSIEUR, aristocrate travesti de robes et de dentelles, frère du monarque absolu.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Je vais acheter une nouvelle clé USB, me lança ma n'épouse en me voyant stopper devant une sorte de pachyderme humanisé par le port d’une culotte. Une statue toute boursouflée, d'une énormité encombrante et verdâtre, matérialisant… HULK.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-993025" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/1772258079.jpg" alt="Hulk-retouché.jpg" width="291" height="388" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">HULK, l'un des super héros dont les fervents de bandes dessinées nous apprennent qu’il vient des écuries américaines MARVEL, pendant que d’autres préfèrent se souvenir que c’est l’éditeur lyonnais français LUG qui le popularisa chez nous. HULK tout en colère, d’une colère silencieuse. Mais sans doute HULK est-il rendu furibond par l’actuelle fâcherie entre Leclerc et Coca Cola, ou encore par la quasi-disparition des rayons BD hier encore bien présents dans l'Espace Culturel.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">HULK n’existait pas quand l’instituteur Servan fouillait sans mon autorisation dans mon cartable d’écolier pour en soutirer confisquer le magazine TARZAN réprouvé banni par l’URSS stalinienne. « J’en parlerai à ton père ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comment ne pas avoir été captivé par les dessins de Hogarth lorsque nous n’étions que des gamins et que la télévision n’était pas présente pour concurrencer l'immobilité des imageries traditionnelles ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Voyez ci-dessous une BD à laquelle Doc Jivaro a occulté (et non pas ausculté) le titre et les textes afin de rendre plus impressionnant par leur isolement les dessins.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Tout y est résumé de l’ambiance animale faite d’alternances entre la peur et la rage de vaincre exprimée dans les romans de Burroughs dont nous ne connûmes d’abord que la transcription en formules BD. Notez surtout le faciès grimaçant du gorille : il nous rappelle les gros plans de la gueule de King Kong <sup><strong>(1)</strong></sup> que nous vîmes s’approcher de la caméra alors que c’est elle, la caméra, qui s’avançait vers une marionnette changée en une bête fabuleuse escaladant l’Empire Stades Building.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-993028" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/4076929287.jpg" alt="BD-Futuropolis.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais voici qu’une des images retient notre attention : celle du gorille géant qui se sauve, vu de dos, et dont la fuite à quelque chose de cocasse, de clownesque. Son allure paraît plus comique que dramatique et ne correspond pas du tout à l’ambiance plus que centenaire de TARZAN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comprenons que Doc Jivaro a failli réussir à nous tromper en supprimant le titre et le texte. Car il s’agit d’une planche de FUTUROPOLIS dessinée par Pellos, et non pas d’un morceau choisi en pleine substance des aventurlures africaines de lord John Greystoke.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">FUTUROPOLIS fut édité en page huit du grand journal JUNIOR depuis le numéro 54 jusqu’au numéro 110 à partir de l’année 1937.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Lorsqu’en 1977 Glénat (Jacques) réédita sous une couverture rigide et de format italien, les 56 planches du désormais mythique FUTUROPOLIS il accorda toute l’importance au dessinateur Pellos. Un choix trop partisan, comme pour enfoncer dans une oubliette toujours plus profonde l’identité du scénariste et rédacteur de FUTUROPOLIS : Martial. Martial Cendres. Enfin, en 1982, le jeune Pierre Pascal écrivit un scénario intitule NOVOPOLIS et obtint du patriarche Pellos, né en janvier 1900, qu’il dessinât sans doute avec quelque nostalgie, les péripéties de ce qui était comme le rejeton tardif de FUTUROPOLIS.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-993027" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/3287897178.jpg" alt="Novopolis-Pellos, 1982.jpg" width="289" height="387" /></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: left;" align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><sup>(1)</sup> – Évidemment, en ce moment, nous nous référons au seul vrai King Kong, celui de 1933.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier N° 297
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-05-05:3105748
2018-05-05T18:11:00+02:00
2018-05-05T18:11:00+02:00
Longtemps, Doc Jivaro s'imagina que l’album numéro 6 DONALD des...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Longtemps, Doc Jivaro s'imagina que l’album numéro 6 DONALD des années 1949-1950 et groupant les numéros hebdomadaires 131 à 156, lui avait été offert pendant une des maladies de l’enfance. Histoire de l’aider à patienter « au fond du lit ».</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À garder la chambre, donc ? c’est ça selon l'expression familière.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-990507" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/708462315.jpg" alt="BD-Donald-N°31-à-156.jpg" width="249" height="381" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Lorsque beaucoup plus tard j’en bavardais avec ma mère elle ne se rappelait pas m’avoir acheté ce volume d’illustrations.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Quand tu as eu la rougeole ? la varicelle ? tu as eu aussi une otite.</span></span></p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et les oreillons ?</span></span></p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Qu’est-ce que tu vas inventer ! ce n’est pas toi qui as subi ce mal. C’est le voisin, c’est René, souviens-toi.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Entre voisines, des oreillons, les dames en parlaient avec beaucoup d’animation. C’était une catastrophe mais pour les garçons seulement. « Ils ne pourront pas avoir d’enfants ! » Grand mystère pour mes oreilles quand elles entendaient sans tout comprendre.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">C’est dans ce volume DONALD que je rencontrais pour la première fois PIM PAM POUM. Mon père aussi, c'était nouveau pour lui. Certains soirs, il s’en amusait, sa tête toute proche de la mienne.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous avez l’air malin tous les deux ! s’exclamait Maman tout en utilisant les assiettes pour faire descendre de la table DONALD qui n’avait aucun droit à s’y étaler à l’heure du souper.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-990508" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/2049674784.jpg" alt="BD-Donald-1949.jpg" width="310" height="213" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une image dessinée par Knerr et publiée le 4 décembre 1949 en huitième page du journal qui en comptait huit. Les adultes connaisseurs reconnaîtront là-dedans presque tout l’attirail d’une séance S.M. Les chaînes, les esclaves ou les martyrs encagés, la présence d’un instrument dont l’utilisation dépend d’un chantage aux sucettes sucées. Les plus vicieux d’entre vous remarqueront l’emplacement corporel où sont érigées les deux poignées de la cisaille. Enfin, les jambes croisées de la « dominante » de service.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bien entendu le S.M. doit toujours se dérouler entre complices. C’est le faire semblant d’une comédie. C’est le JEU.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il se pourrait bien que samedi prochain PIM PAM POUM soient toujours présents auprès de Doc Jivaro. Comment se lasser d’une BD chef-d’œuvre plus que centenaire ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"><img width="2" height="2" name="Objet4" align="bottom" /> <img width="2" height="2" name="Objet5" align="bottom" /></p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 296
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-04-28:3105511
2018-04-28T18:55:00+02:00
2018-04-28T18:55:00+02:00
Ce jour, moins de deux heures avant de débuter cette écriture,...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce jour, moins de deux heures avant de débuter cette écriture, j’ignorais l’existence de ce recueil PIM PAM POUM édité par HACHETTE.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-990188" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/3720678877.jpg" alt="BD-Pim-Pam-Poum-1933,-couv.jpg" width="258" height="320" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Edité en 1933, c’est-à-dire pratiquement une année avant le premier numéro hebdomadaire de MICKEY daté du 21 octobre 1934. PIM PAM et POUM débarquaient en France protégés par le copyright Opéra Mundi. Toutefois PIM PAM et POUM durent patienter (archi difficile pour eux !) jusqu’au numéro 25 du 7 avril 1934 pour que leur incorrigible mentalité de farceurs secoue et froisse, peut être même déchire les pages du journal dont Paul WINKLER était le directeur gérant. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les dessins présents dans l’édition HACHETTE, ici, proviennent du talent de KNERR. Nombreux furent les dessinateurs qui se succédèrent au chevet – si j’ose dire – des gamins terribles PAM et POUM. Il y eut Dirks, Winner, Musial, etc, etc. Quant au titre de la série il fut souvent modifié dans les versions françaises. Aussi trouvons-nous un « Capitaine Louf » mais aussi un « Capitaine Cocorico ». Les spécialistes, bien distincts de nous autres amateurs, préfèrent croire nous distancer en parlant des KATZENJAMMERS KIDS.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-990190" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/3834317787.jpg" alt="pim pam poum,hachette,katzenjammers kids,mickey,knerr,opéra mundi,paul winkler,dirks,winner,musial,bd,bandes dessinées de collection,tarzanides" width="407" height="252" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les textes distribués en dessous des images constituent une présentation habituelle à l’époque où la BD, chez nous, hésitait encore à utiliser des « bulles parlantes ». Enfin, en ce qui concerne la coloration bleuâtre et rosâtre dont les nuances sont fabriquées à l’aide de trames visibles à l’œil nu, elle restera permanente jusqu'aux années 1950 chez HACHETTE.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Nous ne connaissons pas l’auteur de l’illustration du volume affiché devant nous. C'est que HACHETTE, pour ses couvertures destinées à la jeunesse, recourait à des talents anonymes auxquels on ne demandait que d’imiter avec plus ou moins de ressemblance le style de tel ou tel créateur connu dans le monde de la BD.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour celui qui garde de son enfance le souvenir des personnages de PIM PAM POUM, son étonnement apparaît d'avoir à lire que le vieux monsieur à longue barbe et coiffé d’un chapeau haut de forme et qu’il connaît sous l’appellation « L’astronome » se trouve nommé « Monsieur Belazur » dans le recueil de 1933.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Eh bien ! à la semaine prochaine si les dieux le veulent.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 60px; text-align: right;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"><img width="2" height="2" name="Objet4" align="bottom" /> <img width="2" height="2" name="Objet5" align="bottom" /></p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 294
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-04-21:3105293
2018-04-21T18:24:00+02:00
2018-04-21T18:24:00+02:00
Ha ! hier soir, les voisins du dessus ont fait la bamboula !...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ha ! hier soir, les voisins du dessus ont fait la bamboula ! quel raffut ! et jusqu’après minuit vers les deux heures !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La bamboula, la fête. L’européen traditionnel pouvait en parler avec un accent péjoratif. Mais connaissez-vous une BD toute simplette dont le titre est BAMBOULA ? peut-être pas.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-989825" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/2737924903.jpg" alt=" BD, bandes dessinées de collection, Bar Zing, Doc Jivaro, Tarzanides, Bamboula, Éditions Rouff,Mat,Cisco Kid,Luis Salinas," /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Il s’agit des mésaventurlures d’un petit garçon noir sous de grands arbres tropicaux, et souvent pourchassé par de vauriens sauriens croco d’îles. L’éléphantesque hippo tam tam menace aussi de l’avaler en toute crudité. Quant à la présence de blancs coiffés d’un chapeau colonial elle indique bien l’époque où se déroulent les courses poursuites comiques dessinées par MAT œuvrant pour les éditions ROUFF.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ne nous retenons pas de signaler que Bamboula s’exprime dans un langage français quelque peu écorché et écorné et qui faisait bien rire les écoliers blancs de l'année 1952. Il parle « petit nègre ». Nous mêmes à ce moment-là nous nous amusions quelquefois de fautes d'ortografe commises par notre voisin de classe.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-989826" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/330289303.jpg" alt=" BD, bandes dessinées de collection, Bar Zing, Doc Jivaro, Tarzanides, Bamboula, Éditions Rouff,Mat,Cisco Kid,Luis Salinas," width="364" height="192" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Si le grand éditeur populaire ROUFF ne s’était suffi qu’à publier des enfantillages pareils à ceux présents dans Bamboula (et que l’on retrouve dans deux autres de ses titres l’un ZIGOTO, l’autre LA FAMILLE BIGORNO) nous ne le garderions pas dans notre mémoire BD. Mais heureusement, il réédita les aventures de deux personnages BD parmi les plus marquants : KING, champion de la police montée canadienne, et …</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">… <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et CISCO KID, cavalier mexicain et pistolero auquel mieux vaut ne pas chercher des noises.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Cisco Kid était dessiné par le beau talent de Luis Salinas ; un talent particulièrement remarquable lorsqu’il faut fixer l’expression d’un visage.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les plus curieux d’entre vous se reporteront pour une info supplémentaire à notre TARZANIDE n° 18 du 26 janvier 2013.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p><p align="left"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 293
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-04-07:3104745
2018-04-07T18:14:00+02:00
2018-04-07T18:14:00+02:00
Une image (celle de gauche) qui ne manqua pas d’émoustiller la...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une image (celle de gauche) qui ne manqua pas d’émoustiller la jeunesse d’âge scolaire lorsqu’un journal de BD n° 61 de l’année 1947 en publia l’effet.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-988953" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1569819021.jpg" alt="BD, bandes dessinées de collection, Bar Zing, Doc Jivaro, Tarzanides,Tarzan et Jane 1947,Titeuf,Rex Maxon,loi 49 956 du 16 juillet 1949,moeurs," width="423" height="238" /></span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"> Dessins Rex Maxon</p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Quel journal de BD ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comme s’il fallait poser une telle question ! Puisqu’il s’agit de JANE, il s’agit de « Peau Nue » c’est-à-dire de TARZAN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les garçons en ricanèrent entre eux, en l'absence des filles.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">T’as vu ça ? Regarde ! elle ne porte pas un soutien-gorge.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Effectivement la jeune femme est dessinée se suffisant d’une tenue topless.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Parions que quelques parents s’en inquiétèrent. Et ne vous demandez plus pourquoi les curés et les communistes, copains en pudibonderie, votèrent la loi 49 956 du 16 juillet 1949.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une loi toujours pas abrogée donc toujours à l’affût de couper la grosse... mèche de Titeuf.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Cette première journée vraiment printanière à été l’occasion pour les Tarzanides d’aller gambader en dehors de leur grenier et je ne sais où. Alors, de son côté, Doc Jivaro s’est offert un après midi dans Néris-Les-Bains, petite cité autrefois fondée par nos ancêtres les Latins païens.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Et comment se porte l'AVC chez le Doc Jivaro ? L'AVC se porte mal ce qui fait que Doc Jivaro se sent bien mieux.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À lundi.</span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="left"> </p><p align="left"> </p>
Bredin
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Salon des séniors 2018
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-04-05:3104658
2018-04-05T11:59:00+02:00
2018-04-05T11:59:00+02:00
GASTON ? 60 ans déjà
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 24pt;"><strong><br />GASTON ?</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 24pt;"><strong>60 ans déjà<br /></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-988775" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/4240954834.jpg" alt="Gaston-Lagaffe sénior.jpg" /></p><pre style="text-align: center;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 24pt;"><strong> </strong></span></pre>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 291
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-03-31:3104441
2018-03-31T17:07:00+02:00
2018-03-31T17:07:00+02:00
TARZAN ET LES FEMMES Un bon siècle avant la...
<p align="justify"> </p><p align="center"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><strong>TARZAN ET LES FEMMES</strong></span></span></p><p align="center"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Un bon siècle avant la libération politique des femmes (libération que certains chimistes attribuent à un déficit de réserve hormonale chez l’homme) un bon siècle avant, donc, de jeunes et jolies filles se permettaient déjà de malmener le puissant fils des grands singes.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center; padding-left: 30px;"><img id="media-988286" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/2783590301.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides,commissaire maigret,tarzan,salon madame claude" width="325" height="274" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><pre><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10pt;">Copyright, année 1951, </span><br /><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: 10pt;">Vignette de Bob Lubbers</span><br /></span></span> </pre><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ici, dans un monde grouillant de lilliputiens, une princesse plante un coup de couteau dans la chair du héros ; lequel semble ne réagir qu’avec une docilité satisfaite. Croirait-on qu'un homme pareil pourrait devenir </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">le client des anciens salons de défunte Madame Claude ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les relations entre Tarzan et les femmes ne sont jamais apaisées puisque que jamais franchement accomplies à cause de manquements sexuels répétitifs. Cela apparente de façon tout a fait inattendue Tarzan et le commissaire <strong>Maigret</strong>. On sait que ce policier rencontre des centaines de prostituées sans jamais accomplir l’acte qu’Abélard accomplissait avec Héloïse avant que l'époux de celle-ci vienne trancher dans le vif du sujet.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais vous allez m’interrompre : « Voyons ! le commissaire <strong>Maigret</strong> est un homme marié. Comment douter de SON viril ? ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">À quoi Madame Lamalice répond : il n’a jamais été papa, Jules ! ni julot. Il est mort sans engrosser sa femme.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous voyez bien qu’un soupçon d’impuissance peut subsister.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 290
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-03-24:3104160
2018-03-24T16:05:00+01:00
2018-03-24T16:05:00+01:00
Sacrés coups de pied dans le l'c …. ! Traduction pour le...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sacrés coups de pied dans le l'c …. ! Traduction pour le théâtre de boulevard : daignez, cher voisin, que je vous botte votre auguste postérieur.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-987769" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/701487415.jpg" alt="jim taureau,studio tex avery,pim pam poum,bd,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides,ecole des beaux arts de bourges" width="404" height="237" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’acte, ici, à lieu entre deux amis. Il ne s’agit donc pas d’un affront mais d’une sorte d’avertissement arrivant en retard une fois le danger évité par la personne menacée. Nous connaissons tous cette mère de famille qui gifle son enfant après que celui-ci ait échappé à un accident : « Tu m’as causé une de ces peurs ! ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’Hercule grec Bourianakis et son compagnon, l’escogriffe Kid, forment une paire ... disons plus justement un couple d’aventuriers souvent égarés dans des régions que nous dirons exotiques puisqu’ils se tiennent très loin au-delà de l'horizon.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les coups de pied dans le derrière restent très rares dans toute l’histoire de la Bande Dessinée. Nous en rencontrons dans des séries comiques (Pim Pam Poum) mais toujours distribués avec parcimonie. Et lorsque les acteurs se veulent sérieux l’envoi d’un pied chaussé dans les fesses est généralement interdit. On préfère voir le héros balancer son foot dans le visage de l’ennemi ! Une déviation s'expliquant peut-être par la volonté de faire disparaître toute allusion homosexuelle. D’autant que dans la réalité de tous les jours ce sont les hommes qui se bottent entre eux l’arrière-train. Jamais les femmes. On se souvient des gros rires du public regardant les films muets dirigés par Chaplin-Charlot, les coups de pieds au cul étant monnaies courante. Quant à nous autrefois écoliers de l’École Primaire Voltaire nous gardons souvenir d’un instituteur qui stoppait nos bavardages grâce à une phrase impressionnante : je chausse du 42, vous voulez en goûter ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bourianakis et le Kid vivaient leurs aventures en compagnie d’un jeune gaillard qu’il surnommait respectueusement : Le Directeur. En fait, son pedigree était JIM TAUREAU.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Un JIM TAUREAU publié simultanément sous deux aspects : l’aspect hebdomadaire dans le Journal Les Aventures De Paris Jeunes (1948) et le second aspect mensuel d’un format « à l’italienne » (toujours en 1948). </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Très bagarreur (trop ?) JIM TAUREAU disparut pendant l’année 1950, victime comme beaucoup d’autres BD de la Loi 49956 de 1949.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-987799" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/4242371119.jpg" alt="jim taureau,studio tex avery,pim pam poum,bd,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides,ecole des beaux arts de bourges" width="295" height="296" /></p><p style="text-align: justify; padding-left: 150px;"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">En 1958 Doc Jivaro acheta dans le kiosque à journaux de la gare de Bourges, ce format de poche JIM TAUREAU, rien que pour voir ce qu'il advenait du retour d’un des héros de papier escamoté dix années auparavant.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">La décennie des années 50 favorisa les publications de format de poche. (Kiwi 1955, Buck John 1953 ou encore Arc-en-ciel 1956 sans oublier un 34 (Caméra) précoce en 1949 et dont resta longtemps très fier le camarade LÉCUREUX. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les dimensions réduites (13 X 18 cm) obligeaient le maquettiste à effacer quelques-unes des images d’origine tout en agrandissant certaines autres pour bien emplir le rectangle de chaque planche. Mais la modification la plus étonnante par rapport aux images de 1948 nous venait des exigences de la censure. Ainsi pour ne pas avoir à supprimer toutes les images de brutalité entre hommes, l’Editeur recourait à une astuce : fabriquer des bulles de lecture et les coller pour dissimuler le poing du boxeur et son impact sur l’adversaire.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-987771" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/3801287314.jpg" alt="jim taureau,studio tex avery,pim pam poum,bd,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides,ecole des beaux arts de bourges" width="306" height="182" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Notre prof d’art publicitaire promena son regard dans les pages de JIM TAUREAU : " le dessin ne plane pas haut ".</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce professeur à l’École des BA de Bourges appréciait le Jazz et le Négro Spiritual tout autant que les comiques dessins animés fournis par le Studio Tex Avery.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Vous connaissez le jazzman Kid Ory Monsieur ?</span></span></p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bien sûr. Et toi tu connais son fils : Ory fils ?</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Orifice. Encore une histoire de trou de balle.</span></span></p><p style="text-align: right;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Tarzanides du grenier n° 289
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-03-17:3103897
2018-03-17T17:31:24+01:00
2018-03-17T17:31:24+01:00
Doc Jivaro avait préparé un article à propos d’un héros de papier...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro avait préparé un article à propos d’un héros de papier BD : JIM TAUREAU. Sans évidemment prévoir que le hasard le placerait en présence de trois brochures épaisses, chacune de 50 grandes pages imprimées d’images illustrant : LES MISÉRABLES.</span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-987333" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/1183812548.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,bar zing,doc jivaro,tarzanides,rené giffey,victor hugo,les misérables,salle de ventes de montluçon,Éditions mondiales de del duca,hôtel des ventes de montluçon" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro n’eut pas à renchérir le prix annoncé par la responsable des achats dans l’Hôtel des Ventes Place de la Poterie à Montluçon.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">« Sur les trois volumes, vous avez vu que le deuxième est troué en haut à gauche, n’est-ce pas ? »</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J’avais vu.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Cette longue BD réussie par René Giffey, je l’ai connue depuis sa première édition dans l’hebdomadaire TARZAN, numéro 1 de septembre 1946 jusqu’au final numéro 140 du 29 mai 1949. M’en payer une réédition même un tant soit peu endommagée ne m’a pas ruiné : 15 euros.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">René Giffey travaillait tranquillement mais rapidement, œuvrant souvent pour les Éditions Mondiales de Del Duca. Quelques critiques lui reprochent de ne pas avoir été un véritable bédéiste mais simplement un bédéaste. Entendez par là qu’il assemblait de façon monotone le dessin et le texte. Doc Jivaro ne débattra pas, ici de cette nuance entre deux termes. Il préfère savoir que cinquante années se sont écoulées sans que MONSIEUR René Giffey ait eu à subir un concurrent dans l’art d’interpréter graphiquement la romance écrite par Hugo le Victor.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">NB Croyez vous vraiment qu’après avoir passé les premières années de sa vie dans le bouge des Ténardier, à servir la vinasse aux rouliers et routiers, Cosette ait pu grandir comme une oie blanche, une sainte Nitouche ?... Hugo n’agitait que ds fantoches.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: right;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro </span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 288
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-03-03:3103019
2018-03-03T18:40:27+01:00
2018-03-03T18:40:27+01:00
Dès la première semaine que Doc Jivaro passa dans l’École des Beaux Arts...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Dès la première semaine que Doc Jivaro passa dans l’École des Beaux Arts appliqués à l’industrie (Bourges) il entendit fort bien que la bande dessinée ne s’y trouvait pas en odeur de sainteté.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Apprendre à bien dessiner. Ce résultat ne se comprenait qu’en présence d’un modèle vivant, ou du moulage en plâtre d’une feuille d’acanthe. " Mesurez, prenez les proportions, utilisez le fil à plomb … Repérez d’abord les grandes surfaces, comparez-les mentalement aux figures géométriques simples, etc."</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’étude visuelle d’une nudité humaine primait avant tout. Il fallait travailler sur papier Ingres d’au moins 180 gr et de dimensions réglementaires 50 × 65. Le crayon ou le fusain, et le modèle : une femme nue, ni moche, ni belle, capable de ne pas se grattouiller la fesse pendant une quinzaine de minutes en position debout, immobile. Lorsque le prof aperçut mon œuvre, il s’exclama quelque chose comme : “ c’est habile, c’est fait de chic ! Mais pour progresser abstenez vous de faire des guignols comme on les fait dans les illustrés populaires ! ”.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">J’étais cuit, vexé sans le montrer.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Trois ans passèrent et c’était l’école des B.A. de Paris où la BD n’était pas non plus encourgée. (La grande mode du moment c’était l'Art Abstrait) (Prière de mettre des majuscules vraiment grosses). L'ambiance hostile à tous les petits Mickey, explique en partie comment je ratai la première apparition d'Astérix dans le journal Pilote année 1959.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-985701" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/1657644890.jpg" alt="BD-OK-- N°-134,-27-01-1949.jpg" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Cependant, attention ! mon enfance connut UDERZO lorsqu’il signait AL UDERZO dans les pages du KID MAGAZINE de l'année 1948. Ou encore lorsqu’il exhibait l'athlète BELLOY en page une de l'hebdomadaire OK. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">BELLOY L’INVULNÉRABLE (rien que ça !). Nous y repérons certains effets graphiques inspirés du style de Burnes Hogarth (La gestuelle de la reine Zamora et de sa soeur jumelle. Le tracé des flots tumultueux dans le Trésor de l’Île Fantôme).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Bon ! on ne va pas en écrire 4 pages Médor.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Au fait : semblerait que deux commentateurs du blog Bar Zing aient échangé des propos entre Astéix, Attila et le renoncement à toute résistance.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A bientôt. A lundi je veux dire.</span></span></p><p style="text-align: right;" align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro </span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 287
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-02-24:3102656
2018-02-24T18:19:00+01:00
2018-02-24T18:19:00+01:00
Pour s’attribuer un semblant d’excuse à ne pas être présent à...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pour s’attribuer un semblant d’excuse à ne pas être présent à l’ouverture du Salon de l’Agriculture Doc Jivaro vous parle, ici, d’un certain KORAK.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">S’il est un adolescent autant vigoureux que courageux et qui mérite amplement de se tenir debout dans l’Olympe des Tarzanides c’est bien lui, c’est bien KORAK.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-985357" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/2717474764.jpg" alt="tarzan,korak,sagÉdition,bd,bandes dessinées de collection,tarzanides,bar zing,doc jivaro,russ manning" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Dans les films américains des années 30, 40 et 50, la censure recommandait de faire disparaître tout allusion à un rapport sexuel entre TARZAN et SA Jane. Autrement dit : tout enfant vivant auprès d’eux en famille ne pouvait qu’être qu’un enfant adopté. Un garçon sans identité, comme « tombé du ciel ». Et, justement, l’enfant adopté allait être le rescapé d’un avion accidenté dans lequel ses parents disparaissaient morts inconnus. Et puisque c’était un garçon, il recevait pour nom « BOY » ce qui revenait à ne le faire subsister qu’anonyme.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Mais, heureusement, dans les romans de Burroughs l'homme singe et sa belle anglaise pratiquent des étreintes amoureuses positives et c'est bel et bien un garçon « fruit des entrailles » de sa maman qui vient au monde.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les aventures de TARZAN et de KORAK (son fils véritable) furent d'abord communes à l’un et à l’autre. Les planches américaines étaient réussies par Russ Manning. Mais plus tard, le père et le fils se séparèrent, chacun accomplissant des exploits distincts de ceux de l’autre.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">L’éditeur SAGÉDITION s’était réservé d’exploiter le copyright de TARZAN. Les deux pages ci-dessus sont sorties du numéro 43 de TARZAN année 1983 et leur placement côte à côte n’est qu’une improvisation due à votre serviteur.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Sagédition disparaîtra en 1987 n’ayant que rarement publié des BD françaises. Sa fin augurera d’une totale disparition des bandes dessinées populaires de petit format. Ainsi le fameux Kiwi, né en 1955 cessera d’exister après son numéro 582 de l’an 2003.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro </span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 286
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-02-17:3102426
2018-02-17T17:19:00+01:00
2018-02-17T17:19:00+01:00
Comment dites vous : Domérat ?… Autrefois un village de...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Comment dites vous : Domérat ?… Autrefois un village de l’Allier dont le clocher s’apercevait au loin et au-dessus des vignobles qui le séparaient de Montluçon l’ouvrière. Aujourd’hui les raisins ont disparu à cause des vieux vignerons morts. Leurs vendanges n’étaient pas un cru de haute race ; nous disions, ils disaient : de la piquette !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Une statue modeste garde le souvenir des vignes, à proximité de l’église. Une statue de Bacchus. Un jeune homme en équilibre instable sur des tonneaux formant son socle. Hélas ! comme l’artiste n’était pas bien habile, son personnage ne titube pas d’ivresse fermentée mais semble plutôt osciller des hanches et des fesses pareil à un travesti posté à l’orée du bois. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce n’est pas pour cette œuvre banale que je me suis rendu ce matin de samedi 17 février, dans Domérat : c’est pour le Salon de brocante de livres et de journaux une fois l’an. Je n’en suis pas revenu bredouille mais pas non plus la bignache pleine. C’est tout juste si j’ai trouvé un lot de l’hebdomadaire Bédé HURRAH, année 1940. En page 5 j'ai revu une vieille connaissance LE FANTÔME D'ACIER. </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-984966" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/1471239846.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,tarzanides,bar zing,doc jivaro,centre matin,domérat,salon de brocante de livres et de journaux,charles nicholas,bédé hurrah,le fantôme d’acier" width="329" height="338" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Ce personnage masqué, oublié d’aujourd’hui, mes jeunes années le connurent par l’intermédiaire d’un adulte né une décennie avant la guerre 1939-45. Ce voisin archi-alcoolique possédait une carabine coup par coup qui s’armait avec des plombs. De temps en temps il invitait un gamin de notre voisinage : « Viens on va aller tirer les moineaux ! ». La chasse se passait tout au long du ruisseau des Étourneaux, alors presque inhabité en remontant vers l’étang de Sault. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Les copains du quartier et moi savions ce que l’invitation suggérait. En échange d’apprendre à tuer les petits oiseaux, le gosse se laissait tripoter partout-partout</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Allez ! pas de vilaines suppositions de votre part : le gamin ce n’était pas moi. Et la preuve c’est qu’il se suicida à l’approche de ses vingt ans, et que moi je suis encore ici à griffonner du papier.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">je crois bien que c’est ma grand-mère qui me fit lire dans le quotidien CENTRE MATIN un article parlant de cette disparition brutale. Le journaliste l’attribuait à une grosse déception amoureuse provoquée par une fille. Les filles sont dangereuses.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro </span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 285
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-02-10:3102160
2018-02-10T17:43:00+01:00
2018-02-10T17:43:00+01:00
Depuis le 14 octobre jusqu’au 25 novembre de l’année 1950, le...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Depuis le 14 octobre jusqu’au 25 novembre de l’année 1950, le grand hebdomadaire d’aventures TARZAN nous raconta l’épisode pendant lequel le champion inventé par Burroughs affrontait RAMBUL.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Qui est ce encore que celui-là ?</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">C’est un caïd commandant toute une smala de pillards.</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Tarzan est </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">capturé</span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">, </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">ligoté par </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">des cordes </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">solides qui l’enserrent </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">contre un pilier. Les dessins sont signés de Cardy dont </span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">l’</span></span><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">identité complète s'écrivait : </span></span> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Nicholas Viscardi.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Les quelques images BD semblent avoir été inspirées par un film réalisé mais pas réussi et dans lequel on voit l’homme de la jungle prisonnier de vilains pas beaux tout moches militaires nazis. Le titre est TARZAN TRIUMPHS. La date 1943 et la pellicule d'une courte durée : 75 minutes. C’est un navet.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Lorsque Johnny Weissmuller a tenu le rôle il approchait de la quarantaine et sa silhouette commençait à trop s’épaissir pour un personnage tout en souplesse. C’est aussi le cas dans les dessins de BD signés de CARDY et c’est pourquoi nous supposons que le bédéiste utilisa quelques-unes des photos du film.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-984379" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/4294117825.jpg" alt="tarzan,antar,cardy,rko,johnny weissmuller,burrough,éditions ponzoni,bd,bandes dessinées de collection,tarzanides,bar zing,code haye,rambul,code hays" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Plus tard, beaucoup plus tard, en 1964 l’éditeur italien Ponzoni transcrivit en un roman-photos de 61 pages le film de la RKO. Toutefois le titre en était changé pour devenir JUNGLE APPELLE BERLIN, et le nom de ANTAR remplaçait celui de TARZAN.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-984380" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/2130407750.jpg" alt="tarzan,antar,cardy,rko,johnny weissmuller,burrough,éditions ponzoni,bd,bandes dessinées de collection,tarzanides,bar zing,code haye,rambul,code hays" width="268" height="359" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Signalons que dans ce cinéma américain, l'aspect politique a été atténué par le fait que les nazis ne portent pas de brassards marqués de la croix gammée.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Mais que, surtout, le nombril de Weissmuller est caché sous un pagne attaché au-dessus des hanches. Explication : le code de pudeur HAYS interdisait de montrer la blessure cicatrisée laissée par la perte du cordon ombilical.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Tiens ça y est ! la neige recommence de tomber dans le jardin. Mon chat, qui est aussi celui de mon n’épouse, appuie son museau contre l’une des vitres d’une de nos fenêtres. Je le devine qui maugrée : "Ils ne vont pas me permettre de sortir à cause de ces foutus flocons !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro </span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">(qui essayera de faire mieux samedi prochain)</span></span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 284
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-01-27:3101579
2018-01-27T17:42:00+01:00
2018-01-27T17:42:00+01:00
C'est l'actuel SALON D’ANGOULÊME qui motive les quelques lignes...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">C'est l'actuel SALON D’ANGOULÊME qui motive les quelques lignes suivantes. Doc Jivaro ne s’y rendit qu’une seule fois, en 1984, et finira probablement ses jours sans jamais y retourner. Il était aaccompagné par cinq jeunes gens, dont deux participaient à la création du trimestriel RECTO VERSO journal de AJBD (Association de la Jeune Bande Dessinée).</span></p><p align="justify"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Pendant le voyage aller SNCF un quidam cria : « Au feu ! au feu ! » Quelqu’un ajouta d'une voix de western : c’est les Indiens ! Le train stoppa pendant une heure. Je crois bien qu'autour de nous le paysage était inondé. Finalement, en début d'après-midi nous déjeunâmes dans bon petit restaurant marocain. </span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-983362" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/2260509279.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,tarzanides,bar zing,recto verso,ajbd,salon d’angoulême,convention de la bande dessinée,arts,bd,ateliers d’expression culturelle de la ville de paris" /></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Couvrante BERG</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Cependant, malgré notre présence à Angoulême notre préférence allait plutôt à LA CONVENTION DE LA BANDE DESSINÉE dont les stands s’ouvraient dans l’ancienne et bien parisienne Gare de la Bastille. C’était l’époque où le Salon de l’Érotisme voisinait par une allée centrale avec les exposants de Bandes Dessinées pour la jeunesse. Pour le dire clairement le porno des éditions Dominique Leroy cohabitait avec les Tarzan, Spirou et Bécassine de l'enfance. Nous apercevions aussi l'enseigne du prozine ZING, enseigne formée de gros « pétards » disposés en éventail. </span></p><p align="justify"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">À ce moment-là Doc Jivaro signait RYAL pour la première fois et cela se remarque dans les deux planches ci-dessous.</span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-983363" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/206319159.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,tarzanides,bar zing,recto verso,ajbd,salon d’angoulême,convention de la bande dessinée,arts,bd,ateliers d’expression culturelle de la ville de paris" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Pour souvenir Ryal était responsable de plusieurs Ateliers d’Expression Culturelle de la Ville de Paris, parmi lesquels un atelier de Bandes Dessinées et un atelier de graphisme sur ordinateurs. (Macintosh, Atari).</span></p><p align="justify"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Doc Jivaro</span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">avec l'aide de Marie-France</span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 283
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-01-20:3101292
2018-01-20T18:00:00+01:00
2018-01-20T18:00:00+01:00
Les Indiens d'Amérique, Robert J. Moore Traduit de...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><img id="media-982925" style="margin: 0.2em auto 0.7em; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/3730168497.jpg" alt="george catlin,rené giffey,tribus amer-indiennes,bd,bandes dessinées de collection,guerre froide,tarzanides,bar zing" /></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Les Indiens d'Amérique, Robert J. Moore</span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 10pt;">Traduit de l'anglais, Ed. White Star, Italie, 2002 </span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Aquarelliste et artiste peintre d’un talent respectable et doté d’un souci documentaire remarqué, George Catlin (1796-1872) offre le rare avantage d’avoir souvent vécu parmi les tribus amer-indiennes lorsque les Européens migrants et les africains esclaves n’avaient pas encore ruiné les coutumes ancestrales installées dans des territoires non américanisés.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">A propos de la peinture ci-dessus. Catlin écrit :</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><em>« le début des épreuves commence le quatrième jour vers midi une silhouette solitaire s’approche du village. Sur son corps nu, peint en noir son tracé des anneaux blancs sur son visage son dessiné d’énormes crocs blancs. Un gigantesque organe sexuel mâle taillé dans le bois et peint en rouge (...) la femme qui s’est emparé de l’organe rouge »</em></span></p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Etc, etc.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Beaucoup, beaucoup plus tard le dessinateur français René Giffey (1884-1965) s’inspire de ce supplice, à la fois épreuve et spectacle pour de jeunes indiens. Il publie huit images descriptives dans le magazine hebdomadaire TARZAN numéro 90. Bien sûr, conformément aux mœurs européennes imposées par le judéo-christianisme, René Giffey s’abstient de représenter le postiche sexuel. Mais l'année suivante à partir du 19 juillet 1949 c’est la totalité des huit images ci-dessous qui aurait été interdite si le magazine TARZAN s'était risque à les éditer.</span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-982924" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/2592509130.jpg" alt="george catlin,rené giffey,tribus amer-indiennes,bd,bandes dessinées de collection,guerre froide,tarzanides,bar zing" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Témoin oculaire, Catlin attribuait cette cérémonie cruelle au peuple mandan.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">René Giffey imagina la scène chez les Chayennes.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Enfin, remarquons que l'hebdo TARZAN était publié chaque mardi et que son numéro 90 fut daté du 6 juin 1948. Or il n'existe aucun mardi 6 juin pendant l'année 1948. le mardi était le 8 juin. Il y eut donc erreur de datation imprimée.</span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Doc Jivaro – mfcl</span></p><p align="right"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">(avec l'aide de Marie-France)</span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 282
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-01-14:3101052
2018-01-14T17:01:00+01:00
2018-01-14T17:01:00+01:00
T’hier, samedi en tout début d’après-midi la chaîne TV “ Toute...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">T’hier, samedi en tout début d’après-midi la chaîne TV “ Toute l'Histoire ” a raconté en la résumant la prise de pouvoir par les communistes en Chine année 1949.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">On sait que le Parti Communiste en France apporta son aide stalinienne au camarade Mao Tsé Toung. On sait encore que le même parti stalinien des « Sans Dieu » aida l’Église catholique a obtenir le vote d’une loi du 16 juillet 1949 et qui interdisait toute propagande dans les journaux français destinés à la jeunesse de notre pays.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">A peine cette loi était-elle votée que l'hebdomadaire communiste VAILLANT affectait de la croire inopérante contre le militantisme en provenance d’URSS, et publiait une BD intitulée FILS DE CHINE bourrée d’ambiance « des soviets partout ! ».</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-982367" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/01/4264481103.jpg" alt="vaillant,fils de chine,paul gillon,mao tsé toung,urss,usa,bd,bandes dessinées de collection,guerre froide,tarzandies,bar zing" /></p><p style="text-align: center;" align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 10pt;">Images extraites du n° 303 de l'année 1951 pour l'illustré VAILLANT</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Généralement groupée sur six dessins par page cette BD résultait du talent de Paul Gillon lequel œuvrait à partir de modèles photographiés.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Le journal VAILLANT entretenait semaine après semaine toute un rédactionnel de genre amitié France-URSS. On y militait pour la paix dans le monde en compagnie de la Hongrie soviétique et de la soviétique Pologne et l’on y travaillait contre la bombe atomique.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Contre la bombe atomique made in USA.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Pas contre celle de l'URSS.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Lorsque j'étais gamin d’autres gamins se disaient « foulards rouges ». C’était en même temps des copains. Mais j'avais aussi des amis louveteaux dont l’un était le fils d’un des boulangers de Montluçon.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Preuve que j’avais des relations diverses, moi.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">Doc Jivaro – mfcl * </span></span></p><p align="right"> </p><p style="text-align: center;" align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: medium;">* Doc Jivaro a dû reporter sa page Tarzanides du samedi à dimanche</span></span></p><p style="text-align: left;" align="right"> </p><p align="left"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 281
tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-01-06:3100774
2018-01-06T20:46:00+01:00
2018-01-06T20:46:00+01:00
Le onzième mois de l’année 1954 l’éditeur Artima-Tourcoing publia...
<p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Le onzième mois de l’année 1954 l’éditeur Artima-Tourcoing publia ATOME KID un mensuel en noir et blanc et qui connut 32 numéros. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">D'un graphisme assez faiblard, il fit regretter aux connaisseurs de BD un super héros disparu prématurément et d’une toute autre trempe : ATOMAS. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Cet ATOMAS était scénarisé par Charroux et dessiné par Pellos, celui-ci depuis longtemps spécialisé dans les dessins sportifs d'une tendance caricaturale. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">ATOMAS paraissait dans l’hebdomadaire MON JOURNAL et ne dura que pendant dix huit pages de format 28 X 38. Toutefois les deux dernières pages classées 16-1 et 16-2 ne résultaient pas du talent de Pellos mais d'un de ses imitateurs. Doc Jivaro bavardera prochainement sur ce sujet. Reste que p</span><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">our vous faire patienter voici la première page de cet ATOMAS. </span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-981725" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/2579528483.jpg" alt="pellos,atomas,mon journal,artima-tourcoing,atome kid,bd,bandes dessinées de collection,tarzanides du grenier,bar zing" /></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Doc Jivaro – mfcl</span></p><p align="right"> </p>
Bredin
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tag:bar-zing.blogspirit.com,2018-01-05:3100745
2018-01-05T16:18:00+01:00
2018-01-05T16:18:00+01:00
Hier Bar Zing était absent. Son absence est encore...
<p align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Hier Bar Zing était absent.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Son absence est encore constatée aujourd’hui. </span></strong></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Arial, sans-serif;">Demain, le numéro 281 des Tarzanides du grenier sera publié.</span></strong></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 280
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-12-30:3100567
2017-12-30T17:24:00+01:00
2017-12-30T17:24:00+01:00
Petit à petit l’oiseau fait son nid. ...
<p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-981273" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/387441672.jpg" alt="bd,bandes dessinées de collection,edgar rice burroughs,tarzanides du grenier,bar zing,tarzan,rex maxon,hogart" width="382" height="351" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Petit à petit l’oiseau fait son nid.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Petit à petit la cervelle de Doc Jivaro refait cette double partie d’elle-même qu’est sa vision binoculaire ; mais sans encore réussir à lire et dessiner normalement.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Il y a du boulot pour les mois à venir !</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Cependant, Doc Jivaro se souvient d’avoir promis à ses plus fidèles lecteurs une prochaine rubrique BD ayant pour titre : TARZAN ET LES FEMMES. Un sujet dangereux lorsqu’on sait que nos sœurs libérées accusent le célèbre personnage d’Edgar Rice Burroughs de cumuler à lui tout seul tous les défauts de l’homme macho.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Comme nous le constatons dans l’image ci-dessus, le fils des grands orangs n’en rate pas une lorsqu’il s’agit pour lui de s’attirer des noises.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Alors, à bientôt pour la suite hebdomadaire de notre Grenier des Tarzanides.</span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">LE BLOG BAR ZING SOUHAITE UNE BONNE ANNÉE 2018 A TOUTES ET TOUS.</span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: right;" align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Doc Jivaro – mfcl</span></p><p align="right"> </p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 279
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-12-02:3099463
2017-12-02T18:13:00+01:00
2017-12-02T18:13:00+01:00
Ce matin… J’allais pour ouvrir les volets donnant d’en haut...
<p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Ce matin…</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">J’allais pour ouvrir les volets donnant d’en haut sur le jardin plus jamais jardiné, lorsque la voix de mon épouse me retint par le rebond du marteau sur l’enclume.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Eh ! t’as vu la télé sur RMC ? Il y a une émission à propos de trois crânes de cristal trouvés dans des ruines antiques du Mexique. Je parie que dans tes vieilles BD quelqu’un a pris ça comme scénario.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Bingo ! </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Notamment LE CASSEUR avec un sous-titre flagrant : « Le Crâne De Cristal », dans son numéro 30 de l’année 1949 (et pour une collection étirée jusqu’à sa quatre-vingt-quatorzième brochure, celle d’août 1954).</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-979147" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/01/680324435.jpg" alt="LE CASSEUR 1949,LE CRANE DE CRISTAL.TOM-TOM, BD, bandes dessinées de collection, Hogarth, Foster, Alex Raymond, Tintin, Maurice Besseyrias, RMC, Pierre Mouchot" width="370" height="402" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Durant les années 50, les thèmes populaires mystérieux allaient en abondance avec les soucoupes volantes, les centuries de Nostradamus, la survie de Hitler, et l’énigme du ciel toujours bleu quand le soleil brille jaune. Et souvenons-nous d'un l’autre phénomène alors à la mode, un géant velu en promenade dans les sommets enneigés du Tibet.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Le YÉ ! ! ! Le YÉ - YÉ ! le YÉTI.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Brrr ! trouille et frousse. Panique, relâchement du sphincter – ouf !</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Tintin ! Tintin, j’ai …</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Quoi, capitaine, quoi ?</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">J’ai souillé ma culotte.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Il nous coûtait 18 des francs 1949 pour prendre connaissance du cow boy Big Bill LE CASSEUR confronté au mystère d'un Crâne de Cristal disparu du musée de Mexico. L’éditeur de cette BD en était Pierre Mouchot. Douze pages imprimées tantôt en bleu, tantôt en noir avec des images venues d’un nouveau dessinateur : Maurice Besseyrias. Celui-ci devait se conformer à une habitude bien ancrée dans l'équipe de Mouchot, habitude consistant à + ou – copier les silhouettes humaines créées par Foster (Harold) et Hogarth (Burne) voire mais plus rarement celles d’Alex Raymond.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Comparée à la réalité de l’archéologie, cette découverte de crânes de cristal dans une cité Maya durant les années 1920, n’est qu’une supercherie ayant donné lieu à des échanges financiers. Un mensonge exagéré jusqu’à l’escroquerie. Enfin si tous les détails de l’histoire vous intéresse, consultez votre Wikipédia favori. Reste que le cinéma et la littérature s’emparèrent de ce mythe moderne fabriqué par un aventurier anglais bien avant qu’à son tour la BD,... et ainsi de suite.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-979148" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/00/1802656738.jpg" alt="le casseur 1949,le crane de cristal.tom-tom,bd,bandes dessinées de collection,hogarth,foster,alex raymond,tintin,maurice besseyrias,rmc,pierre mouchot" width="308" height="322" /></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Image du début ↔ image finale</span></span></p><p style="text-align: center;" align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-979149" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/01/1939580974.jpg" alt="le casseur 1949,le crane de cristal.tom-tom,bd,bandes dessinées de collection,hogarth,foster,alex raymond,tintin,maurice besseyrias,rmc,pierre mouchot" width="314" height="316" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">À cause de cette neige je n’ai pas envie de sortir. Nous avons assez de croquettes pour les chats jusqu’à lundi. Je vais dispatcher.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Ma femme dispatche toujours, ne distribue jamais. Mais ne croyez pas que nos chats mangent uniquement des croquettes : ils se tapent des tranches de poulet, quand mon épouse et moi nous nous contentons d’un velouté de courgettes suivi d’une banane bien mure flambée au rhum.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p><p align="left"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 278
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-11-25:3099188
2017-11-25T15:34:00+01:00
2017-11-25T15:34:00+01:00
Demain c’est dimanche ... Une expo-vente se déroulera dans...
<p align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Demain c’est dimanche ... <br /><br />Une expo-vente se déroulera dans l’alchimie montluçonnaise <br />du grand four froid d’Athanor.</span><br /><br /><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Doc Jivaro trouvera t'il quelques BD anciennes ?</span><br /><br /><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">Pas sûr du tout.</span><br /><br /><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14pt;">À la semaine prochaine.</span></p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 277
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-11-18:3098921
2017-11-18T17:35:56+01:00
2017-11-18T17:35:56+01:00
Qu’est-ce qui t’amuse Doc Jivaro ? – ...
<p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Qu’est-ce qui t’amuse Doc Jivaro ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Rien ou si peu.</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Mais encore ?</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">— <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Mais encore que je viens de ficeler un gros paquet de Charlie. Pas Charlie Hebdo mais le déjà ancien CHARLIE Mensuel, année 1977. C'était un journal plutôt gauchiste affectant de critiquer le capitalisme mais renflouant ses pages françaises de séries BD américaines. Certes, il restait quand même Pichard et Wolinski, Reiser ... et aussi Cabu. Tiens vise cette planche sur laquelle Catherine gesticule en tenue légère.</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-size: small;"><img id="media-978061" style="margin: 0.2em auto 0.7em; display: block;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/00/2659408449.jpg" alt="Charlie-Hebdo-avril-1977.jpg" width="290" height="391" /></span></span></span></p><p style="padding-left: 300px;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;"><span style="font-size: small;">N° 99, avril 1977.</span></span></span></p><p style="padding-left: 60px;" align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Et c’est ce gag qui te fait sourire ?</span></span></p><p style="padding-left: 30px;" align="justify">– <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Pas vraiment. Mais regarde plus attentivement : il y a quelque chose qui cloche.</span></span> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Catherine se blesse deux doigts … Toutefois dans la dernière image on la voit qui dresse son index entouré d’un pansement. Jolie petite poupée ! Mais ce n’est pas le doigt blessé ! Et comme la coquine a l’air réellement fâchée, elle ne joue pas à plaisanter.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Est-ce une erreur due à l’étourderie ou encore Cabu (Boira) a-t-il voulu tester le sens de l’observation chez ses lecteurs ?</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Ce lot de Charlie Mensuel année 1977 complète, j’ai l’intention de le proposer à la vente sur le stand d’un libraire, lors du Salon Athanor des 25 et 26 novembre prochains dans Montluçon et sur le site des Usines Saint Jacques anéanties.</span></span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;"> </span></span></p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p><p align="right"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 274
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-10-28:3098084
2017-10-28T17:28:00+02:00
2017-10-28T17:28:00+02:00
PIM PAM POUM et … dans l’PAF En abrégé et en...
<p align="justify"> </p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;"><strong>PIM PAM POUM et … dans l’PAF</strong></span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">En abrégé et en vitesse parce que t’aujourd’hui Doc Jivaro est plutôt à la bourre (et c’est le CAS de le dire avec l’image ci-dessous).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Image relative aux faux exploits de Pim Pam Poum, elle est sortie du prozine VIPER probablement d’ octobre 1982. </span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-976191" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/1409627210.jpg" alt="pim,pam,poum,bd,bandes dessinées de collection,knerr,winner,opéra mundi,capitaine fouchtroff,mouchot et captain louf" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Il en existe beaucoup d’autres, et des plus corsées ! tournant en dérision à l’aide de la pornographie l’équipée des gamins turbulents. En particulier dans les produits de l’underground américain des années 1970. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Vivement la semaine prochaine.</span></span></p><p style="text-align: right;" align="justify"> <span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 273
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-10-21:3097875
2017-10-21T18:30:00+02:00
2017-10-21T18:30:00+02:00
Nombre de commentateurs vous enseignent que la première planche de...
<p> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Nombre de commentateurs vous enseignent que la première planche de BD en français relative à PIM, PAM, POUM fut éditée dans le Journal de MICKEY de l’avant guerre (entendez la Seconde Guerre Mondiale, celle de 39-45).</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Trop rarement on vous fait la présentation d’une copie de cette dite première planche. La voici, la voilou, datée du dimanche 7 avril 1935 et du numéro 25 de l’hebdomadaire par lequel Paul Winkler en accord avec Disney fit d’emblée ses choux gras.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-975638" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/00/1760142106.jpg" alt="pim,pam,poum,capitaine cocorico,mickey 1935,paul winkler,bd,bandes dessinées de collection,donald,l’intrépide 1951,knerr" width="362" height="318" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Ici, PIM, c’est un capitaine marin, et la bonne grosse femme championne en pâtisserie c’est la femme, l’épouse de ce capitaine retraité. Les deux garnements l’appellent « tante » mais sans jamais appeler « tonton » le capitaine époux de cette tante. Une famille compliquée, toute en brouillon. Pas famille « tuyaux de poêle », famille "de bric et de broc". Un désordre sans doute causé par la succession des auteurs et des traducteurs jamais d’accord entre-eux et dont les rivalités pouvaient donner lieu à des procès bien réels. </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Pendant les années 30, surtout par le crayon de Knerr, cette série BD est l’occasion d’une accumulation de fessées impossibles à renouveler à l’heure qu’il est aujourd’hui. (S.O.S enfants battus). Fréquemment, la planche BD débute par le résultat d’une fessée (les deux gamins pleurent, bouche grand’ ouverte sans dents ni glotte), et se termine par une autre fessée comme si l’image de l’arrivée annonçait avec retard et contresens l’image du départ.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Le plus original dans cette BD d’origine allemande c’est que certaines des fessées peuvent être appliquées … cul nu, la déculottée étant suivie d’une reculottée avec pyjama et mise au lit de tradition. Une triple peine en quelque sorte. Jugez en tout de suite.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-975639" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/00/02/1002275680.jpg" alt="pim,pam,poum,capitaine cocorico,mickey 1935,paul winkler,bd,bandes dessinées de collection,donald,l’intrépide 1951,knerr" width="267" height="268" /></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Hebdomadaire l’INTREPIDE, année 1951, n° 94. </span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12pt;">Série re-titrée Capitaine Cocorico.</span></p><p style="text-align: center;" align="justify"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">N’y a plus bon Bamamia. Mais y a encore bon Père Fouettard.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p><p align="justify"> </p>
Bredin
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Les Tarzanides du grenier n° 272
tag:bar-zing.blogspirit.com,2017-10-14:3097626
2017-10-14T18:32:00+02:00
2017-10-14T18:32:00+02:00
Parions sans Paris-pourri, parions simplement que vous ne...
<p> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Parions sans Paris-pourri, parions simplement que vous ne connaissez pas l’une des BD parmi les toutes premières engendrées par l’auvergnat Marijac.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">1936-1937. Le dessin de 36, l’édition de 37. Avec l’imprimeur localisé en Belgique. Quant au titre, son humour fut sûrement choisi pour rappeler l’existence alors contemporaine de AL CAPONE. Vous savez bien : ce gangster « rital » exploitant les politiciens et les commerçants dans Chicago, profitant de la période américaine dite « de prohibition ». </span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">« JULES BARIGOULE contre AL COQUIN » dont Doc Jivaro sélectionne, ici, une bande de trois vignettes qu’il isole de la huitième page.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-975020" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/01/02/2784645505.jpg" alt="marijac,jules barigoule,pim,pam,poum,al capone,bd,bandes dessinées de collection" width="526" height="179" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Oui, vous repérez bien la situation : le héros rondouillard entre dans une des anciennes pissotières publiques, toutes disponibles de jour comme de nuit. Il entre debout mais n’en sort qu’en rampant. Rigolo ? Pas ragoutant en tout cas. Quant on a connu les effluves et la saleté de ces urinoirs dont la paroi circulaire n’était jamais propre sous l’effet d’un trop mince ruissellement d’eau … et devrais-je rappeler la présence de croûtons de pain rassis qui s’y trempaient, paraissant abandonnés alors qu’ils patientaient jusqu’au retour des propriétaires. Damnation !</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Tous ces lieux malodorants re-baptisés « tasses » par les poètes de l’Arc en Ciel, furent détruits fin années 70, début années 80. Le Jules Barigoule de Marijac eut bien du mérite d’y trouver un refuge – même éphémère. En tout cas, ce genre de gag est resté impossible à recommencer dans les journaux destinés à la jeunesse du pays de Rabelais.</span></span></p><p align="justify"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-975017" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bar-zing.blogspirit.com/media/02/02/2215672650.jpg" alt="BD-Hules-Barigoule-1936,-couv.jpg" width="256" height="290" /></p><p align="justify"> </p><p align="justify"> </p><p align="justify"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro vient-il d’oublier qu’il devait bavarder à propos de PIM, PAM, POUM ? Pas du tout et ce n’est que partie remise. Ce sera sur le cas d’une gamine toujours présentée comme espionnant les frasques de deux garnements incorrigibles. Cette gamine, c’est Léna, qui en sait plus long que ce qu’elle en dit.</span></span></p><p align="justify"> </p><p align="right"><span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="font-size: large;">Doc Jivaro</span></span></p><p align="right"> </p><p align="justify"> </p>