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Pays basque à croquer
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Sao Tomé et le Pays basque liés par le cacao
tag:www.paysbasqueacroquer.fr,2018-03-18:3305965
2018-03-18T17:13:00+01:00
2018-03-18T17:13:00+01:00
Plus de 4 800 kilomètres séparent le Pays basque de Sao Tomé et Principe,...
<p><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Plus de 4 800 kilomètres séparent le Pays basque de Sao Tomé et Principe, confettis d'îles au large de l'Afrique. Pourtant, un produit les rassemble : le chocolat. </span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Une jolie histoire moderne, entre les deux contrées, a débuté par une récompense. En 2016, au Salon du chocolat de Paris, le Basque Olivier Casenave, installé à Saint-Etienne-de-Baïgorry, remporte <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2016/10/30/la-chocolaterie-laia-recompensee-a-paris-1053662.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">l'award de la meilleure tablette de chocolat noir</a></span></span>. Les carrés de <span style="color: #272727; background: white;">« 75% Sao Tomé- Diogo Vaz- Amelonado », du chocolatier spécialisé en « bean to bar » ( de la fève à la tablette, NDLR), ont séduit les papilles exigeantes des jurés. </span></span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Derrière cette distinction, c'est la renaissance d'une variété de cacao, l'amelonado, qui est saluée par la profession tout autant que la collaboration entre le chocolatier basque et deux hommes : Le landais Jean-Rémy Martin, du groupe Kennyson et Eneko Hiriart, aux attaches luziennes. Cette société, après avoir longtemps oeuvré dans le développement rural sur le continent africain, a décidé de relancer l'activité chocolatière de Sao Tomé, avec un projet novateur. Olivier Casenave en a été le premier bénéficiaire.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-349225" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/00/01/836843201.jpg" alt="chocolat,fèves,sao tome,awards,amelonado,laia,biodiversité,pays basque,baigorri,casenave" /><br /><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> La plantation Diogo Vaz a été reprise en 2013 par Kennyson © photo Paulo Monteiro</span></em></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« Le cacao a été introduit du Brésil sur l'île de Principe en 1822 et la première plantation d'envergure a démarré en 1852, raconte Eneko Hiriart, directeur général de Kennyson. La plantation de Diogo Vaz que nous avons reprise, en 2013, date de 1880. En 1910, la colonie portugaise de Sao Tomé était le premier producteur mondial de cacao, avec près de 35 000 tonnes et des fèves de grande qualité. Le revers de la médaille est que ce système a fonctionné sur l'esclavage des travailleurs dans ces parcelles.» « En 1975, quand Sao Tomé est devenu un état indépendant, les terres ont été redistribuées aux travailleurs des plantations, en petites parcelles, mais sans aucune assistance de l'Etat. Au début des années 2000, les îles ne produisaient pas plus de 1 000 tonnes de cacao par an, avec peu de perspectives pour ces planteurs », poursuit le professionnel du secteur.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> <span style="font-size: 14pt;"><strong>La renaissance d'une plantation</strong></span></span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">En 2013, quand Kennyson reprend cette plantation plus que centenaire, c'est avec l'objectif de « valoriser ce terroir unique en replantant des variétés de cacao endémiques » mais aussi de «capitaliser les gestes ancestraux », en y ajoutant un volet social.</span></p><p><span style="color: #272727; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">«Je crois que le prix a renforcé notre relation et accéléré leur envie de développer leur projet à Sao Tomé », commente Olivier Casenave.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">A ce jour, ce sont 150 000 cacaoyers qui ont été plantés sur l'exploitation de 420 hectares, coincée entre un volcan le Pico de Sao Tomé et l'océan Atlantique. Environ 250 personnes travaillent à Diogo Vaz, qui a obtenu la certification bio en mai 2017.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-349227" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/01/2094370364.jpg" alt="chocolat,fèves,sao tome,awards,amelonado,laia,biodiversité,pays basque,baigorri,casenave" /><br /><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">150 000 cacaoyers ont été plantés sur l'exploitation de 420 hectares © photo Paulo Monteiro</span></em></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« La culture du cacao peut être assimilée à celle de la vigne mais contrairement à cette dernière, il n'y a pas de traitements. Il faut cinq ans, en moyenne, pour la pousse d'un cacaoyer, détaille Jean-Rémy Martin, à la tête du groupe Kennyson. C'est une culture très précise et délicate dont la production peut varier du simple ou double. Elle a besoin d'eau mais pas trop. Sao Tomé est situé au croisement de l’Equateur et du Méridien de Greenwich. Le climat équatorial et le terroir volcanique font une association favorable à la culture d’un cacao de qualité. Nous avons des cépages natifs d'Amérique du Sud : l'amelonado, le trinitario, le criollo puis le catongo. Pas d'hybride ni d'OGM. Ce sont des variétés qui produisent très peu. Nous sommes sur 1100 arbres à l'hectare pour un rendement de 800 kilos. Au niveau de la fève, elle est plus grosse que celle que l'on trouve d'ordinaire, elle n'a rien de comparable avec une fève classique.»</span></p><p><span style="font-size: 14pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> <strong>Le bon sens landais</strong></span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Fort de ces spécificités, le groupe a décidé de se lancer dans un projet chocolatier afin de «rééquilibrer les choses » et de « garder la valeur sur l'île». </span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« Au coeur de notre projet, il y a un volet social, insiste Jean-Rémy Martin. On s'est inspiré de nos racines. Comme dans les Landes, les produits finis soutiennent l'économie locale. Le milieu du cacao est un milieu déséquilibré. La matière première est produite en Afrique et part, en grande partie, vers l'Europe. Il y a 7 millions de personnes dans le monde qui travaillent pour produire le cacao et beaucoup sont plus proches de la misère que du luxe. Si on arrive à prouver que le cacao peut aussi donner des conditions décentes à ces travailleurs, on aura réussi un pari.»</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-349229" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/02/2313189617.JPG" alt="chocolat,fèves,sao tome,awards,amelonado,laia,biodiversité,pays basque,baigorri,casenave" /><br /><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Le projet permettra de maîtriser toute la chaine, de l'arbre à la tablette de chocolat © photo P. Monteiro</span></em></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« Ce projet ne fait que rejoindre une tendance grandissante que l'on retrouve en Amérique du Sud ou Centrale et qui n'est vraie, pour le moment, en Afrique, qu'à Madagascar, résume Olivier Casenave. Le consommateur demande de plus en plus de la qualité et de l'éthique.»</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">En cette année 2018, Diogo Vaz devrait voir fonctionner son usine de chocolat grâce à des équipes locales formées à la chocolaterie et à la pâtisserie. Des plantations de cacao aux tablettes de chocolat, tout sera produit sur place.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-349228" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/02/3826759352.jpg" alt="chocolat,fèves,sao tome,awards,amelonado,laia,biodiversité,pays basque,baigorri,casenave" /><br /><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Le projet vise un chocolat de niche, haut de gamme © photo Paulo Monteiro</span></em></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> « C'est un projet novateur, le "tree to bar" (de l'arbre à la tablette, NDLR) qui permettra de tracer les origines, de maîtriser à 100% la fermentation et le séchage des fèves ainsi que la torréfaction et la cuisson du chocolat », développe Eneko Hiriart.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Un chef chocolatier travaillera sous l'assistance technique du <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2015/12/21/un-explorateur-d-aromes-au-coeur-du-pays-basque-1045008.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Basque Olivier Casenave</a></span></span>. Ce dernier a apporté son savoir-faire et ses connaissances technologiques pour les aider à mettre en place la chocolaterie. Le chef portugais qui sera aux commandes, à Sao Tomé, est également venu se former quelques jours, chez lui, à Saint-Etienne-de-Baïgorry.</span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">L'expérience solide du chocolatier basque</span></strong></span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« On a rencontré Olivier Cazenave par l'intermédiaire d'amis basques à Mont-de-Marsan. On voulait une expérience solide, un vécu. Nous sommes très contents de notre collaboration. Nous avons été séduits par son travail et sa personnalité », glisse Jean-Rémy Martin.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« On avait envie de travailler ensemble et nous avons développé une belle amitié. Je participe à cette aventure à titre amical et j'ai apporté mes conseils comme s'il s'agissait de mon propre projet. J'espère qu'ils vont réussir», résume le chocolatier basque. Grâce à l'Award de la tablette Diogo Vaz, ses productions ont trouvé un public de connaisseur, jusqu'au Japon, même si les approvisionnements en fèves de Sao Tomé sont plus irrégulières. « C'est un peu devenu collector, plaisante Olivier Casenave. Quand j'en rentre, les tablettes partent très vite.»</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-349226" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/01/1198188828.jpg" alt="chocolat,fèves,sao tome,awards,amelonado,laia,biodiversité,pays basque,baigorri,casenave" /><br /><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> Les premières tablettes sont attendues pour le premier semestre 2018 © photo Paulo Monteiro</span></em></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Avec ce projet de tree to bar, Diogo Vaz vise un chocolat de niche, haut de gamme. L'usine se fournira en fèves auprès de la plantation et garantira un prix d'achat cohérent, qui devrait contribuer à l'amélioration du niveau de vie de chacun.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">« On veut rester sur des fondamentaux. Ne pas être centrés vers la transformation ou des mélanges hasardeux. On veut un chocolat exemplaire en goût et en qualité. Ce sera un gage de sérieux, comme l'exploitation d'un grand cru », détaille Jean-Rémy Martin.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Les premières tablettes 100% Diogo Vaz sont attendues pour le premier semestre 2018. Entre le chocolatier basque et le tandem Martin-Hiriart, la collaboration va se poursuivre. </span></p><p><span style="font-size: 12pt; color: #272727; background: white; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Seule certitude, en avril prochain, après Pâques, période bénie des chocolatiers, Olivier Casenave devrait s'envoler vers Sao Tomé pour découvrir les plantations de cacao. Il fera le chemin inverse de ces quelques sacs de fèves d'amelonado, qui, il y a presque deux ans, ont fait germer une belle aventure.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-349224" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/02/01/3094478896.jpg" alt="chocolat,fèves,sao tome,awards,amelonado,laia,biodiversité,pays basque,baigorri,casenave" /><br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;">La plantation de cacao a été labellisée en bio © photo Paulo Monteiro</span></em></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>[Reportage Grand Format]</strong> Un lien particulier s'est noué entre le chocolatier basque Olivier Casenave et l'île de Sao Tomé où un projet chocolatier novateur est en train de voir le jour avec la société Kennyson</span></p>
Pays basque à croquer
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La chocolaterie Laïa récompensée à Paris
tag:www.paysbasqueacroquer.fr,2016-10-30:3305908
2016-10-30T22:49:00+01:00
2016-10-30T22:49:00+01:00
Olivier Casenave, de la chocolaterie Laïa , à...
<p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Olivier Casenave, de la <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.laia.fr/" target="_blank">chocolaterie Laïa</a></span></span>, à Saint-Étienne-de-Baïgorry, a encore du mal à y croire. Il y a quelques jours, il a reçu un appel téléphonique du <a href="http://www.croqueurschocolat.com/" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;">Club des croqueurs de chocolat</span></span>,</a> pour lui demander de venir à Paris, à l’occasion du Salon du chocolat, afin de recevoir une récompense. « Une responsable de la dégustation m’a appelé pour me dire que j’aurai le prix de la meilleure tablette de chocolat noir. C’est complètement inespéré, je ne m’attendais pas du tout à ça. Je suis super heureux. Elle m’a dit que ça lui faisait plaisir que ce soit une toute petite chocolaterie qui ait le prix pour ces dégustations à l’aveugle », raconte-t-il, un large sourire aux lèvres.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Vendredi 28 octobre, aux côtés d’autres professionnels, le chocolatier basque a reçu son « award » pour une tablette « 75% </span><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Sao Tomé- Diogo Vaz- Amelonado », une variété de cacao rare et en perte de vitesse, que deux amis, basque et landais, ont décidé de sauver, il y a trois ans. Dans cette belle aventure, le chocolatier natif de Mauléon, apparaît comme un trait d’union entre la matière première et le produit fini.</span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><strong><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Une plantation à relancer</span></strong></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">« J’ai eu la chance de rencontrer, par l’intermédiaire d’un ami chocolatier bordelais, deux personnes, le Landais Jean-Rémy Martin et le Basque Eneko Hiriart, qui ont relancé une vieille production de cacao à Sao Tomé. C’était des plants qui étaient en train de vieillir, laissés à l’abandon, explique Olivier Casenave. Leur volonté était de relancer la plantation en qualité comme en quantité. Ils m’ont proposé de m’envoyer cinq sacs de fèves de variété amelonado. »</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Amelonado" target="_blank">L’amelonado</a></span></span> est une variété de cacaoyer qui existait au Brésil. Elle a été importée dans l'île de Sao Tomé par les Portugais, qui lui ont fait traverser l’Atlantique au siècle dernier. Cet arbre, dont les fruits ont une forme de melon, d’où son nom, pousse au milieu des autres. Ses fèves ont un goût un peu plus acide et fruité.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">« Ils m’ont dit : “ vois ce que tu peux en faire, comme chocolat ”, se souvient Olivier Casenave. J’ai été assez surpris par le résultat. Autant nous avons tous en référence de chocolat, le cacao africain, standard, là c’était un peu décalé par rapport à ce que j’avais l’habitude de sortir. Mais paradoxalement, je pense que c’est ce qui a plu au Club des croqueurs de chocolat. La dame responsable de la dégustation m’a dit qu’elle n’avait jamais goûté quelque chose comme cela. »</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Pour <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2015/12/21/un-explorateur-d-aromes-au-coeur-du-pays-basque-1045008.html" target="_blank">l’explorateur d’arômes</a> </span></span>qu’est Olivier Casenave, cette collaboration ouvre de nouvelles possibilités à côté des cacaos standards : « Fabriquer du chocolat sans super matière première, c’est limitant. C’est toujours la matière première qui fait que c’est un bon chocolat ou pas. Pour la plantation de Sao Tomé, cette récompense est un bel encouragement. Ça va les conforter sur le fait qu’ils doivent travailler sur le côté qualitatif et maintenir ces vieilles variétés qui ont moins de production, sont aussi fragiles mais qui ont un intérêt gustatif. »</span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;"><iframe width="550" height="600" style="border: 0;" src="https://www.google.com/maps/embed?pb=!1m18!1m12!1m3!1d10809631.615118643!2d-0.36576480872569034!3d0.26561192480686446!2m3!1f0!2f0!3f0!3m2!1i1024!2i768!4f13.1!3m3!1m2!1s0x1070ecf90b9ad889%3A0x6251230c557630ea!2sSao+Tom%C3%A9-et-Principe!5e1!3m2!1sfr!2sfr!4v1477823367022" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></span></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">A lire également : <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2015/12/21/un-explorateur-d-aromes-au-coeur-du-pays-basque-1045008.html" target="_blank">Un explorateur d'arômes au coeur du Pays basque</a></span></span><br /></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2016/10/30/la-chocolaterie-laia-recompensee-a-paris-1053662.html#more"><img id="media-327893" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/media/01/02/2655139340.JPG" alt="DSC_0087.JPG" /></a><br /><em><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 8pt;">Olivier Casenave a reçu sa récompense vendredi, à Paris. © photo DR</span></em></p><p><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 14pt;">Le chocolatier Olivier Casenave, installé à Baïgorri, a été distingué, vendredi 28 octobre, par le Club des croqueurs de chocolat, lors du <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2016/10/27/quel-chocolat-mangerons-nous-demain%E2%80%85-1053616.html" target="_blank">Salon du chocolat</a></span></span>. Il décroche l’Award de la meilleure tablette de chocolat noir grâce à un cacao rare.</span></p>
Pays basque à croquer
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Quel chocolat mangerons-nous demain ?
tag:www.paysbasqueacroquer.fr,2016-10-28:3305907
2016-10-28T11:50:00+02:00
2016-10-28T11:50:00+02:00
C’est un peu le rendez-vous incontournable des fous de chocolat. Chaque...
<p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">C’est un peu le rendez-vous incontournable des fous de chocolat. Chaque année, Paris accueille en cette fin octobre, <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.salonduchocolat.fr/accueil.aspx" target="_blank">le Salon du chocolat</a></span></span> et son lot d’animations et surtout de dégustations.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Du 28 octobre au 1er novembre, les 130 000 visiteurs attendus portes de Versailles pourront faire leur choix parmi les conférences, démonstrations de grands chefs, spectacles, dédicaces et rencontres avec les chocolatiers participants. Parmi eux, les Basques d’<span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.chocolats-antton.com/" target="_blank">Antton chocolatier</a></span></span> à Espelette et l’<a href="http://www.atelierduchocolat.fr/" target="_blank"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;">Atelier du chocolat de Bayonne</span></span>.</a></span></p><p><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Pendant le salon, le Club des croqueurs de chocolat remettra ses awards à plusieurs chocolatiers. L’an passé, le <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2016/05/01/pascal-moustirats-un-chocolatier-sans-fausse-note-1048582.html" target="_blank">Bayonnais Pascal Moustirats</a></span></span> avait été distingué par un award coup de cœur pour sa ganache chocolat de Saint-Domingue à la menthe fraîche baptisée Naïma. Cette année, c’est le Baigoriar, <span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://paysbasqueacroquer.blogspirit.com/archive/2015/12/21/un-explorateur-d-aromes-au-coeur-du-pays-basque-1045008.html" target="_blank">Olivier Casenave, de la chocolaterie Laïa</a></span></span>, à Saint-Étienne-de-Baïgorry qui sera primé pour une tablette noire 75 % de São Tomé.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Meilleure chocolatine</strong></span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Quelques nouveautés rythment l'édition 2016 du salon parisien, qui se tient en pleines vacances scolaires : un Salon du chocolat junior pour les enfants, la Japanese experience autour de chocolatiers japonais et français, la scène des chefs avec les talents de demain ou encore l’espace pain et chocolat où les grands classiques de la boulangerie seront revisités façon chocolat avec des Masters du pain au chocolat qui désigneront la meilleure chocolatine, ce samedi 29 octobre à 16 heures.</span></p><p><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Dans ce salon fort en chocolat, on ne fait pas que déguster, on débat aussi de l’avenir de la filière. Cette année, il s’agit de « mettre en scène toutes les évolutions et tendances actuelles en matière de chocolat et de pâtisserie » et de penser au chocolat du futur. Avec le développement de l’imprimante 3D, la tendance serait à une personnalisation de plus en plus forte du chocolat et de la pâtisserie. Les textures évoluent et de nouveaux ingrédients entrent en jeu.</span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Le nouvel espace bean-to-bar (de la fève à la tablette) du salon permet également d’aborder des initiatives équitables chez les pays producteurs.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Les vertus du cacao</strong></span><br /><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 12pt;">Autre tendance, les aliments bien-être et les vertus retrouvées du cacao, considéré comme un «superaliment » ou encore un chocolat detox.<br />La fève de cacao mûre contiendrait plus de 200 substances favorables à la santé. De plus, le chocolat, selon des études récentes, serait bon pour le cerveau, préserverait la femme enceinte et son bébé, aiderait à rester jeune mais aussi favoriserait une baisse des accidents vasculaires cérébraux (AVC) et maladies cardiovasculaires. Pourquoi s’en priver ?</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;">Le 22e <span style="text-decoration: underline; color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff; text-decoration: underline;" href="http://www.salonduchocolat.fr/accueil.aspx" target="_blank">Salon du chocolat</a></span> débute ce vendredi 28 octobre, porte de Versailles, à Paris. Il se poursuit jusqu’au 1er novembre autour du thème « Back to chocolate, entre le chocolat d’hier et le cacao de demain ». Quelques Basques y sont présents.</span></p><div class="getty embed image" style="background-color: #fff; display: inline-block; font-family: 'Helvetica Neue',Helvetica,Arial,sans-serif; color: #a7a7a7; font-size: 11px; width: 100%; max-width: 509px;"><div style="padding: 0; margin: 0; text-align: left;"><a style="color: #a7a7a7; text-decoration: none; font-weight: normal !important; border: none; display: inline-block;" href="http://www.gettyimages.com/detail/583748230" target="_blank">Embed from Getty Images</a></div><div style="overflow: hidden; position: relative; height: 0; padding: 66.601179% 0 0 0; width: 100%;"><iframe width="550" height="339" style="display: inline-block; position: absolute; top: 0; left: 0; width: 100%; height: 100%; margin: 0;" src="//embed.gettyimages.com/embed/583748230?et=SyR2C_40TcNGGl5nrtIQwQ&viewMoreLink=on&sig=vu9Obs0AuEUHNXVApXbeRva9hOU_YQYJZa7Exo3k23o=&caption=true" scrolling="no" frameborder="0" data-mce-fragment="1"></iframe></div><p style="margin: 0;"> </p></div>